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Per-d’U, Père d’Ouverture Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-09-2021 09:35

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Aiguille, Argent, Banque, Commerce, Croyance, Feu, Guerre, Images, Nostalgie, Peur, Pointe, Raison, République, Silence, Spirale, Vie

 
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Per-d’U, Père d’Ouverture
Père d’Unité.
Pierre : Caillou, Poucet et ses cailloux
pour ne pas se perdre !
E-clat, E-space, E-tendue et E trident
et Terre-Air-Eau de cette planète.
Avec le I Axe du E.


La Shekhina divine explosé par le feu vulgaire de
l’arme atomique de l’après 1945 et par les
guerres humaines depuis le Néolithique.
.
 
Pouce (Poucet) : symbole phallique et
force créatrice : sans le pouce la
main n’a aucune prise, d’où le POUCET
faisant mariage entre Dedans-Dehors,
comme Macrocosme-Microcosme ;
c’est pourquoi le mental enveloppe
l’Univers de l’humain.

Pouce (Poucet) : symbole phallique,
comme le PIED : Padam en sanskrit
signifie le Soi, l’Être véritable,
la Félicité ; on dit : « être bien
dans ses pompes »
, ou dans un moment de
joie on s’exclame : « C’est le pied ! » et
Cendrillon avait trouvé « chaussure à son pied ».

Le « Petit Poucet » est du Thème du
QUI SUIS-JE ?, de la PER-Sonne : de
Per, la maison en égyptien hiéroglyphique
et sonne : celui qui rayonne ou qui
se manifeste en tant que EST, ou
« Je suis ce JE SUIS ».
Dieu le Père ou Crist-AL : Sel de Christ.
PèRRRRR en un roulement de l’expansion
P pour aller au R de Right et de R (air)
de tous les VENTS ET VAN (1). Roulement
ou Répétition du R.

Poucet commence par le P de Père et Point,
Plénitude, Près, Prêt, Paix, etc.
Comme le Pouce sans qui la Main est inopérante,
Poucet est une guide ou un sauveur de la
société ou de la famille. Dans le Père-Sonne
Poucet représente le P du Point de UN POINT
C’EST TOUT (l’Absolue, la Conscience infinie,
ce qui conduit, comme le TAO ou Voie).
LA RÉDEMPTION PAR LA POINTE (de l’aiguille).
Le Petit Poucet est le contraire de l’actuel
winnerisme occidental qui impose partout
son opinion sur la planète.

Père-d’U : du U d’Ouverture ou Vase,
du U de Unité ou TOUT.
Père-d’OU, comme le VAN et VENT (bourrasque),
comme la mer (tourmente), comme le souffle,
et souffle divin rayonnant sur la Terre.
U de Ouverture comme VASE, VALLÉE, COUR
(au sens de Maât ou directe) : le Divin
est OUVERTURE comme le « Gate gate… » (2)

Père-d’U : du U de Unique et Un : Le Vrai
se manifeste alors, et en se coupant de
l’Unité il PERD sa véracité :
QUI SE VEUT UNIQUE DE SÉPARE, ou
SE SINGULARISE. PIRE :
QUI RECHERCHE À ATTEINDRE L’UNITÉ
S’EN RETIRE,
comme celui qui regarde le
doigt que montre la lune au lieu de
regarder la lune.
Ce qui EST Père-Dur à jamais.

E-clat : ‘Moi’, Lieu, Temps.
AMBIGUÏTÉ : aussi é-clat car les deux
à la fois ou les deux ensemble, ce que
ne com-prend pas l’informatique actuelle !


AMBIGUÏTÉ du mot ÉCLAT car comparable au TIKKUN du judaïsme (ou tiqoun signifiant ”réparation” ou ”restauration” et correspond au système de la Rédemption ou du Salut (4)) : « pièces détachées » qu’il s’agit de « recoller » ou d’assembler comme de recoller les morceaux du corps découpé d’Osiris… Pour cela les Hébreux-Juifs sont des « réparateurs » ou des « mécanos »….. Mais, se souvenir que : QUI DIT RÉPARATION, DIT CHUTE ET ORGANISATION (3). « Cet acte [de réparation] demandait le libre choix de décision [soit l’augmentation de l’ego], la parfaite communion avec Dieu et la séparation définitive [sic] du bien d’avec le mal - « la farine du son » - dont les derniers reliquats étaient encore mélangés au monde de ‘assiya. Si Adam avait rempli sa mission, le sphère de sainteté aurait été purifié des derniers éléments du rebut, la qelipa [coquille de l’œuf figurant le « mal »] aurait disparu en-dessous du monde de ‘assiya et serait restée impuissante, coupée de la source de l’Être vrai et tout le cosmos serait parvenu à un stade d’éternelle communion avec la Lumière divine », écrit G. Scholem, page 53 (dans Sabbataï Tsevi). Il précise : « Hélas, Adam échoua. Au lieu d’unir ce qui devait être uni et séparer ce qui devait être séparé, il sépara ce qui était uni [donc IL ORGANISA (3)]. Ainsi que l’exprime une métaphore kabbalistique s’appuyant sur le récit de la chute dans la Genèse II, Adam « sépara le fruit de l’arbre » et, de ce fait, « détruisit les plantations » [comme celui qui cueille ou coupe une fleur…]. Ses intentions étaient bonnes mais le résultat fut désastreux. Alors qu’il était en communion avec les sphères supérieures [ce qui n’est pas sans rappeler LA CATASTROPHE DES ANCIENS ATLANTES….]. Adam se vit désormais attaché aux mondes inférieurs et aux forces maléfiques de « l’autre côté » [le « côté obscure de la force » chez les Star Wars du business Hollywood].

Les ravages provoqués par la brisure des récipients [vases] sur le plan ontologique de l’Adam primordial furent répétés et reproduits aux niveaux anthropologique et psychologique par le péché de l’Adam historique [HOTC]. Les mondes qui avaient commencé à s’élever et à rejoindre leur position idéale [leur EST ou leur Soi] avec l’entrée d’Adam au Jardin d’Eden chutèrent de nouveau quand il fut chassé, exactement comme les récipients du « monde du désordre » avaient chuté lors de la catastrophe primordiale [?] ». Bref, c’est bien pratique pour construire l’HOTC avec ses É-Clats   ces É-Tincelles ou TINTEMENT, TEINTURE : LES DESCENDANTS D’ADAM DEVENANT DE BONS MÉCANOS : « Les « étincelles » d’âmes humaines partagent désormais le destin de la Chekhina divine [ou Shekhina et présence du Dieu juif parmi son « peuple »] enfermée dans les fragments dispersés des récipients brisée : la qelipa [coquille qui emprisonne et qui contient du mauvais] les emprisonne ».

Comment inventer la liberté et son contraire pour passer le temps à la réparer comme pour devenir intacte et ainsi fabriquer l’Histoire, l’Opinion et le Temps qui Coule (HOTC). « Passer le temps », comme le messianisme de la carotte semble y inviter :
« …car, bien qu’elle s’enracinent dans la « blancheur absolue » [le Blanc de l’Instant ou du Ici et Maintenant], à savoir la spiritualité pure et indifférenciée de la plus haute sefira [phase de l’universel Arbre de Vie], elles contiennent cependant les prémices de la différentiation des « couleurs », c’est-à-dire des différentes qualités et attributs, à l’intérieur des récipients [vases]. Ce monde du désordre « dut tomber du sommet élevé dans la profondeur de la fosse afin de se briser et d’éclater en morceau, comme le blé que la mouture dissocie en farine et son. Du reste, par leur chute, les force impures sont séparées de la sainteté », cité page 51 par Gershom Scholem, dans : Sabbataï Tsevi, le messie mystique 1626-1676. Citation provenant d’une épître écrite par le kabbaliste Elchanan (de Kremsier en Moravie) et publiée dans le commentaire de Moïse ben Salomon, Yoel Moche sur le Assara Maamarot de Menahem Azarya de Fano, Amsterdam, 1649, fol.87a (en note de bas de la page 51).

- Les Juifs disent que « c’est cassé » et alors il faut « réparer ». Ils se prennent surtout pour « les rois du monde » : « À un niveau inférieur, l’exil [?] de la communauté d’Israël dans le monde de l’histoire n’est ainsi qu’un reflet de l’exil de l’Israël céleste, c’est-à-dire de la Chekhina. La nature d’Israël symbolise la nature de la création dans sa totalité. C’est le Juif qui a entre ses mains la clé du tiqoun du monde, à savoir la séparation progressive du bien et du mal par le moyen de l’accomplissement des commandements de la Torah [et en conséquence la FIXATION DU TEMPS]. Le tiqoun est donc un acte essentiellement spirituel qui s’inscrit dans la partie interne du cosmos [?] », écrit G. Scholem.
« Commandements » ou formule sont pareil à un cadavre comme le corps qui va naître un jour et mourir un autre jour. « Si l’on demeure ainsi sans la quitter [la conscience infinie], même le ‘Je’-‘je’ [sphurana] - qui a entièrement annihilé le sens de l’individualité, la forme de l’ego [le « qelipa » ou coquille qui emprisonne et qui contient du mauvais], ”Je suis le corps” - finira par se résorber de lui-même, à la façon de la flamme qui allume le camphre. Cela seul, les grandes âmes et les Écritures l’appellent Libération », description de la Vichara Sangraham par le Maharshi (vichara : le Qui suis-je ? ou examen mental, investigation sur nature de sa propre réalité.

- Les orientaux tel Ramana Maharshi disent que le monde n’est que Divin et alors rien n’est « cassé » et rien n’est à réparer ! Car si quelque chose est cassé, C’EST QU’IL A EU UNE NAISSANCE (cause) EN CONSÉQUENCE IL AURA UNE MORT (effet) ET PLEIN DE PROBLÈMES ENTRE LES DEUX.
« N’existe-t-il pas un moyen d’échapper aux malheurs du monde ?
Maharshi : Il n’y a qu’un seul moyen. Il consiste à ne jamais perdre de vue son propre Soi, quelles que soient les circonstances.
L’investigation « Qui suis-je ? » est l’unique remède à tous les malheurs du monde. Elle est aussi parfaite félicité ». (Ramana Maharshi, entretien 532 du 15-10-1938).

Ambiguïté et D’Anger ou protection par l’ANGE, car dans le monde actuel du tout connecté et de la normalisation selon ceux qui sont cancérisé par le pouvoir, l’É-clat ou les morceaux qu’il faut recoller se sont transformés en une multitude d’Éclats résultant d’une UNIFORMITÉ : LE SOCIAL, LE GRÉGARISME, LA ROBOTISATION DE L’HUMAIN, ce qui engendre l’UNIFORMITÉ, et, par là même, L’UNIFORMITÉ DE CONNAÎT PAS DE LIMITE : on peut sans fin recoller les morceaux comme on peut sans fin diviser un corps indifférencié ! Ce qui rejoint le PARADOXE de la réalisation du Soi : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler [à le pointer, à le Pour-Voir], cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l‘instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ».
De la même manière, « Y a-t-il quelqu’un qui ne soit pas conscient de lui-même ? Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ». (Ramana Maharshi, entretien 43 du 28-3-1935).
Et à l’entretien 28 du 4-2-1935 : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ [ou ego] et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la Réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ».


LE CONTRAIRE DE LA RÉDEMPTION, PARCE QUE LE SOI EST TOUJOURS RÉALISÉ, D’INSTANT EN INSTANT, et dehors la Shekhina divine !

« Le Soi est toujours réalisé. Si la Réalisation était quelque chose qu’il fallait obtenir, il y aurait autant de chances de le perdre. Il ne serait alors que transitoire. La félicité transitoire entraîne avec elle la souffrance. Elle ne peut être la Libération, qui est éternelle.
S’il était vrai que vous la réaliseriez plus tard, cela voudrait dire que vous n’êtes pas réalisée maintenant. L’absence de Réalisation en ce moment-ci peut se répéter à n’importe quel autre moment dans le futur, car le Temps est infini. On pourrait donc en conclure qu’une telle réalisation n’est pas permanente. Mais ce n’est pas vrai. Il est faux de considérer la Réalisation comme impermanente.
Elle est le véritable et éternel état qui ne peut changer.
Le quetionneur : Oui, je comprendrai cela le moment venu.
Maharshi : Vous êtes déjà Cela. Le temps et l’espace ne peuvent affecter le Soi. Ils sont en vous ; et tout ce que vous voyez autour de vous est également en vous. Il y a une histoire pour illustrer cela : une femme portait un collier précieux autour de son cou. Un jour, dans son agitation, elle l’oublia et elle crut l’avoir égaré. Inquiète, elle le chercha partout dans sa maison, mais ne le trouva pas. Elle s’enquit auprès de ses amis et de ses voisins s’ils savaient où se trouvait le collier. Sans résultat.
Enfin, un ami lui suggéra de mettre sa main à son cou pour sentir le collier. Elle se rendit compte qu’il avait toujours été là et fut heureuse. Quand ses amis lui demandèrent plus tard si elle avait trouvé son collier, elle répondit : « Oui, je l’ai retrouvé .» Elle gardait toujours le sentiment d’avoir retrouvé un bijou égaré.
Avait-elle réellement perdu son collier ? Elle l’avait toujours porté à son cou. Il en est de même pour nous. Nous nous imaginons qu’un jour nous réaliserons le Soi, alors que nous n’avons jamais cessé d’être le Soi ». (Entretien 609 du 18-1-1939).

« Nous nous imaginons qu’un jour nous réaliserons le Soi, alors que nous n’avons jamais cessé d’être le Soi » = FABRIQUER DES QELIPOT (ou des bagages contenant le mal et l’administration au sens du diable (3)) ; ou FABRIQUER DES HOTC…. FABRIQUER LA PEUR DE PERDRE (ses sous, sa vie, son chien, son cul, son temps, son smartphone, etc.)
Actuellement LA PEUR DE PERDRE SON INDIVIDUALITÉ :
- Maharshi : Il n’y a rien qui soit extérieur à la conscience.
- Question : Mais n’y a-t-il pas d’individualité ? J’ai peur de perdre mon individualité. Dans la conscience, n’y a t-il pas la conscience d’être humain ?
- Maharshi : Pourquoi avoir peur de perdre son individualité ? Quel est votre état dans le sommeil sans rêve ? Êtes-vous conscient à ce moment-là de votre individualité ? (Entretien 176 du 3-3-1936).
Même entretien : Ne préparez-vous pas votre lit pour y dormir et n’attendez-vous pas le moment de perdre votre individualité dans le sommeil profond ? Pourquoi en avoir peur ?
- Question : Qu’est-ce que le nirvâna du Bouddha ?
- Maharshi : La perte de l’individualité.
- Question : Je redoute cette perte. Ne peut-il y avoir de conscience humaine en nirvana ?
- Maharshi : Y a-t-il deux soi en ce cas ? Considérez votre expérience du sommeil et dites ce que vous en pensez.
- Question : Je pense qu’il serait possible de conserver la conscience individuelle en nirvâna. La perte de l’individualité me fait peur.


Notes.
1. Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident » ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » (AIGUILLE) ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre », comparable au pouvoir surnaturel Siddhi (seulement présent dans l’espace-temps : ce pouvoir ne fait rien apparaître à partir de rien : pour manifester une forêt il faudra un fragment d’arbre…).
RAPPEL : « Pour manifester des siddhi, il faut qu’il y ait d’autres personnes pour les reconnaître (sens de la dualité : pour et voir, ou sujet et objet, Dedans et Dehors). Ce qui veut dire que celui qui manifeste de tels pouvoirs est dénué de jnana [Connaissance, sagesse].
C’est pourquoi les siddhi ne valent pas la moindre pensée. Seul le jnana mérite d’être recherché et obtenu ». (Ramana Maharshi, entretien 57a du 24-6-1935). Ah, c’est RADICAL, et le RADICALISÉ ne plait pas au Pour-Voir, ni aux faux radicalisés ou fanatiques du pouvoir…..

2. Le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

3. Extrait de la conférence de Jiddu Krishnamurti à Omen en 1929, où il expliquait que « La Vérité est un pays sans chemin ».
« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ».

4. Rédemption : « Quand la dernière trace de sainteté sera extraite de la qelipa [coquille de l’œuf figurant le « mal »] de façon à ce qu’aucune étincelle divine n’y subsiste, le monde du tiqoun [ou des réparateurs] deviendra manifeste. C’est là ce que signifie la rédemption », écrit page 57 G. Scholem. Alors C’EST LE CONTRAIRE DE RAMANA MAHARSHI puisque pour Lui le monde N’EST QUE DIVIN, et pour les tiqounistes le monde n’est que matériel, terrestre, mauvais, humain, ce qui ne pouvait que développer le « COMMERCE »….. Ya comme un problème ! Et on retrouve évidemment le tiqounisme doublé de winnerisme égoïste chez les Juifs transhumanistes des Google et Facebook : « À jamais anéantir la mort » (littéralement : « La mort sera avalée dans la victoire ») ; ce qui signifie que les qelipot, qui sont appelées « mort », seront avalées en un instant parce que la divine Chekhina et toutes les étincelles d’âmes les auront quittées. […] Mais la Chekhina [maintenant] va en exil parmi les qelipot uniquement à cause des âmes [et pour leur rédemption] » (Vital, Cha’ar ha-Gilgoulim, Jérusalem, 1912, fol.16b, 15, cité par G. Scholem page 58).
RÉDEMPTION = RACHETER, étymologie de RANÇON : ce qui effectivement permettait à un Jacques Attali décrire conventionnellement (dans Les Juifs, le monde et l’argent, page 18), que l’être humain pouvait « METTRE EN VALEUR LE TEMPS », et de là c’était la porte grande ouverte pour le concept de capitalisme lié complètement au social et à sa république, forme de rançon s’il en fut !….. Ce qui permet entre autres à ce hui aux citoyens tiqounistes de dire en France chaque semaine une PRIÈRE POUR LA RÉPUBLIQUE.

Les actuelles injections-injonctions censées protéger d’un virus sont dans la pure tradition du tiqoun et de la rédemption : « faites-vous ”vacciner” et vous serez au paradis [le jour d’avant] ». Messianisme du « Vous ne possédez rien et vous serez heureux », ou « Faites-vous vacciner et vous serez heureux ». Pour le moment le « peuple élu » des tiqounistes sont les winners.
 
 

Dernière mise à jour : 06-09-2021 10:22

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