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Plaider la cause du monde n’est pas être COUR Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-06-2020 00:13

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Déconfinement, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Plaider la cause du monde n’est pas être COUR
Grégarisme ou adhésion forme le monde et son temps.
PLAIDER LA CAUSE DU MONDE PRODUIT
L’ÉTAT, SON ARMÉE, SES JUGES ET SA POLICE,
UNE TRINITÉ DE POLITISME QUI TUE.

Ainsi, si tu rencontres le Messie, tue-le !
(Nul être n’est le Buddha ou le Messie).
SI TU RENCONTRES UN POUVOIR LIÉ À L’EGO,
À UN GROUPE D’EGO, UN FAIRE/FER OU SENTIMENT
S’ÊTRE CELUI QUI AGIT, TUE-LE !
TOUT POUVOIR EST UN ÉTEIGNOIR DE LA CHANDELLE
LA CHANDELLE QUI EST LA CONSCIENCE INFINIE.

En ces temps de covid 19 artificiel et autre
inquisitoriale ingénierie sociale il est
vital de l’avoir en mémoire.
 
COUR = LE DÉTACHEMENT : découvrir ou apocalypser
que les choses se détachent de soi (cessation du
grégaire du social si collant comme la cessation
de désir pour les objets vu et entendus).
Les zombis pensent obtenir le bonheur par le
social, donc par le contact avec quelque chose
qui N’EST PAS COUR MAIS DISTANT.
« Tant qu’il vous faut un objet [ou une personne]
au dehors [pour être heureux] l’incomplétude
[la frustration et les conflits] se fait ressentir.
Quand on ressent que seul le Soi est présent,
le bonheur permanent demeure » (R. Maharshi)

COUR = SILENCE : pas une absence de son, physique
ou mental, c’est le Centre de l’Être silencieux et
immobile que rien n’affecte jamais (il n’y a plus l’ego),
rien ne peut jamais le vaincre.

ÊTRE = COUR, SANS POURQUOI,
SANS RÉFÉRENCE (qui donne nécessairement
naissance au temps qui coule et aux f(r)ictions)

ÊTRE COUR = ART (authentique, libéré du commerce)

ART = LA MEILLEURE FAÇON DE SERVIR LE MONDE
EST DE RE-TROUVER L’ÉTAT SANS EGO (R. Maharshi)
La Réalisation du Soi est la meilleure aide
que l’on puisse apporter à l’humanité (R. Maharshi)

Un Saint ne devrait-il pas « faire société » avec
les autres ?
« Il n’existe pas d’autres auxquels se mêler.
Le Soi est la seule et unique Réalité »
(R. Maharshi).

COUR = Ne pas perdre de vu le Soi, sans cela
le cour se transforme en LONG : les activités et
faire/fer du monde, du corps et du mental.


« En admettant l’existence du monde, je dois admettre quelqu’un qui le voit [comme celui qui « voit » le temps passer] et qui n’est autre que moi-même. Laissez-moi trouver ”moi-même” de manière à ce que je connaisse la relation entre le monde et celui qui le voit. Mais quand je cherche le Soi et demeure comme le Soi, il n’y a plus de monde à voir. Quelle est alors la Réalité ? Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde [créé par l’opinion ou le conventionnel, ou l’inconscient collectif].
Ceci étant la vérité, l’homme n’en continu pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. QUI DONC LUI A DEMANDÉ DE PLAIDER LA CAUSE DU MONDE ? [C’est moi qui souligne et ici il y a une bonne définition du mot ”politique”] ». (R. Maharshi, entretien 442 du 8-1- 1938).
Le Maharshi ajoute : « Le Yoga Vasistha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’ÊTRE [ce que je défini comme ”COUR”, ou ”Vallée”, ”Vase”, sans dimension ou Dimension absolue] ».

À l’entretien 444, même date : « Le monde est perçu par le mental à travers les sens. Il relève donc du mental. Celui qui voit voit le mental et les sens comme étant le Soi et non pas séparés de lui. Celui qui agit, en restant non affecté par l’action, se purifie de plus en plus jusqu’à ce qu’il réalise le Soi ».

Ne pas être COUR c’est croire que l’extinction des cinq sens et de la conscience conceptualisante engendre la production de la croyance de ceux qui croient et qui inventent le concept « éternité » ; les Juifs-Google sont dans ce cas de la croyance

COUR :
- Pourriez-vous nous expliquer pourquoi
Le monde est libre de cause,
De qualités et de substance, autant
De réalités imaginaires « dans » l’Esprit-Seulement [le Soi] ?
- Non reconnues comme ses perceptions,
Les apparences créées
Par le mental dans toute leur variété
Sont perçues comme lui étant extérieures.
Stance 103, Soûtra de l’Entrée à Lankâ).


LE COUR DANS L’ALPHABET ARAPACANA.
Les 42 Portes ou Stargates.


a, ra, pa, ca, na, la, da, ba, da (point sous le d), sa (point sous le s),
va, ta, ya, sta (point sous le s et le t), ka, ma, ga tha, ja,
sva, dha, sa (virgule sur le s), kha, ksa (point sous le s), sta, jna (virgule sur le n), rtha, (ha, pha, ita), bha, cha,
sma, hva, tsa (sta), gha, tha (point sous le t), na (point sous le n), pha, ska, ysa, sca (virgule sur le s), ta (point sous le t), dha (point sous le d et sta).


1 - La lettre A me donne accès à la Connaissance transcendante par la Porte de la non-différentiation des objets. La lettre A en sanskrit comme dans nombre de langues « indo-européennes », en préfixe indique le négatif par excellence, comme A-mour : privation de mort ; A-phone : privation de voix ; A-mi : privation de moitié. La non-différentiation correspond au sanskrit neti neti : ni ceci, ni cela ; méthode d’élimination exhaustive de l’illusion : « Maintenant, vous identifiez à tort le Soi avec le corps, les sens, etc. [donc tout ce qui conditionne]. Puis vous procédez à leur rejet et cela est neti. Mais cous ne pouvez le faire qu’en vous attachant fermement à ce qui ne peut être rejeté. Et cela est iti [”ainsi” et désigne ici le Soi] seul » (Ramana Maharshi, entretien 366 du 20-2-1937).
La syllabe A rappelle le mot Asambhinna, et le reste de la phrase, qui résume un enseignement précis : « vient tout seul ».

2 - La syllabe RA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la différenciation illimitée. Non-différenciation des phénomènes puisqu’ils sont tous vides ; mais vide ne veut pas dire néant, mais son contraire : LE ZÉRO INDIEN, LES APPARENCES INFINIES. La syllabe RA se rapproche du RÉ le Soleil en hiéroglyphes égyptiens.

3 - La syllabe PA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de l’illumination universelle de la Dimension absolue. PA n’est pas ”synthèse” mais mouvement, car établir une synthèse, fixe, engage le mental dans d’autres poursuites.

4 - La syllabe CA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la Roue qui fait voler en éclats toutes les distinctions. La Roue est ici universelle et une arme qui détruit tout ce qu’elle rencontre et le hache menu ; elle ressemble à un soleil aux rayons acérés. Quant à son universalité, elle garantit l’annihilation de n’importe quel ennemi, microscopique ou humain, quelque soit son nombre, sa force, ses mesures ou ses moyens, etc., elle est comme une clé universelle qui tranche tout et libère tous les êtres.
CA mnémotechnique de CAkra et chedana.

5 - La syllabe NA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de l’obtention du sans-appui et du sans-supérieur (pas de référence à un concept) ; obtention du sans référence ou sans base (1) parce que la référence ou la base ne se trouve nulle part. La sagesse n’a point d’appui et que nulle autre forme de la conscience ou de la connaissance ne pourra jamais dépasser.
NA mnémotechnique aNIlaya.

Ensuite viennent les autres syllabes :
6 - La syllabe LA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de l’absence de souillure de ce qui n’a pas de point d’appui ou pas de référence, ou qui n’a pas de nom-la-forme.
LA mnémotechnique anâLAya.

7 - La syllabe DA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte des expédients irrévocables.

8 - La syllabe BA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de l’Aire Adamantine (Mandala de Diamant).
BA mnémotechnique BAjra (vajra).

9 - La syllabe DA (avec un point sous le D) me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la Roue universelle.

10 - La syllabe SA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte du trésor de l’océan.
SA mnémotechnique SAgara.

11 - La syllabe VA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la création qui prolifère.
VA mnémotechnique VIrûdha-VIthapana.

12 - La syllabe TA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la lumière parfaite. Le sanskrit Jyotis signifie : étoile, lumière.
« Quand vous sortez du sommeil, une lumière apparaît. C’est la lumière du Soi passant par le mahat-tattva [aspect cosmique de l’intellect]. Elle est appelée conscience cosmique. C’est l’arûpa. La lumière tombe sur l’ego et est reflétée de là. Le corps et le monde sont alors perçus. Ce mental est le svarûpa [forme propre]. Les objets apparaissent dans la lumière de cette conscience reflétée. Cette lumière est appelée jyotis » (R. Maharshi, entretien 561 du 15-10-1938).

13 - La syllabe YA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de l’amoncellement des différences.

14 - La syllabe STA (avec un point sous le S et le T) me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la lumière universelle qui apaise les émotions négatives (et dans ce monde il y en a beaucoup en 2020…). Proche du « Rien dans le Tout et tout dans le Rien ».

15 - La syllabe KA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte des nuées de non-différence (sans différences).

16 - La syllabe SA (avec un point sous le S) me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte des grandes pluies qui tout imprègnent. Pluies qui symbolisent les enseignements dispensés que l’on peut entendre si l’on ne craint pas de se mouiller.
SA mnémotechnique pravarSAna.

17 - La syllabe MA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de tous les sommets qui se dressent au-dessus de grands flots tourbillonnants.
MA  mnémotechnique MAhâ.

18 - La syllabe GA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la création universelle (totale).

19 - La syllabe THA (avec un point sous le D) me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la matrice égale de l’Ainsité (quintessence de l’Ainsité non différenciée, ou quintessence indivise de l’Ainsité).
THA mnémotechnique taTHAtâ.

20 - La syllabe JA me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte de la plongée dans la pureté parfaite de l’océan des mondes.
JA mnémotechnique JAgat.

21 - La syllabe SVA (avec un point sous le D) me donne accès à la Connaissance transcendante par la porte des ornements de l’évocation de tous les bouddhas.
SVA mnémotechnique sarVA.


Il ne peut y avoir de fonction mentale en l’absence du sentiment d’individualité. L’individualité et les fonctions mentales sont donc concomitantes. L’une ne peut demeurer sans l’autre. (Ramana Maharshi).
COUR : Le ciel possède la capacité infinie de pénétrer et de contenir toutes choses, sans toutefois entrer en contact avec elles ni être affecté par aucune d’entre elles. De même, quand nous verrons le mental et son activité avec l’Œil du Soi, nous n’en serons pas plus affecté que l’écran ne l’est par les images du film projetées dessus. Le Seul Réel ne se révèle, ne s’apocalypse qu’à la destruction de la conscience conceptualisante et discriminante, celle de l’opinion et du calcul qui tente de connaître, soit de POSSÉDER, DE POUR-VOIR ; toutes notions ou conceptions sont destructeur (Mazu).
« L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (Yoga Vasistha I, 3)
« Cela je le suis, je ne le suis pas, en vérité je suis et je ne suis pas : je suis le Tout, et je ne suis Rien du tout. D’où mon rayonnement » (Yoga Vasistha VI.1, 79 ; L’histoire de Sikhidhvaja et Cudala)


À SUIVRE…

Le covid 19 empêche de respirer ? La police aussi ! Cherchez l’erreur !!! TOUT CE QUI EST POUVOIR LIÉ À L’EGO EST À ÉLIMINER. Ne plus utiliser l’État et ses « ismes » ou institutions et son salariat et ses marchandises.
Tout ce qui est calculé, pensée, conçu par le mental est pouvoir et désolation, mort. MENTAL = EGO = NON PAIX.
PENSÉE = INSANITÉ, VIRUS, PERVERSION.



Note.
1. Sans base, sans référence sécuritaire ou tout confort : « Un jour, un moine dessina devant Mazu quatre traits, le trait supérieur étant plus long que les trois autres traits, et dit : ”Au lieu de dire qu’un trait est long et les autres courts, sans vous appuyer sur les quatre affirmations [tétralemme] et les cents erreurs, je vous prie, Maître, de me répondre”. Alors Mazu traça un trait sur le sol et dit : ”On peut dire qu’il est long ou court. Je t’ai répondu” ».

« Un jour, Mazu ordonna à un jeune moine d’aller porter à l’abbé Qin, du mont Jing, un lettre sur laquelle il avait tracé un cercle. Lorsque le moine de Jingshan le vit, il réclama un pinceau pour ajouter un point au milieu du cercle. Par la suite, un moine relata ces faits au maître impérial Zhong [ou le maître Huichong de Nanyan] qui dit : ”Le maître Qin a été dupé par Mazu” ».

Un dernier entretien : « Un jour, un moine errant du nom de Danyuan revint au monastère de Mazu et traça un cercle devant lui, puis il se tint à l’intérieur du cercle pour saluer Mazu. Ce dernier lui demanda : ”Ne désires-tu pas devenir Buddha ?” Le moine répondit : ”Je ne sais pas comment me ‘frotter les yeux’ [créer l’illusion]” - Mazu : ”Je n’arrive pas à ta hauteur”. Le jeune moine resta sans réponse ».
(Les entretiens de Mazu. Introduction, traduction et note par Catherine Despeux. Mazu Daoyi (709-788) est l’un des grands maîtres chan (Zen) de la dynastie des Tang (618-907).

SE DÉLIVRER DU CALCUL, DU SYLLOGISME ET DE TOUS « ISMES » débouchant facilement vers une « intelligence artificielle » quelconque :
- Dans le genre scolaire : « Dans le Grand Nord, où il y a de la neige, tous les ours sont blancs. Novaya Pepette est dans le Grand Nord et il y a toujours de la neige. De quelle couleur y sont les ours ? », Du niveau de logique scolaire de cours de récréation (avec gestes barrière attention ) : Quelle est la couleur du cheval blanc d’Henri IV ?
Dans le genre entomologiste de l’adulte de 1988 envers un enfant qu’il prend pour un demeuré :
- Qu’est-ce qui a quatre roues et qui vole ? (travail en anglais où réside le fait que flies signifie à la fois vole et mouches)
- Enfant : Aucune réponse.
- C’est un camion poubelle, tu vois, il est entouré de mouches.
- Enfant : Un camion poubelle ne peut pas voler.
- Non, mais les mouches, elles, peuvent voler.
- Enfant : Mais elles n’ont pas de roues.
- C’est vrai. Bon alors, tu ne trouves pas ça drôle ?
- Enfant : Non !
L’enfant n’est pas encore contaminé par la logique calculatrice et utilitaire à la Aristote… ou à la ergoterie tout aussi utilitaire des Grecs Anciens. Ici l’enfant n’est pas encore contaminé par le concept d’interprétation (de re-présentation), qui va lui être programmé au cours des années d’école.
Avec la logique, l’individu commence à prêter plus d’attention à la formulation et plus du tout au direct, au contexte, ou aux indices verbaux de la valeur d’illocution. Dans les cultures de l’écrit, des procédures spéciales se sont développées pour traiter l’information perdue dans l’acte de transcrire, notamment la valeur d’illocution, les intentions de l’auteur vis-a-vis de son public supposé ; l’interprétation s’est « bureaucratisé ».

Au 13è siècle les humanistes commencent à développer systématiquement le concept de sens littéral, qui interdit de plus en plus de lire entre les lignes : la pensée unique s’installe, la numérisation du mental ou la normalisation mondialiste se met en place ; le Nouvel Ordre Mondial entrait dans les cerveaux des riches qui se construisait leur pouvoir. De la même manière s’installait le sens littéral aux dépens du sens spirituel et du merveilleux et donc de l’ambiguïté, car au Moyen-Âge il n’y avait pas de règles pour établir ou « fixer » un texte, il était bien mieux que le cinéma de nos jours, surtout conté par un conteur…
(En référence à David R. Olson : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée).
 
 

Dernière mise à jour : 03-06-2020 00:40

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