Grand Merci pour le MARCHÉ-VIRAL du Co-VID 19
qui nous tient par ses griffes en se
transformant en négatif ou soumission :
être à la MERCI des griffes de la grippe
afin que les êtres prennent enfin
le monde en grippe et s’exercent à la
sagesse : Ça je estre (Je suis ce JE SUIS)
et accomplisse la V(o)ie de l’Éveil.
Et sur la septième colline la Déesse de
la Nuit au nom d’Arbre en Fleurs en
compagnie des griffes de la Grippe seront
autant de Bienveillance et de
compassion incommensurables !
La Sagesse de
Ça je estre, dans le Jardin de la concentration naturelle au Pays du Rien du Tout où il n’y a rien à Faire/Fer, se dresse la Demeure de la Sagesse de la Lumière éternelle que bordent les tours ornées de la Contemplation lumineuse.
La septième Colline est comparable au Scarabée qui se fabrique une perle d’eau de rosée ou de bouse d’où émergera la vie, grâce au Retournement de la Lumière ou grande Concentration. Si la vie peut émerger d’une perle de rosée ou de bouse, pourquoi ne serait-il pas possible de produire un corps en concentrant la pensée sur
« l’endroit » où demeure le Soi quand l’embryon en enfançon a quitté la matrice ?
« Quand la véritable nature de la conscience unifiée tombe dans la chambre du Principe créatif, elle se divise en deux : l’âme inférieure et l’âme supérieur. L’âme supérieur se trouve dans l’Esprit céleste : c’est le
Yang, l’énergie lumineuse et claire qui provient de l’espace cosmique et qui a la même forme que l’origine première. L’âme inférieure est le
Yin, l’énergie dense et opaque qui s’attache au mental ordinaire qui a une forme.
L’âme supérieur aime la vie, l’âme inférieure regarde vers la mort [l’âme inférieure omniprésente en nôtre époque actuelle]. Toute concupiscence [désir, appétit de possession] affectant le tempérament est le fait de l’âme inférieure. Voilà ce qu’est la conscience. Après la mort, elle se nourrit de sang ; dans la vie, elle souffre beaucoup [les griffes…] Les ténèbres retournent aux ténèbres en une sorte de retrouvailles des semblables.
Si les adeptes raffinent complètement la sombre âme inférieure, icelle sera pure lumière ».
(
Le Secret de la Fleur d’Or, II, 17-20, traduction : Thomas Cleary).
GRIFFE : ATTRAPER (la grippe ou un rhume) COMME LE PÊCHEUR ATTRAPE LE POISSON. (A-trappe : privation de trappe ou privation de piège) ; attraper ou piéger par sur-prise ; mais TEL EST PRIS QUI CROYANT PRENDRE, OU QUI CROYAIT A-PRENDRE : D’OÙ ATTRAPER (et se faire a-voir : privation de voir...).
APPRENDRE : les connaissances acquises, genre inconscient collectif et Big Data, n’entraînent pas la Connaissance infinie, car tel est bien pris ou attrapé, en grippe, qui croyant apprendre ou posséder cette Connaissance surtout si c’est en tout confort du genre Zombi :
« par cœur », donc totalement lié au mental et à sa « raison » et aux HABITUDES-CONVENTIONS.
Seul celui qui ne cherche plus à prendre ne sera pas grippé ou griffé c’est-à-dire qu’il ne sera plus dans la dualité temporel du choix entre pur et impur ou entre bon et mauvais, car con-naître veut dire naître avec, dans l’Instant, mettant fin à la dualité connaissant-connaissance ou sujet-objet.
Dualité où se construisent en évolutionnisme constant des ATTRAPE-COUILLONS.
Les GRIFFES typiques sont les pensées, parce qu’il est quasi impossible de rester sans penser. Comme il est quasi impossible de rester sans respirer tant nous sommes conditionné à cela depuis des milliers de générations maintenant. Mais, comme en Homéopathie, il n’y a rien de mieux que le Centripète, la Nuit obscure de Saint Jean de la Croix ou l’Apocalypse, le Fléau ou Putréfaction pour transformer le mal en remède, à savoir laisser le mental et le souffle reposer l’un sur l’autre. « Voilà pourquoi l’accordage du souffle fait doit faire partie intégrante du Retournement de la Lumière », dit
Le Secret de la Fleur d’Or.
« Si le mental a tendance à courir en tous sens [ce qui est le principe du vagabondage du mental], unifiez-le par le truchement du souffle. Et si le souffle devient grossier, servez-vous du mental pour l’affiner. Si vous procédez ainsi, comment le mental pourrait-il ne pas se stabiliser ? » (
Secret de la Fleur d’Or IV, 15).
Aux chapitres 16-18 : « Pour soigner les deux maux que sont la torpeur et la distraction, il suffit d’appliquer une méthode qui restaure le calme et de la pratiquer sans cesse jour après jour, jusqu’à ce que l’arrêt et le repos complet se produisent spontanément. Tant que l’on ne goûte pas le calme dans sa méditation, il arrive qu’on soit distrait sans s’en rende compte. Mais une fois qu’on s’en rend compte, la distraction même devient un mécanisme d’élimination de la distraction.
Quant à la torpeur, il y a un abîme entre celle dont on est conscient et celle dont on ne se rend pas compte. La torpeur inconsciente est la véritable torpeur [les griffes], tandis que celle que l’on remarque n’est pas entièrement inattentive : Une claire lumière y est présente.
La distraction veut dire que le mental court à toute allure, torpeur signifie qu’il manque de clarté. Si la distraction se guérit facilement, il est difficile de remédier à la torpeur. Poursuivant la métaphore de la maladie [la prise en griffes ou en grippe], on peut traiter un mal caractérisé par une douleur ou une démangeaison, mais la torpeur est un symptôme de paralysie, qui s’accompagne d’une absence de sensation ».
Et en IV, 20-22 : « La torpeur est signe que l’âme inférieure commande, alors que dans la distraction, elle n’est présente qu’en arrière-plan. La torpeur est sous l’empire de l’obscurité et de la négativité pures [donc à distinguer de la Nuit obscure et de Putréfaction].
Si vous êtes assis tranquillement en méditation et que vous vous engourdissez, c’est que la torpeur vous gagne [elle vous griffe]. Or, pour repousser la torpeur, il suffit simplement d’accorder le souffle. Dans ce cas-là, le « souffle » est la respiration et non le « véritable souffle », bien qu’icelui soit malgré tout présent.
Quand vous vous asseyez en méditation, calmez votre mental et unifiez votre énergie. Comment calmer le mental ? Le mécanisme se trouve dans la respiration, mais seul le mental doit savoir que vous inspirez et expirez : ne le laissez pas entendre à vos oreilles. Si vous n’entendez pas le souffle, c’est qu’il est bon et, quand il est bon, le mental est clair. Si vous l’entendez, c’est que le souffle est grossier, ce qui veut dire que le mental est embrumé. Cette brume étant signe de torpeur, il est naturel d’avoir sommeil. Mais il faut malgré tout garder le mental concentré sur la respiration ».
En IV, 28 : « Lorsque vous sombrez dans la torpeur et que vous vous engourdissez, levez-vous et marchez un peu. Puis, quand le mental s’est éclairci, rasseyez-vous. Le mieux est de passer un moment en méditation tôt le matin, quand on a quelque loisir. L’après-midi, on a beaucoup à faire et il est facile de tomber dans la torpeur. Pas besoin de fixer la durée de la méditation : l’essentiel est de délaisser toute autre occupation et de rester tranquillement assis un moment. Un jour, vous réussirez à vous absorber sans tomber dans la torpeur ni vous assoupir ».
Référence au CHAN (ZEN) OU
DHYANA (en sanskrit) : méditation, contemplation :
Qu’est-ce que la Méditation ou
Dhyana ? (entretien 52 du 9-6-1935).
-
Maharshi : Le terme
dhyana, dans son sens habituel signifie méditation sur un objet quelconque, alors que le terme
nididhyasana est utilisé pour désigner la recherche su Soi. Les triades
(1) persistent jusqu’à la Réalisation du Soi. Pour le débutant
dhyana et
nididhyasana sont semblables, parce que tous deux impliquent la triade et sont synonyme de
bhakti [dévotion].
- Question : Comment pratiquer le
dhyana ?
- Maharshi : Le
dyhana sert à concentrer le mental. L’idée prédominante écarte toutes les autres. Le
dhyana varie selon les individus. Ce peut être une concentration sur un aspect de Dieu, sur un mantra ou sur le Soi, etc.
Note.
1. Trinité ou
Tripûti : le Sujet, l’Objet et la Relation entre les deux, le Connaisseur, le Connu, la Connaissance, etc.