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Temps et dédoublement Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-03-2009 21:24

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Machine, Temps, Temps et dédoublement, Vibrations

Index de l'article
Temps et dédoublement
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Bien que perplexe sur cette « loi » du dédoublement du temps proposée par Jean-Pierre Garnier-Malet, je place ici cet article car il va très loin. Et il y a un certain rapport avec le concept d’une multitude de chronologies avancé par Dan Burisch et son « système Looking-Glass ». Et même, à propos de mémoire, avec la « macchina » du père Ernetti et de la mémoire des vibrations (1). Dans l’histoire de Garnier-Malet et celle de Burisch, l’important il me semble est l’espace courbe, car en aucune façon il ne peut être rectiligne !

Vidéo italienne sur la macchina del tempo
 
 
 
Article du journal NEXUS n°61 de mars - avril 2009

À la croisée de la physique, de l’astrophysique et de la métaphysique, un physicien a découvert une loi qui semble régir nos existences. Reste à savoir nous en servir.

À propos de Jean-Pierre Garnier-Malet
Auteur de la loi de dédoublement du temps, Jean-Pierre Garnier-Malet est docteur en physique avec une spécialisation en mécanique des fluides. L'American Institute of Physics à New York et son comité scientifique ont validé la découverte de cette loi en la publiant en 2006 dans leur volume 839 (pp. 236-249). Ils ont ensuite décerné à Jean-Pierre Garnier-Malet le Best Paper Award (prix du meilleur article) pour sa théorie, qui a permis d'expliquer l'arrivée dans la ceinture de Kuiper de planétoides à l'origine d'explosions solaires d'envergure. Les répercussions de la loi de dédoublement du temps semblent encore innombrables. Ses fondements mathématiques et physiques reposent sur l'idée qu'un mouvement fondamental de dédoublement doit être utilisé aussi bien pour une particule dans un horizon que pour l'horizon lui-même, considéré à son tour comme particule dans son horizon. C'est par un changement d'échelle de temps, simultané avec un changement d'échelle d'espace que ce mouvement se définit sans modifier l'observation de l'espace-temps par l'observateur de son espace dans le temps de son observation. La mesure du temps étant donnée par la rotation d'une particule et celle de l'espace par la dimension R de l'horizon de la particule pendant son dédoublement, le trajet πR devient autre unité de temps pour un autre observateur qui considère cet horizon comme une particule dans son propre horizon. Ce changement d'échelle fait correspondre l'intérieur d'une particule, considérée comme horizon, avec l'extérieur d'un horizon, considéré comme particule, pour deux observateurs interne (+) et externe (-). Qu'on ne s'y trompe pas, la simplicité du résultat : (1πR2)* = (4πR) cache la complexité du raisonnement et de la démonstration (voir publications scientifiques). Jean-Pierre Garnier-Malet organise des stages de mise en application de sa théorie et donne des conférences. Il peut être contacté à travers son site : http://www.garnier-malet.com
 
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NEXUS : Jean-Pierre Gamier-Malet, merci de nous expliquer la loi de dédoublement du temps...
Jean-Pierre Gamnier-Malet : Nous avons l'impression de percevoir le temps tout le temps. Or, en réalité, nous ne le percevons que de temps en temps, comme nous le prouve d'ailleurs l'imagerie médicale : notre cerveau n'est impressionné que par des images intermittentes (2). Entre deux instants perceptibles, il y a toujours un instant imperceptible. C'est comme un film. On ne voit que 24 images par seconde. La 25 est imperceptible, subliminale. Cependant, certains publicistes ont utilisé ce genre d'image pour influencer avec succès notre comportement, montrant ainsi que le « subliminal » est accessible à notre mémoire.

Voyons-nous tous les mêmes « tranches » de temps ?
Pas forcément, Il est possible que quelqu'un d'autre perçoive un temps qui n'existe pas pour nous, et réciproquement. Vous pouvez vous en faire une idée avec l'éclairage électrique. Il s'éteint et s'allume cinquante fois par seconde, or vous ne voyez qu'une lumière continue: quand cela s'éteint, vous ne le savez pas. Maintenant, imaginez quelqu'un qui puisse voir la lumière dans les phases où elle est éteinte : il verrait tout dans le noir alors que vous, vous voyez tout dans la lumière. Vous ne verriez donc pas ce que lui voit, puisque vous ne voyez pas la même chose en même temps. Pourtant vous voyez exactement la même réalité. On peut alors imaginer qu'il y ait deux réalités, l'une qui voit dans la lumière et l'autre dans les ténèbres.

Et le temps ?
C'est pareil. Le temps, vous le percevez de temps en temps (3). Et il y a d'autres réalités qui perçoivent ce temps de temps en temps, mais pas en même temps, c'est intercalé. Cela signifie que nous voyons les mêmes choses, mais pas au même moment. Alors, on peut imaginer aussi maintenant que dans ces temps que nous ne percevons pas, il y a la possibilité de percevoir ce temps d'une façon complètement différente, à savoir qu'une seconde devienne des milliards de secondes. Et que nous aurions le temps de faire des choses extraordinaires alors que dans notre temps à nous, nous ne pouvons absolument rien faire.
Imaginez un peu que vous puissiez vous absenter dans ces temps imperceptibles pour faire des choses merveilleuses, puis revenir alors que vous ne savez pas même que vous êtes parti. Vous auriez ainsi déjà la connaissance essentielle d'un futur vécu, mais qui n'a pas eu le temps d'apparaître dans votre réalité. Vous posséderiez alors une mémoire supplémentaire forgée dans un temps complètement imperceptible.

Quelle est alors l'influence de cette expérience sur notre réalité, notre temps « perceptible » ?
À ce moment-là, vos pensées dépendent aussi de ce voyage hors du temps, qui modifie vos pensées et fait qu'à chaque instant, elles dépendent également d'un temps imperceptible dans lequel vous vivez aussi. C'est une idée merveilleuse, et c'est la réalité.
La réalité, c'est que le temps est dédoublé par des temps perceptibles et des temps imperceptibles. Vous vivez dans les temps perceptibles, mais vous vivez également dans les temps imperceptibles (4), seulement, par définition même du temps imperceptible, comme vous croyez ne pas le percevoir, vous l'ignorez. Et vous ignorez totalement que vous faites des voyages dans un temps qui n'a pas le temps d'apparaître dans votre temps.
Il en découle quelque chose d'ahurissant : « Ce que je vis là, en ce moment, serait le résultat de ces voyages hors du temps où j'organise la vie à ma façon... ». On peut alors se poser une autre question : « Qu'est-ce que j'ai comme expérience, quel contrôle ai-je de ces expériences que je ne mémorise pas ou mal ? ». Mes pensées seraient-elles modifiées sans que j'aie la possibilité de contrôler les modifications qui en résultent ?
Et je peux aller plus loin dans mes questions : si cette loi existe - à savoir qu'il y a des temps imperceptibles qui me permettent de fabriquer un futur instantané modifiant mes pensées à chaque instant - ne suis-je pas dans une réalité que me permet mon temps de perception oùje participe à la fabrication du futur de quelqu'un d'autre vivant dans un temps différent et surtout imperceptible ?
 
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Si nous vous suivons bien, ce quelqu'un d'autre peut aussi être... soi ?
Oui, exactement... Ne suis-je pas ce quelqu'un d'autre ? Ne serais-je pas double et en train de répondre aux questions que me pose un autre moi-même ? Le but de ma vie ne serait-il pas de donner des réponses à ce double ? Je lui fabriquerais alors un futur potentiel et mon temps de vie n'existerait que dans ses propres instants imperceptibles que j'ai appelés « ouvertures temporelles ».
Il y a, en réalité, une succession d'instants perceptibles séparés par des instants imperceptibles où je me fabrique des possibilités futures. Ce futur est instantané dans mon temps présent où je le mémorise. Mais si je mémorise un futur de façon instantanée, cela devient une mémoire, donc un passé. Finalement, le passé, c'est-à-dire ma mémoire, ne serait que du futur et mon instant présent ne serait que la conséquence de cette mémoire qui me pousse vers d'autres pensées... qui déclenchent un futur, qui déclenche d'autres mémoires... qui déclenchent d'autres pensées, qui déclenchent un futur... qui déclenche d'autres mémoires... Finalement, ma vie n'est qu'une succession de futurs qui se transforment instantanément en passés où le présent n'existe plus. Ce présent n'est que l'actualisation d'un futur que j'envisage instinctivement ou intuitivement avant de le vivre. Je serais simplement en train d'actualiser un futur que je crée dans un temps imperceptible et mémorise suivant la façon dont il me plaît ou me déplaît : je l'actualise s'il me plaît, je le mémorise pour ne pas l'actualiser s'il me déplaît... Comme cette mémorisation est instantanée, j'en tire des instincts nouveaux, des intuitions nouvelles, ce qui signifie aussi que toutes mes pensées sont le résultat de cette mécanique. Vous vous rendez compte des conséquences possibles sur notre vie ?

Cela signifie-t-il que nous pourrions contrôler notre futur ?
Oui, la question se pose : est-ce qu'il n'y a pas quelque chose derrière tout cela qui fait que, si je dois disposer d'un futur, je dois aussi le contrôler ? Et si je contrôle mon futur, je change mon présent. Le manque de contrôle, puisque je ne connais pas cette loi, n'entraîne-t-il pas des déséquilibres que je pourrais éviter ?
À partir du moment où je considère que c'est une loi universelle, ma vie sur Terre est fondée sur cette loi et ma vie m'apparaît comme la création d'un potentiel que je récupérerai à ma mort. Vous voyez que cela va très loin puisque cela signifie que pour bien vivre, je devrais être à la fois celui qui pose la question et celui qui y répond dans un temps accéléré dans lequel il vit pour organiser un potentiel, ce potentiel étant finalement la réponse à la question que je me suis posée avant de vivre, c'est-à-dire avant de naître...
Lorsque les anciens disaient : « Naître, c'est mourir et mourir c'est naître », ils voulaient peut-être dire cela : nous sommes sur Terre pour arranger les potentiels...
En fait, nous pourrions dire, de façon à ce que tout le monde comprenne, que nous sommes tous chamans, tous voyants.
Mais l'avenir que l'on voit, ce n'est qu'un potentiel (5). Cela signifie que si je change, je change le potentiel. La mission d'un bon voyant qui connaît la loi, c'est de percevoir un danger afin de l'effacer, de sorte qu'il voit des dangers qui n'arrivent jamais. Je peux en faire autant : je vois une catastrophe qui a été fabriquée, je fais tout pour qu'elle ne se produise pas.
 
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La Loi à l'épreuve de la science
 
Métaphysique et physique se rejoignent dans la théorie,..
Oui, tout à fait, parler du temps dédoublé est une chose, mais il faut vérifier si c'est applicable scientifiquement. On connaît le principe de relativité depuis longtemps mais pas tellement ses applications. Après la découverte d'Albert Einstein, il a fallu attendre 1970 et une expérience qui a permis de montrer que si l'on accélérait par rapport à quelqu'un d'immobile et que l'on revenait, on avait changé de temps.

C'est la fameuse expérience avec les horloges atomiques...
Oui, on a effectivement pris des horloges atomiques [voir lexique à la fin] qui avaient une précision de l'ordre d'une dizaine de milliardièmes de seconde. Certaines ont été placées dans un avion, d'autres étaient suivies au sol pour comparer. Puis on a regardé si l'accélération de l'avion autour de la Terre, dans le sens de rotation puis dans le sens inverse, modifiait le temps. Oh surprise ! Il y avait un changement de temps... Certes peu élevé, quelques milliardièmes de seconde, deux cent cinquante environ dans un sens pour un tour de Terre complet, dans les cinquante dans l'autre sens, mais enfin le résultat était là... Et cette expérience a prouvé une chose : si je bouge par rapport à quelqu'un qui est immobile, je ne vieillis pas de la même façon. Évidemment, bouger en avion ce n'est pas très rapide, mais sije me déplace à une vitesse prodigieuse, la différence devient significative...

Cela rappelle le paradoxe des jumeaux de Langevin...
Oui, Langevin [voir lexique à la fin] avait montré cinquante ans auparavant que si l'un de deux jumeaux allait à une vitesse proche de celle de la lumière, il disposait d'un temps très court par rapport à celui resté sur Terre, qui lui avait donc le temps de vieillir. Alors la loi de dédoublement du temps peut nous amener à la réflexion suivante : si je pars pendant une microseconde à une vitesse telle que je dispose de milliards de milliards de secondes, de jours entiers, lorsque je reviens, je ne sais pas que je suis parti, puisque je ne suis parti qu'une microseconde ; mais pendant ce temps, j'ai fait des expériences. Il suffit simplement que je puisse voyager à des vitesses prodigieuses.

Sauf que ce n'est pas (encore) possible...
J'attendais votre remarque... Il existe une autre propriété, connue depuis longtemps en physique : la dualité de la matière, à savoir qu'une particule est à la fois ondulatoire et corpusculaire. Or nous sommes un assemblage de particules : nos particules émettent et reçoivent, elles ont donc également l'aspect ondulatoire. Ainsi, n'aurions-nous pas, associé au corps physique, un corps disons « énergétique », capable d'aller chercher des informations à une vitesse prodigieuse ?
Dans ce cas, ce corps serait capable de changer de temps. Il pourrait aller chercher des informations et revenir me les donner.

Comment ?
Il y a une propriété physique très importante, propre à l'eau, dont le corps humain est composé à plus de 65%. L'eau est capable de stocker l'information. Et si je suis capable, avec ce corps « énergétique », de sortir de mon corps physique, d'aller chercher une information, et de revenir la transmettre à l'eau de mon corps, je récupère dans mon temps à moi, instantanément, l'information que j'ai été cherchée dans un autre temps.
Cela signifie que toutes les expériences que j'ai pu faire ailleurs, dans un autre temps, j'en dispose instantanément. Même si je n'ai pas le temps de les mémoriser, je vais néanmoins en avoir une rapide synthèse... C'est comme une idée venue d'ailleurs. Cela nous est tous plus ou moins arrivé d'avoir des idées qui nous surprennent, dont on ne comprend pas comment elles nous sont venues à l'esprit, ou encore de vivre une impression de déjà-vu... On sent bien qu'il y a quelque chose derrière ces réalités. Et les lois scientifiques du XXe siècle et maintenant du XXIe siècle n'entrent pas du tout en contradiction avec la théorie du dédoublement du temps.
Cette dernière nous permet même de calculer la vitesse de la lumière et de montrer qu'il existe des vitesses superlumineuses. Si un corps énergétique est capable de voyager à des vitesses qui dépassent celle de la lumière, alors le changement de temps est prodigieux. Or des scientifiques ont démontré l'existence d'une vitesse d'information supérieure à la vitesse de la lumière.
NEXUS s'en est fait l'écho dans son n°59 (p. 10)
Dernièrement, Antoine Suarez a même expliqué que le temps d'information entre les deux particules dédoublées était instantané. On a appelé cela « l'intrication ». En réalité, il y a bien une particule qui informe l'autre, et ceci à une vitesse d'information gigantesque. La théorie du dédoublement montre qu'elle est de 857 milliards de kilomètres par seconde (6). Cela prouve qu'il y a une particule qui informe l'autre, et réciproquement.
Si nous sommes également dédoublés, cela signifie que nous pouvons aller chercher les informations d'un double et les rapporter, donc bénéficier dans deux temps différents de deux informations différentes : l'un fait l'analyse, l'autre la synthèse. Celui qui fait la synthèse peut poser des questions en fonction de la synthèse dont il dispose, l'autre va chercher dans l'analyse la réponse à une nouvelle question, mais dans son temps à lui. Il est capable aussi de poser des questions qui vont entraîner une nouvelle analyse dans son propre futur.
Nous aurions alors passé, présent et futur... Nous retrouvons la condition vitale, cette « triade », comme l'appelaient les Grecs, que Platon résume ainsi : « Pour vivre, il suffit d'être celui qui était, celui qui est et celui qui sera ».
 
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Nous avons parlé de la découverte d'une loi scientifique et pourtant assez peu de science...
C'est vrai, bien que comprendre le mécanisme mathématique à l'œuvre soit délicat. Si l'on parle de deux temps différents, il faut trouver l'équation qui permette d'être l'observateur du premier temps et l'observateur du second temps, sinon je ne peux pas les utiliser. La théorie du dédoublement nécessite donc une équation qui soit un changement d'échelle d'observation et permette de changer le temps et l'espace. Dans la théorie du dédoublement, l'horizon d'un observateur devient une particule pour un autre dans un nouvel horizon. De plus, une particule pour un observateur est toujours un horizon de particules pour un autre. L'emboîtement, horizon-particule, permet de différencier les temps de dédoublement, selon les dimensions R de l'horizon et les rotations π des particules. Il en résulte une équation de dédoublement (voir encadré en début de page) reliant deux observateurs qui s'ignorent tout en pouvant échanger des informations dans des temps imperceptibles pendant leur dédoublement. On pourrait alors parler « d'intrication » de particules dédoublées par analogie avec les particules de l'infiniment petit. Ne peut-on donc pas considérer deux étoiles de notre galaxie comme deux particules d'un même horizon galactique où elles interagissent de façon cyclique, à la fin de leur cycle de dédoublement des temps ?
Après que cette équation se soit imposée à nous, les retombées ont été étonnantes : cette théorie explique qu'aucune particule ne peut avoir un trajet rectiligne, mais qu'elles ont toutes un trajet curviligne : cela explique le fameux spin des particules qui tournent sur elles-mêmes, tout comme la Terre qui tourne autour du Soleil tout en tournant sur elle-même. Le cycle de dédoublement des temps m'a permis ensuite de calculer la constante de structure fine [lexique] et de prévoir l'arrivée des planétoïdes dans le système solaire. Or, cette constante donne la charge de l'électron, c'est une constante essentielle pour notre biologie.

C'est pourquoi l'American Institute of Physics a validé vos travaux...
La correction de la loi approximative de Titius-Bode [voir lexique] et le calcul de cette constante de structure fine ont évidemment attiré l'attention des scientifiques. Cette parution est un atout considérable, car on ne peut pas détruire une publication par referees, puisque dès lors que des scientifiques l'ont approuvée et récompensée, c'est qu'ils l'ont lue et comprise. Donc si quelqu'un déclare que c'est complètement fumeux, il met tous ces scientifiques dans le même sac. Mais ce n'est pas pour autant que ce travail est accessible au commun des mortels. Cependant l'application dans le quotidien d'une loi de dédoublement peut être faite par tout le monde, puisqu'il s'agit d'expérimenter et de mémoriser le futur dans l'imperceptible avant de le vivre dans notre quotidien. Finalement, il en résulte que chacun doit prendre ses responsabilités et savoir que, s'il lui arrive quelque chose de dramatique, c'est tout simplement de sa faute, il fabrique son bonheur ou son malheur futur avant de le vivre dans le quotidien. On peut dire qu'avec le dédoublement des temps, celui qui sème le vent dans le futur récolte la tempête dans le présent.

La pensée serait donc énergie...
L'équation d'Einstein induit quelque chose de paradoxal, à savoir qu'une énergie, c'est une masse. Et une masse ne peut aller plus vite que la lumière. Alors sij'ai une information qui va plus vite que la lumière, cette information est énergie donc masse superlumineuse, et tout ce que je viens d'expliquer n'a pas de sens. Or puisqu'il existe, nous l'avons vu, des vitesses superlumineuses, cela signifie que des informations vont plus vite que la vitesse de la lumière sans avoir de masse. Il y a un système d'accélération très performant du fait que l'horizon des particules en interaction est lui-même une particule dans un autre horizon. L'observateur dans un horizon n'a évidemment pas la même vitesse d'information que l'observateur qui, à l'extérieur, considère cet horizon comme une simple particule.

E = mc2 est donc inexact ?

Non et les applications ont pu vérifier cette équation. Cependant, pour éviter un paradoxe lié à cette équation qui rendait la vitesse de la lumière indépendante de la source et de l'observateur, Einstein a inventé quelque chose d'extraordinaire qu'il a appelé la constante cosmologiue [voir lexique]. Il lui fallait une énergie de répulsion correspondant à 66,6% de l'énergie totale de l'univers. La communauté scientifique de son époque lui a imposé de reconnaître, deux ans avant sa mort, que c'était là la plus grande erreur de sa vie. Or, c'était une très bonne intuition.
Parce que cette constante cosmologique, on la retrouve maintenant par la théorie du dédoublement avec les 666 millièmes d'énergie antigravitationnelle... On la retrouve aussi par l'observation : des astrophysiciens, Brian Schmidt et Saul Perlmutter, ont même réussi à montrer que l'univers présente une énergie d'expansion, une énergie inconnue, appelée « énergie de répulsion », qui représente bien ces 66,6 % recherchés.
En fait, les 666 millièmes d'énergie sont une énergie qui s'oppose à une énergie gravitationnelle de 333 millièmes et à une énergie d'équilibre de 1 millième. Voilà ce que prouve la théorie du dédoublement. Et c'est en accord avec l'observation de l'expansion de l'univers.
Nos corps physique et énergétique disposent également de ces deux énergies complémentaires et notre corps énergétique utilise l'énergie antigravitationnelle pour se déplacer hors de notre corps physique (7). Comme cette énergie est proportionnelle à l'énergie gravitationnelle, ce déplacement s'effectue la nuit car, pendant la nuit, le Soleil étant derrière la Terre, la gravité est plus forte que le jour. Donc l'antigravité, aussi.
Cette « décorporation » utilise une partie de notre sommeil que l'on appelle « sommeil paradoxal », c'est une notion difficile à évoquer de façon scientifique. Cependant, qu'on le veuille ou non, nous disposons pendant la nuit du mécanisme de dédoublement du temps pour aller chercher dans le passé et le futur les informations dont nous avons besoin afin d'enrichir notre mémoire puisque c'est cette mémoire qui nous fait vivre dans le présent... On sait que, pour les rats, la suppression du sommeil paradoxal entraîne leur mort en dix-neuf jours. Ce sommeil correspond donc bien à un principe vital. Pourquoi ne pas l'utiliser en le contrôlant ?


Dernière mise à jour : 02-03-2009 23:28

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