Accueil arrow News arrow Dernières news arrow La soif d’exister ou LOI DE SUCCION
La soif d’exister ou LOI DE SUCCION Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-06-2021 01:51

Pages vues : 3479    

Favoris : 119

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Bouteille, Capitalisme, Catastrophe, Caverne, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Logique, Matrice, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Porte, Pouvoir, Privilège, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Transhumanisme, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
bank_station_central_roundel_exister.jpg
 
 
La soif d’exister ou LOI DE SUCCION
dans lequel est tombé le régime mercantile
échangiste étatico-capitaliste : la succion de :
l’État, sa marchandise, son argent, son salariat.

Exister : la tentative du ‘je’ : de ex et
sistere : stationner, être placé
(DE NOS JOURS : SUR LE MARCHÉ)
 
 
Dans le Pays du Rien du Tout la Vraie Demeure il n’y a rien a saisir, pas même la peur. La peur de manquer pour survivre, la peur d’avoir mauvaise réputation et de paraître un loser, la peur de la mort, la peur des mauvaises destinées et la peur des foules. Dans le Pays aucune raison d’avoir peur, parce que le concept de ‘moi’ n’existe pas, l’habitant n’est pas épris de sa personne et encore moins de « biens » matériels. C’est pourquoi le PAGAN du Pays du Rien du Tout n’a pas peur de ne pouvoir survivre et ne souhaite pas être honoré de quoi que ce soit. Il est dans la Gratuité et il donne. Totalement détaché de la croyance au ‘moi’, il ne se conçoit pas comme un soi et ne peut pas avoir peur de la mort. Après sa mort physique, il sait qu’il ne s’éloignera pas des Libérés authentiques. C’est pourquoi il n’a plus peur de renaître dans des destinées inférieures.

Le citoyenisme du régime politique étatico-capitaliste prétend que le citoyenisé ou habitant winner des cités ou des villes est devenu le « roi », donc l’ego ou consommateur dans ce culte du narcissisme et de la possession. Il est devenu l’UNITÉ, le UN, le DIEU, mais un Dieu PRISONNIER : pris-au-nier de lui-même c’est-à-dire de l’ignorance de son Soi : à la naissance les éléments qui composent la dimension de l’individu ne peuvent que l’enchaîner dans la chaîne sans fin des causes et effets : l’unité vendu par le régime le fait prisonnier de ce qui le différencie de ses voisins dans ce social-prison, et, par conséquent, il ne peut JAMAIS INTERAGIR : quel mouvement peut-il avoir lieu dans l’insubstantialité mondiale sous politisme étatique ?

C’est le principe de la loi de succion du : « votre député, votre santé, vos informations, votre accès, votre espace de… votre voyante, etc. » : possession amplifiée par les CONFLITS D’INTÉRÊTS FORCÉMENT LIMITÉS PAR LEURS PROPRES LIMITES, puisque un ‘je’ ou ego se définit par rapport à un dehors, l’autre, le voisin, le ‘toi’, et qu’ainsi ce ‘je’ sera limité par ce qui le différencie de ce ’toi’. C’est d’ailleurs ce que la théologie chrétienne exprime en disant qu’il ne peut y avoir qu’un seul Dieu’, donc un seul ‘Je’, car s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait pas in-fini. IL EN EST AINSI DU ‘MOI’, DU CITOYENISME DE CHAQUE INDIVIDU OU CONSOMMATEUR ÉCHANGISTE OU QUI COMMERCE ET QUI NE PEUT ÊTRE UN IN-FINI, UN TOUT.
Seul le ‘Je’ de la Réalisation du Soi n’est pas la perception mentale d’une collectivité, d’un socialisme, d’une quantité. Le ‘Je’ n’est pas une individualité à côté d’autres individualités comme essaye de le réaliser le régime capitalo-républicain avec sa COM échangiste de COM-merce.


CE MONDE A PEUR (de la mort) : IL SE FAIT VACCINER COMME SI C’ÉTAIT UN TICKET D’ENTRÉ AU PARADIS (du monde « d’avant »).

CE MONDE A PEUR DU NON-NÉCESSAIRE ET SE RÉSIGNE À SACRIFIER SA PROPRE LIBERTÉ POUR ADHÉRER À CELLE IMPOSÉ PAR LE « DÉSORDRE » EXTÉRIEUR, LE DÉSORDRE DU RÉGIME.
Ce monde a peur parce qu’il refuse le GRATUIT, il refuse le Seul réel qu’il considère comme cru-EL. Il refuse l’Instant, le Ici et Maintenant. Ce monde ne jure que par l’invention de LA VALEUR, laquelle ne peut qu’être liée à la Loi de succion.
Tout cela ne durera pas, avec le « vaccin » ça va s’arranger, et grâce aux « vaccinés » et à une « meilleure organisation » tout va s’arranger. Mais les « arrangeurs » qui sont en premier les Juifs réparateurs du monde et leurs « sauveurs » copyright du style transhumanistes et Bill Gates de tous ces gens qui voient « la vie en rose » et qui travaillent à « l’amélioration du genre humain » ont généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ; la preuve : leur « Plus ça change et plus c’est la même chose ».

Les « réparés » ou confortés par le régime chutent dans les vues fausses et la taie de l’ignorance leur couvre les yeux. Devenue les citoyens winners ils tombent dans les filets de la loi de succion et par là-même de la soif d’exister. Ils sont pris dans le labyrinthe inextricable du mensonge et de la flatterie winneriste tout confort, ils ne peuvent s’en sortir par eux-mêmes et préfèrent les « vaccins » et autres choses du dehors.
Leur ego cède inévitablement à l’avarice et à la jalousie ou aux conflits d’intérêts inhérents à leur démocratie, et ne cessent jamais de créer les conditions du cycle des naissances et des morts (samsara) de leur monde des phénomènes.
Le désir, la violence et l’ignorance s’accumulent en accumulant le karma qui, jour et nuit, croît et se multiplie. Le vent de la colère et de la haine attise les flammes de la conscience mental en formant un brasier qui jamais ne s’éteint, et qui sert de loi de succion à tous les « sauveurs du monde ». Et tous les actes commis alors forment des distorsions sans fin. Ce qui devait s’enchaîner se déchaîne : en permanence se succèdent les illusions et les points de vues qui alimentent le flux de l’ignorance. Les germes du mental et des consciences donnent des pousses de souffrance dans ce monde des noms-les-formes.

De l’interaction de ces noms-les-formes naît le contact. Icelui cause la sensation. Icelle engendre la loi de succion. Cette soif s’amplifiant, apparaît la possession, la saisie. Icelle s’amplifiant, apparaît le projet ou devenir, et avec ce devenir viennent la naissance, la vieillesse et la mort, de même que l’angoisse, la tristesse, les souffrances et les émotions douloureuses. Et ainsi les citoyenisés engendrent cette éternelle masse de souffrance qui sert de nourriture, et pour l’égrégore mondial, et pour les « sauveurs » et réparateurs Juifs (sans la Chute, ils ne sont rien).

Or les éléments de la production en « unie et diversité » (production interdépendante) sont vides, libres de ‘moi’ et de ‘mien’. Le monde ne vient pas vous dire : « Je suis le monde » : « Le samsara n’existe que dans votre mental. Le monde ne vient pas proclamer : « Je suis le monde ». S’il en était ainsi, IL DEVRAIT TOUJOURS ÊTRE PRÉSENT - MÊME DURANT VOTRE SOMMEIL. Comme il ne s’y trouve pas, c’est qu’il est impermanent. Étant impermament, il manque de force. n’ayant pas de force, il est aisément subjugué par le Soi. Seul le Soi est permanent. Le renoncement [Putréfaction], c’est la non-identification du Soi avec le non-Soi. Avec la disparition de l’ignorance, le non-Soi cesse d’exister. Voilà le vrai renoncement » (Ramana Maharshi, entretien 251 du 29-9-1936).

De même les êtres animés sont insensibles et inconscients. Les « sauveurs » et « réparateurs » NE VOIENT PAS les êtres pris dans cette masse de souffrance, sinon elle aurait disparue depuis des millénaires !
Seuls les Êtres exercés au GRAND RENONCEMENT peuvent voir la masse de souffrance. C’est ce qu’ils appellent ACCOMPLISSEMENT DU GRAND RENONCEMENT : voir que la Matière souffre, de la simple poussière jusqu’à la montagne en passant pas l’humain, Tout étant dans le mental.
GRAND RENONCEMENT OU GRATUITÉ.

Or ce monde est ANTI-GRATUIT : IL DEMANDE CONSTAMMENT : IL FAIT DES PRIÈRES POUR DEMANDER ; IL RÉCLAME MÊME (par ses vaccins) LE PARADIS, et les prothèses en vaccins transhumanistes ; IL RÉCLAME DES FAVEURS. IL NE DONNE JAMAIS.
Ce monde ne comprend pas la phrase de Jean 14, 27 : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point ».
Au 17è siècle, le 11 mars en 1669 l’Etna se mit en colère, les habitants de Catane, aux premiers signes de la colère construisirent en hâte un mur sur lequel ils disposèrent, face au flot de lave, toutes sortes d’images « saintes » qu’ils purent trouver. Évidemment la lave emporta le mur et les images, et recouvrit la ville. Que pensèrent les survivants de cette « réponse du Seigneur » ? Peut-être que Dieu n’existe pas, ou au mieux, il devait dormir à ce moment là ou il manquait de force !

Pourtant, Dieu avait répondu, par le Suprême langage souvent décrit par le Maharshi : LE SILENCE. LE SILENCE QUI A POUR COMPAGNE : LA PAUVRETÉ OU NON-POSSESSION.
IL SERAIT TEMPS DE NE PLUS FAIRE DE PRIÈRE EN FORME DE VACCINS ET DE PARADIS OU DE DEMANDE, MAIS DE PRATIQUER LE GRAND RENONCEMENT : FAIRE L’AUMÔNE À CE DIEU MENDIANT.
Et même, pourquoi faudrait-il « consoler Dieu » en le priant ? Le consoler de quoi ?
Dieu est un éternel enfant et l’humain un éternel infanticide : « Demandez à l’homme le plus fortuné du monde, s’il connaît son Soi. Il vous dira « non ». Que peut-on connaître si l’on ne connaît pas le Soi ? Le savoir humain est bâti sur une fondation si fragile », dit le Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.

En ce temps de tyrannie de l’opinion et de brouhaha (théorie du complot etc.), le SILENCE apparaît salvateur.
Le Silence, mauna, être Cour (Vase, Vallée, Enclos)


- Maharshi : Les conférences peuvent plaire aux gens pendant quelques heures sans pour autant les améliorer. Le silence, en revanche, est permanent et rend service à l’humanité entière.
- Question : Mais le silence n’est pas compris.
- Maharshi : Cela ne fait rien. Le silence veut dire éloquence. Les conférences ne sont pas aussi éloquentes que le silence. Le silence est éloquence incessante. Le Maître primordial, Dakshinâmurti, est l’idéal. Il enseignait ses disciples-rishi par le Silence.
(Entretien 20 du 30-1-1935).

Shrî Bhagavân : Le silence de la solitude est forcé. La retenue de la parole en société équivaut au silence. Car c’est alors que l’homme contrôle sa parole. Il faut que celui qui parle existe avant de parler. S’il est engagé ailleurs, la parole est retenue ; le mental tourné vers l’intérieur est occupé à autre chose et ne tient pas à parler.
Le mauna, conçu comme une mesure de discipline, a pour objet de limiter les activités du mental provoquées par la parole. Si le mental est déjà contrôlé, la discipline de mauna n’est pas nécessaire, car alors, le mauna devient naturel.
Vidyâranya a dit que douze années de mauna forcé entraînent le mauna absolu, c’est-à-dire rendent incapable de parler. Cet état ressemble plus à celui d’un animal muet qu’à autre chose. Cela n’est pas le mauna.
Le mauna est éloquence incessante. L’inactivité est activité constante.
(Entretien 60 du 5-7-1935).

« Le silence est discours sans fin. La parole émise fait obstacle à la parole silencieuse. Dans le silence on est en contact intime avec son environnement. Le silence de Dakshinâmurti fit disparaître les doutes des quatre sages. Mauna-vâkhyâ-prakatita-tattvam (La Vérité exposée par le silence). On dit que le silence est un enseignement. Le silence est tellement puissant !
Pour parler, les organes de la parole sont nécessaires et la précèdent. Mais l’autre parole est au-delà même de la pensée. En bref, c’est la parole transcendante, la parole inarticulée, la para-vâk [parole supérieure] ». (Entretien 68 du 21-7-1935).

« Shrî Bhagavân attira l’attention sur un passage de l’oeuvre de Thāyumānavar condamnant tous les siddhi (pouvoirs surnaturels).
Il ajouta que Thāyumânavar mentionne le mauna (le silence) dans de nombreux passages mais ne le définit que dans un seul vers. Le mauna est, dit-il, l’état qui se manifeste spontanément après l’annihilation de l’ego. Cet état est au-delà de la lumière et de l’obscurité, mais est encore appelé lumière parce que aucun autre mot approprié n’a pu être trouvé ». (Entretien 122 du 1-1-1936).
 
 

Dernière mise à jour : 14-06-2021 02:28

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >