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FLÉAU, LA PERTE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-04-2020 00:17

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Histoire, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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FLÉAU, LA PERTE
Le coup de fouet donné aux humains
par les toutes petiotes chouses.
Les calamités, les petiotes chouses
qui viennent chambouler la gestion du
régime capitalo-républicain des humains.
 
 
D’après le Macron nous serions « en guerre » contre les Petiotes chouses.
Ce Macron et Rothschild résonnent non seulement comme une calebasse mais comme le killer Louis Pasteur, killer bien connu des Petiotes chouses qui heureusement savent s’en protéger naturellement…


Ce monde tragique qui meurt sous ses « VALEURS » (vo(a)leurs) et ses MEN-SONGES (ses man-songes) : ses prix et tromperies sur les marchandises aliénantes par pouvoir d’achat et consumation ou consommation qui brûlent, qui polluent tout.
Ce monde tragique où les gens ont peur de mourir bien plus qu’avant 1914 et l’avènement de l’industrie capitaliste, parce qu’ils sont habitués à leur confort technologique et à leurs Juifs-Google qui veulent les « augmenter » et leur fourguer une « immortalité », ici-bas (la super Carotte messianique du DORG [Demain On Rase Gratis]). Les gens devenus douillets ne supportent plus aucune souffrance….. TOUT LEUR EST DÛ, Y COMPRIS LA VIE ÉTERNELLE, COMME SI C’ÉTAIT « GARANTIE À VIE » DANS LE PRINCIPE DU « VOTRE DÉPUTÉ, VOTRE SANTÉ, ETC. ».
 
Nagarjuna, Stance du Milieu par excellence, Examen critique des éléments 5, 8 : « Mais les gens à l’intelligence courte, qui ne voient qu’existence ou inexistence là où sont des choses en devenir, ceux-là ne voient pas du visible l’apaisement béni ».
Celui qui divise en disant : « Il n’y a pas » suit un chemin de guerre et de violence ; celui qui s’abstient d’opinioner : « Il n’y a pas » suit un chemin enrichissant. Et celui qui s’affranchit des deux, connaissant les choses dans leur EST, dans leur Ainsité ou dans leur Ici et Maintenant, icelui RE-trouve la Libération : CELLE DU FLÉAU, DE LA PERTE.
Nagarjuna = force centripète qui déconstruit, qui pratique merveilleusement LA PUTRÉFACTION.

Et même, l’être humain dans l’Éveil ne prend même pas position au milieu, donc dans le Fléau entre les deux plateaux de la balance. Car une fois les deux plateaux et même la balance disparue, le Fléau devient inutile comme s’il n’avait jamais existé ! Le Fléau ou la Voie du milieu n’est pas quelque chose qui « existe » ou qui est du spatio-temporel en localisable.
Le milieu est vide, comme la PERTE est vide ; le Vide ou la Perte c’est le milieu. Être/Non-être = même Fléau ou même Perte, Vide.

Voie du Milieu identique aux LAVEURS (terme alchimique) : LAVER est une forme de sotériologie (le salut, la rédemption, la re-trouvaille [avec son Soi]). L’identité de l’Être et de l’Acte est comparable au non-reflet entre les deux miroirs clairs, À SAVOIR QUE COMME LA TOUPIE EN GIRATION, L’ÊTRE DONNE DANS LA GRATUITÉ, IL EST SANS CESSE EN MOUVEMENT APPARAISSANT NON-MOUVEMENT ; COMPARABLE AU TROU DU TROUVÈRE OU ZÉRO INDIEN AVEC L’INFINI DE POSSIBILITÉS.
Passage par la Stargate où l’Être n’est nullement déterminé (entre les deux miroirs clairs), comme « l’eau de la Stargate » en elle-même inerte et privé d’énergie, parce que ce que l’on nomme « Énergie de la manifestation » (shakti (1)), donc ce qui est dans le cerveau (R. Maharshi, entretien 57b) réside dans Shiva (tous les pouvoirs ou énergie subsistent dans la toute-puissance, identique au Brahman et n’est point un attribut ou une partie (réf. YV VIb 146, 20).

FLÉAU, PERTE, REJOIGNENT LE FUSIBLE SUPÉRIEUR : LE RIRE (à complètement distinguer du ricanement du sot), un FUSIBLE EXTRA-ORDINAIRE PARCE QU’IL N’AFFIRME RIEN, IL NE DIVISE PAS, IL NE NIE RIEN ET N’ENTRE PAS DANS LA TYRANNIE DE L’OPINION. La bonne humeur et le rire authentique et fusible est un des aspects du Libéré comme le montre aussi la Taoïcité avec des images de moines rieurs se comportant comme des idiots ou comme des attardés.
RIRE = ANTI-CONVENTIONNEL, car dans le social il faut censurer sa sensibilité. (Rire, comme pleurer n’est pas “bien vu” en société ou en public actuellement) et le Rire inspire de la crainte : un animal comme le chat a peur d’un rieur).

FLÉAU, PERTE = ANTI-ADMINISTRATION, ANTI-GESTION (dés qu’il y a gestion le chaos masqué arrive et IL FAIT CROIRE QUE). Pas de gestion politique, économique, spirituelle.
PERTE = ABOLITION DE LA DUALITÉ VILLE-CAMPAGNE CONSÉCUTIVE DE LA GUERRE DES RELIGIONS ABRAHAMISTES CONTRE LES PAÏENS OU PAYSANS, LES VRAIS GENS DU PAIS, DE LA PAIX, DU PIED (avoir trouvé « chaussure à son pied », et expression un brin sexuelle : « C’est le pied ! » ; PAÏEN, PIEU (Axe), PAIS, PAGUS (contrée), PAIX, même étymologie. Les villes c’est le vile capitaliste et républicain des citoyens au pouvoir d’achat qui pollue tout. Et PAISTRE est manger des produits de la Terre, donc du Ici et Maintenant.

FLÉAU = ANTI-GESTION : la gestion étant la Saint Graal du Capitalisme (auto-gestion, gérance, organisation, direction, manager et management, calcul et compte de gestion, mandat : pouvoir, mandater procuration, etc.). Pour qu’il y ait une gestion il faut lui donner à bouffer : le travail, qui sera gérer en « temps de travail » puis en temps de loisir ou de vacance, etc., donc totalement coincé, amplifié dans le spatio-temporel.

MARCHÉ = SOCIAL = MARCHANDISE (le pouvoir d’achat allié à l’emploi fourgué par le politisme du régime). SOCIAL = AGRÉABLE AUX AUTRES COMME LE SOURIRE COMMERCIAL ET SON ”VIVRE ENSEMBLE”, COMME LE SONT LES MARCHANDISES QUI ALIÈNENT TOUS LES TERRIENS (parce que les 90% sont inutiles sauf pour le Marché et ses banques). Comme l’argent, les marchandises circulent, c’est enfoncer des portes ouvertes que de le constater ! CEPENDANT, MARCHANDISES DOIT POUVOIR SIGNIFIER ICI ET MAINTENANT, CE QUI POUSSE OU QUI SE CONSTRUIT ICI, soit une dynamique de distribution dans les contrés, et non un échangisme capitalo-républicain mondialiste entre les parfums de Grasse au Guatemala et leurs bananes à Grasse ! qui fera le bonheur de la pollution… DONC ON SORT DU SYSTÈME ALIÉNANT DU TROC ET DE SON FUTUR WALL STREET !
 
Par exemple, il n’est pas naturel que le Païen ou Paysan doive « aller en ville » pour acheter telle ou telle chose ou pour accomplir un acte administratif, système capitaliste et du troc basé sur l’échange (le change et changement et le réformisme du régime qui change à chaque changement de chefferie ; bref : SYSTÈME DU SOCIAL).
ÉCHANGE = SYSTÈME DU SOCIAL ET DES SPÉCIALISTES (comme le premier la banque, ensuite l’État) : Depuis la fin de la guerre de 1914-18 de l’humain produit en série comme une automobile de la fabrication standard et normalisée, où tout artisanat, toute division naturelle du travail agonisent, il est apparût une palanquée de spécialistes : on cherche en vain un cordonnier dans la contrée ou dans le hameau, mais on trouve, en ville, une boutique de vêtements et une banque et une pharmacie à tous les coins de rue ; on boit partout, au lieu du bon vin que chaque Païen vigneron faisait « à sa façon », un ignoble liquide standard, et il y a au minimum 50.000 spécialités pharmaceutiques et chimiques inscrites au Codex…
La Vraie spécialité ne peut qu’être NATURELLE, DANS LE ICI ET MAINTENANT donc de l’ordre du QUALITATIF, elle sera limitée : les métiers vitaux ne sont pas multipliables en évolutionnisme comme des productions capitalistes en usines !
La fausse spécialisation actuelle des spécialistes résulte de l’UNIFORMITÉ, DE LA PENSÉE UNIQUE, FORMATÉE, ET PAR LÀ MÊME, ELLE NE CONNAÎT PAS DE LIMITE : voyez l’épisode du Covid 19 et ses chiffres, voyez la fameuse « croissance » : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ou digitalisé, artificiel multiplié à l’infini. C’est le paradoxe qui fait naître simultanément l’atomisation et l’uniformité d’usine du social en conventionnel…

ICI ET MAINTENANT : on DONNE une plus importante quantité de nourriture à un couple qui a 4 enfants qu’à un couple qui n’en a qu’un seul : c’est le direct ou le MAÂT, le EST. De nos jours de « pouvoir d’achat » et de la guerre de tous contre tous un couple avec un enfant peut s’empiffrer comme s’il avait 15 mômes ! C’est aussi cela LE ICI ET MAINTENANT FLÉAU/ABSENCE DE FLÉAU ou le ÊTRE/NON-ÊTRE.

Dans l’Ici et Maintenant la plus petiote chouse de philosophie est inutile, puisque le mot philosophie, de philo l’élève et sophia la sagesse, la science, devient inutile : « les gurus détruisent les disciples, et les disciples détruisent les gurus », déclarait Jiddu Krisnamurti… (Guru à comprendre plutôt comme Adepte, car le mot guru est désormais vulgarisé et même sert à commercer, à faire du fric).
Pour synthétiser : « Un balayeur immoral est plus élevé et plus excusable qu’un empereur immoral », car le pauvre balayeur peut n’avoir jamais eu la possibilité d’apprendre la moralité, on peut lui avoir enseigné dès l’enfance à voler pour survivre », dit avec justesse Radha Burnier, dans The Theosophist de février 2004.
« Celui qui est vainqueur du ‘moi’ (ego) est plus grand que celui qui gagne de nombreuses batailles. L’Adepte a vaincu le ‘moi’ : le disciple doit s’engager dans le même travail », ce qui effectivement annule tout philosophisme : la Félicité, la Sagesse RE-trouvé re-devient naturelle : IL Y A BIEN PERTE DE LA PHILOSOPHIE ; ET DU MÊME COUP CELA ANNULE LA SCIENCE, LE POLITISME ET L’ÉTAT ET SON GOUVERNEMENT, L’ART (qui est de nos jours une spécialité commerciale), CELA ANNULE LES RELIGIONS, toutes ces divisions sclérosantes amplificatrices de l’ego, et bien-sûr cela annule le système du salariat et le travail EN TANT QUE TEL (état de souffrance, de sueur, de dureté, de sclérose, de violence, de compétition et de guerres).
TRAVAIL = SOUFFRANCE PARCE QUE DIVISION, SÉPARATION, SPÉCIALISATION DONC TEMPORALISATION : L’ÊTRE HUMAIN ÉTANT DANS L’ICI ET MAINTENANT : IL PEUT PLANTER DES POIREAUX À 10 h, JOUER DE LA CORNEMUSE À 11 h, IL PEUT PROMENER SON CHIEN À 15 h. etc. TOUT RESTE DANS L’ICI ET MAINTENANT, IL N’EXISTE PLUS DE SPÉCIALISTE NI DE COAGULATION NI DE ”DIVISION DU TRAVAIL”.

COVID 19 = SPÉCIALISTES (les blouses blanches et autres cancéreux du pouvoir) qui décident du confinement.

PARALLÈLE AVEC L’INCA ET SON PEUPLE : l’Inca peut se comparer à l’équivalent d’une COOPÉRATIVE, IL EST LA COOPÉRATIVE : communauté associative ayant pour objet les services les meilleurs pour ses membres, c’est la fonction qu’assurait l’Inca, évidemment de manière autocratique absolu privant son peuple des mondres libertés élémentaires comme de changer de vêtement ou de trouver un logement, ou une épouse…

Système politique des Incas : pur système socialiste ou communiste (au sens communautaire et non dans le sens du capitalisme d’État du communisme ou socialisme de l’URSS et de l’actuelle Chine) : un gouvernement patriarcal, MAIS SANS ARGENT.
Le peuple vis-a-vis du souverain était vu comme un DON, et non comme un droit. Le peuple renonçait à tout droit personnel, la nation, l’État était soumis à l’Inca. « Sous ce régime extraordinaire, un peuple raffiné à beaucoup d’égards, chez qui l’industrie et l’agriculture avaient fait, comme on l’a vu, de grands progrès, ne connaissaient pas la monnaie. Il n’avait rien qui méritât le nom de propriété. Il ne pouvait exercer aucun métier, se livrer à aucun travail, à aucun amusement, autres que ceux que la loi avait spécialement réglés. Les Péruviens ne pouvaient changer de résidence ou d’habits qu’avec la permission du gouvernement. Ils ne jouissaient pas même de liberté qui appartient aux plus misérables dans les autres pays, celle de choisir leurs femmes. L’esprit impératif du despotisme ne leur permettait pas d’être heureux ou malheureux, autrement qu’il n’était réglé par la loi. Le pouvoir d’agir librement - droit inestimable et inné de tout être humain - était annulé au Pérou.
Le mécanisme étonnant du gouvernement péruvien pouvait résulter uniquement du concours de l’autorité morale et de la puissance positive dans la personne du chef de l’État, porté à un degré sans exemple dans l’histoire de l’homme. Cependant une forte preuve de sa conduite généralement sage et modérée, c’est qu’il ait pu si heureusement fonctionner, et durer si longtemps contrairement aux goûts, aux préjugés et aux principes de notre nature », écrit William H. Prescott dans : Aztèques et Incas - Grandeur et décadence de deux empires fabuleux.

« Le gouvernement du Pérou était un despotisme, d’un caractère doux, mais absolu et non tempéré dans sa forme. Le souverain était placé à une hauteur infinie au-dessus de ses sujets. Le plus fier seigneur, malgré l’identité d’origine, ne pouvait paraître en sa présence que les pieds nus et les épaules chargées d’un léger fardeau en signe d’hommage. Comme représentant du Soleil, il était à la tête du sacerdoce et présidait aux solennités religieuses les plus importantes. Il levait des armées, et d’ordinaire les commandait en personne. Il établissait les taxes, faisait les lois, et en confiait l’exécution à des juges de son choix, qu’il révoquait à son gré. Il était la source commune d’où émanaient les dignités, le pouvoir, les traitements. En un mot, selon l’expression bien connue d’un despote européen, il était lui-même l’État », écrit Prescott au chapitre : La conquête du Pérou.

Prescott ajoute, que le gouvernement est fait pour l’homme, tandis qu’au Pérou, l’homme ne semblait fait que pour le gouvernement [COMME À CE HUI OÙ LE FRANÇAIS, OU L’AMÉRICAIN, OU D’UNE AUTRE NATION EST FAIT POUR L’ÉTAT OU NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LA CITY DE LONDRES ET SES BANQUES]. Prescott ajoute cette remarque fondamentale : « Le Nouveau Monde est le théâtre sur lequel ces deux systèmes politiques, de nature si opposée, ont été mis en pratique. L’empire des Incas a passé et n’a pas laissé de traces. L’autre grande expérience dure encore [la notre], expérience qui doit résoudre le problème si longtemps discuté dans l’Ancien Monde de l’aptitude de l’homme à se gouverner lui-même. Malheur à l’humanité, si elle doit échouer ». Parce que l’être humain naturellement n’a pas le besoin d’un État, donc d’un gouvernement.
Merci beaucoup Monsieur William H. Prescott.

Le système communautaire des Incas dégagé de son despotisme absolu et de son principe étatique flagrant laisse entrevoir la prochaine communauté humaine accédant enfin à retrouver SA Liberté naturelle ; c’est pour cela et par intuition que je remet souvent en refrain ces extraits de William H. Prescott, malgré l’illusion d’un manque total de liberté pour le peuple, car l’INCA peut symboliser la COOPÉRATIVE-COOPÉRATION, c’est-à-dire le Soi…  Le Soi-Inca sera tout sauf la « gestion » de son peuple…. Car croulant sous nos technologies et craignant la mort comme jamais (depuis le Covid 19), presque personne ne sait ce que veut dire le mot « LIBÉRATION » ! Ramana Maharshi à l’entretien 38 dit que le chemin sur lequel on est déjà engagé est la libération, ce qui rejoint cité plus haut le : « À 10h je plante des poireaux, à 11h je promène mon chien, etc. »
LIBÉRATION = CE QUI EST MAÂT (direct, Ici et Maintenant).

« LA LIBÉRATION [moksha] CONSISTE À SAVOIR QUE VOUS N’ÊTES JAMAIS NÉ »
. ”RESTE TRANQUILLE ET SACHE QUE JE SUIS DIEU”. Rester tranquille veut dire ne pas penser. Ce qu’il faut, c’est SAVOIR et non pas penser ». (Ramana Maharshi, entretien 131 du 6-1-1936). Dans l’entretien 139 du 19-1-1936 le Maharshi dit que la vraie naissance est la naissance de l’ego. « Quant à la Libération, il n’y a rien de nouveau à gagner. Elle est l’état originel qui demeure toujours inchangé ». État originel que j’appelle ÂGE D’OR.


FLÉAU, PERTE = ne pas ré-utiliser la merde capitalo-républicaine des tôles-boulons-acier-béton-verre des villes : DANS LA PERTE TOUT SERA À RÉ-INVENTER, d’où aussi le sens du mot Fléau…. Car le tout confort zombifiant va inévitablement sauter…..
FLÉAU, PERTE = pas de valeur, pas de gestion puisque pas de travail, pas de comparaison, pas d’échange, pas de monnaie ni de nomadisme de produits, par de recherche de ceci et de cela de rentabilité et de rendement.
 
Bien-sûr qu’une judéo maçonnerie spéculative comme le Grand Orient de France ne peuvent que magouiller POUR RECRUTER DES FRÈRES QUI VONT FAIRE MOUSSER LEUR POUR-VOIR. Déjà sous Cromwell la judéo-maçonnerie adonhiramite était totalement politisée dans le seul but étatique de recruter ses adeptes dans toutes les professions, comparable avec les RÉSEAUX informatiques aussi virulent que le Covid 19 grâce à la technologie ! Ces gens là ne font pas dans la perte mais dans le plein, le profit, la quantité, l’évolutionnisme, DANS LE POUVOIR POSSESSION, DANS L’EGO…. (Voir les Mélanchon, les Bauer, etc.). POUVOIR = ADDITION, ÉVOLUTION, POSSESSION DE LA VÉRITÉ, CONFORT ET SE REPOSER SUR SES LAURIERS-VÉRITÉS. Ces judéo-maçons spéculatifs sont des Élohim connaissant le « bien » et le « mal », soit une PHILOSOPHIE DES VALEURS COMME L’INFERNALE DUALITÉ WINNERS-LOSERS. EN FLÉAU OU PERTE LE MOT VALEUR N’EXISTE PAS, COMME N’EXISTE PAS SON CONTRAIRE.

Le régime pense déjà à l’après Covid 19 avec ses spécialistes « médecins politiques », or comme nous savons si peu nôtre corps et encore moins nôtre Soi, que nous avons recours à des spécialistes quand ça ne tourne pas rond, et le spécialiste ne sait pas lui-même. CES SPÉCIALISTES SONT DES PURS PRAGMATIQUES DANS LE FAIRE/FER DE CE QU’ILS APPELLENT « RÉALITÉ », pour que redémarre leur cher capitalisme, leur cher Marché. C’est donc CAUTÈRE SUR JAMBE DE BOIS….

FLÉAU, PERTE, CENTRIPÈTE, FÉLICITÉ CHEZ JEAN DE LA CROIX : LA LUMIÈRE DU RIEN DU TOUT.
« C’est parce qu’il ne goûte rien [le mental purifié] et ne comprend rien en particulier, ou demeure dans le dénûment, l’obscurité et les ténèbres, qu’il est bien disposé à tout pénétrer ; de la sorte se vérifie en lui ce mot de Saint Paul : « Nihil habentes et omnia possidentes » (Nous n’avons, rien et nous possédons tout (2) ». Telle est la béatitude qui est réservée à une telle pauvreté du mental ». (Jean de la Croix : La nuit obscure, chapitre IV (8)).
Et au chapitre V (9) : « Il faut donc que l’âme soit dans le dépouillement absolu et la pauvreté du mental, purifié de toute attache, de toute consolation et de toute perception naturelle des choses divines et humaines. Une fois que le mental est ainsi dénué de tout il est vraiment pauvre d’esprit et dépouillé du vieil homme ; le mental peut vivre de cette nouvelle et bienheureuse vie qui lui a procuré la nuit obscure ; c’est alors l’état de l’union à Dieu [ou au Soi].
De plus, l’âme doit arriver à un sentiment et à une connaissance divine très étendus et très savoureux de toutes les choses divines et humaines ; ce ne sera donc pas un sentiment vulgaire, ni une connaissance naturelle, car autant la lumière et la grâce de l’Esprit-Saint sont élevée au-dessus des sens et le divin au-dessus de l’humain, autant son mode de considérer est supérieur à ce qu’il était précédemment. Voilà pourquoi le mental doit se purifier et se dégager des moyens naturels et vulgaires de comprendre [ces moyens étant la « raison » et la purification est la contemplation] ».


Notes.
1. Shakti : énergie, Mère Divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva (Être absolu ou Conscience). La shakti se re-trouve lorsque le mental ne vagabonde plus et est libéré des pensées : « Le mental sattvique [libéré, pur] se résorbe dans le Courant de la Vie [la shakti manifestée] », R. Maharshi, entretien 91.

2. 2 Corinthiens, 6, 10 : « Pour tristes, nous qui sommes toujours joyeux ; pour pauvres, nous qui faisons tant de riches : pour gens qui n’ont rien, nous qui possédons tout ».Les losers n’ont rien, les Païens ou les Gilets Jaunes n’ont rien et auront bientôt TOUT.
 
 

Dernière mise à jour : 09-04-2020 01:09

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