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Karma, produire, faire/fer Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-05-2020 22:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Déconfinement, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Karma, produire, faire/fer
COMME L’OPINION SE FABRIQUE COMME UNE VOITURE.
Il y a une cause, un effet-croissance et mort.
Tout ce qui a une naissance a une mort :
Parce que le karma (la baisse du taux de profit
chez Marx) produit, comme en démocratie construite
sur la possession ou l’ego, construite sur
l’opinion (1), engendre nécessairement des conflits,
qui seront à un moment donné, incapable de
contrebalancer les tendances qui permettent
aux causes de se purifier pour renaître
à un état de conflits purifiés mais toujours
en conflits, et cela par cycles d’épuisements
successifs comme une photocopie de photocopie
de photocopie qui se dégradera de plus en plus
à chaque copie dans la photocopieuse.
 
La digitalisation informatique qui copie sans
limite sans perdre la qualité de l’original ne
résoudra rien puisque ce sont les humains qui
la fabrique et une copie sera toujours
une copie de copie de copie puisqu’on peut
diviser sans fin un corps indifférencié,
copié en grand nombre, sans distinction…
Paradoxe de la croissance simultanée de
l’atomisation et de l’uniformité…
et de la platitude technologique et
mercantile et d’opinion !

Le capitalisme et sa démocratie toujours en
conflits sera par nature auto-invalidante,
il mourra.

Vous, votards, vous croyez que par le
« président de la république » vous pouvez
en appeler pour vous « et vos proches »
comme dit le mercantilisme « votre santé,
votre député, votre voyante… »
à la Paix,
au Soi ou à Dieu, à la Liberté, à l’UN ?
Ba non ! Vous êtes en laïcité et
dans la quantité !
Et même avec un roi « très chrétien »,
depuis Clovis jusqu’à 1789 vous ne pouviez
qu’en appeler à cette Église de Rome en pensée
unique : politique et moralisante, qui
n’encourageait certainement pas l’élévation vers
la Vraie Liberté mais seulement vers
 l’amplification d’une croyance
en un monde meilleur, à la « fin des temps »,
donc au paradis, ou en enfer selon le principe
d’un pouvoir devant maintenir l’ordre social
par la peur et par la carotte !
Ce qui ne pouvait que produire 1789 et
sa laïcité et sa démocratie et triomphe de
l’opinion qui fout le chaos partout…. et de ce fait
qui engendre des lois de plus en plus liberticides.


Plus personne ne dirige le capitalisme, IL EST L’ÉGRÉGORE DEVENU COMPLÈTEMENT AUTONOME ; tuer Bill Gates ou Soros ou un Rothschild-Rockefeller ne servirait à rien et même amplifierait le pourvoir de l’égrégore capital. LE PRINCIPE DU KARMA S’EST EMPARÉ DU CAPITALISME, IL EST « L’AUTRE FACE DE DIEU » comme l’a très justement vu Jacques Attali en page 693 de son livre : Les Juifs, le monde et l’argent. Rien que pour cette charité, je lui dit : Merci ! car cette « autre face de Dieu » est devenu l’agent central de tous les fonctionnements informatiques et digitaux et du tout connecté et « tout intelligent ».
Cette « autre face de Dieu » comme l’OUROBOROS SE MANGE LA QUEUE JUSQU’À S’AUTO-DÉVORER. PARCE QUE CONSTRUITE SUR LA VALEUR, LAQUELLE NAÎT UN JOUR ET MEURT UN AUTRE JOUR. Inventer le mot valeur c’est du même coup inventer son contraire, du genre de la dualité être et non-être…

Capital = le principe judéo-maçonnique spéculatif d’un Armand Bédarride qui veut comme en capitalisme faire grossir quelque chose : reconstituer et voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre parce qu’il CROIT que c’est ça la religion (sens de relier ou harmoniser les humains entre eux, donc faire du socialisme, DE LA PLURALITÉ-DIVERSITÉ). C’est la religion des VOYEURS, DES BIG BROTHERS D’UN INFERNAL ŒIL QUI VOIT TOUT GRAVÉ SUR LE BILLET DE UN DOLLAR : LE POUR-VOIR OU POUVOIR : « COMMANDER À LA NATURE », écrivait le 33è degré et judéo-maçon C.W. Leadbeater dans : Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie !

L’autre face de Dieu ou le capitalisme selon Attali suit la théorie de l’évolution qui dit que la matière, et donc l’inanimé, a précédé l’humain et sa conscience : les fossiles végétaux sondés par des machines construites par des humains : mesure au « carbone 14 » le prouvent, mais l’opinion même de « preuve » et la lecture du carbone 14 sont indubitablement des faits de la conscience conceptualisante inhérente au langage et à la raison (éminemment confondue avec la FOI).
RÉSULTAT : ce sont des opinions émises qui prouvent la matière ; la matière sans conscience ne prouve rien. Et si la conscience est un produit de la matière « située sous un crâne », soit disant « le plus haut produit de la matière », la « raison », « LE CAPITAL OU CHEF », rien ne prouve encore l’antériorité et le caractère causal des processus intellectuels que le cerveau manifeste à l’endroit de la plupart des pensées qui sont censées lui obéir, et rien non plus de l’infinie richesse de la pensée par rapport à la lourdeur fixation du cerveau qui, serait la seule cause de l’actuel consommateur….

L’autre face de Dieu (AFDD) tel un dictateur dirige tout comme tout « parti » en religion, en métaphysique ou politique, en science ou en technologie et en économie, tend à imposer ses lois à l’ensemble. C’est pourquoi tout « parti », ou tout « isme » en une variation du Thème dictature.

Le socialisme a formulé une synthèse : une unité de vision qu’est l’être humain ; le visible, la matière donne naissance à tout, le minéral, le végétal, l’animal et l’homme, puis le mental. Est-ce que le catholicisme triomphant en Europe depuis Clovis l’a fait ? NON, l’Église de Théodose 1er jusqu’à 1789 et jusqu’au Vatican 2 en est resté à la dualité infernale matière-esprit, ou laïcité et croyance. Or la dualité c’est la guerre constante comme l’instabilité des deux plateaux de la balance redoutant le Fléau. Le socialisme est une fausse synthèse, une fausse paix ; et l’Église et son Vatican 2 a-t-elle formulée la vraie Paix ? Certainement pas, sinon il n’y avait pas de 1789 ! Bien qu’on s’attende de l’Église enfin la formulation d’une Vraie Paix puisque ses paroissiens s’appellent « catholique » et que ce mot veut dire « universel », c’est-à-dire capable d’unité de vision, comme par un Œil unique, du principe du EST (Je suis ce JE SUIS) et de TOUT EST DANS TOUT (singé par l’œil gravé sur le billet de un dollar). Faute de synthèse depuis près de 2000 ans, l’Église est stérile, et devant le socialisme, et devant l’harmonie entre les humains. Depuis 2000 ans elle n’a jamais offert ni la Gratuité ni l’Amour, elle invite seulement à une politique sentimentale entre la dualité haut-bas ou pur-impur afin de socialiser les gens (voir le dernier sentimentalisme en date avec Notre-Dame-de-Paris et la « cigarette » qui enflamme des poutres aussi dures que de l’acier…). De nos jours le mot « catholique » désigne un particularisme mental et sentimental : les gens sont « d’opinions catholique » selon le principe de la laïcité à la française comme certains sont d’opinion de tel parti politique. Ainsi la laïcité se voulant universelle en libérant la liberté de pensée - et en même temps en la censurant car il est impossible à un gouvernement d’accorder à chacun le droit de ne pas être d’accord - en devient une religion à elle seule : comme le mot « catholique » signifiant universel et désignant une aptitude à intégrer tout l’existant (physique, métaphysique, divin ou être et non-être) en une unique vision mentale, sans heurt.

Dans la dualité pur-impur, bien-mal il y a toujours conflits, comme entre deux systèmes intellectuels, entre deux opinions. Parce que l’œil intellectuel ne se situe pas dans la Dimension absolue, il ne coïncide pas avec ce que la doctrine catholique appelle le « Verbe ». Autrement dit, l’intellect perd son autonomie, il aliène la personne au profit des perceptions du mental et du sensible : au profit du corps ; ce sont les sens dans le temps qui dictent à la conscience conceptualisante de façon linéaire entre un passé et un futur ce qu’elle doit exprimer. Or, ces données sensibles dans l’espace-temps varient d’un instant à l’autre en chaque individu, et ne peuvent jamais être identiques chez deux individus ; cela par la nature même des choses.

Nous l’attendons toujours l’harmonie sur cette planète, et déjà depuis plus de 10.000 ans du Néolithique, parce qu’elle ne peut venir que de chacun de Nous ET JAMAIS PAR DES ÉLECTIONS QUELCONQUES DITES FAUSSEMENT « UNIVERSELLES ». C’EST VOUS TOUS QUI FABRIQUEZ VOS DICTATEURS ET VOS PARTIS POLITIQUES, LESQUELS AURONT TOUJOURS BESOIN DE VOUS COMME CALCULS DE LEURS ACTIONS POLITIQUES : L’OPINION SE FABRIQUE PAR LES MASSES, COMME LA CROYANCE. OR TOUTE CROYANCE A BESOIN D’ÊTRE DÉFENDUE, CE QUI N’EST PAS LE CAS DE LA VÉRITÉ OU CONSCIENCE INFINIE CAR ELLE EST INVULNÉRABLE PAR NATURE.
La mode du social fabrique l’opinion et l’égrégore qui va avec : le psychisme de groupe, qui agglutine les cerveaux en un paquet visqueux, gélatineux, grégaire, comme des paquets d’œufs de crapauds qu’on trouve aux bords des étangs, et il est dangereux d’être têtard qui veut vivre seul en tête à tête avec les lois de sa vie de têtard, sans la protection de ce paquet de gélatine, sans le grégaire sécuritaire. Il y a toujours un goujon ou un gouvernement ou un « isme » pour le bouffer, pour le récupérer. Car plus une opinion est ferme, fixée, dogmée, plus elle tend à s’imposer et à exercer sa dictature sur les cerveaux. Les opinions politiques constituants la démocratie sont ennemies entre elles, par nature, et donc tout État qui se bombarde de « république » (le politisme par essence) et qui prétend admettre la pluralité des opinions (la liberté d’expression) est totalement MENSONGER. En démocratie, de multi ou de mono-opinion, le politisme ne peut être autre chose que l’art d’agiter les masses avant de s’en servir !!!

Dès lors que ce n’est plus le Soi qui découvre un sens à la matière ou corps, c’est la matière ou corps qui confère un sens au Soi ! (Comme si en France c’était la laïcité qui conférait un sens au Soi devenu une croyance fabriquée, la laïcité étant une métaphysique inversée, en creux).
Il est loin le temps où la jeunesse des grands pays industriels étaient écœurée jusqu’à la nausée de cette civilisation qui ne fonctionne qu’entre deux pôles : la production et la consommation ; quand elle se réfugiait dans la mystique hindoue, les hippies et la drogue pour modifier leur état de conscience. Si leur temps est loin, COMME LES GILETS JAUNES, leur flamme n’est jamais éteinte.
Entré dans le monde du virtuel et du faux, l’ouvrier n’a plus besoin de sentir son travail, LA MACHINE ET « L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE » L’EN DISPENSE, d’où la disparition progressive de l’artisan et du sens du mot Ouvrier, celui qui œuvre ou ouvre. Désormais, c’est rapide, productiviste et bien fait, mais effectivement la technologie a tué l’ouvrier qui n’a plus besoin de sentir son travail, il n’est plus MAÂT (direct), il n’est qu’un salarié comme un employé de bureau ou un « soignant » modèle covid 19. L’efficacité et le rendement dans la manifestation de la science dans la technologie a tué le travail en tant qu’Œuvre, acte artistique dans tous les sens du terme. La réaction sera le formidable développement du business des commerces de bricolages.
Cette cassure entre la Science (Connaissance) et son incarnation dans la technique (acte technique comme le tour de main) devenue machine, est analogue au divorce des choses d’en Haut avec les choses d’en Bas. Chez l’authentique Ouvrier, s’il existe encore à ce hui, ce divorce ne se fait pas : il n’y a pas de division entre le Soi et la matière ; l’empêchement de ce divorce ne peut que se trouver chez les Compagnons du Devoir.
Tous ceux qui, en toutes professions, y compris les « artistes », qui se construisent leur salariat sur les drames sociaux sont des escrocs.

ÉLECTIONS EN SYSTÈME DU POLITISME RÉPUBLICAIN = KARMA : ET COMME L’ÉTAT RÉPUBLICAIN, IL N’Y A PAS DE KARMA SANS UN KARMISTE (l’auteur, la cause, l'électeur). EN CHERCHANT L’AUTEUR OU LA CAUSE, ICELLE DISPARAÎT. OÙ EST ALORS LE KARMA, OÙ EST L’ÉLECTEUR ET SA RÉPUBLIQUE ET SA VALEUR ET SA DÉMOCRATIE ????
LE KARMA À QUI OU LE CORPS DE QUI ??
« Plus vous vous efforcez de rectifier votre karma [en politisme et économie : les réformes et les nouveaux packaging politico-économiques] et plus il s’accumule [plus les problèmes s’amplifient]. Trouvez la racine du karma et coupez-là » (Ramana Maharshi, entretien 488 du 3-5-1938).


L’AUTRE FACE DE DIEU N’EN FLAMBOIE PAS MOINS COMME LE SOI
EN UN BRASIER DE FIN DES TEMPS
DE CETTE LUEUR ROUGE VIF D’UNE BRAISE
QUI VA S’ÉTEINDRE CONSUMANT L’UNIVERS
DE L’INEXISTENCE DE L’EGO ET DE TOUS LES DÉFAUTS INHÉRENTS
AU MONDE DES ACCIDENTS
(ceux qui composent et engendrent le spatio-temporel).


Note.
1. La démocratie actuelle est construite sur la laïcité, sur l’OPINION, la liberté de croire et même le fait de ne pas croire est aussi une croyance, la démocratie est donc construite sur le culte de l’opinion faisant un grégarisme d’individus isolés marchant cahin-caha prisonnier de leur dualité en conflit permanent et donc en frustration permanente. Car l’opinion est une construction mentale qui s’élabore dans le spatio-temporel en évolution perpétuelle en fonction des circonstances dans l’HOTC (Histoire-Opinons-Temps qui coule) et en des états des choses matérielles et sociales que chaque individu trouve à son entrée dans la vie, toujours particulier à un seul individu qui le sent et le pense selon les colorations de sentiments et de pensée qui lui sont propres, comme par prédestination mais pouvant être étouffées ou exaltées par un dressage sentimental et intellectuel qu’on appelle éducation.

[En haut de page : Aquarelle de Michel Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 31-05-2020 23:26

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