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Utilitarisme : la jouissance d’un bien Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-04-2021 21:51

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Utilitarisme : la jouissance d’un bien
L’EMPLOI, d’où l’USURE, la FRÉQUENCE qui
engendre l’usure par l’emploi, par la saisie;
par l’US-TENSILE.


L’US-TENSILE : LES HUMAINS MODERNES NE SUIVENT
QUE LEURS INTÉRÊTS ; ILS APPELLENT ÇA
« DÉMOCRATIE ».
 
 
L’US-tensile, la Croyance sont de l’utilitarisme
nécessairement limitée dans le spatio-temporel.

L’US-TENSILE = ARTIFICE de l’art-artisan de l’humain
est utilitaire propre à briser sa nature originelle,
le Soi, le TAO, en tant que mystère de la création
universelle : la nature fondamentale de chaque
nom-la-forme, Soi ou TAO permettant le transport
vers sa perfection en non -dualité dedans-dehors.

Seul est Vrai ce qui ne peut pas être saisi,
le sujet ne saisissant pas son objet.
Paradoxe : car nécessité d’un temps, même
infinitésimal entre le sujet et son objet.
Comme dans le Rêve du Papillon (1) :
TOUT EST DANS L’INSAISISSABLE DIFFÉRENCE
ENTRE LE PAPILLON ET TCHANG TCHEOU.
Il n’y a que par le non-agir ou l’insaisissable
que les choses peuvent naître, ce qui est appelé
par Tchouang-tseu « Changement des êtres ».


CHANGEMENT DES ÊTRES = L’INSAISISSABLE : LE
CATÉCHISME OCCULTE (2) la Voie, le TAO ou Soi tend
toujours à un terme final, genre « fin des temps »
mais n’y aboutit jamais comme le principe du messie
est de ne jamais arriver ; l’INSTANT EST INSAISISSABLE.
LE MESSIE ARRIVÉ : IL EST MORT ! AVEC SON ARRIVÉE
LE MONDE EST MORT, ainsi le Soi fait qu’on ne
s’arrête nulle part dans le monde… et ailleurs….

L’être humain appartient à l’IMMANENCE :
le « Qui suis-je ? », ou « Le Royaume des Cieux
est en vous ». Par Cela, il peut accéder à la
TRANSCENDANCE : le DIABLE : AU TRAVERS (DIA, comme
dialogue, DIAgonale, du grec dia- signifiant à
travers (dialyse).
Une telle perspective de Balance Immanence-Transcendance
n’est possible que par le « Qui suis-je ? » moniste,
dans le Centre est nulle part et la Circonférence est
partout. Le Centre nulle part étant le Soi, Il ne peut
pas être le « Grand Architecte de l’Univers » (GADLU)
d’une certaine judéo-maçonnerie spéculative de
l’après 1717, laquelle patauge dans le domaine
limité du spatio-temporel de l’expérience façon
de l’empirisme à la John Locke.

US-TENSIL, U-TILITARISME de U U-nité, V-aleur, Ver(s)-I-té,
défiguée eu UTILITAIRE ET CRÉATION DE BESOINS INUTILES
MAIS UTILE À SES VENDEURS QUI EN TIRENT DU PROFIT.
Nostre époque est celle des pseudo-besoins.
Vaccins et produits inutiles fabriquent leurs propres
consommateurs, visible particulièrement avec le délire
autour des « vaccins » covidesques pour faire des
consommateurs perpétuellement insatisfait ou perpétuellement
« attaqués » par des virus artificiellement modifiés.
Les « vaccins » covidesques deviennent des produits de
consommation COMME STYLE DE VIE AU MÊME TITRE QUE CETTE
VIE DE CONSOMMATEURS PERPÉTUELLEMENT MÉCONTENTS.


MARKETING COVID-19 ET VACCINS = MARKETING COMME POUR
FORCER À VENDRE LES INVENDUS PARCE QUE LES GENS SONT
DEVENUS MÉFIANTS, BLASÉS.

MARKETING COVID-19 ET VACCINS = ÉDUCATION OU
MANIPULATION DES GENS POUR RESSENTIR UN APPÉTIT
INSATIABLE : ICI SE FAIRE VACCINER CONTRE LE COVID-19-X.

MARKETING COVID-19 ET VACCINS = REMÈDE UNIVERSEL AUX
MAUX FAMILIERS EN PLUS DE L’ÉVENTUEL COVID ET DU
MALAISE DE PLUS EN PLUS IMPORTANT DANS CETTE
CIVILISATION TECHNO-INDUSTRIELLE ET POLICIÈRE ÉTATIQUE.

La propagande vaccinale est marchande, elle affirme
le dogme de la consommation comme solution de
remplacement à la protestation et à la rébellion
(effacement des Gilets Jaunes).
Le travailleur fatigué se fait vacciner pour faire
« comme avant » au moyen de nouvelles consommations
au lieu de changer radicalement son mode de vie.
Les « vaccins » covidesques et leur propagation
marchande infernale et de la consommation d’icelle
transforme l’aliénation ou la maladie elle-même en
une marchandise.
Cette propagande marchande covidesque se tourne vers
le vide spirituel du monde actuel et propose la
consommation de vaccins comme remède à tout les maux !
Par sa propagande d’un « monde d’avant » et par
ses « vaccins » elle promet de contrer tous les
malheurs traditionnels, TOUT EN LES CRÉANT (voir
le grave problème des effets secondaires et bientôt
grandement mortels à une échelle mondiale du fait des
défenses naturels immunitaires totalement détruites
chez les milliards de Terriens piqués…), AINSI
ELLE EXACERBE LES NOUVELLES MANIÈRES DE SOUFFRIR !
ANXIÉTÉ ET ANGOISSE, PEUR, SONT AMPLIFIÉS COMME JAMAIS
DANS CETTE SOCIÉTÉ QUI SE VEUT « SÉCURISÉE »
(depuis le coup du 11-09-2001).


Comme dans le domaine de propagande publicitaire pour
vendre une lessive, le problème essentiel des « vaccins »
covidesques n’est pas de déterminer si l’information décrit
avec vérité une situation qui serait « objective »,
MAIS À LA FAIRE PASSER POUR VRAIE.
Si une vérité ressemble à de la propagande,
il faut la supprimer ; la seule raison de supprimer ou de
cacher une nouvelle, ne peut qu’être son caractère
INCROYABLE, PARCE QUE NOUS SOMMES DEPUIS DES MILLÉNAIRES
DANS CETTE DIMENSION DE LA CROYANCE-CONFIANCE-CRÉDIT-CRÉDO
CRÉANCE, où les anciens banquiers se nommaient
« Marchands de confiance »

Celui qui SAIT ne dit pas « Je crois »,
ne dit pas « J’ai la foi » (comme il dirait « J’ai
un smartphone… »).

CROYANCE = CRÉDULITÉ HUMAINE : une totale et intolérable
incapacité individuelle de croire en quoi que ce soit,
on peut aussi appeler ça « liberté d’expression » ou
« laïcité ». UNE CROYANCE PAR PROCURATION :
L’ÉTAT, LES INFOS.
Le fanatique ne croit à rien, sauf à l’extérieur censé
en connaître plus que lui, c’est pourquoi il croit
à l’extérieur quoique ce fanatique ne sache rien de
cet extérieur ni de ce que cet extérieur sait.
La crédulité humaine est toujours extrêmement
changeante, comme l’opinion.
« Faut-il le voir pour le croire ?
ou le croire pour le voir ? »


De nos jours d’aliénation par la technologie la propagande
se confond avec l’information mélangés d’obscurs jargons
dérivés de pseudo-sciences : un langage maintenant covidesque
qui package ses affirmations d’un aura « scientifique »
délibérément inintelligible (comme « vaccin recombinant »),
afin de séduire les masses qui se sentent d’autant mieux
renseignées que leurs idées sont chaotiques en cette
civilisation du chaos. En régime capitaliste et républicain
il est bien connu que l’humain ordinaire n’a pas à penser !
Il a à travailler et l’État et ses « élites » pensent pour lui !
L’autorité capitalo-républicaine qui a remplacée
l’Église de Rome et la monarchie pense pour lui.


L’humain actuel reçoit de l’extérieur la loi qui le programme,
conformément au tout connecté, au tout « smart »….


ROBOTISATION DE LA CIVILISATION ET FAUSSE RÉVOLUTION :
Le robot moderne au tout électrique remplace les ouvriers manuels si souvent déconsidérés, comme il y a peu en 1968 avec l’afflux énormes d’étudiants qui, pour fuir la déchéance vu comme la condition ouvrière, sont surtout préoccupés de s’assurer des jobs où l’on ne travaille pas avec ses mains. Mais il y avait pire en mai 1968, ces étudiants fils de bourgeois bien décidés à ne jamais tenir un outil dans leurs mains, qui prétendaient « enseigner aux ouvriers » ce qu’est la condition ouvrière, et qui vendaient sur les marchés populaires leurs journaux gauchistes, vêtus de faux habits de travail, y compris avec les raccommodages. Des imbéciles extras, de la daube à diplômes et à ENA pour finir dans les bandes organisées du gouvernement Français et sa république, et dans ses entreprises multinationales.

LA « RAISON », LA PENSÉE UNIQUE DÉMARRE BIEN DE FRANCE AVEC L’ENCYCLOPÉDIE DES PERRUQUES POUDRÉES DIDEROT ET CIE.
Tous codes, grammaires et encyclopédies et « académie » (usine à penser puis à enseigner), tous systèmes informatiques pensés par certains et leurs systèmes d’exploitation en Ios ou en ”Windows” sont des fabriques à pensée unique. Les études scolaires partent de ces usines à pensées uniques, de ces codes et de ces grammaires, pour invoquer le sens, MAIS IL N’EXISTE AUCUNE ÉCOLE POUR ALLER DU SENS VERS LE SIGNE (la Lumière). Car les mots sont tous des maux, imparfaits, conventionnels, ambigus, discontinus. Ce n’est pas pour rien que l’ascèse monacale, le contemplation silencieuse, la pêche du sens est supérieure à la dialectique verbale. Dans la mesure où l’on réussit à s’exprimer; le sens pur s’éteint, se coagule, s’appauvri.
De même que les informateurs et autres « lanceurs d’alerte », les « conseils scientifiques » dans ce « tout connecté » sont eux aussi des usines à pensée unique, des convertisseurs en conventionnel ; les laisser faire ou les écouter c’est accepter d’être converti, c’est-à-dire mangé, digéré, assimilé, vacciné…

Concernant l’actuel délire autour des vaccins covidesques, ils sont typiquement du politisme républicain : dans son grégarisme ou son TOUT CONNECTÉ, son « VIVRE ENSEMBLE » dans cette mode du social, l’individu est à la fois amplifié (par exemple il est un consommateur, un électeur) et nié (même soupe pour tous). Le régime capitalo-républicain nie que l’individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu’il choisisse constamment la bonne (possibilité de choix à la fois affirmée et niée) ; c’est particulièrement visible dans le cas de la Galice en Espagne qui va punir ceux qui refusent de se faire piquer contre le covid-19 : une amande entre 1000 et 60.000 euros ; donc « pas d’obligation » mais une amande… Le choix est à la fois nié, vous devez payer, et affirmé si vous payez… CAS TYPIQUE DE LA DIALECTIQUE MATÉRIALISTE DE L’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule). CAS TYPIQUE D’APORIE OU D’IMPASSES LOGIQUES QUI INONDENT CE MONDE COMPLEXIFIÉ EN CHAOS À LOISIR.


TRAGIQUE MÉPRISE SUR LE MOT « ÊTRE ».

Ce mot le plus usité (avec l’« avoir » du culte du narcissisme du consommateur) est pourtant le moins définissable.
Le sens originel de Être était ex-istence : ce qui est issu, extériorisé d’un Être. L’usage courant dit que TOUTE CHOSE EST, ou EXISTE, de sorte qu’on dit aussi que le CENTRE EST NULLE PART, NE DEVANT SON CENTRE À PERSONNE. IL EST DONC NULLE PART, PUISQUE SA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. LE CENTRE N’EXISTE PAS, IL EST : «  Je suis ce JE SUIS ».
Ce Centre qui est nulle part n’est pas ce Dieu représenté dans un espace euclidien ou spatio-temporel en vieillard robuste à barbe et cheveux blancs.

L’être humain sous covid-19 par ses vaccins A LA TENTATION D’EXISTER, SOIT TOUT SIMPLEMENT IL PROTESTE CONTRE LA VÉRITÉ.


Comme dans le Rêve du Papillon (1) :
TOUT EST DANS L’INSAISISSABLE DIFFÉRENCE
ENTRE LE PAPILLON ET TCHANG TCHEOU.
Il n’y a que par le non-agir ou l’insaisissable
que les choses peuvent naître, ce qui est appelé
par Tchouang-tseu « Changement des êtres ».
Les choses du Seul Réel sont censées n’exister
qu’à peine, par LA NON SAISIE : SE TROUVER ÊTRE
DÉPOSSÉDÉE DE SA PRÉTENTION À N’ÊTRE QUE
LE SEUL RÉEL.
Paradoxe du Centre est nulle part et la
Circonférence est partout : le ‘je’ ou ego, donc
LE DÉTAIL, n’est pas une globalité, un in-fini,
car il se définit dans le détail : par rapport à
un ‘toi’, et qu’il est donc limité par ce ‘toi’.
Paradoxe d’un élément existant appartenant à un
ensemble no, existant : le Centre ;
ou : Unité reconnue comme égale à une, mais
incapable de donner deux puisque le Centre est
nulle part : on ne peut pas lui ajouter un second
qui le ferait disparaître en tant qu’Unité.
C’est pourquoi par exemple la théologie chrétienne
dit qu’il ne peut y avoir qu’un seul Dieu car,
s’il y en avait deux, chacun serait limité par
ce qui le différencie de l’autre et ne serait
donc pas in-fini.
Il en est ainsi du ‘moi’ ou ‘je’ ego de chaque
individu maintenant consommateur qui ne peut être
UN IN-FINI, UN TOUT.

Ce TOUT se retrouve dans le ‘Je’ qui n’est pas un
consommateur à côté d’un autre consommateur.
Il n’est pas non plus perception d’un social, une
quantité chère au productivisme capitaliste.
Le ‘Je’ est au-delà du spatio-temporel.
Il est au-delà de la dualité sujet-objet.
Ce ‘Je’ est le BLANC DE L’INSTANT, le CRU-EL :
la chose elle-même non-masquée, dénuée de sa peau
et de ses US-tensiles ordinaires, et réduite ainsi
à son unique Réalité aussi saignante, cru,
qu’indigeste depuis que l’humain fait « cuire »
grâce à sa découverte de l’US-tensile Feu vulgaire.

CRU-EL, du EL ou AL le Divin : le cruel de la Réalité
ne réside pas dans son caractère essentiellement cruel
mais dans son caractère inéluctable :
indiscutablement RÉEL.
Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait
sans masque, on mourrait ». parce qu’on ne trouverait
que du RIEN, du VIDE : « Dieu créa l’homme ; et l’homme
créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et
des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont
été créés » (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936).
L’être humain sous covid-19 par ses vaccins
A LA TENTATION D’EXISTER, SOIT TOUT SIMPLEMENT
IL PROTESTE CONTRE LA VÉRITÉ.

SI LA VÉRITÉ EST CRU-EL, C’EST QU’ELLE EST FAUSSE….
CE QUI FERA LE BONHEUR DE L’ÉVOLUTIONNISME JUIF EN HOTC
EN DES DÉLUGES D’ILLUSIONS SANS FIN…
IL N’Y A PAS PLUS CRÉATIONNISTES, PAS PLUS
MATÉRIALISTES QUE LES YAHVISTES.




Notes.
1. « Jadis, Tchouang Tcheou rêve qu’il était un papillon voltigeant et satisfait de son sort et ignorant qu’il était Tcheou lui-même. Brusquement il s’éveilla et s’aperçut avec étonnement qu’il était Tcheou. Il ne sut plus si c’était Tcheou rêvant qu’il était un papillon, ou un papillon rêvant qu’il était Tcheou. Entre lui et le papillon il y avait une différence. C’est là ce qu’on appelle le changement des êtres » (Tchouang-tseu, fin du chapitre La réduction ontologique). De même au chapitre Tsö-Yang : « Tous les êtres ont leurs raisons d’être [évidemment aussi les virus, les « mauvaises herbes », etc.]. Comme le TAO [ou Soi] ne favorise aucun d’eux, ainsi il est sans nom. Étant sans nom, il n’agit donc pas, et cependant par son NON-AGIR, tout se fait.

PAR LE NON-AGIR TOUT SE FAIT : si le TAO avait un nom il tomberait et dans la dualité, et dans l’opinion ! C’est pourquoi le TAO ne peut pas comporter un nom (TAO est seulement une désignation temporaire) qui risque de se fixer d’une façon particulière et déterminée, à la façon du messianisme : « fin des temps » et de son « Circulez ya plus rien à voir ». Avoir un nom désigne déjà une SAISIE, UNE POSSESSION.
Si le TAO est sans nom, c’est qu’il est zéro, un, indivisible ; or pour qu’une action soit possible, il faut au minimum qu’il y ait un sujet qui agisse sur un objet ou sur le « monde objectif », l’ailleurs sur lequel ce sujet agit. Ainsi n’ayant pas la dualité du sujet et de l’objet, le TAO n’agit donc pas. C’est lorsque le TAO n’agit pas à la manière du « isme » de l’homme qu’il n’y a rien qui ne se fasse selon SA NATURE PROPRE (et par là-même définition du mot NATURE). En d’autres mots, c’est lorsque le TAO opère de FAÇON SPONTANÉE, DANS L’INSTANT OU ICI ET MAINTENANT, que tous les noms-les-formes du monde se réalisent selon leur propre Sans Pourquoi ou leur propre « Je suis ce JE SUIS », selon leur propre CELA ou perfection intrinsèque (sans dualité dedans-dehors, sans caractéristique).

2. “ Qu’est-ce qui est toujours ? “ - “ l’espace, l’éternel, le sans parents “ - “ Qu’est-ce qui fut toujours ? “ - “ le germe dans la racine “.
“ Qu’est-ce qui, sans cesse, va et vient ? “ - “ le grand Souffle “.
“ Il y a donc trois Éternels ? “ - “ Non, les trois sont un. Ce qui est toujours est un, ce qui fut toujours est un, ce qui est et devient sans cesse est un aussi : et c’est l’Espace “.........
(La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, Préface)
Page d’archive préhistorique.
Un manuscrit archaïque - assemblage de feuilles de palmier rendues, par quelque procédé inconnu, inaltérables à l’eau, au feu et à l’air - se trouve sous les yeux de l’auteur. Sur la premier page l’on voit un disque blanc immaculé, sur fond noir.
Sur la suivante, il y a un disque semblable, avec un point au centre. L’étudiant sait que le premier représente le Cosmos dans l’Éternité, avant le réveil de l’Énergie encore assoupie, émanation de l’Univers en des systèmes postérieurs. Le points dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en “ repos “, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’OEuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Cosmos illimité et périodique, ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif.
Le cercle unique est l’Unité divine, dont tout procède, où tout retourne : sa circonférence, symbole forcément limité de par les limites de l’esprit humain, indique le PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable, et son plan, l’Âme Universelle, bien que les deux ne fassent qu’un. La surface du disque est blanche et le fond est noir : cela montre clairement que ce plan est la seule connaissance qui soit accessible à l’homme.
(D’après La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, début de la Préface)
 
 

Dernière mise à jour : 12-04-2021 22:42

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