Accueil arrow News arrow Élémentals, Divinités, Yôkai arrow Ainsi-Venu en non-dualité
Ainsi-Venu en non-dualité Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-01-2020 20:21

Pages vues : 3752    

Favoris : 51

Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Duoversel, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Marsyas, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Migrant, Morale, Mort, Mot, Narcisse, Nature, Nihilisme, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
rideau_ecran_vague.jpg
 
 
Ainsi-Venu en non-dualité
en non-existence puisque le temps
qui coule n’existe pas.
En vivant toujours de la sorte on
est libéré de la tyrannie de l’opinion.
Et qui ne se soumet pas aux idées fictives,
telles la religion, la politique,
le philosophisme, le scientisme,
est libéré de notion du temps telles
permanence et impermanence.
Tout ce que l’on peut affirmer à son sujet
n’est que chaos humain.
En échappant ainsi à cette tyrannie de l’opinion,
vous ne soulèverez pas de polémique qui
sert de bouffe à l’égrégore ou de grégarisme et
qui alimente les actuels « réseaux sociaux ».
 
Car tomber dans les noms-les-formes qui sont
artifice et convention-opinion ne sont
que des f(r)ictions qui n’ont pas la moindre
« réalité » en tant que « choses », ce ne sont
que des pensées, des fictions qui se vautrent.



L’Ainsi-Venu ou Ainsité progresse jusqu’au Pays du Rien du Tout (ici Pays désigne l’essence commune à tous les phénomènes ; il est comme la cause ; il pose les particularités qui les distinguent. Y « entrer », c’est en saisir ces trois significations). Une fois au Pays il re-découvre le Zéro Indien ou Énergie inépuisable et gratuite. Il manifeste alors des corps pareils à des reflets de Lune dans l’Eau se réglant sur les désirs et goûts des êtres. Chacun de ses corps est la Transparence même telle libérée du mental et le parcours de la Voix de l’Éveil qui correspond à la Nature absolue.

POUR-VOIR : tout ce qui existe ne peut qu’être INTROUVABLE (voir la page précédente avec le « catéchisme occulte ». Ainsi les hallucinations et fantasmes n’ont pas d’objet puisqu’ils sont l’effet d’une anomalie ou perturbation du mental. Si cette perturbation avait une quelconque réalité, les choses auraient une cause ou une essence (sens de ce qui constitue la nature d’une chose). Cette hallucination n’est possible que parce que rien n’a d’essence. Tout ce qui existe est donc introuvable ; c’est pour cela que certains humains veulent combler cet introuvable par des f(r)ictions (tels les Hébreux-Juifs).


Du faut que ce ne sont que des f(r)ictions, IL N’Y A PAS DE ROYAUME DE DIEU (juif) SUR TERRE ; IL N’EXISTE AUCUNE VÉRITÉ ; IL N’EXISTE AUCUNE LIBÉRATION (car en inventant la « libération » on invente du même coup son contraire : l’incarcération, le salariat et l’argent, etc.). C’est le mental qui produit cette « réalité », tous les corps et leurs environnements ou temps. Par Nature le Verbe ou mental pur n’a aucune apparence, mais l’ignorance fait parfaitement dans l’abondance et l’évolutionnisme et dans la diversité (marchande).

Le caractère erroné des f(r)ictions définit la nature dépendante, non libre ; le fait même de nommer ce caractère définit la nature fictive ou imaginaire, qui finira par devenir du conventionnel. Dès lors que ne naissent plus les noms-les-formes et les f(r)ictions, de telle ou telle réunion ou association de causes, on ne peut que franchir la frontière du Pays du Rien du Tout.

PAYS DU RIEN DU TOUT = L’ABSOLU PERÇU COMME LE SUJET OU ENCORE CETTE DIMENSION DU PAYS QUI EST PERÇUE COMME OBJET. Au Pays du Rien du Tout il n’y a pas de dualité. La Connaissance n’existe pas pour la même raison que la Liberté : inventer la Connaissance c’est inventer également son contraire, comme d’inventer les « grandes écoles » c’est inventer des « petites écoles » et tomber dans le winnerisme ou dualité actuelle !
Le Pays du Rien du Tout est la Source Elle-même, comportant la naissance, le vieillissement et la mort, etc. jusqu’à l’EAU ou absence de f(r)ictions (absence de re-présentations et absence de non-représentations, car on ne peut pas fabriquer l’une sans fabriquer l’autre….)

Le Pays du Rien du Tout est comparable à l’espace : pas de limite : pas d’empêchement d’aucun nom-la-forme, qui, comme l’Eau prenant la forme de n’importe quelle vase, peut prendre place librement dans l’Eau ou au Pays du Rien du Tout, et ainsi ne pas être empêché par la forme ou par une opinion quelconque, car le Pays ou espace n’est pas délogé par une forme ou un nom. Rien ne peut être bloqué au Pays du Rien du Tout.
Le Pays du Rien du Tout est nôtre « ultime étendue » et le principe universel originel de tout ce qui EST ; une vacuité définissant la Vraie Paix.

RAPPEL : le Seul Réel ou la Vérité, ou la Paix, a pour caractéristique d’être insaisissable, aucune humain ne peut prétendre posséder « la vérité », surtout que le Seul Réel est éternel, indestructible, exempt de défauts. Cela s’appelle aussi AINSITÉ.

Les ignorants croient à la permanence de leur système économico-politique tels leur république et leur capitalisme : ils croient à la permanence des phénomènes illusoires qu’ils appellent « réalité ». Les Banlieusards du Pays du Rien du Tout s’intéressent à l’ainsité des phénomènes, lesquels n’entrent pas dans la dualité pur-impur, et pour cela ils se tiennent hors de la tyrannie de l’opinion, soit ne rien accepter ni ne rien croire.

Ayant atteint cette ainsité, on franchit la frontière du Pays du Rien du Tout, on détruit cette tyrannie de l’opinion et on ne fabrique plus d’autres croyances ou religions, ou « isme » quelconque.
Ainsi, quand un enfant voit la Lune se refléter dans une flaque d’eau ou un lac, il plonge les mains dans la flaque ou dans le lac, mais ne pouvant la saisir, il s’énerve et se désole. Un paysan le voyant dans cet état lui dit : « Telle est son essence. Ne conçois donc point de chagrin ».
En fait, bien entrer au Pays du Rien du Tout, c’est TEINDRE la limite du Seul Réel…. (Je ne comprend pas bien ce que j’écris, mais je l’écris quand même vu que ça me paraît fort important…). Pourtant, la « limite du Réel » ne peut qu’être le Pays du Rien du Tout, qualifié de « Seul Réel », et sa frontière est appelée « limite ».
Bien se rappeler que le Pays du Rien du Tout n’a aucune caractéristique, sinon, il ne serait pas le Pays du Rien du Tout, car il est le PAYS DU SANS NAISSANCE.
Ce Pays est infini. À son approche, le mental est sans plus rien chercher d’autre. Le mental rend présent ou « instante » le Pays.
De même que tous les phénomènes ont un nom-la-forme et par là-même aussi de l’espace, il y a dans tout cela une nature appelée Soi ou Nirvana. Au moment où le Réalisé réalise cette Nature, Ainsité et Pays délimitent son expérience.
Comme le Pays du Rien du Tout ne peut pas être conçue par un mental humain, il ne peut pas être ni mesuré, ni analysé. Il est tellement Merveilleux qu’on y voit aussi la limite du Réel.


Le Pays du Rien du Tout EST L’ÉGALITÉ même : introuvabilité de phénomènes et passés et futurs, aussi bien évidemment que l’introuvabilité de phénomènes « présents », qui eux échappent au temps qui coule de par leur état de spontané.

Le Pays du Rien du Tout est comparable au Nirvana, car il n’y a pas de concepts à n’en plus finir tel qu’avec l’évolutionnisme lié nécessairement au temps qui coule.
Le Pays du Rien du Tout est comparable à la PIERRE (philosophale) : dans tous minerais comme dans tous phénomènes mondains il y a la Pierre du Nirvana.
Par leur Rayonnement les Ainsi-Venus aident les êtres à trouver cette Pierre du Nirvana (cet Or tant recherché ici-bas). Le Labour sur la Pierre est cette « carte d’entrée » au Pays du Rien du Tout : « transformer des vieux objets de plomb en lingots d’or ».

Les phénomènes de ce monde sont comme « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux), et leurs caractères spécifiques et leurs caractères généraux aboutissent tous au Pays du Rien du Tout et ils assimilent le caractère unique qui est ABSENCE DE CARACTÈRE (par exemple la haine étant une caractéristique humaine naturelle, vouloir lutter contre ne fera que l’amplifier !)
Quand le Pèlerin a tranquillement repéré les phénomènes, il atteint le centre de l’Ainsité et entre dans sa Nature propre. L’Ainsité originelle sans naissance et sans tyrannie de l’opinion et autres diversités conceptuelles.

Pays du Rien du Tout : non-mesurable, infini (sans frontière ni centre), illimité, non borné, ininterrompu, simple unité, naturellement pur, le même pays dans tous les mondes, orné d’un seul ornement, indestructible. Et tout cela ne sont que des mots tournant autour du Soi ou Dieu, autour du Ici et Maintenant. Et en tant que même pays dans tous les mondes, il est comme un étalon ou échelle pour la multiplicité des mondes. Sous son aspect immanent, on le décrit comme « divisé en niveaux », et sous son aspect transcendant, on le décrit comme « non-divisible », non bloqué. Mais uniquement si on l’aborde dans la dualité en séparant le Soi et corps ; en séparant un « perpétuel dépérir » ou mort permanente d’une « durabilité à jamais »

Toutes ces lignes de mots ne sont que le « Plan » pour re-trouver le Pays du Rien du Tout et stopper les mortelles proliférations conceptuelles aussi dangereuses qu’un seul virus. Une fois le Pays accomplit, il reste le ZÉRO INDIEN : plonger dans le Spontané de l’inconnu de l’action.

« Entrer » au Pays veut dire : Réalisation du Soi et intuition qui est aussi le Zéro indien. L’Entrée indique : l’essence dans laquelle persister, l’échelle ou règle, les objets du mental.

Le Pays peut avoir trois sens :
- Une cause tenant lieu de support à la voie de tous les êtres. Pays signifiant aussi dimension-cause.
- Pays signifie Essence en tant qu’Essence immuable, au sens où l’entendait Jean Coulonval : « C’est que je veux bien fabriquer, ce que j’ai fais toute ma vie. Mais je ne veux pas être « fabriqué ». Je veux être soumis aux essences mais non aux accidents. C’EST CELA LA « LIBERTÉ » [Souligné dans le texte, lettre 27 au Père Bruckberger, du 21 janvier 1978] ».
Essence sur quoi tous les phénomènes reposent. « Pays » signifiant aussi dimension absolue comme Essence du Réel. C’est bien le sens du mot Essence tel mentionné par Jean Coulonval.
Pays ou dimension évoque aussi les particularités différenciatrices des conditions qui donnent lieu à des caractéristiques permettant aux phénomènes de ne pas se confondre, et ainsi comme ces pelles vivantes qui travaillaient seules dans la neige, alors qu’elles avaient tout de même besoin de surveillance, car elles risquaient de se retourner contre les Ainsi-Venus……

Le Pays du Rien du Temps (ou du Tout), ou Dimension Absolue, fait la partie de la Taoïcité et du bouddhisme dénonçant de façon hyper-rationnelle (tout comme l’Alchimie) les limites et dangers du réalisme enfantin qui semble dominer la pensée de l’humain des 10.000 ans du Néolithique : l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).

Il ne peut qu’y avoir le Saint Vide ou Saint Chaos source des Essences, dans le Pays du Rien du Tout où il fait si bon se reposer imperturbablement !
Le Pays du Rien du Tout est inséparable de la Nature originelle ; et si pour en faciliter la compréhension on fait dans la dualité sujet-objet, cela ne veut pas dire que l’objet est un quelconque causisme préexistant à la conscience en voie de pureté qui le réalise puisque, depuis le « début », le Pays ou dimension absolue et la Félicité naturelle sont l’Essence une et indivisible.

Le Pays du Rien du Tout n’a en fait ni lieu ni entrée ; il n’est pas un « endroit » où l’on est, PUISQU’ON Y EST DÉJÀ. Cela s’appelle le PARADOXE DE LA RÉALISATION, ou « IMPÉNÉTRABLE », non atteignable (1).
L’expérience de la non-dualité ne peut se faire sans le ‘Je’ et le ‘je’ : paradoxalement sans l’ego ou ‘je’ le ‘Je’ ou Soi n’existe pas !
La Réalisation spirituelle ou du Soi ne peut se faire que dans la non-dualité, hors du spatio-temporel ou hors du mental (paradoxe) : mais hors des contradictions stériles = moi-autrui, sujet-objet, pur-impur, etc. Soit remplacer la domination tyrannique des émotions et sentiments négatifs par la Félicité naturelle et bienveillante.



- Noms-les-formes = tous les phénomènes
- Matière = les « petites chouses » (« atomes »)
- Addition de Cela =  le VIDE aussi vide que l’abstraction la plus absolue.
Addition de Cela = il n’est pas un seul phénomène doté de sa propre Nature qui soit indépendant. Quand on comprend Cela on comprend ce que veut dire « Eau Primordiale » où rien ne fait obstacle, comme dans le Saint Chaos ou vide du Vide.
VIDE = O-CÉAN : ici Tout : pas de formes, pas de sensations, pas de perceptions, pas de conscience ou de concepts en f(r)ictions.
Le Vide est indivisible, comme l’écran de cinéma et les images projetées dessus n’altérant pas l’écran ; comme l’océan et ses vagues ou l’océan est le principe universel et les vagues les faits ou images projetées sur l’écran-océan. Océan-écran et vagues-images ou faits sont réversibles : pas de winnerisme : l’image ou la vague n’est pas « loser » par rapport à l’écran-océan, et inversement l’océan-écran n’est pas « winner » par rapport aux vagues-images. Si ce n’était pas le cas, nous serions plein pot dans cette actuelle dualité mortifère du relatif coupé de sa Source : l’ESSENCE au sens de Jean Coulonval cité plus haut.
L’apparence vide de l’écran appelle les images comme la vague en apparence vide amène l’Eau à sa « Source ». C’est-à-dire que le principe envahit les faits en les épurant comme l’Eau envahit les vagues en les faisant disparaître (idem avec l’écran et les images). Seul(e) reste l’Eau, ou l’écran qui ont conduit à cette épuration. Eau ou écran = le Vide. Ce qui amène que quand les images sont projetées sur l’écran, il n’est pas visible comme les faits ont le pouvoir de cacher, masquer le principe, d’où le mythe du PARADIS OU RIDEAU : LEVER LE VOILE, APOCALYPSE découvrant le Principe. Seuls les êtres sont visibles, le Principe ne l’est pas, d’où le possible concept de « laïcité » (du moins en France républicanisée).
Eau-écran et vague-images s’abolissent tout en s’engendrant de même ; ils TROQUENT sans que le Seul Réel s’en ressente : écran ou eau sont sans images ou vagues sans mouvement ; et comme les images ou les vagues et le mouvement s’activent mutuellement en ayant l’écran et l’eau comme substance, ils ne présentent pas de caractères différents.
Ce dernier point est fondamental par rapport aux religions abrahamistes construites sur la FAUTE, la CHUTE ou PÉCHÉ, avec ses « réparateurs » patentés par Yahvé, le « peuple prêtres », afin de comprendre que tous les êtres animés ont le Seul Réel, soit la Félicité, pour NATURE ORIGINELLE, ICI ET MAINTENANT, et pas à la « fin des temps », soit sans attendre de « cesser » ou d’atteindre le « but » ou « atteindre le Soi » ; car s’il fallait atteindre ce but, il ne vaudrait pas le coup de s’y consacrer, car tout ce qui naît meurt au bout d’un TEMPS.

MISE EN GARDE : Je réitère que : Je ne comprend pas bien ce que j’écris, mais je l’écris quand même vu que ça me paraît fort important… même, et surtout, si ces propos se veulent une « vérité », car ils ne sont que des mots CACHANT DES OPINIONS, ET QUE CES MOTS NE PEUVENT EN AUCUNE FAÇON TRADUIRE LE SEUL RÉEL ou la moindre vérité. La Vérité ne peut ni être dans le relatif, ni dans son inverse ; les phénomènes relatifs ne sont aucunement un absolu. Ce qui illustre que l’écran des images ou l’eau des vagues n’est ni images ni vagues ; comme les images ou les vagues ou tous les écrans et toute l’eau ne seront jamais cet écran ni cette eau puisque le mouvement n’a pas le même principe que l’image seule ou l’humide seul.
Merci Du Shun.



Note.
1. Ce Paradoxe de la Réalisation ou Liberté se retrouve dans la Chanson du Cavalier, (Poème de Garcia Lorca, qui rejoint la fin d’Une saison en enfer, de Rimbaud, chapitre Adieu) :
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.


L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui [il est Singularité ou Idiotès) ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas (monde des phénomènes).
Rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est une arrivée : la mort seule ou PAN fait le mariage entre l’événement et l’ÊTRE ; au mieux la Réalisation du Soi conduit au Réalisé vivant, encore si rare de nos jours.
La Réalisation spirituelle ou du Soi ne peut se faire que dans la non-dualité.
 
 

Dernière mise à jour : 30-01-2020 21:26

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >