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Égalité = Capitalisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-10-2020 00:18

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Déconfinement, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Égalité = Capitalisme
Démocratie = exacerbation du mental qui calcul
tout et culte du narcissisme.
 
Tragiquement l’Homme de l’après 1789 se voulait
LIBRE, INSOUMIS, mais encore plus que sous
l’Ancien régime, ses rois et son Église, il est
désormais en 2020 soumis corps et âme À L’ARGENT.
IL EST DEVENU LUI-MÊME UNE MARCHANDISE :
LE CITOYENISÉ DE 1789 EST DEVENU LE CITOYEN-ESCLAVE
ASSERVI, ASSERMENTÉ, AIMANTÉ À L’ARGENT et au marché
aux esclaves ou du travail de la masse salariale.


« …Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l’adoption… Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant…»

Exemple d’égalitarisme par Pierre Bergé en 2013, entrepreneur en confection de luxe, homme d’affaires et mécène de toutes les tyrannie du marché et du culte du narcissisme et du winnerisme triomphant qui éjecte les losers aux oubliettes.

Le déclin rigoureusement corrélatif de la diversité et de l’unité tel le slogan de l’Union européenne : « Unie dans la diversité » revêt actuellement un caractère tragique. Car depuis l’avènement technologique du tout connecté, qui va s’amplifier avec la 5G, jamais les êtres humains n’avaient été aussi semblables (en 2020 tous masqués covidiens) et aussi étrangers les uns aux autres (culture du narcissisme et de la marchandise).

Le même démon du capitalisme SÉPARE ET GROUPE À JAMAIS TOUS LES TERRIENS. L’enfer en effet est le lieu où la centralisation et le chaos (de la marchandise) sont portés à leur expression suprême. Le mal appelle un remède artificiel, et le remède artificiel, à son tour, après un coup de fouet factice, aggrave le mal.

Dans ce siècle de l’humain fabriqué en série selon l’opinion de Pierre Bergé et selon la fabrication standard aux normes, où tout artisanat, toute division naturelle (organique) du travail agonisent, de nos jours Nous pouvons facilement constater une palanquée de « spécialistes » et de leurs « spécialités ». On cherche en vain un cordonnier au village, mais on trouve en ville une banque, une boutique de vêtements à tous les coins de rue ; on boit partout, au lieu du bon vin que chaque ancien vigneron faisait « à sa façon », un ignoble liquide aux normes mercantiles de l’Union européenne.

La Vraie Spécialisation ne peut qu’être NATURELLE : elle sera donc limitée : les métiers vitaux ne sont pas multipliables à l’infini comme des productions industrielles.
La fausse spécialisation comme maintenant au contraire résulte de l’uniformité, et par là-même, elle ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indifférencié dans cette société de l’Indistinction. C’est un évolutionnisme faisant croître simultanément l’atomisation et l’uniformité (Unité et Diversité).

La saine spécialisation repose sur le INNÉ-IGNÉ comme l’ALEPH : sont dans l’INSTANT tous les mondes passés et futurs, chacun dans leurs détails les plus infimes, sans confusion avec nul autre ; et pendant autant d’ères cosmiques qu’il y a d’atomes dans une indicible d’indicibles dimensions absolues. Ainsi la saine spécialisation pointée vers la partie reste enracinée vers le TOUT : centrée sur le TOUT elle sert le TOUT : c’est la spécialisation du Microcosme.
Le fausse spécialisation DIVISE, PRODUITS SANS CESSE DES FRAGMENTS INFORMES, ELLE S’ADRESSE À DES ZOMBIS, son objectif n’est pas la partie gonflée sur le Tout, mais un pseudo-tout qui gît dans le cadavre de la partie mutilée.

« Ce n’est d’ailleurs pas l’effet du hasard si les époques où le primat social est dévolu à l’argent sont aussi celles où sévit la pire fièvre égalitariste », écrit Gustave Thibon dans Diagnostics, et avec Pierre Bergé et sa citation ci-dessus Nous en avons un bon exemple.

La société égalitariste ou de l’indistinction engendre des individus allant cahin-caha séparés d’eux-mêmes et coupés des autres ; seule la messe de la communauté marchande les socialise en tant que dissociés-ensemble et précisément reliés par la généralisation spectaculaire, fictionnelle de l’égalitarisme.

Dans une société où plus personne ne peut plus être reconnu que par la marque du paraître (culte du narcissisme) et de l’avoir (culte du pouvoir d’achat), l’égalitarisme centralisateur a finit par ignorer l’illusion du monde tout en se mondialisant en une Suprême illusion à l’envers du Seul Réel.

A mi-chemin d’une hétérosexualité toujours plus dévalorisée et d’une homosexualité toujours plus louangée, le spectacle de l’égalitarisme a balisé sa norme de mixité égalitariste (dont le phénomène MeToo) en une représentation schizophrénique où la femme doit de plus en plus sembler être un homme pendant que l’homme doit, lui, de plus en plus ressembler à une femme. C’est la fausse spécialisation évoquée ci-dessus.

Le système de l’idolâtrie marchande construit sur le culte du narcissisme et de l’isolement : le dividu, produit et amplifie l’évolutionnisme de la marchandise et par là-même de la technologie, lesquels isole toujours et toujours plus en retour.
Chaque pas en avant de la « libération des mœurs » telle que prônée par l’extrême gauche du Capital qui n’est pas autre chose que l’avant-garde de la profitabilité générale, aboutit de fait à marchandiser toujours davantage les corps et les cerveaux, et tous les avancements sélectionnés par le système spectaculaire sont de la sorte ses armes nouvelles pour le renforcement constant des conditions d’isolement et d’esclavage des pitoyables masses solitaires.

Désormais, le spectacle de l’idolâtrie marchande s’est emparé de la totalité du monde et la liberté despotique de l’argent est enfin parvenue à élaborer la fabrique démocratique universelle de cette marchandise si originale qu’est l’être humain chosifié jusqu’en son intimité sexuelle et émotionnelle la plus profonde. Tout s’achète et tout se vend dans le procès réalisé de la mondialisation capitaliste winneriste qui a digéré toutes les manifestations du vivre humain pour les façonner au marché totalitaire des échanges narcissiques de l’aliénation consommatrice.

Ainsi, le sexe est d’abord une transaction affairiste et son commerce accru depuis la libéralisation des marchés du désir machiniste tant prônée par le gauchisme capitaliste à partir de la mystification libéralo-libertaire de mai 1968 qui est venue cacher la colère ouvrière radicale qui fit alors si peur, se montre essentiellement comme évolution et mobilité ininterrompues des innovations aliénatoires nécessaires à l’ajustement structurel du despotisme de la possession. La libération sexuelle est le mouvement par lequel la marchandise se libère des traditions de l’avant-marchandise pour imposer la pure domination du marché de l’offre et de la demande qui permet dés lors le trafic des hommes, des femmes et des enfants, conformément à tous les désirs transformés de la logique du marché des sexualités mécaniques librement circulantes (comme l’argent). Désirs transformés ou création de besoins…

Le droit dogmatique, conceptuel et industriel à l’avortement généralisé a aussi permis de régler la sur-production des fœtus qui résultait des obligations de la mise en marche de la féminisation salariale concentrationnaire. Et la dialectique capitaliste qui conduit ainsi des avortoirs de la naissance volée aux abattoirs de la sédation terminale des morts imposées (eugénisme) renvoie tout normalement à cette idée fort banale que l’homme, à tous les stades de son évolution, est une simple machine à profit doté d’un cerveau qui calcul, un matériau dont la liberté despotique de l’argent peut disposer du début à la fin selon les lois générales du meilleur des mondes marchand possible. Du berceau au tombeau l’humain est un consommateur qui produit du bénéfice pour les cancérisés du pouvoir.

Par conséquent, les phénomènes d’asservissement social étant récemment apparus sur le marché des modes obligatoires comme la théorie du genre, le mariage homosexuel, la PMA et la GPA, s’inscrivent pleinement dans l’effectivité d’accomplissement de la logique transhumaniste de l’idolâtrie de la marchandise en tant que forme supérieure et dernière de l’aliénation qui rend justement l’homme tout à fait étranger (aliéné) à l’homme. Le transhumanisme des affaires se définit ainsi comme le projet immanent du spectacle du monothéisme de l’argent de modifier la nature humaine profondément au point de la faire sortir définitivement d’elle-même jusqu’à ce point terminal où l’homme mécanique du désir maximum est pleinement réalisé par la destruction de tout ce qui permet à l’humain de re-trouver ses racines. Nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre comme la RE-présentation, la COPIE]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier à partir de l’époque de la Renaissance en Occident.
Le concept de transhumanisme est d’abord synonyme de post-humanité, c’est à dire d’humanité chosifiée donc d’anti-humanité entièrement mécanisée dans l’ultra-automatisation de l’affectivité, DONC DANS L’AMPLIFICATION DU MENTAL ET DE SES SENS…

Pour le transhumanisme nécessairement lié au profit, tout est appelé à être transformé en simulacres et simulations car cela doit permettre de se « libérer » d’une nature humaine archaïque et dérangeante considérée comme ennuyeuse et incommode, encombrante et bien trop limitée au regard de l’évolutionnisme psychotique des forces productives de la tyrannique capitalisation du monde.

Le mouvement capitaliste d’appropriation, de remaniement et d’artificialisation du vivant impulsé par le marché moderniste de l’innovation technologique fait désormais de l’existence humaine un simple terrain banalisé d’investissement et de bénéfices pour les entreprises du bio-capitalisme. La liberté, c’est toujours la liberté du marché et donc sa démocratie…

Le spectacle dictatorial des emprises technologiques de l’économie soumet les hommes vivants dans la mesure où l’économie de la technologie les a préalablement totalement soumis. Il n’est rien d’autre que la chosification rassemblant la Terre comme marché mondial de la marchandise sans limite se développant pour elle-même. Il est le reflet fidèle de la production des choses, et l’objectivation des producteurs comme vulgaires choses humaines devenues engrenages du vaste univers artifice du bidouillage du mental malade.


Il est impossible de vouloir sauver l’argent et son système actuel, et de préserver en même temps la Nature (l’environnement) et l’humain. IL FAUT CHOISIR !
Le consommateur de 2020 est constamment un consommateur d’ILLUSIONS DE CE MONDE AMPLIFIÉ PAR L’ILLUSION VENDUE PAR LE CAPITALISME SOUS FORMES D’APPARENCE ET DE NOMS-LES-FORMES : chevaux, éléphants, automobiles, hommes, femmes, santé, députés, vacances, sécurité, etc., expriment l’ILLUSION, l’APPARENCE COMME DANS UN RÊVE MAIS EN UN PROCESSUS QUI TEND À LES FIXER SANS CHANGEMENT POSSIBLE, PRINCIPE DES CONCEPTS FABRIQUÉES PAR LE MENTAL, ET DONC DANS LE TEMPS.

Alors, comme les noms-les-formes et apparences, de même que les consciences qui les fabriquent, ne se sont, depuis toujours, jamais élevés. Cette réalité peut se nommer AINSITÉ, LE EST, LE « JE SUIS CE JE SUIS », dégagée de toute fiction, parce que cette Ainsité est la Félicité même, dégagée à jamais de toutes les vues fausses.
Tous noms-les-formes n’ont pas la moindre existence puisque forgés par une pensée qui s’illusionne, se méprend. Contempler les choses sur ce mode jusqu’à éprouver leur extinction, c’est l’Ainsité, ce que le régime veut empêcher par ses artifices en évolution constante.


Comme l’argent est non-récupérable, surtout à son stade virtuel ou dématérialisé, car il est la puissance même de la corruption puisque dépendant du mental, de la raison qui calcule, l’argent n’est pas la dualité bon côté-mauvais côté, il est devenu le Jéhovah (faux), le « Je suis ce je suis » lui-même, sous FORME DE CORPS ; IL EST DEVENU L’ÉGRÉGORE SUPRÊME TOTALEMENT AUTONOME ET CORPORIFIÉ : la spécialité de pouvoir tout s’approprier est par son mondialisme advenue la toute-puissance spectaculaire d’un pouvoir sans bornes, celui du cosmopolitisme de la marchandise démocratique qui peut tout commercialiser : les rêves, les peurs, le sang, le sperme, la folie, la maladie, la santé, la vie et la mort.

L’égalitarisme est une transformation égrégorienne mondiale qui a réécrit tout à l’envers dans l’indistinction égalitariste et l’inversion de toutes les qualités naturelles et humaines. C’est le monde-usine dans sa dualité   technologie de la mécanisation parallèle à la mécanisation industrielle et transhumaniste. L’être humain, ce qu’il en reste, est en train de devenir irrémé et diablement un ZOMBI.
Car la démocratie totalitaire de la marchandise Nous positionne dans une situation complètement inédite : c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité emprisonnée qu’un système de domination a la capacité de produire des procédures susceptibles de sortir les ovocytes du corps d’une femme en transférant des embryons d’un corps à l’autre. De la sorte, un nouvel usage capitaliste des humains est techniquement possible, car la flèche du temps irréversible dans ce spatio-temporel est désormais celui du marché mondial de la génétique servilisée et corollairement du spectacle mondial de la transmutation des humains en appendices du grand automate mondial où ce sont les accidents qui engendrent les essences faisant que TOUT EST À L’ENVERS.


La spécialisation liée au capitalisme fait que le morcellement mercantile du corps de la vie implique forcément celui de la vie du corps DIVISÉ. En réduisant la procréation asservie des humains à des champs capitalistes d’investissement où cellules, spermatozoïdes et ovocytes se présentent comme une immense accumulation de fonctions et d’organes capitalistes divisés où les techniques biologiques viennent séparer, découper et réduire puis réunir les humains en de simples parcelles de profitabilité recomposée, ce qui s’aperçoit c’est bien le processus de travail de la chosification en mouvement. Et le mouvement de cette chosification travaille à briser, fragmenter et pulvériser la totalité humaine pour la réduire à un travail à la chaîne d’aliénation sans limite où l’expérience érotique, amoureuse et parentale cesse d’être geste cosmique et unique pour devenir dérisoire fonction standardisée. On fabrique ainsi des enfants et des parents transformés en morceaux de spectacle-argent, des spécialités, des rouages de volupté mercantile, son tout-confort.

Pourquoi l’idolâtrie de la marchandise poursuit-il ce développement historique de tabula rasa globale qui entend aboutir à l’absolu hors-sol de l’humain transformé ? Tout simplement parce que l’argent n’est pas à l’origine de l’Être, mais seulement à la genèse de la civilisation de l’Avoir à partir et tout au long du Néolithique et de sa voie de l’Agriculture (1). Il faut donc détruire le monde de la Félicité naturelle des humains dont l’origine ne doit rien au Capital, afin de le remplacer par le monde de la marchandise totale qui ne devra son origine qu’au seul Capital : SOIT AU SEUL MENTAL KILLER PARFAIT, À LA TOTALE LOI DE SUCCION. L’argent doit devenir l’origine théologique du monde dans la totale soumission messianique de l’humain au monothéisme spectaculaire de l’idolâtrie de la marchandise.

Les technologies capitalistes de la gestion policière du renseignement, du management à la cybernétique en passant par toutes les recherches portant sur la modification comportementale de la vie aux fins d’en maximiser la manipulation profitable n’ont évidemment là aucune autonomie originelle puisqu’elles expriment la simple nécessité qu’a le mode de production capitaliste de transformer l’humain et la Nature en hors Nature, et en post-humain, dés lors que le processus de chosification mondialiste est arrivé à la toute puissance de son illusion planétaire.


Note.
1. Le capitalisme découle surtout des Juifs comme l’indique Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent, tout est résumé page 18 : « Elle fait [cette croissance] alliance avec Dieu par la flèche du temps [donc l’HOTC] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin [non résolution puisqu’AMPLIFICATION DU DILEMME MOI-INDIVIDUEL/MOI-COLLECTIF] », ce « choix de son destin » Attali l’appelle « libre arbItre », soit la fameuse « liberté de pensée » (MORTE-NÉE PUISQUE NÉE). Attali CRACHE LE MORCEAU : le Tiqoun ou la RÉPARATION SUPRÊME EST DE DÉPASSER SA RÉPARATION (entendre « sa faute  , son péché), DONC CE SYSTÈME D’OPINION FOUT DEDANS L’ÊTRE HUMAIN, L’ENFONCE, ALORS QU’ORIGINELLEMENT OU NATURELLEMENT IL EST LIBRE. Le système des Hébreux-Juifs est bien LE TEMPS QUI COULE, IL EST DE LEUR INVENTION, PAR-LÀ MÊME ILS NE POUVAIENT QU’INVENTER L’USURE (business de l’argent coupé des besoins vitaux).

Pour Attali, l’Or est le moyen matériel de « réinvention du paradis perdu ». « L’humanité à désormais un objectif [UNE CAROTTE] : dépasser sa faute », et PAR LÀ MÊME ATTALI DONNE UNE PREUVE DU MYHE DU PEUPLE ÉLU CHARGÉ DE RÉPARER CE MONDE : « METTRE EN VALEUR LE TEMPS » (DONC L’USURE AUSSI). Absolument tous les malheurs de notre époque sont contenues dans ce « METTRE EN VALEUR LE TEMPS », soit METTRE EN VALEUR LE MENTAL.

LES HÉBREUX-JUIFS ÉTANT SI BONS COMMERÇANTS NE POUVAIENT FAIRE QUE DANS LE COMMERCE DE LA CAROTTE (LA FIN DES TEMPS). 
 

Dernière mise à jour : 02-10-2020 01:06

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