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Relève, agiter, speed, émotion Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-04-2021 21:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Ampoule, Anarchie, Araignée, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Ouvrier, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Pieuvre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Rire, Royauté, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Washingtonisme, Yokaï

 
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Relève, agiter, speed, émotion
ce monde croule sous la vitesse.
Relève de la Chute. Relève chère aux Juifs
ces « réparateurs » du monde, dont un des
outils est la psychanalyse (freudisme).

Le speed si présent dans l’actuelle
épisode Covid-19 !!!

Tout concept et dogme est construit sur
l’émotion (mouvement : e-motion, mouvance).
 
Émotion, speed, sensation = SAISIE-OPINION,
fléchissement vers le speed-action intéressé
et utilitariste, englué de temporalité….
de sécurité et de fric.



« Vous n’allez nulle part hors de la Présence [Instant], comme vous vous l’imaginez. La Présence est partout. Le corps se déplace d’un endroit à l’autre, mais il ne quitte jamais l’unique Présence. Ainsi, personne ne peut être hors de vue de la Présence suprême. Comme vous identifiez Shri Bhagavân [Ramana Maharshi] à un corps, et vous-même à un autre corps, vous voyez deux entités séparées et vous dites que vous vous en allez d’ici. Quel que soit l’endroit où vous êtes, vous ne pouvez pas ME quitter [Tout est dans Tout].
Illustrons cela par l’exemple des images qui se déroulent sur un écran de cinéma : mais l’écran lui-même bouge-t-il ? Non. La Présence est l’écran ; vous, moi et les autres sommes les images. Les individus peuvent bouger, mais pas le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 470 du 10-3-1938).

ÊTRE COUR = ne pas s’identifier à un corps et à « je fais, je ceci, je suis cela », corps encouragé par le principe du capitalisme et de sa consommation par le « votre député, votre santé, vos vacances, vos vaccins, votre plombier, vos droits, vos ceci et votre cela », dans cette logique où le citoyenisé de 1789 est devenu le roi et donc le possédant suprême dans sa démocratie suprême, maintenant dans sa frustration suprême (1), comme d’ailleurs le montre l’actuelle course aux vaccins covidesques…..

ÊTRE COUR : Lorsqu’un œil voit une chose, il est lui-même vide comme l’écran de cinéma est vide de toute chose car il n’est pas influencé par les choses qui y sont projetées dessus. Un miroir reflète les visages de façon neutre ; mais comme pour l’écran de cinéma, c’est dans la vacuité qu’apparaissent les noms-les-formes, car comme l’écran de cinéma le miroir est neutre ou ne contient rien. En comprenant qu’il n’y a jamais eu de miroir ou d’écran et encore moins de visage, soit ni sortie ni entrée ou ni déroulement d’images, on ne peut que « saisir » la désignation appelée Ainsité, variation du Thème Cour.

ÊTRE COUR ou dans Nostre propre Nature : le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Le Centre ou le non-moi, au-delà du speed de la pensée ou raison et de ses noms-les-formes.
ÊTRE COUR = CE QUI NE PEUT ÊTRE OBJECTIVÉ, CE QUI NE PEUT ÊTRE POSSÉDÉ. Certains appellent cet état de COUR : « INCONSCIENT ». Ramana Maharshi nomme cet état « au-delà du sommeil profond »(2) : ainsité d’être, ni réalité ni non-réalité, inexistante et non-inexistante. Cet « inconscient » n’est nullement l’inconscient collectif à la Carl Gustav Jung, sorte de gros disque dur contenant beaucoup d’informations : de la « mémoire ». Cet « inconscient » n’est donc pas un contenant possédant un contenu genre des imprégnations, genre plein de petites vérités récoltées un peu partout pour au final en former une grosse à la mode du « jugement dernier » et de son « Circulez ya plus rien à voir » !
Cet « inconscient » est comparable aux ESSENCES de Jean Coulonval : des germes de semences, des « énergies structurantes », et non possédables.
Cet « inconscient » n’est pas non plus une substance spirituelle : il n’est qu’une « suite » d’Instant en Instant qui se renouvellent à chaque Instant (Instant naturellement insaisissable).
La continuité illusoire n’est rien de plus que ces semences ou Instants : des articulations d’Instants comme dans l’effet sucre ou domino (2). Cet effet sucre d’Instant-connaissance-conscience est causation sans commencement ni fin ; sans permanence qui dénoterait une routine, un mécanisme ou une religion sécurisante ; et sans discontinuité.


Dans le speed de l’émotivité mondiale exacerbée, et dans sa dualité omniprésente, et dans sa laïcité (surtout à la française), il y a deux consciences, ou elle est double :
- La vraie connaissance enraciné par le Retournement de la Lumière.
- Le faux savoir ou « culture » qui engendre possession, besoin et désir sans fin dans l’évolutionnisme juif du toujours plus d’en savoir toujours plus et qui ainsi privilégie le « stockage sur disque dur » du genre d’un inconscient collectif à la C.G. Jung, un socialisme qui détruit la perception des natures propres ou des « Qui suis-je ? ».

Donc deux sortes de mémoires-pensées, deux sortes de consciences, etc.
La conscience conceptualisante, qui calcul, la raison, est le seul agent de l’ignorance et de l’illusion. Dans cette « raison » se trouvent les cinq sens (ou 5 consciences), puis un genre de « conscience mentale » qui se contente de percevoir les objets des sens. C’est la conscience produisant la dualité sujet-objet : LA DIFFÉRENCIATION à la fois utile mais surtout trompeuse et qui servira beaucoup le capitalisme….. sous l’influence d’une septième conscience appelée « manas » (faculté de penser). Cette « manas » se vautre dans la dualité bon-mauvais, utile-inutile, désirable-indésirable, etc., ce qui engendre le samsara, l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule)

« Rappelez-vous toujours que le monde n’est qu’une projection du mental, et que le mental est dans le Soi. Où que le corps aille, le mental doit être gardé sous contrôle. Le corps se déplace, mais non le Soi. Le monde est dans le Soi, c’est tout » (Ramana Maharshi, entretien 514 du 16-9-1938).

Émotion, speed, sensation = SAISIE-OPINION, la Materia Prima de l’Alchimie en sa partie psychique, sorte de pensée YANG, avec pour balance un état YIN de la pensée en non-dualité, libéré du monde de l’HOTC. Car elle échappe à la mémorisation et devient COUR, EAU PRIMORDIALE : TOUT COULE ENFIN QUAND LE MENTAL N’EST PLUS CE KILLER, QUAND IL N’ENTRE PAS L’EGO QUI ESSAYE TOUJOURS DE « TIRER SON ÉPINGLE DU ‘JE’ » ; IL SE PRODUIT ALORS UNE TRANSPARENCE EXTRÊME, UNE EAU D’UNE LIMPIDITÉ LA FAISANT PARAÎTRE « AUCUNE EAU », DANS LE GENRE D’UN « JE NE SAIS QUOI » À LA BASE DE LA VOIE DU « QUI SUIS-JE ? » OU AUTO-LIBÉRATION.
LE « QUI SUIS-JE ? » À NE SURTOUT PAS CONFONDRE AVEC LA MODE DU « DÉVELOPPEMENT PERSONNEL », OU AVEC LA PSYCHANALYSE FREUDIENNE.
« Le Secret de la Fleur d’Or » déclare d’emblée [avant de « faire société » avec l’extérieur] qu’avant de tenter de viser l’épanouissement de la Fleur [sens vrai de développement personnel ou de réalisation du Soi : Art ne fait qu’aider Nature, en besognes déjà faites par Nature même… (2)], il faut établir une position ferme dans le monde du quotidien. Cela veut dire qu’on doit savoir fonctionner correctement dans sa propre culture et dans sa propre société, quelles qu’elles soient [chose devenant de plus en plus difficile dans ce régime mondialisé du winnerisme de l’argent]. La pratique de la Fleur d’Or [en fait, la Réalisation du Soi] n’est pas au départ une thérapeutique destinée aux personnes souffrant de déséquilibres graves, mais un moyen de développement supérieur offert à tout un chacun [c’est le : « Le Royaume des Cieux est en vous », sans condition, et pour tous.
Celui ou celle qui parvient à « se voir elle-même ou lui-même » risque d’être très déçu comme dans la révélation de la fin d’un film ou de la fin du mystère. Et quelque soient les vertus de la personne, cette personne de par son hérédité, son éducation, tant d’exemples qui lui ont été inculqués, cela ne coïncidera jamais avec sa Vraie Nature. D’où un risque de déception abyssale.
Par contre, si cette même personne finit par découvrir sa SEULE AUTHENTIQUE LIBÉRATION : cette personne ne s’identifie plus à ce qui lui apparaît de l’extérieur. Ensuite, ses critères quant à la « valeur » des opinions inculquées sont totalement différents.
L’HUMAIN LIBÉRÉ SE RECONNAÎT AINSI D’INSTANT EN INSTANT, NATURELLEMENT, SANS AUCUN EFFORT ; ET CE QU’IL PERÇOIT NE LE CHAGRINE NI NE L’EXALTE, CELA L’AMUSE, COMME ILLUSTRÉ PAS DES REPRÉSENTATIONS DE TAOÏCITÉ DE LIBÉRÉS (les illustrant en crétin ou en sot qui rigole)
.

Le mental-raison n’est qu’un outil, il ne doit pas être comme actuellement le maître. CE MENTAL-RAISON DOIT ÊTRE LA NUIT OBSCURE DE JEAN DE LA CROIX, DONC ÊTRE COUR, COMME L’ÉCRAN DE CINÉMA NEUTRE COMME LE BLANC DE L’INSTANT : UNE EXPÉRIENCE HORS DE L’HOTC ET DONC INNOMMABLE (au sens du Fléau...), LA SEULE EXPÉRIENCE AUTHENTIQUE DONT NOUS NE POUVONS PAS FAIRE UN OBJET, CE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, OU DU SUPPORT. SEULE LA RAISON VULGAIRE (vritti) FAIT DES DISTINCTIONS. LA TRANSMUTATION DE L’OUTIL-MENTAL SE DÉROULE CACHÉE, ET S’ÉCOULE DANS LE VISIBLE, COMME UN CONSCIENT RESSEMBLANT DE L’EAU À L’EAU.
« Vous êtes toujours le Soi. Vous n’êtes pas le mental », dit le Maharshi à l’entretien 68 du 21-7-1935.


« La vritti est souvent prise par erreur pour la conscience. Mais elle n’est qu’un phénomène qui opère dans la région d’ābhâsa (conscience réfléchie). La vraie connaissance est au-delà de la connaissance relative et de l’ignorance. Elle ne revêt pas la forme de vritti. En elle, il n’y a ni sujet ni objet.
La vritti appartient au mental rajasique (actif). Le mental sattvique (mental au repos) est libre de vritti. Il est le témoin du mental rajasique. Il est sans aucun doute la vraie conscience. On l’appelle encore mental sattvique parce que la connaissance en tant que témoin n’est qu’une fonction de la conscience réfléchie (âbhâsa). Une telle connaissance suppose l’existence du mental. Le mental est âbhâsa; par lui-même, il est inopérant. C’est pourquoi on l’appelle mental sattvique. Tel est l’état du jivan-mukta [libéré-vivant]. On dit également que son mental est mort. N’est-ce pas un paradoxe de dire qu’un jivan-mukta a un mental et que ce mental est mort ? C’est pourtant une concession qu’il faut faire lorsqu’on parle avec des ignorants.
On prétend aussi que le brahman est le mental du jivan-mukta. Comment peut-on parler de ce dernier comme brahmavid (celui qui connaît le brahman) ? Le brahman ne peut jamais être un objet de connaissance. C’est cependant ainsi que l’on s’exprime en général.
On suppose un mental sattvique chez le jivan-mukta et chez Ishvara. “Autrement, disent-ils, comment le jivan-mukta peut-il vivre et agir ?” C’est pourquoi l’existence du mental sattvique doit être concédée dans ce genre de discussions.
Le mental sattvique est, en fait, la conscience absolue. L’objet vu et celui qui voit finissent par se fondre l’un dans l’autre [l’Eau à l’Eau] et seule demeure, suprême, la conscience absolue. Ce n’est pas un état de shûnya (vide) ou d’ignorance. C’est le svarûpa, le Soi réel. Certains disent que le mental s’élève en premier de la Conscience, suivi par la conscience réfléchie (âbhâsa). Pour d’autres, l’âbhâsa s’élève d’abord, suivie par le mental. En fait, les deux sont simultanés ». (Ramana Maharshi, entretien 68 du 21-7-1935).

La mort de ce monde se fera par son perpétuel sur-investissement, par son perpétuel utilitarisme et son speed, et par sa perpétuelle croissance. Bref, le winnerisme finira par faire s’écrouler ce monde.

Notes.
1. Dans le régime de l’État, la démocratie inhérente à l’ego fonctionne sur le principe des conflits d’intérêts, elle est condamnée à la frustration permanente par ses propres limitations. Elle ne peut mener qu’à la nullité.
Le ‘je’ ou ego du démocrate ne peut aucunement être un total, une globalité, un in-fini, un « roi » ou un État, puisqu’il se définit par rapport à un Toi, formant le social, formant la « démocratie » et l’État, il sera donc limité et frustré par ce qui le différencie de ce Toi… C’est le même principe que le Dieu unique, ce que par exemple la théologie chrétienne exprime en disant qu’il ne peut y avoir qu’un seul Dieu car, s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas in-fini. Il en est ainsi du ‘je’ ou ego de chaque individu ou maintenant consommateur sous domination du salariat, de l’État et du capitalisme.

2. Les sucres « circulent » d’instant en Instant où ils sont dans un état « excité » ; l’état du sommeil profond correspond à « l’espace entre deux sucres qui ne font qu’un » [important, important], et même c’est AU-DELÀ DU SOMMEIL PROFOND que se « situe » le ‘Je’, comme le signale le Maharshi (veille, rêve et sommeil profond sont les trois états appartenant à l’ego. « Le Soi transcende même l’ego », entretien 13a du 7-1-1935).
Ramana Maharshi dit même que le sommeil profond est notre état naturel, Parce que dans cet état « il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi […]. Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ». (Entretien 2 du 15-5-1935).

Ainsi dans le sommeil profond chaque sucre-électron, donc chaque ‘Je’ qui n’en font qu’UN (puisque livré à un IDIOTÈS englobant le TOUT), AVEC CEPENDANT LA POSSIBILITÉ D’UNE FORME DE DUALITÉ DEDANS-DEHORS : acquisition d’informations extérieur, sinon par exemple la TCI et le Chronoviseur sont impossibles. En parapsychologie entre le dedans-dehors il y aura UN MÉDIUM ; et c’est là que les choses deviennent complexes, à cause du simple mot faisant tant de ravage à ce hui : POUR-VOIR (les sots veulent posséder, voir, saisir, ingurgiter des preuves…).
Mais au-delà infiniment au-delà se trouve l’AMOUR-GRATUITÉ incommensurablement plus Zéro indien, et VRAIE RÉSONANCE TÉLÉPATHIQUE.

 
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Dernière mise à jour : 01-04-2021 22:15

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