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Lila (6) Je pense donc je consomme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 27-08-2021 22:38

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Croyance, Feu, Guerre, Images, Nostalgie, Peur, Pointe, Raison, République, Silence, Vie

 
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Lila (6) Je pense donc je consomme
Voilà où en est réduit l’humain à la mode
« raison(nement) » con-forme aux « loupiotes »
du 18è siècle français et au descartisme du
« Je pense donc je consomme », alors
qu’il manque cruellement « QUI, CONSOMME ? »,
ou « QUI EST CELUI QUI CONSOMME ? », car
la consommation n’est que l’acteur ou
les images qui bougent sur l’écran de cinéma.
 
Avoir, comme avoir l’eau, l’électricité, le gaz
et le « tout à l’égout » à tous les étages comme
« avoir raison » comme « avoir une voiture »,
VOILÀ LE PROBLÈME DE CE MONDE que veulent résoudre
les capitalistes avec leur « Vous ne possèderez
rien et vous serez heureux »
.
Singerie de « Ce que vous possédez vous possède ».
« Le possédant étant là, le cours de l’existence
se met en branle pour le possédant ».
(Stance 26,7 de Nagarjuna) Et PARADOXE de
l’Être et de l’Avoir identique au PARADOXE
de la Réalisation du Soi (1).

RAISON OU CAUSISME : on dit « pour cette raison »,
ou « pour la raison que…. »,
ou « la raison pour laquelle… », ou « la raison
d’avoir peur ».
On fait aussi des compa-raisons, voilà le
problème : celui du mental qui bouffe des choses
qu’il croit extérieures et qu’il veut
com-prendre.
RAISON OU INTELLECT (ayant racine dans le Soi).
Intellect incapable d’atteindre le Soi.
La Vérité ne peut que se dévoiler d’elle même.

« Les pensées doivent s’arrêter, le raisonnement
doit disparaître pour que le ‘Je’-‘Je’ puisse
s’élever et être ressenti. La sensation est le
facteur principal, et non pas le raisonnement ».
(R. Maharshi, entretien 24 du 4-2-1935), ce que
confirme Jean Coulonval et Aimé Michel dans la
préface de Michel dans Synthèse et Temps Nouveaux.


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Une ptiote pensée pour les transhumanistes qui veulent « augmenter » la Nature, soit l’« améliorer » dans leur « Je pense donc je suis » : « Jésus était-il, à ce moment-là, conscient qu’il guérissait les hommes de leurs maladies ? Il ne pouvait pas être conscient de ses pouvoirs. Il y a une histoire à ce sujet : une fois Jésus guérit un homme aveugle. Quelque temps après cet homme devint méchant. Le rencontrant quelques années plus tard, Jésus remarqua sa méchanceté et l’interrogea sur la raison de son comportement. L’homme répondit que lorsqu’il était aveugle il ne pouvait pas commettre de péché. C’est seulement après sa guérison qu’il était devenu méchant et il rendait Jésus responsable de sa méchanceté ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935). Le Maharshi ajoute que « Jésus ne pouvait pas être conscient de ses pouvoirs » (sens de non-dualité); à y ajouter que les transhumanistes NE POURRONT ÊTRE QUE CONSCIENT DE LEUR POUVOIR, CE QUI NE POURRA QUE TOUT FOUTRE PAR TERRE (par la saisie) !

« L’âtman [le Soi et soi] est réalisé avec le mrita-manas (mental mort), un mental dénué de pensées et tourné vers l’intérieur. Alors le mental voit sa propre source et devient Cela. Mais il n’est pas comme un sujet percevant un objet.
Quand la pièce est sombre, une lampe est nécessaire pour éclairer et permettre à l’oeil de distinguer les objets. Mais lorsque le soleil se lève, la lampe devient inutile et les objets sont vus facilement. Pour voir le soleil, aucune lampe n’est nécessaire, il suffit de tourner les yeux vers le Soleil qui brille par lui-même.
Il en va de même du mental. Pour discerner les objets, la lumière reflétée du mental est nécessaire. Pour voir le Coeur, il suffit que le mental se tourne vers Lui. C’est alors qu’il se perd et le Coeur resplendit ». (Ramana Maharshi, entretien 99 du 19-11-1935).

L’HORREUR TOTALE AVEC LA « RAISON QUI VEUT TÉMOIGNER ».
« Qui est ce témoin ? Puisque vous parlez de « témoin », cela implique qu’il y a un objet et un sujet qui témoigne. Ce sont tous deux des créations du mental. L’idée de témoin est dans le mental.
S’il y avait un témoin de l’oubli, dirait-il : « Je suis le témoin de l’oubli ? » Vous venez de dire, et cela avec l’aide de votre mental, qu’il devait exister un témoin [de l’état d’oubli et qui constate que ‘je ‘ suis de façon permanente dans les deux états de veille et du rêve]. Qui était ce témoin ? Vous ne pouvez que répondre : ‘je’ l’étais. Mais alors qui est ce ‘je’ ? Vous vous identifiez avec l’ego, et vous dites ‘je’. Est-ce alors ce ‘je’ de l’ego le témoin ? C’est encore le mental qui s’exprime. Il ne peut pas être son propre témoin. Vous vous imposez vous-même des limitations et vous pensez qu’il y a un témoin de l’activité mentale et de l’état d’oubli [pendant le sommeil profond]. Vous dites aussi : « Je suis le témoin ». C’est celui qui témoigne de l’état d’oubli qui doit dire : « Je témoigne de l’état d’oubli. » Le mental actuel ne peut s’arroger ce rôle.
Tout ce raisonnement ne tient donc pas. La Conscience est illimitée. C’est en devenant limitée [par la raison] qu’elle s’attribue ce rôle. Il n’y a vraiment rien dont on puisse témoigner. C’est simplement ÊTRE [être Maât] ». (Ramana Maharshi, entretien 180 du 11-3-1936).

« C’est simplement ÊTRE [être Maât] » : veut dire « CE N’EST PAS CONTINUER À VIVRE » (comme veulent le réaliser les transhumanistes en « augmentant » le spatio-temporel), ce qui n’implique aucun temps et donc aucun concept de « devenir » ou de Salut ou de messianisme. Être éternel = ÊTRE (et ignorer le concept du mental et son temps qui coule et sa saisie).

« Comprenez donc, le Soi est seulement être et non pas être ceci ou cela. C’est simplement être. Soyez… et c’est la fin de l’ignorance. Cherchez à qui est l’ignorance. L’ego surgit lorsque vous sortez du sommeil. Dans le sommeil, vous ne dites pas que vous êtes en train de dormir, que vous allez vous réveiller, ou que vous dormiez depuis longtemps. Et cependant vous êtes bien là. Ce n’est qu’au réveil que vous dites que vous avez dormi. Votre état de veille englobe aussi le sommeil.
Réalisez votre pur Être. Ne vous confondez pas avec le corps. Le corps est le résultat des pensées. Les pensées continueront à se dérouler, mais vous n’en serez pas affecté. Vous n’étiez pas concerné par le corps quand vous dormiez ; vous pouvez toujours demeurer ainsi ». (Ramana Maharshi, entretien 46 du 12-4-1935). Même entretien : « Les actions en elles-mêmes n’entraînent aucune servitude. La servitude résulte seulement de la fausse conception : « Je suis celui qui agit ». Abandonnez ce genre d’idées et laissez le corps et les sens jouer leur rôle sans interférence de votre part ».

La « raison » ne peut qu’être en elle-même une fabrication du temps, car elle opère comme un sujet observant ou saisissant un objet, en d’autres mots, aussitôt que Nous reconnaissons l’objet comme perçu par Nous, le sujet, la raison, a pris place et dès lors cet objet appartient automatiquement au passé, car l’intellect opère sur ce qui est déjà passé. Cet objet arrive vivant ou Maât, et possédé par la raison il ne peut plus vivre, car la raison ne se nourrit que de substance morte. « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (méditation, contemplation, zen chan). L’acte de la raison assassine la perception du vivant, comme le résume le mot consomme qui sonne comme consume (détruire par le feu).
Le seul alphabet de langage valable est celui qui n’est pas contenu dans l’espace-temps (soit la Vraie Télépathie) !

« L’essence du mental n’est que conscience ou conscience éveillée. Quand cependant l’ego le domine, le mental fonctionne avec les facultés de raisonner, de penser ou de sentir. Le mental cosmique [Conscience infinie], qui n’est pas limité par l’ego, n’a rien qui soit séparé de lui et il est donc uniquement conscient. C’est ce que la Bible veut dire par « Je suis ce JE SUIS ».
Le mental, dominé par l’ego, a les forces sapées et devient trop faible pour résister aux pensées qui le torturent. Débarrassé de l’ego, le mental est heureux comme dans le sommeil profond, sans rêve. Il est donc clair que la félicité et la souffrance ne sont que des modes mentaux ; mais il n’est pas facile de remplacer le mode faible par le mode fort. L’activité est faiblesse et rend donc malheureux ; la passivité est force et procure de la félicité. La force latente n’est pas apparente, et n’est donc pas utilisée.
Le mental cosmique, se manifestant en de rares individus, est capable d’effectuer chez autrui la jonction entre le mental individuel (faible) et le mental universel (fort) des profondeurs de l’homme. Un tel être rare est dénommé GURU ou Dieu manifesté [ou encore Adepte] ». (Ramana Maharshi, entretien 188 du 13-3-1936).

Pour continuer par le saint Vasistha : « Nulle cause n’entraîne l’existence du monde, en tant que pur reflet dans l’absolu Brahman [le Soi]. Quand il y a idée de création, la création donne l’impression d’être ; et quand, grâce à un effort sur le soi, il y a compréhension de la non-création, il n’y a pas de monde.
”Rien n’a jamais été créé nulle part à aucune époque [les transhumanistes n’échappent pas à la règle] ; et rien non plus ne s’achève. L’absolu Brahman est Tout - Paix suprême, pure conscience, permanence qui n’a jamais vu le jour” (YV III,61) [et même logique du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante : « Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi »]. Des mondes à l’intérieur des mondes apparaissent en chaque atome. Quelle peut en être la cause et comment surviennent-ils ? Dès que l’homme refuse les notion de ‘je’ et « le monde », il est libéré. L’idée de « Je suis ceci » est, ici, le seul asservissement. Ceux qui ont connaissance de la Conscience infinie comme substrat sans nom et sans forme de l’univers, vainquent le samrara [cycle des naissances et des mort, monde des noms-les-formes].

Le prince Râma demanda pourquoi des sages et des philosophes existent dans ce monde « comme voulu par Dieu et qu’est-ce que Dieu ? ».
Vasistha répondit : « ”Elle existe vraiment, ô Râma, la puissance ou énergie de la Conscience infinie sans cesse en mouvement. Elle seule est la Réalité de tous les inévitables événements à venir, car elle pénètre toutes les périodes de temps” (YV III,62-63). C’est pas cette énergie qu’est fixée la nature de chaque objets de l’univers. Cette énergie (chit-shakti ou énergie, Conscience, et Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva] est aussi connue sous le nom de mahâsâttâ [la Grande Existence], mahâdrsti [a Grande Vision] […] mahâspandâ [la Grande Vibration]. C’est cette énergie qui dote chaque chose de son trait distinctif [la ”Signature” façon Jacob Boehm]. Mais cette énergie n’est pas différente, ni indépendante, de l’absolu Brahman ; elle est aussi réelle qu’une promesse faite en l’air. Les sages font une distinction entre Brahman et l’énergie, et affirment que la création est l’œuvre de cette énergie. Cette distinction est purement verbale, du genre de celle que l’on retrouve quand on parle du corps (dans son ensemble) et de ses parties. Cette Conscience infinie devient consciente de son énergie naturelle, comme un individu devient conscient des membres de son corps. Cette conscience porte le nom de niyati [Instant ou nitya : toujours présent, éternel]. On l’appelle aussi daiva ou dispensation divine.
[…]
Nitya ne fonctionne qu’en tant qu’effort sur soi et qu’au moyen d’icelui. Cette nitya possède deux aspects, un aspect humain et un aspect surhumain - on voit le premier là où l’effort sur soi porte des fruits, et le deuxième, où il n’en porte pas. Si l’homme demeure inactif et attend que nitya fasse tout pour lui, il ne tarde pas à s’apercevoir que sa vie le quitte ; car la vie est action. En accédant au stade du supraconscient le plus élevé, il peut arrêter la respiration et atteindre la Libération ; mais cela représente vraiment le plus grand effort sur soi !
Seule la Conscience infinie apparaît sous une forme dans un endroit et ailleurs sous une autre. Il n’y a pas de division entre cette conscience et son énergie, sa puissance, comme il n’y a pas de division entre la vague et l’eau, les membres et le corps. Seul l’ignorant fait l’expérience d’une telle division ».

Ce monde n’est aucunement permanent, la PREUVE : il lui faut des heures, des nuits et des jours, et depuis longtemps Nous le faisons passer pour nitya (éternel) ! Pour se délivrer de cette idée reçue de génération en génération, il suffit de réaliser que Nous sommes éternels (nitya) et non pas en classant le monde comme transitoire (anitya ou à partir d’un Big Bang). (En référence à l’entretien 653 du 1-4-1939 de Ramana Maharshi).

Comment vivre en ce monde ? « Comme un acteur qui joue un rôle dans une pièce, sans amour ni haine, comme des images qui défilent sur l’écran de cinéma, et qui ne peuvent détruire l’écran, même si la séquence cinéma d’une comète qui tombe sur la Terre la fait exploser. (En référence à cet entretien 653 et dernier entretien compilé au temps du Maharshi).

« Je pense donc je consomme », alors qu’il manque cruellement « QUI, CONSOMME ? », ou « QUI EST CELUI QUI CONSOMME ? », car la consommation-consommateur n’est que l’acteur ou les images qui bougent sur l’écran de cinéma. Mais quand l’acteur est spiké aux ARNm, sont corps en est nécessairement perturbé…. Comme sur l’écran de cinéma avec ses images qui bougent, le monde et le ‘moi’ ne sont ni irréels ni réels, ils sont de l’ordre de l’ILLUSION. Tout se passe COMME SI, puisque tout la raison ne peut pas fonctionner sans le temps (voir plus haut). Au cinéma, quand on com-prend l’histoire, ON Y CROIT : QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTES LES MAGIES PARLENT, mais si une se tais toutes se taisent !

Le prince Râma se demande comme le jiva acquiert-il une apparente réalité dans le UN sans second ?
Vasistha répondit : « Ce n’est que dans le mental de l’ignorant que ce terrible démon de jiva apparaît [l’ego individuel apparaît] comme image réfléchie de la réalité ou apparence. Même les philosophes et les sages ne peuvent pas se prononcer sur ce qu’il est au juste : parce que le jiva est dénué de toute indication quant à sa nature. Dans le miroir de la Conscience infinie jouent d’innombrables reflets, qui constituent l’apparence du monde. Ce sont les jivas. ”Le jiva figure comme une infime agitation à la surface de l’océan de Brahman ; ou un simple frémissement de la flamme d’une bougie dans une pièce sans un brin d’air” (YV III,64-65). Quand, dans cette agitation, l’infinitude de la Conscience infinie se trouve voilée, paraît se produire la limitation de la conscience. Ce phénomène est, lui aussi, inhérent à cette Conscience infinie. Cette limitation de la conscience est connue sous le nom de jiva.
[…]
La création (du mental) n’est qu’une agitation au sein de la Conscience ; et le monde existe dans le mental ! Il donne l’impression d’exister du fait de la vision défectueuse, d’une compréhension imparfaite. Au vrai, ce n’est guère plus qu’un long rêve. Si on saisit ce point, c’est la fin de toute dualité, et Brahman, jiva, mental, maya, acteur, action et le monde seront considérés comme synonymes de la Conscience infinie une et non duelle ».

Vasistha poursuivit : « L’Un n’est jamais devenu multiple, ô Râma. Quand on allume une bougie à une autre [comme dans les temples et églises, et effet sucres ou dominos], c’est la même flamme qui brûle pour toutes les bougies ; voilà pourquoi l’unique Brahman donne l’impression d’être multiple. Une fois que l’humain considère l’irréalité de cette diversité, il est libéré de la peine et de la tristesse.
Le jiva est tout bonnement la limitation de la conscience. Une fois la limitation disparue, la paix s’instaure, de même que, pour celui qui porte des chaussures, le monde entier est pavé de cuir. Qu’est-ce que ce monde ? Rien qu’une apparence, aussi vrai que la tige du plantain n’est qu’un ensemble de feuilles. Si l’alcool est capable de nous faire voir toutes sortes de chimères dans un ciel vide, de la même façon, le mental peut nous faire percevoir la diversité au sein de l’unité. Comme l’ivrogne voit un arbre bouger, l’ignorant voit des mouvements au sein de ce monde [les images qui bougent sur l’écran de cinéma].
Quand le mental perçoit la dualité, il y a la dualité mais aussi sa contrepartie, l’unité. Lorsque le mental abandonne la perception de la dualité, il n’y a ni dualité ni unité. ”Une fois fermement établi dans l’unité de la Conscience infinie, qu’il soit en état de repos ou activement engagé dans un travail, l’humain est jugé en paix avec lui-même” (YV III,66-67). Quand un individu est ainsi établi dans l’état suprême, on appelle également cet état de non-moi, ou état de connaissance du vide.
Du fait de l’agitation du mental [|e vagabondage de l’idéation], la conscience paraît devenir l’objet de connaissance ! Alors naissent dans le mental toutes sortes d’idées fausses [les opinions] comme « Je suis né », etc. Ce genre de connaissance ne diffère en rien du mental. Voilà pourquoi on la qualifie d’ignorance ou d’illusion ».

À SUIVRE…

Note.
1. « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). La conclusion est que le Réalisé n’est pas une personne et que nul n’est un Réalisé. Sinon, il retombe dans le système d’un roi…. D’ailleurs l’abrupte injonction de certaines Écoles en Asie est très claire : « Si tu rencontres le Buddha, tue-le ». Il semblerait que les républicains de 1789 aient appliqués cette injonction à la lettre, mais ce roi de France était-il un « Bouddha » ? Au résultat ou effet de ce qu’il se passe maintenant : certainement pas ! VU QUE MAINTENANT NOUS SOMMES CENSÉS ÊTRE TOUS DES ROIS… (Des rois consommateurs…).
 
 
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Dernière mise à jour : 28-08-2021 22:15

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