JUDAÏSME = L’ENFER SUR TERRE
Judaïsme a distinguer du Mosaïsme.

 

 

1789 et « l’art moderne » n’ont d’autre utilitarisme ou mission que d’engendrer le DÉSIR, le PLAISIR et par conséquence son contraire la douleur.
AVEC 1789 NOUS SOMMES PASSÉ DU BEAU À L’EXPLOITATION ET À LA PRODUCTION DU JOLI, COMME NOUS SOMMES PASSÉ D’UN MÉTIER À UN EMPLOI, UN BOULOT : de survivre, boulotter, vivoter, aller de son train-train.
JOLI = CE QUI SE VEND BIEN (comme l’amabilité et le sourire commerciale, la chaleur ou fraternité commerciale), selon le principe des Talmudistes jéhovistes comme les frères Abraham et Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali : Les juifs, le monde et l’argent).
JOLI = ce qui se vend bien, TEL EST L’UNIQUE RÈGLE DE L’ART « MODERNE ». Joli = nécessairement le ventre et le bas ventre, donc Éros : l’art ne peut donner que des filles de joie (les cocottes) ou des godemichets, des plugs… et par extension des « mariages pour tous », des avortements et des Simone Veil, bref, des winners a assimiler AU PLAISIR ; parce que c’est ça le truc de Simone Veil…


- JÉHOVAH DE MOÏSE = MOSAÏSME du « Je suis ce JE SUIS », IDENTIQUE À CELUI DE RAMANA MAHARSHI. FOI ORIGINELLE.
- JÉHOVAH DU JUDAÏSME = LE JUDAÏSME DE LA LAÏCITÉ ET DES MARCHANDS, ET PAR CONSÉQUENCE DU CAPITALISME : la classes sacerdotale fut dépossédée par la classes des marchands judaïstes qui s’appropria la dépouille de la classe sacerdotale. FOI DÉVOYÉE.
Il y a donc deux périodes bien définies : l’une qui va de Moïse à Salomon (Sel-O-Mont), et l’autre de Salomon à l’ère chrétienne et c’est cette deuxième période QUI FAIT LA GUERRE AUX PAÏENS, AUX PAGANS, PUISQUE LES CHRÉTIENS DE L’ÉGLISE DE ROME POURSUIVRONT LES DESTRUCTIONS DES PAÏENS À TRAVERS L’EUROPE.
C’est cette deuxième période, le JUDAÏSME, qui invente le concept de « peuple élu » ou « peuple-prêtres » : le guide des modes de vie de tous les mortels. C’est ce courant d’opinion qui décrète que les Païens ou Pagans (paganisme) sont vils et bas, et que la croyance judaïque représente le progrès et la justice, la fraternité et la charité (voir les « philanthropes » Rothschild et plus récemment Nobel et le Bill Gates de l’OMS…). Le judaïsme condamne donc les Païens comme pédérastes, alors que les Juifs résisteraient mieux aux tentations et qu’ils « s’éloigneraient des impuretés » ! Ainsi ceux qui se prosternent devant un Arbre ou devant une grosse Pierre ou devant une source doivent adopter « La vraie foi, sinon, ils seront punis par les foudres de la colère divine ». NON, NON, NON, pas d’hydroxychloroquine avant la prière du soir, comme chante Eddy Mitchell. (La situation civilisationelle mondiale est identique à la guerre abrahamistes Juifs contre Païens).

La confiance judaïque en soi manifestée par cette dualité pur-impur se coagule parallèlement aux winnerisme de la dynastie des Hasmonéens : le prosélytisme judaïque commençait avec l’apothéose de 1789 jusqu’à nos jours.
Les Juifs ne sont aucunement les descendants de Moïse comme l’écrit Shlomo Sand, page 95 en note de bas de page dans : Comment le peuple juif fut inventé. Les Juifs sont le résultat d’une émancipation par le commerce et la laïcité qui avait fait prédominer l’élément bourgeois, sédentaire, sur les classes sacerdotales et militaires nomades ; ce fut donc le triomphe du pouvoir politique mélangé intimement avec le pouvoir économique, et dehors le pouvoir spirituel…
CE SONT CES JUIFS INTOLÉRANTS INVENTEURS DE L’ANTISÉMITISME ET PAR CONSÉQUENCE DE LA DIVISION JUIFS-GOYS (Juifs/non-Juifs) ; la dualité WINNERS-LOSERS : les Juifs sont supérieurs aux non-Juifs. Le judaïsme amorçait son extension et son winnerisme à mesure que se manifesta sa supériorité à l’égard des Païens ou Paysans. Cela va donner après 1789 le « citoyen » ou citoyenisme ! L’urbain.

RAPPEL : Tous les monothéismes issus de l’abrahamisme sont la LOI DE SUCCION MÊME = LE CONCEPT DE MISSIONNAIRES : CONVERTIR, BOUFFER L’AUTRE. Alors qu’il n’y a pas plus TOLÉRANT que les Pagans ou Païens du POLYTHÉISME, qui acceptent la cohabitation avec d’autres Dieux. Car le fait même de croire à un Dieu unique ENGENDRE LA DIVISION en rejetant la pluralité et manipule les adeptes à propager le principe du concept de l’unité divine qui leur est propre.
DIEU UNIQUE = WINNERISME, POUVOIR et DÉMOCRATIE : LA FIÈVRE ÉGALITARISTE. DIEU UNIQUE ET DÉMOCRATIE = GÉOCENTRISME (plutôt ethnocentrisme, d’où les possible erreurs ou inversions sur la page Héliocentrisme contre Géocentrisme, parce que l’égalitarisme ne peut pas fonctionner tant que l’individualisme triomphe ; de plus IL FAUT CROISER puisque dans le Géocentrisme le Soleil tourne autour de la Terre et que Soleil peut renvoyer à CŒUR ou Vérité, Soi (1) ; l’héliocentrisme triomphe avec Copernic ; l’égalitarisme triomphe dans la démocratie qui est fausse, l’individu corporifié ne sera JAMAIS égale d’untel et untel et surtout pas d’un Rothschild… L’égalité de la démocratie est la plus grosse tromperie de l’homme).
HÉLIOCENTRISME OU COPERNICISME imagine que l’humain et les objets seraient EXTÉRIEURS, alors que le Géocentrisme procède plutôt de l’inverse puisque TOUT EST DANS LE MENTAL ; et avec l’amplification de l’ego géocentrisme veut dire l’information, ce qui sert de mesure, et l’informe ou uniforme sert de marchandise/business, on s’éloigne vers une abstraction pour tenter de mesurer le difficilement mesurable…. L’héliocentrisme renvoie au multiple, au productivisme, à l’évolutionnisme sans fond ni fin comme le messianisme.

Comme déjà écrit, dans le deuxième courant, le judaïsme est purement POLITIQUE : le Dieu des armées et donc de l’État pour « sécuriser » les « biens » des révolutionnaires citoyens ou bourgeois de l’urbain triomphant (surtout après 1789 tout au long du 19è siècle et jusqu’à 1945). C’est donc ce jéhovisme là et son « ordre moral » qui règne encore sur la France de Macron



COM-PRENDRE : PRENDRE EN RÉSEAU, EN RELATION AVEC, COMME LA DUALITÉ CAUSE ET RELATION AVEC L’EFFET ET LA PORTEUSE AVEC LE SOUS-PORTEUSE. COM, communiquer ou PRENDRE, SAISIR (la re-lation ou double largeur… récit, histoire relatée, témoignage ou T-moigon : un T mutilé, limi-T, chute ou choir T : T-moignage est imi-T-ation ou I mi T : la moitié du T seulement…). Com-prendre n’est pas comprendre puisque possession.

COM-PRENDRE : RÊVER OU NOMADISME MENTAL, COMME LES TRIBUS YAHVISTES, VAGABONDER : vaguer, errer, se déplacer, comme la vague, comme le rêve. « Les choses sont faites de la même substance que les rêves », écrivait Shakespeare. L’I-réel ou I de l’Axe est le Réel à partir du Soi…

COM-PRENDRE : SE FAIRE « EXAMINER » COMME ON FAIT EXAMINER SA VOITURE PAR LE MÉDECIN GARAGISTE !

CHARGE /DÉCALAGE/ DÉCALÉ / DÉPHASÉ (Fréquence, Infini)
Le RIRE est une Résistance ⁄ s’oppose à une action, un mouvement, la Résistance est une charge (une accumulation, un réservoir), une caricature, ou portrait charge.
C’est une NON FLUIDITÉ (apparente) : le contraire de Résistance est donc Fluidité.
Dérisoire : se moquer de l’important ou caricaturer l’important.
Difficulté/charge freine la Fluidité/Courant.
Celui qui marche dans une rue de Paris perdu dans ses pensées (et à ce hui dans son smartphone tétine), est regardé par l’autre d’une façon différente (avec comme un air de reproche ; à ce hui de division sociale celui qui ne porte pas de masque anti-virus sera une charge….).
LE GRAND DÉCALAGE : Ce que vous cherchez : c’est là où vous ne l’attendiez pas !
Car cela peut déclencher la PANique ou GRAND DÉCALAGE : l’APOCALYPSE, LE FLÉAU, LE RENONCEMENT [RENOIERIE].

DECALAGE. DÉSACCORD. Charge naturelle : être décalé ou pas, en accord, par rapport à telle situation.
La charge est une Résistance, donc contraire de fluide, cela déclenche, provoque, d’où le principe du rire. Le rire est un décalage : au théâtre, le public applaudit le comédien, alors qu’icelui sait qu’il a fait une faute dans le texte de l’auteur. Décalage du temps profane.
Côté enfantin, avec une logique qui peut paraître absurde, mais ce n’est pas toujours le cas.
Décalage/Naïf/Charme/Maladresse.
Exemple : L’introduction de certaines sonorités en musique, surtout dans les orchestres Russes, à cause de la différence de sonorité dû à la taille de l’anche des hautbois, et à la particularité de certains cuivres. Cela donne un charme. On retrouve aussi la « maladresse » Russe, comme une sorte de décalage dans les objets de fabrication artisanale soutenus par un régime politique très présent (dans l’ancienne URSS).
Décalage : sorte de désaccord ou de déséquilibre entre le signe et l’idée.
Décalage : [GABER] plaisanter, se moquer.
[GABE] moquerie, ruse.
Un autre exemple de décalage :
Un homme aimant passionnément les chevaux. Un jour, il frappe vigoureusement les moustiques qui s’amassaient sur les chevaux, ceux-ci s’emportèrent, cassèrent leurs mors et brisèrent la tête et la poitrine de l’homme. Bien que son intention fût bonne, cet homme n’a pas atteint son but. (D’après Tchouang-tseu, trad. Liou Kia-hway).





Notes.
1. « La lumière du soleil tout entière représenterait l’Être suprême », dit Ramana Maharshi à l’entretien 14 du 8-1-1935.
« Dieu n’est pas affecté par les activités qui se déroulent en Sa présence ; tout comme le Soleil face aux activités du monde. Il n’y a aucun sens à vouloir attribuer à l’Unique une responsabilité ou une motivation, avant qu’il ne devienne le multiple ». (Entretien 28 du 4-2-1935)

2. Gentils, noble, que traduit très imparfaitement l’anglais gentle ; et le mot français gentil n’a conservé que le mot gens : la race noble. Pour avoir été le pays européen le plus aristocrate, la France a perdu complètement le sens de ce qui a un rapport au mot « noble » et « noblesse », ces mots ont disparus avec leur vrai sens et au mieux ils sont devenus péjoratifs. Qui de nos jours de fièvre égalitariste parle encore de « Noble Savoir » quand il n’existe, en principe républicain judéo-maçonnique, plus aucun noble, sauf dans leur secte aux titres ronflants ?