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La société fourmilière du régime Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-07-2020 23:26

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Adam, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Blanc, Bombes, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Forêt, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Logique, Matrice, Méditation, Mental, Messianisme, Montagne, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Noir, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Porte, Pouvoir, Privilège, Puce, Race, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sabot, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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La société fourmilière du régime
capitaliste et républicain
arrivée à maturité en 1789 à l’initiative
de la classe bourgeoise ou habitants des bourgs :
les « citoyens », depuis que la liberté de pensée
prenait son envolée à l’époque de la Renaissance
en Occident tout en signant elle-même
son arrêt de mort, car sa démocratie copiée sur
les Anciens Grecs (qui avaient des esclaves)
est construite sur les conflits d’intérêts
liés à l’ego de chacun, du même coup elle se
condamnait à la frustration par ses propres
limitations puisque le ‘je’ se définit alors
par rapport à un ‘toi’, dans la dualité
intérieur-extérieur, et que ce ‘je’ est donc
limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’.
Ainsi une telle démocratie ne peut mener
qu’à une stérilité et à une cacophonie de
la guerre de tous contre tous puisque ce monde
est le prisonnier de la dualité winners-losers.


Cette page est dédiée à Dante Alighieri.
 
 
Actuellement et depuis que l’Étatisme existe et s’est considérablement renforcé, nous avons une infaillibilité papale, un dogme, nommée par certains : « République ». Soit la prétention à l’infaillibilité (nommée « valeur ») de tout ce qui se rattache à cette mode du politisme propre à la démocratie actuelle et à ses partis politiques, lesquels ne sont qu’une singerie de l’infaillibilité de l’Église de Théodose 1er (Édit de Thessalonique). Ce sont des « ismes » ou systèmes logiques clos sur eux-mêmes. Chacun se prétend l’incarnation d’un groupe, d’une classe, d’une vision « juste » et correcte de l’universalité des choses, de l’Unité. Chacun prétend posséder la clé de l’universalité qui est en tout être humain : le Soi ou Conscience infinie, l’Unité. Toutes les idéologies ou opinions politiques sont des masques, des persona - doublés de nos jours de « masques sanitaires » et de « gestes barrière » - pour le besoin d’absolu protecteur, le besoin de religion, au sens de relier les individus. Le gros problème, c’est qu’il ne peut qu’y avoir une seule Universalité, et que la lutte entre les pseudo-universalités est cruelle, impitoyable, meurtrière et sanglante. Les « ismes » ou tyrannie de l’opinion qui s’emparent des foules, sont des aliénations collectives, y compris le catholicisme et les autres religions abrahamistes : le messianisme de la Carotte pour faire avancer l’âne, et de se fait le rendre esclave. La Carotte ou moteur, comme la diversité, devenant une anti-simplicité.
Pourtant, le mot « catholique » devrait bien signifier « universel » (du grec katholikos).
Le régime politique capitaliste et républicain tente depuis près de deux siècles d’accomplir ce catholicisme en une singerie monstrueuse, un « isme » inversée, une « même soupe pour tous ».

Le drame de ce monde du Néolithique après l’invention de la sédentarité engendrant nécessairement l’État et sa trinité de l’ordre se transformant inévitablement en désordre par une « armé-police-justice » pour défendre ses « biens », vient de l’ego, le ‘moi’ encensé par cette société de consommation avec ses : « votre député, votre santé, vous et vos proches, votre assurance, votre boulanger, votre voyante, votre ceci et votre cela ». Sotte ciété à satiété du désordre et du quantitatif ou diversité, car toute chose EST et s’OR-Donne d’elle-même dans le FLÉAU des potentialités (tax-lanx ou talent, plateau de balance) quand il n’y a pas d’interférences humaines (les poids ou gravité…).

Ainsi le ‘moi’ du consommateur ne peut pas être un total ou un univers, car il est doublé en se définissant par rapport à un ‘toi’ (le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu), et qu’il est donc limité par ce qui le différencie de ce ’toi’. Tout comme il ne peut qu’y avoir qu’un seul Dieu car, s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas in-fini. Il en est ainsi de chaque dividu (appelé de nos jours ”individu”) qui par cette actuelle psychose aliénante du social ne peut être un in-fini, un TOUT. (Psychose destructrice du social si bien relevé par Simone Weil : « Le moi et le social sont les deux grands idoles », cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière, chapitre Le social et le divin).
Par contre, le ‘Je’ ou Soi, le mieux défini par le mot « Jehovah » selon Ramana Maharshi, n’est jamais une partiellité à côté d’autres. Le ‘Je’ n’est pas perception d’une collectivité, ni d’une multitude. Il est au-delà des accidents et de la quantité cosmique. Il est essence pure. Il est le mieux définit par le mot « Jehovah » (ou « JE SUIS »), comme l’exprime à plusieurs reprises Ramana Maharshi (1879-1950, un des plus grands Maîtres de l’Inde contemporaine).
En ce « Jehovah » est la non-différenciation du sujet et de l’objet, qui efface l’opposition entre individuel et collectif, base de tous les conflits politiques de la communauté humaine depuis les millénaires du Néolithique.

L’Unité est formée par la triangulation du ‘Je’ (FLÉAU)(1) :

      Je
Moi     Toi

Le ‘Je’ ou Soi, le Christ au sens générique exprimant le Soi. Christ, le ‘Je’ et ses sarments (Moi-Toi - Nous-Vous), constituant ce que beaucoup de Traditions appellent « Eau Primordiale », le sentiment océanique décrit par un des questionneurs auprès de Ramana Maharshi, quand dans cet Ici et Maintenant ou Instant est stabilisé le non-différencié, la non-dualité, la non-pluralité ou non-diversité.

Depuis le berceau, l’être humain ressent à sa façon personnelle le mal d’être un humain, et aussi, parfois, la Félicité de l’être, le « JE SUIS » de « Jéhovah ». Les façons de se sentir bien ou mal dans sa peau, d’être « bien dans des pompes » (dans le courant, dans son jus) dans la dimension de la vie sensible appréhendée par les sens et le mental, donc dans le temps qui coule, sont indéfiniment diverses et non-copiables.
À chacun d’Être : le « Ça je estre » en vieux français : la sagesse. « Meurs et devient », disait Goethe énonçant du même coup le Renoncement ou Putréfaction, l’Apocalypse au sens de Révélation ou Éveil.

C’est une profonde erreur de croire-crédit-crédo-créance que le Soi ou la Conscience infinie peut être uniformisée ici-bas (le Soi est ainsi confondu avec le corps), et c’est pourtant de cette illusion que naît une certaine conception de l’éducation imposée aux êtres humains par le conventionnel en une uniformisation des choses qu’on donne à digérer, à vivre sur la dimension du sensible. On dit qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de football, et de trois pour faire un Empire. Alors dans ces conditions, il suffit de deux êtres humains qui s’estiment de même opinion et qu’icelle soit suffisamment forte pour fabriquer le « réel » : chacun se SAISIE de l’opinion de l’autre comme un ÉCHANGE commercial ; chacun fabrique ainsi un CONTRAT, une CONVENTION…. C’est assez dire la fragilité de ce que la plupart des êtres humains appellent « réel », tel qu’il s’offre à la perception humaine tombée dans la dualité (« Ils connurent qu’ils étaient nus et ils cousirent des feuilles de figuier et se firent des pagnes », dit l’Ancien Testament, Genèse 3, 7. « Ils connurent qu’ils étaient nus » : PREMIER MASQUE, PREMIÈRE PERSONA. De nos jours il y le masque supplémentaire du Covid-19, nous pouvons même y ajouter celui de la vaccination…).

Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait sans masque, on mourrait ».
Pourquoi ? Parce qu’on se trouverait hideux ? Mais plus surement parce qu’on ne trouverait que du VIDE : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936). La « création » est une opinion comme une autre…. Et qui dit naissance un jour dit mort un autre jour…. RIEN N’AURA EU LIEU. CONTRAIREMENT AU MESSIANISME ET À SA « FIN DES TEMPS », LE MONDE NE SOUFFRE PAS DE DEVOIR FINIR, IL EST ÉVEILLÉ DE NE PAS AVOIR ENCORE COMMENCÉ !

Le monde a tout de même commencé, mais SOUS LA CONDUITE DE CERTAINES PERSONNES, VOIR D’UNE SEULE PERSONNE (un créateur ou un démiurge, une causalité). Afin de façonner une société fourmilière : la même soupe pour tous. « C’est pas d’la soupe, c’est du rata. C’est pas d’la merde mais ça viendra », dit la chanson, et à ce hui nous voyons que la merde est là depuis un moment ! Mais nombre de gens aperçoivent maintenant l’illusion. La recherche du social-socialisme actuel et de son uniforme des choses à sentir et à vivre, singeant le Soi, ne peut tendre qu’à l’uniformité ou la robotisation du psychisme des individuels, impossible à atteindre, et dehors la vie spirituelle ; c’est-à-dire dehors ce que tout le monde cherche même profondément inconsciemment : LA SIMPLICITÉ, LA GRATUITÉ ou AMOUR (du A privatif et Mort : privation de Mort).

La qualité, qui est de l’ordre de l’infini, ne peut être engendrée par la quantité ou diversité qui est de nature indéfinie, jamais achevé : on peut diviser sans fin un corps indifférencié, uniformisé, et par là même, cette uniformité singeant l’Unité ne connaît pas de limite, c’est que les politiques étatiques et capitalistes nomment la « croissance », le « progrès ». Alors que la qualité est de nature organique, de nature du Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
« L’UNITÉ EST RÉELLE, LA DIVERSITÉ EST FAUSSE [à ce hui diversité = commerce, échange] » (Ramana Maharshi, entretien 354 du 8-2-1937).
La diversité va conduire à la construction de cette société fourmilière, en une accumulation à l’infini de troupeaux humains, où ne sera toléré aucune liberté individuelle vers la recherche de la Simplicité ou du Silence inhérent à l’Infini spirituel, la qualité, le Zéro Indien ou Eau Primordiale, la force est intérieure et non extérieure : RIEN À SAISIR, RIEN À POSSÉDER : LE VASE, LA VALLÉE : la Vacuité, la Passe dont Yin-hi est le gardien et par où Lao-tseu rejoint le centre spirituel primordial, soit l’Eau Primordiale. La Vallée symbolise le lieu des transformations fécondantes, le Pont du Pontife comme l’Arc-en-Ciel où se joignent la Terre et l’Eau de Rosée et l’Eau du Ciel pour engendrer. VALLÉE-VASE, VAISSEAU-BARQUE : YIN ET YANG. Le Vase de l’Elixir de Vie : ouverture vers le haut comme la Vallée.
Dans le devenir de cette société fourmilière ou socialiste, la liberté n’existera que pour celui qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par les plus de sept milliards de Terriens à la date de 2020. C’est donc la Chute façon Genèse 3, 7 : LA POSSESSION, LA SAISIE.

VASE, EAU PRIMORDIALE : RIEN À SAISIR car l’Eau épouse n’importe quelle forme : le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.

LA SAISIE : LA RACINE DU MAL.
- La saisie des trois mondes (dont le connaisseur, le connu et la connaissance).
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’INTROUVABLE, LE SANS POURQUOI, LE NON-IDENTIFIABLE, LE NOIR.
- INTROUVABLE = LA FIN DU DUALISME.
- DUALITÉ COMPORTANT UN DEDANS ET UN DEHORS OU UN SUJET ET UN OBJET.
- TOUS SONT INTROUVABLES.
Ce qui correspond à l’Apocalypse ou Putréfaction, portant un autre nom tout aussi parlant : le FLÉAU, parce que renvoyant à l’introuvable, au sans caractéristique, ce qui pour l’humain qui cherche sera effectivement un « fléau » lui qui colle des étiquettes et des noms-les-formes partout, à l’exemple souvent donné par Ramana Maharshi du « collier au cou d’une femme », laquelle est angoissée par la non-saisie de son collier : « Une femme portant un collier autour de son cou. ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935 dont il est question ici du mélange ignorance-saisie…).
L’INTROUVABLE : LA FIN DU DEDANS ET DU DEHORS. Dans l’introuvable il n’y a pas de saisie (en référence au Soûtra de la Liberté inconcevable - Les enseignements de Vimalakîrti).
L’INTROUVABLE : PAS DE CONTRAT, PAS DE CONVENTION, DONC PAS DE SOCIAL COLLANT ou PAS D’EXTÉRIEUR.

Le FLÉAU est non seulement le paradoxe de la Réalisation du Soi ou de la Liberté inconcevable, mais encore de : si tout est conscience, y compris les objets extérieurs et donc « le monde », et qu’il n’y a pas de conscience sans objet, alors qu’elle est la vérité du Soi ?
La réponse ne peut se situer que dans la question du « QUI SUIS-JE ? ». Donc dans le FLÉAU : Être et non-être sont égaux, ainsi peut naître le Zéro indien ou « Énergie libre », l’Eau Primordiale et l’infini des Vases-Vallées ; TOUT devient possible ; aucune limite n’existe ; la force ne peut qu’être intérieure, jamais extérieure.
Vase, Vallée et l’Introuvable ou Non-Saisie est merveilleusement exprimée par le principe de l’Éveil : « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil est ainsi).


« Les ennuis ne surgissent que lorsqu’il y a un autre que soi-même. Lorsqu’on réalise que l’atman [le Soi, le soi] est unique, il n’existe plus de second, et il n’y a donc plus de raisons d’avoir peur », dit le Maharshi à l’entretien 58 du 4-7-1935.

Peut-il exister un désastre en dehors du Soi ou Unité ? Et pour qui ?
« Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’Océan infini [Eau Primordiale] ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet Océan ; on l’appelle jiva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate [quand elle s’instante], ne fait que se mêler à l’Océan ; [le filet ou Flux dans la continuité des sucres-grains, le JUS] et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’Océan [le Flux des sucre-grains, le Lotus]. Dans l’ignorance de cette simple vérité, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti, karma, etc., ont été enseignées » (Ramana Maharshi, entretien 92 du 7-11-1935).
Dans l’entretien 122 du 1-1-1936, le Maharshi cite une strophe qu’Il préfère dans l’œuvre de Thâyumânavar : « Lorsque l’ego disparaît, un autre ‘Je’-‘Je’ se manifeste spontanément dans toute sa gloire… » [le sentiment océanique décrit pas Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, et ce que j’ai décris dans le Tore Arc-en-Ciel] ». Le Maharshi cite encore la Skandar-anubûthi : « Ni réel ni irréel ; ni obscure ni lumineux, C’EST [définition du Sans Pourquoi] ».


Note.
1. Le Christ-Jésus était nommé « Alpha et Oméga », le commencement et la fin, soit la naissance et la mort, la cause et l’effet ou le sujet et l’objet, devenu l’Alep ou Aleph. Or Alph-ao-mega, en chaldéen, signifie : « Le mage qui enseigne le libre vouloir et la douceur », et en grec : le Grand Niveleur. Or en grec Alpha est le nom de l’instrument qu’ici en Occident nous nommons « Niveau ». Il figure à la place du A, sur les plus ancien tombeaux chrétiens des Aliscamps. Dante Alighieri et toute son école faisant du Christ le Satan, le Grand Niveleur et le mage, lequel enseigne l’opinion ou la fameuse « liberté d’expression » ou liberté de pensée, choses que Dante et ses suiveurs niaient. (En réf. à Grasset d’Orcet : Œuvres décryptées, volume 1). Effectivement, nous subissons tous, et de plus en plus, la tyrannie de l’opinion et le monde en crève… ALORS LE MOT « CHRIST » NE PEUT QUE RENVOYER AU « QUI SUIS-JE ? ». « CHRIST » veut dire « QUI SUIS-JE ? » (Christ, Cristal).
Le Grand Niveleur ou FLÉAU, le Révélateur ou Apocalypse ; le Re-noierie en vieux français (l’Œuvre au Noir en Alchimie), le Lâcher prise, la dépossession, l’inverse de la vo(a)leur, l’inverse de la f(r)iction (qui engendre la politisme); l'inverse du voyeur qui saisit ce qu'il voit en dualité sujet et objet. D’ailleurs le vulgaire et la pensée unique déteste l’introuvable car il veut tout posséder par sa confusion entre le ‘Je’ et le ‘je’ : « mettre en lumière », identifier, nommer et normer…. Alors que le Noir renvoie au FLÉAU ou à la Nuit obscure de Jean de la Croix, soit le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » de l’Éveil.

Des êtres humains se sont emparés du Christ ; ils en ont fait ainsi le Grand Niveleur (plus tard la fièvre égalitariste de 1789 jusqu’à nos jours) et une dualité cause-effet en une chaîne sans fin qui ne boucle jamais sur elle-même, mais est en ouverture inversée (contraire du VASE-VALLÉE), comme une cloche : un monde sous cloche, qui raisonne.
Christ-Soi est devenu la chose possédée, l’Église, le dogme ou « isme ».



Dans la vidéo ci-dessous, par la parole sonore, nous avons tout l’enseignement en échanges verbaux du Maharshi récolté par un fidèle, Munagala S. Venkataramiah, entre les années 1935 et 1939. « Ramana Maharshi était alors au zénith de sa mission visible » (Présentation du livre de l’enseignement de Ramana Maharshi). Dommage que le commentateur dans la vidéo ne prend pas la peine de nommer les numéros d’entretien.

anipucsac1.gifICI on trouve la version pdf de l’Enseignement de Ramana Maharshi.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 13-07-2020 02:28

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