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A-c-cord temps vulgaire Temps philosophique Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-12-2020 22:11

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
 
A-c-cord temps vulgaire Temps philosophique
La propulsion des soucoupes volantes, et par
là même, des Tapis Volants ou
Jardin des Hespérides : la Simplicité même…


Une absence d’ego… pour voyager instantanément d’Univers en Univers.
 
 
Accord : du A privatif, et C de cassure et début de la Création : Dualité Ciel-Terre… C de Causalité, Connaissance, Conscience, Convention, Concept, Centre et Cœur, Cause et Commencement ; et le C de Cord pour Concorde (harmonie, a-corder) ; privation de corps ou d’accord avec le corps ou matière, absence de causalité. A-liance : privation de lien. Vouloir accorder une chose la prive de son harmonie naturelle (les mariages engendrent les divorces… ou les emmerdes… ou la routine sclérosante…. parfois l’Amour) !
ACCORD ne peut fonctionner que par le INNÉ-IGNÉ (effet domino ou sucre, voir plus bas).

ACCORD rejoint l’AMBIGUÏTÉ : par l’attachement genre loi de succion, puis par « les liens du mariage », être É-pris, puisque sub-jugués par l’autre, ou passé sous son joug comme les bœufs, alors on se joint avec un « alliance » en devenant « con-joints », avec le droit officiel de copuler et de s’accoupler…. Maintenant rejoignons l’effet domino ou sucre :
L’idéation fonctionne en séquence (en fait faux si vu en géométrie de la ligne droite) comme l’effet domino ou sucre qui basculent les uns sur les autres en un COURANT espace-temps, comme la flamme d’une lampe ou d’un bougie se transmettant de bougie en bougie pour symboliser comme une éternité.
Mais ATTENTION : on peut TOUJOURS tomber dans le système, dans le CONFORT REFUGE SÉCURITAIRE CONSOLATEUR ET MATRICE, LA FIXATION, dans le politisme républicain socialisant dans son « vivre ensemble », comme la continuité de la présence d’Instant en Instant pourra être chargé de suspicions, D’AMBIGUÏTÉ, CAR CHARGÉE D’EFFORT OU D’IDÉATION DU MENTAL ET DONC DE TEMPORALITÉ, ÉCHO DU GRÉGAIRE ET COLLANT EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL (constitue un « travaux d’Hercule ») :
« NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ». Sinon, on tombe dans un système, ou dans une FIXATION, dans un évolutionnisme à la Juif, un « isme » REFUGE, et la république en est un : MONSTRUEUX, VAMPIRE !
Lorsque l’état d’attention divisée dissout le centre fictif (le ‘Nous’ conventionnel du social), les choses importantes émergent alors. Là, commence le flot de la subjectivité opinionesque pure, revendiquée en « objectivité », qui mènent dans les terrains encore vierges du chaos ou confusion, de l’entre-deux de l’effet domino et chargé de promesses. Le plus difficile est de s’accrocher à la SIMPLICITÉ. Le vécut adéquate fuit les excentricités, ou même l’excellence winneriste et les qualités particulières. RIEN DE PLUS DIFFICILE QUE LE SANS TRACE (surtout à notre époque du FRIC/FLIC et de la numérisation du monde), le délicat et le 10.000 fois rien ! Comment voulez-vous ne laisser aucune trace en marchand dans la neige immaculée qui se dépose sur les cimes de l’Instant naturel manifesté ? CELA UNE FOIS DE PLUS PASSE PAR LA PERTE, OU LE FLÉAU, L’APOCALYPSE, LE RENONCEMENT.
À l’heure du tous connectés tous fichés de l’informatique, NE VOUS PLANQUEZ PAS, MÊME DANS LE POSSIBLE SANS TRACE, VOUS RETOMBERIEZ DANS UN « ISME » ET SON CONFORT… (et vous donneriez du mou au Pour-Voir éteignoir de la chandelle).
Il est logique que si la parole est principalement MENSONGE ET KILLER (blasphème et arme redoutable permanente), le silence peut aussi devenir « mensonge » qui peut se retourner contre le silencieux !

AMBIGUÏTÉ DANS L’EFFET DOMINO : un concept ou domino, ou un sucre qui va basculer sur son prochain, PEUT PASSER DE THÈME À VARIATION QUI À SON TOUR DEVIENDRA UN NOUVEAU THÈME, À LA FAÇON DU CIRCULUS TRINITAIRE (chacune des trois éléments de la Trinité en tant que distincte des deux autres et consubstantielle avec eux), c’est-à-dire que chaque sucre ou domino se comporte comme s’il pouvait être EN MÊME TEMPS Variation et Thème (donc AMBIGUÏTÉ, NON-CONFORT). C’est là un phénomène typique des Anciens, qui évidemment se retrouve dans la pensée orientale et surtout indienne, laquelle fourmille de Trinité en circulus. Les Dieux chez les Anciens Égyptiens en sont un exemple, eux qui émettent des affirmations parfaitement contradictoires au sujet d’un même Dieu. Mais par Thèmes et Variations ces mythes peuvent exister PARALLÈLEMENT les uns aux autres sans se gêner mutuellement.
« NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT », ALORS QUE LE MONDE JUIF DE L’ÉVOLUTIONNISME DIGITALISE, NUMÉRISE TOUT, TANT IL VEUT ÊTRE « CERTAIN » (digit, un, chiffre… fixation et rêve d’absolu… rêve de sécurité….).

EFFET DOMINO : CONTENANT (DOMINO), CONTENU (ESPACE ENTRE DOMINOS, OU L’INVERSE…. Thème et variation : tantôt espace, tantôt domino, comme un flip-flop).
Le domino, je préfère le sucre, est comme une Stargate qui peut se nommer, pourquoi pas : « PARTICULE ÉLÉMENTAIRE » (présente dans l’Instant) qui aura une durée de vie indéterminée (ni éternelle ni non-éternelle). Ce sucre est enveloppé ou dans vase nommé Espace philosophique ou Temps philosophique, totalement différent du temps vulgaire de l’espace-temps. Nous avons donc une « chaîne » de plein de sucres (qui en font qu’UN) LIÉS À LEUR PROPRE TEMPS PHILOSOPHIQUE (paradoxe de la Réalisation).

Rappel : depuis l’invention de la Flèche du Temps par les Juifs (page 18 du livre de Jacques Attali si souvent cité : Les Juifs, le monde et l’argent), ce temps est irréversible et en géométrie euclidienne de la ligne droite.
Dans le sucre AU REPOS le Temps philosophique est quasiment INSTANT, sans dualité donc sans idéation, sans temps. En basculant sur son voisin « du pareil au même » son Temps philo (TP) devient : tp + TP1 (TP de l’ordre de 10-23 seconde, soit un dix millième de milliardième de ”seconde” (1)). Ce TP ressemble, très peu, à ce que Nous nommons « Mémoire », et vient se manifester dans la conscience DANS l’Instant. Ainsi le (les) sucres mais EN FAIT TOUJOURS LE MÊME bascule sur son voisin comme s’il ramenant continuellement PAR INTERMITTENCE les Instants des passés dans les Instants des Instants, mettant ces (ce) sucre à notre disposition pour en faire un acte de mémoire de l’« après ».

L’effet sucre ou domino est proprement ce qu’il se passe au niveau SPIRITUEL, puisqu’il s’agit de ce qu’on appelle en Alchimie : « Temps philosophique » (Temps sacré, VIERGE, ou sans temps vulgaire). Mais dans la flèche du temps arrangé à la sauce judaïque ça fonctionne selon la thermodynamique depuis la conscience du feu vulgaire : se rappeler de la chanson « AU CLAIR DE LA LUNE, MA CHANDELLE EST MORTE » = ENTROPIE (voir le consommateur et la date de péremption de ses marchandises aussi bien à manger qu’à utiliser…..) le feu vulgaire s’il n’a rien a bouffer meurt : en thermodynamique le feu-énergie va sens cesse en s’épuisant à mesure que le temps passe (date de péremption… manque de buches…). Bref, un objet est mort quand il n’est plus possible de tirer de lui de la rentabilité (de l’énergie) ; ce qui fait dire à certains chercheurs que « notre Univers de la Matière est voué, tôt ou tard, à une mort certaine » (un Univers avec date de péremption…).
MAIS QUEL UNIVERS ? Celui que ces chercheurs croient à l’EXTÉRIEUR et eux au-dehors ? Où l’Univers qui est à l’INTÉRIEUR de chaque forme de vie ?
Évolutionnisme et thermodynamique ne pouvaient que faire bon ménage : leur espace-temps constitué de chaînes sans fin de causes et d’effets ne peuvent que croitre (au sens de l’information tel que son déluge actuel accentuée par la technologie elle-même en croissance constante) ; causes et effets ne peuvent que croitre AVEC DATE DE PÉREMPTION et dégradation continuelle comme l’opinion changeante au grès de l’ego et du social du moment. TOUTE FORME DE PENSÉE NAÎT ET MEURT. ALORS QUE LE « SUCRE-CELLULE » SERA UN ZÉRO INDIEN (néguentropie croissante), évidemment pas au sens de mémorisation (mise I Axe à mort parce que séparation de l’Origine : installation dans l’objet en se prenant pour le sujet sous le nom d’« objectivité » ; l’information étant du domaine du mental ne peut qu’être L’INVERSE DE LA CONNAISSANCE QUI, ELLE, SE FAIT DANS L’INSTANT. (Avoir en tête l’avertissement traditionnelle cité plus haut à plusieurs reprises).
C’est-à-dire que dans l’effet sucre, les informations ou mémorisation sont sans cesse enregistrées et peuvent être ensuite « remémorées », dans le sucre suivant (en fait le même) COMME UNE SORTE DE RETOUR DU TEMPS PASSÉ DANS L’INSTANT OU ICI ET MAINTENANT (le Retour au même ou Mythe de l’éternel Retour). Important, important…
POINT FOCAL COMPARABLE AU TROUS NOIRS (Stargate « noire », le TROU du Trouvère : ”Voir le Trou”, sans la dualité terrestre, donc UN NON-TEMPS, LA CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT, AU SENS DE LA DÉFINITION DE LA SAGESSE (Lankâvatâra, chapitre L’impermanence 15), rien que le Soi.

Dans le (les) sucres n’en faisant qu’un (‘Je’ et ‘je’, le Soi et l’ego), il va se situer LA FONTAINE DE JOUVENCE OU ZÉRO INDIEN (énergie libre) : ZÉRO INDIEN = « NÉGUENTROPIE » (augmentation du potentiel d’énergie). L’ensemble Sucre-bascule sur son « voisin » n’ayant quasiment aucun temps son énergie ne pourra que s’AMPLIFIER PAR LE FLUIR DU RIEN DU TOUT DANS LA SIMPLICITÉ DU 10.000 FOIS RIEN… Alors que dans le spatio-temporel c’est le règne de la poussive thermodynamique et feu-chaleur qui chauffe, grille.

Que fait le (les) sucres en basculant ? Il EXPÉRIMENTE ou IL EST EN RÉCEPTION : « il s’instruit », étant dans son EST absolu, ce sera de MANIÈRE ABSOLUE, comme une mémoire mais dans l’avertissement traditionnel cité plus haut du : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT » (le sucre n’attache pas l’Instant passé du sucre précédent pour la raison qu’il EST comme le même !) Le sucre ne doit pas se fixer parce que SINON C’EST SA MORT (le sucre n’a pas d’ego, il n’est pas fixé).

Croire à un spatio-temporel le même pour tous est encore la dictature des religions abrahamistes, et du régime capitalo-républicain du N.O.M.. Ainsi il existe ce temps vulgaire pour tous comparable aux « valeurs » de la république et au temps de l’idolâtrie de la marchandise, et le Temps Philosophique UNIQUE, ÉTERNEL.
Depuis Albert Einstein des expériences ont montrées qu’on vieillissait « moins vite » quand on traversait « plus vite » une distance donnée d’espace-temps.

Le ‘Je’ du Soi et le ‘je’ de l’ego sont comme deux temps juxtaposés, en PARALLÈLE l’un à l’autre. Le (les) sucres ne peuvent qu’être des « particules spirituelles stables » : leur durée de vie est comparable À UN SANS COMMENCEMENT DE NAISSANCE DE TOUS LES UNIVERS POSSIBLES À UNE NON-FIN DE TOUS CES UNIVERS POSSIBLES. Cela est capital pour le domaine appelé « métaphysique ». Car si, d’une part, ce (ces) sucres-particules conservent leur information suivant l’avertissement ci-dessus, donc sans fixation, mais AVEC SON « EST » OU SON « CELA » IMPERDABLE, et que la néguentropie du sucre ne peut évoluer qu’en amplification (Zéro Indien), et que le ‘Je’ et ‘je’ du sucre est éternel, il est évident QUE LA MORT N’EXISTE PAS, DE MÊME QUE LA NAISSANCE (puisque pour qu’il y ait une mort, il faut une naissance avant…).
‘Je’ est l’éternité, Dieu, le Christ, l’Unité, la Vérité, la Foi, la Conscience ou le Centrum Centri, selon le point de vue de chacun (de chaque « sucre »). Rejoint l’Ainsité : Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, le « JE SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais.
AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

Notre corps est donc constitué de « sucres » qui, puisqu’ils sont éternels, date d’un sans commencement et d’un sans fin, un « sans histoire passé » d’un monde dans lequel le ‘je’ ego prend racine et se manifeste parce que FIXATION (sens de CHUTE).
Chaque sucre (les sucres) ou « cellules » possède « à elle seule » le TOUT : (‘Je’-‘je’) à différencié de l’actuel « bagage génétique » et autres « ADN » : comme chaque sucres-cellules de notre corps possède les « mêmes » chromosomes, que la cellule appartenant au bout du doigt, ou à notre encéphale.
Le INNÉ-IGNÉ du sucre-cellule au niveau corps possède bien un HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) par le contenue informationnel de son contenu (fixé ou mémorisé), mais ici APRÈS une naissance…

Dès que Nous réalisons le Soi ou que Nous en prenons conscience, il devient clair qu’il n’existe ni mort ni naissance !!! L’Univers, les Univers, étant DANS notre mental, Nous vivons sur le plan divin ce que les Univers vivent eux-mêmes (les Univers dans le sans commencement et le sans fin, ou n’y l’un ni l’autre…)


APPLICATION DE L’EFFET DOMINO OU SUCRE, MAIS DANS LES DEUX SENS (voir Miguel Alcubierre)

Comme l’effet domino-sucre, « l’espace » est le Thème Sucre, et le « basculement » du sucre sur son voisin : LE MÊME, IMPORTANT : C’EST LE MÊME QUI NE SE DÉPLACE JAMAIS, C’EST TOUJOURS L’UNIQUE SUCRE (le ‘Je’) :

« Prenez l’exemple concret de votre arrivée ici. Vous avez quitté votre maison dans une charrette, pris le train, êtes descendu à la gare, remonté dans une charrette et vous vous êtes retrouvé dans cet ashram. Quand on vous a demandé ce que vous avez fait, vous avez dit que vous avez voyagé depuis votre ville jusqu’ici, n’est-ce pas ? Le fait n’est-il pas plutôt que vous n’avez jamais bougé et que ce sont les divers moyens de locomotion qui vous ont transporté tout le long de votre route [principe d’Alcubierre ou du Lieutenant-Pilote Jean Plantier (2)] ? De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres, vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu ». (Ramana Maharshi, entretien 78 du 29-9-1935).
« Regardez ce qui arrive à votre propre corps physique. Supposez que vous alliez à Londres. Comment faites-vous ? Vous prenez une voiture qui vous emmène au port, puis un bateau qui vous transporte jusqu’à Londres en quelques jours. Que s’est-il passé ? Ce sont les moyens de transport qui se sont déplacés, non pas votre corps. Cependant, vous affirmez que vous avez voyagé d’un bout à l’autre du globe. Les mouvements des véhicules ont été transposés à votre corps. Il en est de même pour votre ego ». (Ramana Maharshi, entretien 311 du 2-1-1937).

« Un passager s’est endormi sur un char à boeufs. Au cours du voyage, les boeufs avancent, se tiennent à l’arrêt ou sont dételés. Le passager endormi ne se rend pas compte de ces changements. À son réveil, il se trouve en un autre lieu. Il ignore tout ce qui s’est passé durant le trajet, mais il est arrivé quand même à bon port.
Cet exemple peut s’appliquer au Soi du voyageur. Son état de veille est comparable au mouvement des boeufs et son samadhi [contemplation] à leur arrêt (puisque le samadhi est jagrat-sushupti [sommeil éveillé]), c’est-à-dire qu’il est conscient des actions, mais pas attaché à elles [iles comme ”Cour” ou neutre] ; comme les boeufs qui sont attelés, mais qui ne bougent pas. Son sommeil est comparable aux boeufs dételés, car il y a cessation totale d’activités, ce qui correspond à la libération des harnais pour les boeufs. […] Sommeil profond, rêve et veille ne sont que des modes défilant devant le Soi. Ils se poursuivent, que vous en preniez conscience ou non. C’est le cas du jnani [sage], chez qui les états de veille, de samadhi, de sommeil profond et de rêve se déroulent comme les boeufs qui avancent, restent à l’arrêt ou sont dételés, dans l’exemple du voyageur endormi. Ces questions n’existent que du point de vue de l’ajnani [l’ignorant, le non réalisé]. Autrement elles ne se posent pas.
- Question : Évidemment, elles ne peuvent se présenter pour le Soi. Qui serait là pour les poser ? Mais malheureusement, je n’ai pas encore réalisé le Soi.
- Maharshi : C’est justement l’obstacle sur votre chemin. Vous devez vous débarrasser de l’idée que vous êtes un ajnani qui a encore à réaliser le Soi. Vous êtes déjà le Soi [Ainsité]. Y a-t-il jamais eu un seul instant où vous ayez été séparé du Soi [voir l’Ainsité plus haut] ?
- Question : C’est alors une expérience de somnambulisme… ou de rêve éveillé.
Cela fit rire Bhagavān [Maharshi] ». (Ramana Maharshi, entretien 313 du 2-1-1937)

Donc le ‘Je’ ne se déplace jamais, comme dans le « warp drive », ce sont les « atomes » autour (2) du ‘Je’ ou Vaisseau-Sucre qui le contractent à « l’avant » et le dilatent à « l’arrière » ; c’est donc la « déformation » qui semble déplacer CE QUI NE BOUGE PAS ET SEMBLE PLUSIEURS. Le vaisseau ou Vase étant absolument immobile, donc SANS TEMPS, il n’existe aucun décalage temporel par rapport à la Terre. La solution de Jean Plantier (2) est quasiment sur le même Thème. À croire que Miguel Alcubierre a copié. Vaincre la gravitation ou attraction « universelle » C’EST VAINCRE LA LOI DE SUCCION… Alors sous le spatio-temporel thermodynamique, ce sont les Travaux d’Hercule, parce que depuis longtemps les bébés humains et animaux, et végétaux, qui naissent sucent tout ce qui passe à porté de leurs mains, ou de leurs feuilles ; et une fois adulte, chez les humains ils sucent énormément de choses….

« …les états de sommeil profond, de rêve et de veille ne sont que des mouvements dans celui-ci. Ils sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. Les gens voient l’écran ainsi que les images, mais ils oublient l’existence de l’écran et ne portent leur attention que sur les images. Le jnani, lui, ne considère que l’écran et pas les images [le jnani est ”Cour”]. Les images, certes, bougent sur l’écran, mais elles ne l’affectent pas. L’écran lui-même ne bouge pas, il reste immobile.
De même, la personne qui voyage en train croit qu’elle se déplace. À vrai dire, elle est assise et repose sur son siège et c’est le train qui se déplace à toute allure. La personne superpose le mouvement du train au sien parce qu’elle s’identifie au corps. Aussi pense-t-elle : “Je viens de passer une gare, puis une autre et encore une autre” et ainsi de suite. Si elle faisait un peu attention, elle se rendrait compte qu’elle est assise sans bouger et que ce sont les gares qui défilent devant elle.
Cela ne l’empêche pas de dire qu’elle a fait un long voyage comme si elle s’était efforcée d’effectuer elle-même chaque pas sur le trajet.
Le jnani, en revanche, est pleinement conscient que le véritable état d’être demeure fixe et immobile et que toutes les actions se déroulent autour de lui. Sa nature ne change pas et son état n’est nullement affecté. Il regarde toutes choses avec indifférence et demeure dans la pleine félicité.
L’état du jnani est l’état véritable ; il est également l’état d’être originel et naturel. Une fois que l’homme l’a atteint, il y reste établi. Une fois établi, il le sera pour toujours. Par conséquent, l’état qui prévalait durant les jours que j’ai passés au Pathala-lingam [endroit souterrain du temple d’Arunachala] continue depuis d’une façon ininterrompue avec cette seule différence que le corps restait alors immobile, tandis que maintenant il est actif.
Il n’y a aucune différence entre la conduite d’un jnani et celle d’un ajnani. La seule différence réside dans leurs angles de vision. L’ignorant s’identifie à son ego et prend, par erreur, ses activités pour celles du Soi, tandis que l’ego du jnani s’est dissous. Le jnani ne se limite plus à tel ou tel corps ou à tel ou tel événement ». (Ramana Maharshi, entretien 607 du 17-1-1939).

Le (les) sucres sont autant d’OUROBOROS ou micro-univers en TORE, CIRCULUS, ‘Je’-‘Je’ (3).
L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL cité plus haut concerne, par exemple, le fait de la tentative en physique de POSSÉDER PAR SON POUR-VOIR D’EGO EN SUJET-OBJET LE « TRAJET » D’UN SUCRE-PARTICULE, tenter une REPRÉSENTATION exacte de sa position et de sa vitesse dans le confort d’un « isme » de référence ; une tentative de « géométriser » la physique préconisée par Einstein : décrire EXACTEMENT, d’Instant en Instant, la « forme géométrique de l’espace » donc quasiment tenter de sortir de l’Univers pour le « voir », une folle physique déterministe et réconfortante dans la logique de s’installer, de se fixer dans un absolu de bidouille du mental (alors que TOUT bouge)….. À partir de là va commencer le déluge des : préventions, probabilités, précautions, etc., et indirectement toute la palanquée du sécuritaire et des projections-prévisions.

De même l’effet sucre étant UNIVERSEL, il est applicable en manière d’organisation de la communauté humaine : comme PLEIN DE PETITS PAYS-SUCRES-PARTICULES valent mieux qu’une gros, l’État son institution et son capitalisme, qui peut foutre le chaos partout : Plein de petits PAGANS ou COMMUNES d’environ 10.000 habitants agissantes selon le principe du (des) sucres, comme un seul sucre, comme « du temps de l’Atlantide »…. Dès que le nombre de 10.000 habitants dépasse, il se transmute en un autre Pays.
Sucre-Commune-Pagan = cultiver son Or intérieur.
RAPPEL : les nom-les-formes « poussent » de l’INTÉRIEUR vers l’extérieur, alors que la Re-présentation pousse de l’EXTÉRIEUR (la dureté) vers l’intérieur (le tendre). Cependant, comme en sculpture et énoncé par Auguste Rodin « cela doit pousser de l’intérieur vers l’extérieur » (la Forme/Volume doit être « habillée » d’énergie, comme « gonflée » ou nourrie). Donc les Pagans ou Pays partent de l’Intérieur pour rayonner vers l’extérieur, harmonisant les autres Pays transmutant par l’effet sucre ou domino DANS LES DEUX SENS (Involution-Évolution) une Unité NON PYRAMIDALE OU EN PYRAMIDE RETOURNÉE SUR SA POINTE, OÙ LE BIG BROTHER DE L’ÉTAT ET DU SALARIAT SERA UN MAUVAIS SOUVENIR.
D’accord avec Albert Einstein pour son sens de l’Intérieur vers l’extérieur ; « Une théorie peut être vérifiée par l’expérience, mais il n’existe pas de chemin qui mène de l’expérience à la création d’une théorie ». Là Nous retrouvons l’adage alchimique : « Explore l’intérieur de la Terre et en purifiant, ou en démêlant, tu découvriras la Pierre cachée ». Ou encore : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore » (principe de l’Éveil au sens bouddhiste).
L’utopie était celle de tous les 1789 et leur « Plus ça change et plus c’est la même chose », des réformes à n’en plus finir en dualité interminable de causes et d’effets : à chaque problème, une loi, et, comme l’opinion ou la polémique, c’est « éternel », sans fin, en évolutionnisme…

Comme déjà écrit, tout ne peut qu’être conscience, y compris les objets extérieurs : le temps n’existe que s’il y a quelqu’un pour le voir, et donc ce temps, les objets, la lune, ne peuvent exister que s’il y a une conscience pour les voir… Entre objet et conscience, que reste-t-il ??? Mais, le (les) SUCRES : PRINCIPE UNIFIANT DE TOUS LES PHÉNOMÈNES OBSERVÉS PAR LA CONSCIENCE : LE ‘JE’ (avec le J majuscule).

SUCRE = SPIN DE LA VIBRATION (liée à l’espace-temps NUL, ou « point mathématique »), même Paradoxe énoncé par Ramana Maharshi : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (entretien 28 du 4-2-1935). Comme de croire que l’électron n’est pas assimilable à un point mathématique, dans un espace nul : une masse non nulle, pour laquelle il lui faudra pourtant assigner un « espace », donc un ‘je’ ou ego…..
Alors la CONSCIENCE SEULEMENT (libéré des objets et du monde), le ‘Je’, ne peut qu’être dans un « temps sacré » (un non-temps) : c’est la CAVERNE DE PLATON : dans le mur-caverne il y a un « POINT C’EST TOUT » qui laisse voir la LUMIÈRE. Mais le mental de l’humain actuel fait qu’il sera comme un papillon de nuit AVEUGLÉ par la lumière d’une ampoule électrique. ‘Je’ et ‘je’ forment comme DEUX UNIVERS : celui que beaucoup de gens voient à l’extérieur (ils regardent le doigt au lieu de regarder la lune...), et son Point Focal (sucre), la Racine, l’Œuf ayant enfanté l’Univers situé dans le mental de chacun ET DANS LES TROIS RÈGNES : un sucre-point focal, LE TOUT, PAN, dans lequel notre Univers considéré comme extérieur aura plein de « points focaux » ou points de contact.

A suivre…


Notes.
1. Selon Jean Émile Charon, dans L’Esprit cet inconnu. Merci à vous. (Comment une approche, donc un Éveil, dont le synonyme ne peut qu’être SPIRITUALITÉ, aurait une « approche non scientifique » sous prétexte de s’intéresser à l’invisible, comme le termine le texte de la page Wikipédia sur J.E. Charon ? : « L'approche de Charon est ici d'ordre mystique, mais non scientifique ». Toujours le dilemme à l’Occidental Matière-Conscience, pur-impur, etc…)

2. Propulsion des soucoupes volantes par Jean Plantier : Les billes de Fer attirées par l’aimant. La soucoupe utilise une énergie qui applique une force à chacun de ses propres atomes et à chacun des atomes de l’air environnant (les sucres…..)
Les atomes se déplacent dans le sens de la force comme les billes ou sucres, la soucoupe se déplace en entraînent de l’air avec elle (le sucre est UN malgré qu’il soit plusieurs). Le principe c’est appliquer à chacun des atomes présents dans un volume donné ou région de l’espace, une force proportionnelle à leur masse, orientable et modérable à volonté. L’engin crée une pesanteur/force contrôlable et orientable qui est propulsive. Il n’y a pas de frottement d’air, donc pas de chaleur ni de bruit.
(C’est une sorte d’antigravitation, que l’on trouve dans les livres de science-fiction). C’est un peu un moteur dans chaque atome ! Mieux vaux plein de petits moteurs qu’un gros qui peut casser…
 
 
 
 
3. « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent. Le ‘Je’ est toujours là ». (Ramana Maharshi, entretien 49 du 24-4-1935).
 
 

Dernière mise à jour : 14-12-2020 23:58

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