Accueil arrow Yôkai arrow Dernières news arrow thèse-doctrine-opinion UNE seule et même chose
thèse-doctrine-opinion UNE seule et même chose Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-02-2020 03:06

Pages vues : 4957    

Favoris : 48

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Duoversel, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Marsyas, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Migrant, Morale, Mort, Mot, Narcisse, Nature, Nihilisme, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Xatemme, Yokaï

 
1dollar_mithra.jpg
 
 
thèse-doctrine-opinion UNE seule et même chose
et il y en a qui sont payés pour ça !
Affirmer que « rien n’existe » ne peut qu’être
une OPINION.
Nous en sommes rendus à un monde où l’opinion
devient une thèse, ou une « science », ou un
régime politique ou un système philosophique !

La thèse est comme ce monde qui n’existe pas,
SAUF SON NOM !
C’est d’ailleurs ce qui permet de fabriquer
le mot « monde », sans ce ‘monde’,
personne ne le fabriquerait !
Il faut au minimum une personne pour le fabriquer.
 
La Source ou Zéro indien se trouve au-delà
de la dualité connaissant-connaissance ou
au-delà du sujet et de l’objet par delà
connaisseur et connu.
C’est en ce sens qu’IL N’Y A PAS D’ÉVEIL
mais seulement le « Gate gate pâragate
pârasamgate bodhi svâhâ »

Grande Formule de l’Éveil.
(Allé, allé, allé au-delà, allé complètement
au-delà, l’Éveil est ainsi), ou le
« Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce
qui est plus Obscur et Inconnu encore »
,
dit la devise alchimique.

Cette formule de l’Éveil précise bien
QU’IL N’Y A PAS D’ÉVEIL EU QUE CEUX QUI
LE PRATIQUE NE FONT QUE S’EN ÉLOIGNER
COMME LE PRÉCISE LE CATÉCHISME OCCULTE (1)


UNE HOTC OU HISTOIRE DE VOILE, DE RIDEAU OBSTRUANT LE PARADIS OU JARDIN.
ÉLIMINATION DU VOILE ÉMOTIONNEL ET COGNITIF. LEVER LE VOILE OU LE NIQABTCHADOR OU APOCALYPSER.


Il ne peut pas y avoir d’Éveil puisque la Connaissance de fait DANS L’INSTANT : con (avec) et naissance : naître avec, par rayonnement de PAN, le TOUT dans l’Instant ou le Ici et Maintenant hors du tréfond (3) même de l’ego-individu. Ainsi tout ce qui se prétend « enseignement » est nul puisque ça passe par la « réflexion » donc par le temps qui coule et l’opinion et l’histoire (HOTC).
Rien ne se transmet, pas d’enseignement ; tout au plus peut-on regrouper des circonstances favorables, de disposer à rendre disponible comme le professeur de dessin au cours complémentaire de mon école rue Ampère à Paris qui m’isola dans la salle des professeurs pour me permettre de dessiner isolé du bordel habituel pendant les cours de dessins, qui me permis de préparer l’entrée, non pas au Lankâ, mais aux Arts Appliqués rue Dupetit-Thouars derrière la place de la République à Paris.

LEVER LE VOILE OU LE NIQABTCHADOR OU APOCALYPSER.
Tirer le rideau signifie que les choses n’ont pas de soi ou ego individuel, ce qui conduit le mental à en avoir un coup dans la tronche !
Avec la cessation des schémas engendrés de générations en générations, qui forment la conscience actuelle, la libération ou l’action de TIRER LE RIDEAU OU APOCALYPSER CONDUIT À LA PURETÉ.

Comme exprimé dans la formule de l’Éveil qui n’en est pas, ça tourne autour de la naissance et de son contraire la mort pour s’en extraire dans la Vacuité avec TOUJOURS INSTANTÉ LE ZÉRO INDIEN. Ainsi les ignorants croient encore que la nature de l’Éveillé ou Réalisé vivant c’est le nihilisme, le vide ! Ces ignorants établis dans le conventionnel croient que le ZÉRO C’EST LE VIDE, LE RIEN !!! Et ce sont ces mêmes ignorants nihilistes qui font dans « l’éternalisme » en voulant ici-bas « vivre éternellement » comme le rêve les Juifs-Google, parce qu’ils croient à une Conscience fondamentale qu’ils rêvent de mettre dans une puce informatique, ce qui fait d’eux effectivement des éternalistes système.

Comme les Vases du Potier sont composés de plusieurs éléments, de même le corps ou rayonnement des Réalisés ne peuvent pas enseigner la Réalisation du Soi ou Réalisation intérieure de sa Vraie Nature originelle.

Les trois véhicules et le non-véhicule,
L’inexistence du nirvana des bouddhas,
La promesse de devenir un ainsi-venu [un Réalisé ou Bienheureux],
Les enseignements à ceux qui n’ont plus de résistances,

La sagesse ultime de l’accomplissement
Et le nirvana sans restes :
Tous ces enseignements sont secrètement
Destinés à encourager les êtres apeurés.

Les bouddhas enseignent la voie
De la sagesse qu’ils ont atteinte,
À laquelle ils se tiennent, et à rien d’autre,
À tel point qu’ils ignorent le nirvana.

Le désir, les formes, l’Être et les idées [les opinions] :
Tels sont les quatre schémas habituels
Qui naissent de la conscience mentale [celle qui fabrique des concepts]
Et opèrent dans le mental et la conscience fondamentale.

Le nihilisme consiste à croire à l’anéantissement
De la conscience mentale [ego, raison], de l’œil et ainsi de suite.
L’intelligence pervertie appelle nirvana la permanence
Que le mental perturbé [encombré] accorde à la Conscience fondamentale [le Soi].
(Soûtra de l’Entrée à Lankâ, fin du chapitre 7 : Les apparitions)

C’est-à-dire que l’absence de Big Bang ou absence de commencement fait CROIRE à une permanence et un « trou noir » qui se nommerait « nirvana ». Même croyance que de « croire à un seul Dieu ».
La fin du chapitre 7 renvoie à la formule de l’Éveil et son ”Gate gate pâragate…”.
La fin du chapitre 7 renvoie aussi au Secret de la Fleur d'Or, chapitre 10 : La lumière de l’Essence et la lumière de la conscience [conceptualisante] : 13 : « Retourner la lumière sans tomber dans la conscience, c’est faire usage de l’essence originelle des sens. Retourner la lumière en tombant dans la conscience, c’est user de la nature de la conscience inhérente aux sens. Là se trouve la différence aussi fine qu’un cheveu ».
16 : « Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède [Zéro indien]. On dit d’un mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde rien en lui [il est comme libéré de la tyrannie de l’opinion]. Mais si l’on s’attarde sur le vide de la vacuité [en entrant ainsi dans le temps en dualité sujet-objet], c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité ». C’est-à-dire que prendre une sensation ou une expérience pour de la « vacuité », est une totale erreur !

Alors il est impossible de fabriquer une thèse sur le nirvana ou de construire une HOTC que « rien n’existe » !

Un texte comme le Soûtra de l’Entrée à Lankâ a pour fonction l’éveil du mental et par là même son extinction, ce qui exprime LA VRAIE LIBERTÉ D’EXPRESSION : UNE PENSÉE LIBRE DE TOUTES PENSÉES (rejoint la Vraie Vacuité décrite dans le Secret de la Fleur d’Or cité plus haut).
Qui ne compte que sur le conventionnel ou l’uniforme autoritaire fabricant d’âmes ne peut que patauger dans sa laïcité ! Soit seulement rester dans le matérialisme et par là même ne pouvoir se libérer, car il y a deux mondes : le partial (celui de la tyrannie de l’opinion ou des partis pour « prendre parti »), et celui du sublime ou pureté. QUI IGNORE EN QUOI DIFFÈRENT CES DEUX MONDES NE PEUT CONNAÎTRE LE SENS PROFOND OU LE VRAI DE LA MOINDRE CHOSE. SANS L’INTUITION DU PUR, LA LIBERTÉ N’EXISTE PAS.


TUER LE DIEU UNIQUE, TUER LE CHEF, PRINCIPE ALCHIMIQUE.

Celui qui ne peut pas en avoir une copie, car avec sa copie, son compère, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre par cette différence apportée par la copie (ou par la délégation comme dans le cas d’un étatisme en gouvernement représentatif), et alors aucun ne pourrait être infini. L’Éveillé essaye de s’éveiller pour sortir du ‘moi’ de chaque individu qui est prisonnier empêché d’être le TOUT. Deux Dieux ça forme une dualité, une relativité, comme deux vérités se détruisent mutuellement parce qu’elles sont limitées en s’opinionant l’une-l’autre (comme le contenant et le contenu…). Il faut que la vérité relative, ou la copie de la vérité disparaisse jusqu’à ce qu’il ne reste que LA Vérité absolue, donc JUSQU’À CE QU’IL NE RESTE PLUS RIEN POUR QUE LE VRAI PUISSE ENFIN NAÎTRE. DONC « TIRER LE VOILE », LEVER LE RIDEAU (2). CE N’EST QU’EN ÉVACUANT LA VÉRITÉ ABSOLUE OU LE DIEU UNIQUE JUSQU’À SA COMPLÈTE DISPARITION QUE LES APPARENCES DE LA VÉRITÉ RELATIVE PEUVENT COULER [PRINCIPE DE LA PUTRÉFACTION-FERMENTATION].
Retirez l’eau de la mer et il ne reste que les vagues, retirer les vagues et il ne restera plus que la mer. Comme dans l’exemple du couteau et du manche ci-dessous, la notion de deux vérités, ou de deux Dieux, n’est possible que si l’un abolie l’autre. Si ce n’était pas le cas, leur différence existentielle ne pourrait prouver leur non-unité. Si bien qu’on pénètre dans la non-unité de leur non-différence ! Dilemme alchimique Contenant-Contenu.


DEUX VÉRITÉS S’HARMONISENT = la Vérité absolue est quand la vérité relative peut encore sourcer, puisque la Vacuité de la Vérité absolue n’est pas du nihilisme par le ZÉRO INDIEN MÊME ; parce que c’est cette vérité relative QUI EST LE RIDEAU À TIRER, À LEVER, pour accéder à la Vérité absolue : Contenant-Contenu, Paradis-Rideau sont comme une DANSE. L’eau où retombent les vagues ne les obstrue pas puisqu’elle n’est pas dure ; les vagues qui agitaient l’eau ne la cache pas par un rideau dans la mesure où elles n’ont pas de réalité solide.
S’il ce n’était le cas, aucune vérité ne pourrait trouver sa place et il serait impossible de prouver qu’il y a deux vérités (comme Yin et Yang). Ainsi on accède à la non-différence de leur non-unité.

Quand deux vérités se complètent, l’une comme l’autre sont comme le sucre ou domino basculant sur le sucre ou domino fixe qui basculera à son tour ; ces deux vérités peuvent « partager TOUTE leur substance » (Gratuité). Puisque la Vérité absolue est l’Absolu ou Seul Réel, Icelle ne viole pas à la causalité : la vérité relative fonctionne dans la disparition de leur commune existence [sucre basculant-sucre fixe] ; puisque la vérité relative ou sucre devenu basculant est la vacuité du phénomène (vacuité ou le EST du phénomène), elle ne s’écarte pas du principe absolu : la Vérité absolue se manifeste jusqu’à l’épuisement mutuel de leur commune existence (la bascule du sucre sur le suivant et ainsi de suite dans l’effet domino).

Toutes vagues ont un creux et une bosse constitués d’eau ; comme une vague n’est qu’eau, toutes les vagues sont aussi eau.
Vagues = eau. Un eau sans vague n’existe pas, même dans une flaque d’eau dormante. Eau et mouvement faisant la vague se marient selon la source de leurs deux vérités. Si ce n’était pas le cas, l’Absolu et les phénomènes se dissoudraient l’un dans l’autre et aucune vérité n’existerait. Encore la non-différence de deux vérités.

Le sucre immobile (Vérité absolue) qui s’apprête à basculer sur son voisin (vérité relative mais à un moment seulement… car la vérité relative deviendra la Vérité absolue), ce qui produit à la fois une harmonie et une destruction. Sucre parfaitement libre et totalement dissous l’un dans l’autre (ils ont basculés tous deux), les deux vérités se laissent percevoir simultanément : ce qu’illumine la TRANSPARENCE ou absence d’obstacle. On retrouve ces concepts dans le Soûtra de l’Entrée à Lankâ, en pratique de la contemplation.

Les deux sucres ou dominos de l’effet domino illustrant les deux vérités sont base de la contemplation sur laquelle s’accomplissent les pratiques de la compassion, de la sagesse, etc. Quand la Réalisation du Soi est effective, Nôtre état naturel EST (toute chose son ainsité), car il n’y a pas de but à atteindre ou quoi que ce soit à posséder, vu que Tout EST déjà ; mais le Soi est voilé par le corps ou mental et les émotions-opinions produisant l’ignorance, et qui n’attendent que d’être éjectées. Une fois le RIDEAU LEVÉ (une fois la Lumière retournée), l’accès au Paradis ou au JARDIN est un jeu d’enfant, et la cueillette des Pommes d’Or (Zéro indien) dans le Jardin devient possible.

La saisie ou possession comme le « droit d’auteur » du ‘moi’, voilà le crime. Pas de f(r)ictions ou HOTC et donc pas saisie de ‘moi’, voilà la pureté. Tout ce qu’on appelle « réalités » naissent et meurent sans jamais exister, sauf si on fait dans l’artifice HOTC et donc dans l’hallucinatoire comme le rêve et les reflets dans les miroirs, les copies (ce qui peut permettre aux Juifs-Google de fabriquer leur monde artificiel tout digitalisé).


Notes.
1. “ Qu’est-ce qui est toujours ? “ - “ l’espace, l’éternel, le sans parents “ - “ Qu’est-ce qui fut toujours ? “ - “ le germe dans la racine “.
“ Qu’est-ce qui, sans cesse, va et vient ? “ - “ le grand Souffle “.
“ Il y a donc trois Éternels ? “ - “ Non, les trois sont un [tréfond]. Ce qui est toujours est un, ce qui fut toujours est un, ce qui est et devient sans cesse est un aussi : et c’est l’Espace “.........
(La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, Préface)
Page d’archive préhistorique
Un manuscrit archaïque - assemblage de feuilles de palmier rendues, par quelque procédé inconnu, inaltérables à l’eau, au feu et à l’air - se trouve sous les yeux de l’auteur. Sur la premier page l’on voit un disque blanc immaculé, sur fond noir.
Sur la suivante, il y a un disque semblable, avec un point au centre. L’étudiant sait que le premier représente le Cosmos dans l’Éternité, avant le réveil de l’Énergie encore assoupie, émanation de l’Univers en des systèmes postérieurs. Le point dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en “ repos “, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’Œuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Cosmos illimité et périodique, ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif.
Le cercle unique est l’Unité divine, dont tout procède, où tout retourne : sa circonférence, symbole forcément limité de par les limites du mental humain, indique le PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable, et son plan, l’Âme Universelle, bien que les deux ne fassent qu’un. La surface du disque est blanche et le fond est noir : cela montre clairement que ce plan est la seule connaissance qui soit accessible à l’homme [rejoint la formule de l’Éveil].
(D’après La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, début de la Préface).

2. Rideau et Rideau de Feu : passer de l’ancien monde au nouveau monde, c’est-à-dire re-trouver sa Vraie Nature, son Soi. Comme le métal passe par le Feu et par l’Eau pour subir une transmutation ; idem pour l’être humain du Néolithique à nos jours.
C’est SUR LE SEUIL que l’être subit sa transmutation.
 
 

Dernière mise à jour : 03-02-2020 03:42

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >