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Ecrit par Sechy, le 18-05-2021 00:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Numérisation, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Phénix, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Le Salut façon monde meilleur
La « certitude » winneriste d’un « monde meilleur »
toujours dans cette géométrie euclidienne de la ligne
droite : LA CHUTE.
Alors celui qui invente le concept de « liberté »
invente en même temps son contraire : la soumission.
La valeur invente du même coup son contraire le
voleur et les verrous, comme le saint engendre
le diable, comme le sacré engendre le profane (1)

Pourquoi demandez-vous le salut ?
Qui a conçu le Salut et ses religions ?
Qui a conçu la Laïcité ?
 
Ceux qui inventèrent l’argent inventèrent du
même coup les problèmes : la CHUTE et le SALUT.


- Maharshi : La soumission ne peut avoir d’effet que quand elle s’effectue en toute connaissance. Cette connaissance est le résultat de la recherche. Elle aboutit à la soumission.
- Question : La connaissance de l’Être suprême se produit après avoir transcendé le soi individuel.
C’est le jnânâ. Quelle est alors la nécessité de soumission ?
- Maharshi : C’est exact. Il n’y a pas de différence entre le jnânâ et la soumission. (Sourire)
- Question : Comment le questionneur peut-il alors être satisfait ? La seule alternative qui lui reste est, soit la compagnie des sages (sat-sanga), soit la dévotion à Dieu (īshvara-bhaktī).
Le Maharshi sourit et dit : « Oui. »
(Entretien 462 du 19-2-1938).

Le Salut sur cette planète : « gagner de l’argent », but unique UTILITAIRE de la vie de plus de 7 milliards de Terriens !!! Le salut devient alors de pouvoir « descendre dans sa tombe chargé d’Or et de richesse », des POSSESSIONS. Que d’autres désirs liés à la loi de succion prennent forme, et l’éthique biblique du « travail à la sueur de son front » en prend un coup dans l’aile !
FRONT-SUEUR = CORPS OU « AUTONOMIE », qui constitue le phénomène « démocratie » : être heureux ou libre dans la sueur ou le corps travaillant. Démocratie : la loi de succion en son principe ou la liberté de posséder selon l’individualisme possessif, l’EGO. Autrement, dans une « non-démocratie », le travailleur devient aliéné s’il n’a pas la possibilité de contrôler ou de « prendre conscience » individuellement du processus de son travail Ici et Maintenant.

« Le silence est ‘je’. Si l’un pense « Je suis ceci », un autre pensera « Je suis cela » et ainsi de suite [la possession du ”votre député, votre santé, votre voyante, votre conseillé, etc.”]. Il se produit des conflits de pensées et tant de religions en résultent. La vérité reste ce qu’elle est, elle n’est affectée par aucune déclaration, conflictuelle ou autre ».(Ramana Maharshi, entretien 248 du 15-9-1936).


Un jeune homme demanda : « Les pensées ne sont-elles pas que matière ? »
- Maharshi : Que voulez-vous dire ? Quand vous dites « matière », pensez-vous aux choses que vous voyez autour de vous ?
- Question : Oui, comme les objets.
- Maharshi : Qui pose cette question ? Qui est le penseur ?
- Question : Le penseur est esprit [conscience].
- Maharshi : Voulez-vous donc dire que l’esprit [conscience] engendre la matière ?
- Question : C’est ce que je voudrais savoir.
- Maharshi : Comment différenciez-vous l’esprit de la matière ?
- Question : L’esprit est conscience, la matière ne l’est pas.
- Maharshi : La conscience peut-elle engendrer la non-conscience, ou la lumière les ténèbres ?
(Entretien 613 du 21-1-1939)
Si tout est conscience, y compris les objets extérieurs, et s’il n’y a pas de conscience sans objet, quelle est la vérité du Soi seulement ? En d’autres mots : Quand l’objet a été complètement analysé, l’analyse n’a plus rien à saisir. En l’absence de saisie, il n’y a pas de naissance ni de loi de succion. C’est ce qu’on peut appeler « Nirvana ». Mais si la conscience admet le pouvoir de cette dualité, elle est en danger : si la conscience a le pouvoir de prouver en l’analysant son objet, sur quoi repose l’existence de la conscience ? Si au contraire, comme actuellement dans cette civilisation de consommation en idolâtrie de la marchandise et du judaïsme, c’est l’objet qui prouve la conscience, quel est le point d’appui de l’objet ou de l’idolâtrie de la marchandise ? S’ils dépendent l’un de l’autre pour exister, AUCUN DES DEUX N’EXISTENT RÉELLEMENT. Si la pousse naissant de la graine révèle la réalité de la graine, pourquoi la conscience née de l’objet de consommation par loi de succion n’en révélerait pas l’existence (réelle) ?
L’existence de la graine est constatée par une conscience différente de la pousse. Mais qui constate l’existence de la conscience à laquelle l’objet est révélé ?
Si un Dieu façon Ancien Testament est la Cause des causes, Qu’est-ce que c’est pour vous, de l’Ancien Testament, ce Dieu ? Car ce n’est pas écrit dans votre « Testament ». Alors, pourquoi toutes ces violences autour de vos religions à un seul Dieu ? Pourquoi faire du winnerisme autour d’un « nom », tel que le rapporte l’entretien 248 du Maharshi cité plus haut ? Qu’a-il voulu créer ce Dieu ? Le soi ego, les éléments tels l’eau, l’air, etc. Tout cela est-il éternel ? Puisque la conscience naîtrait de son objet. Si ce Dieu fait dans la création puisqu’il ne dépend de rien d’autre que de lui-même, s’il n’est rien qu’il n’est créé, DE QUOI DÉPENDRAIT-IL ? ET POUR CRÉER, IL FAIT ÊTRE SOUMIS À LA LOI DE SUCCION, ALORS, EN QUOI EST-IL UN DIEU S’IL EST SOUMIS ? NE SERAIT-IL PAS PLUTÔT UN VULGAIRE DÉMIURGE, UN VULGAIRE GRAND ARCHITECTE DE CET UNIVERS, UN GADLU ?

Prendre conscience de la liberté c’est se libérer de cette liberté qui engendre son contraire la soumission.
Qu’est-ce que c’est un dogme, comme la laïcité, comme Dieu ? C’est ce qui vous dépasse, ce que vous ne pouvez pas posséder, CE QUI EST CACHÉ, LA CAROTTE OU MESSIANISME, donc c’est une forme de NON-LOI de succion, UNE SINGERIE DE LIBÉRATION : LE DOGME N’EST PAS DISCUTABLE, COMME LES INSTITUTIONS, LES « ISMES », LES UNIFORMES STYLE BLOUSES BLANCHES ET MASQUES, COMME LE COVID-19 ET SA QUINCAILLERIE DONT SES « VACCINS » COVID SONT DEVENUS LE DOGME COMPARABLE À LA LAÏCITÉ À LA FRANÇAISE :

Émile Poulat résume bien la laïcité : « J’ajouterai que ce que nous appelons notre laïcité à la française n’est finalement qu’un héritage de la catholicité à la française », donc une déformation de déformation, etc. Ne jamais oublier qu’ici en Occident nous subissons l’héritage de la philosophie et logique de l’ancien monde gréco-latin ! laquelle analyse, embrouille et finalement tue ; la laïcité étant une émule du libéralisme à la John Locke et du Siècle des Lumières ou siècle des perruques poudrées.

La laïcité est une culture, un système dominant français issue de 1789 et de la franc-maçonnerie spéculative matérialiste, qui s’impose à l’ensemble de la population. Or tout ce qui impose à l’ensemble n’est qu’une dictature. Mais la laïcité française à ceci de plus sournois, voir de plus monstrueux, de plus diabolique, c’est qu’elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de Dieu.
La laïcité française est un killer en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire ! Bref, c’est l’Ouroboros ou serpent qui se mord la queue, dans le sens de la prison.

La laïcité publique française possède un code non écrit d’une extrême subtilité (puisque c’est franc-maçonnique) qu’il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder. C’est exactement le principe de l’INQUISITION et de la Tchéka qui copie l’Inquisition. Car en URSS comme en république il s’agit de défendre un DOGME, appelé aussi ‘Valeur’, c’est-à-dire une position du mental qui, pour l’accusation ou le pouvoir, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme la laïcité, comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Aussi, si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (par exemple c’était le cas de Galilée, et c’est le cas de tous membres d’un parti, surtout communiste ou socialiste ou d’une république) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il se condamne lui-même par auto-critique et ne subit qu’une peine légère ou ne subit pas une condamnation imposée. S’il ne sait pas pourquoi on lui reproche quelque chose, c’est qu’il est fou, et pour ce cas là le post-stalinisme des années 1960-1970 a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan, c’était moins barbare que n’importe quel hôpital psychiatrique moderne.

Comme le dit bien Émile Poulat, la laïcité est un confessionalisme retourné. Aussi en l’état actuel des consciences et de la « démocratie », le problème de la libre pensée libérée depuis l’époque de la Renaissance en Occident, notamment grâce à l’invention de l’imprimerie, crée un redoutable fardeau pour l’État, affranchi, séparé de l’Église. Désormais, l’État, a la charge de gérer soixante millions de consciences en liberté et bien décidé à en user, démocratie et mensonge du « pouvoir du peuple » oblige. Auparavant, l’État pouvait s’appuyer sur l’Église pour gouverner les consciences avec les paroisses et les prédicateurs, les confesseurs et les directeurs de conscience. Maintenant, c’est fini. L’État n’a plus de recours et se trouve face à face avec ces soixante millions de consciences... et en plus consommateurs ; ainsi la manipulation de l’opinion et le mensonge devient la règle de base de l’État républicain et de toute démocratie.
Charte de la laïcité dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry et Vincent Peillon.

DOGME : quand quelqu’un, à propos par exemple d’un « vaccin » contre le covid-19 se dit « rassuré » (sécurisé), ON EST EN PRÉSENCE D’UNE VÉRITABLE RELIGION, LE DOGME, LA CROYANCE : on se fait injecter une chose comparable à l’HOSTIE des catholiques de l’Église de Rome. On se fait injecter un truc parce que la blouse blanche ou l’uniforme, le prêtre, le « spécialiste » l’a dit, parce que LE DEHORS l'a dit. C’est dire le niveau de crétinerie et par là même de manipulation socialo-politique par la technologie où est descendu l’espère humaine.


« Pourquoi demandez-vous le salut, le soulagement des afflictions, etc. ? Celui qui les demande les conçoit aussi. Le fait est que la drishti (la vision) est conscience. Elle forme le sujet et l’objet. Peut-il y avoir la drishti séparée du Soi ? Le Soi est tout – la drishti et le reste ». (Ramana Maharshi, entretien 268 du 23-10-1936).
« Cherchons d’abord à savoir qui le conçoit. Tout concept dépend de celui qui le conçoit. Découvrez qui vous êtes et tous les autres problèmes se résoudront d’eux-mêmes » (entretien 308 du 31-12-1936).
« En fait, il n’y a pas de non-Soi. Le non-Soi se trouve aussi dans le Soi. C’est le Soi qui parle du non-Soi, parce qu’il s’est oublié lui-même. S’étant oublié, il conçoit les objets comme étant le non-Soi, lequel n’est en fait rien d’autre que lui-même ». (Entretien 310 du 1-1-1937).
« Qu’est-ce que la conscience du corps ? Dites-nous cela d’abord. Qui êtes-vous en dehors de la conscience ? On conçoit le corps à cause de la conscience du corps, laquelle s’élève de la conscience du ‘je’, laquelle, à son tour, s’élève de la conscience pure ». (Entretien 340 du 23-1-1937).
« Le libre arbitre ne se conçoit qu’en fonction de l’existence d’une individualité. Tant que l’individualité subsiste [la démocratie et son social], il y a le libre arbitre. Tous les shāstra [Écritures sacrées, Sciences traditionnelles] sont basés sur ce principe et conseillent comment diriger le libre arbitre dans la bonne voie.
Cherchez pour qui le libre arbitre ou le destin a de l’importance. Demeurez en cela. Alors les deux sont transcendés. C’est le seul but de ce genre de discussion. À qui ces questions se posent-elles ? Découvrez cela et soyez en paix ». (Entretien 426 du 12-6-1937).


Note.
1. Les Romains de l’Empire déclaraient sacer (sacré) celui qui ne pouvait être touché sans être souillé et sans souiller, celui qui s’était rendu coupable d’inceste ou de meurtre ou qui avait commerce avec une femme en période menstruelle.
 
 

Dernière mise à jour : 18-05-2021 05:46

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