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Ecrit par Sechy, le 02-11-2021 21:01

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Racailles, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
 
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La TYRANNIE du Rien ne se perd, rien ne se crée
Vraie en chimie vulgaire ou industrielle et mercantile,
mais certainement pas en physique (notamment nucléaire
ou dans les petiotes chouses).
 
Êtes-vous certain que ce que vous avez mis dans
le creuset ne peut que s’y retrouver ? Rien n’étant
entré ni sorti pendant la mise en pression à
haute température.
« Du granite s’est formé ; la composition chimique
de cette roche est différente de celle des matériaux
soumis à une thermopression.
Il y a donc eu, au refroidissement, des
cristallisations préférentielles qui ont conduit,
pour certains éléments, à un enrichissement dans
le granite, aux dépens de la matière introduite,
tandis qu’inversement d’autres éléments étaient
en diminution dans le granite ». (Louis Kervran,
page 84, Preuves en géologie et physique de
transmutations à faible énergie
).



Voir la page précédente : E-tonnant ! Stupéfiant comme une poudre ! où il est expliqué que le pétrole est d’origine A-biotique (non fossile).


Car enfin qu’est-ce que c’est la « thermodynamique » qui colle au régime capitalisme et républicain ? C’EST LE CAUSISME (ou causalité) bien visible par le mental calculateur, le Pour-Voir, la causalité ne peut qu’être liée au mental qui calcule. Causisme = Pour-Voir, possession. Le mental de l’humain et son intelligence veut ABSOLUMENT attribuer une cause à tout, ÇA LE RASSURE, ÇA LE CONFORTE, ÇA LE SÉCURISE, C’EST VITALE POUR SON UTILITARISME OBSESSIONNEL. C’EST SON PÉTROLE. En régime républicain, dès qu’il y a un problème, le régime pond une loi…
Quand survient une cause sans motif, sans son effet, c’est la même PANique que quand le commerçant, le vendeur, n’a plus d’acheteur ou l’élu n’a plus d’électeur ! UNE CHOSE OU UN SUJET SANS SON CHER OBJET, DONC LA NON-DUALITÉ, la « passion » à vide, sans objet… La cause sans motif ou le Big Bang sans Bang ou le créationnisme sans Dieu-Cause, l’argument sans motif, et c’est la PANique…. Comme le Big Bang DÉTERMINISTE doublé d’un VIDEMOTIVANT (motivation perdue) produit évidemment certains effets : la collision de l’utilitarisme et de l’inutile en non-dualité produit une PEUR pour la raison de l’humain si habituée à bouffer sans fin de la cause et de l’effet. Si ce n’est une peur, il se produira une forme de son inverse : un rire, signifiant un soulagement.

L’évolutionnisme créationniste tient à ce qu’il se passe nécessairement quelque chose, de sérieux : il le faut, sinon, il meurt. AINSI CE SERA LA PRISE OU POSSESSION (3) DU SÉRIEUX DE CE QUI EST JUSTEMENT NON SÉRIEUX ! Or dans l’évolutionnisme, le « Plus ça change et plus c’est la même chose », devient l’anodin comme l’anodin « d’écouter les infos » ou de lire le journal chaque matin devenant la « prière du matin » en laïcité judéo-maçonnique ! (Le phénomène récent des injections aux ARNm des covidestes est cette FORME DE PRIÈRE : FAIRE COMME TOUT LE MONDE SUIVANT LES INJONCTIONS-INJECTIONS DU POUR-VOIR : le troupeau suis le berger et à peur des chiens). La perception conventionnelle d’une importance là où rien n’est important, le mental du croyant et soumis en laïcité, prêt à reconnaître en toute personne dont l’ego opinionne fort un messager de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule), voir carrément une messager de Dieu, le concept du bien et du mal (selon qu’on favorise l’avènement du sens ou qu’on le rejette), ce qui comporte l’augmentation du sens, avec les dangers inhérents aux opinions, formatrices des intolérances et des inquisitions de toutes sortes - telles sont quelques-unes des fâcheuses incidences de la démence de la queste du « sens » : découvrir le sens de ceci ou de cela, découvrir, POSSÉDER enfin la Vérité, POSSÉDER la CLÉ du secret de l’Univers, soit posséder enfin la CLÉ de SA VRAIE NATURE : le Soi, c’est-à-dire POSSÉDER LE SENS DE CE QUI N’A AUCUN SENS (comme l’indique si clairement le Mandala ou le Labyrinthe ; comme l’indique le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante.

« DONNER UN SENS » c’est posséder, c’est se rassurer en donnant une VALEUR (donc une OPINION), comme le mètre, le centimètre, l’heure, la seconde, le mois, l’année, etc., ou toutes mesures créées par le mental qui calcul, ET QUI TUE ABSOLUMENT TOUT.
Rendre le Seul Réel à l’insignifiant, donc à la SIMPLICITÉ, c’est le rendre dans son EST, dans son « Je suis de JE SUIS », DISSIPER LES FAUX SENS PAR une désignation, une pique ou un pointage : les termes « Dieu » (du monothéisme), « Vide », « pure Conscience » sont aussi difficiles à avaler que la « Conscience infinie ». C’est pourquoi il est préférable d’avoir recours au « Feu » tel POINTER symbolisé par : « N’EST PAS X » :
l’ouverture vers le TOUT est possible, il n’y a plus la tyrannie de l’opinion qui tente de SAISIR, de POSSÉDER par l’ego, alors les choses ne sont plus que des POINTES ou dé-signations, des Aiguilles : pion de jeu qui pique, sicotise (voir ci-dessous) ou qui pointe une marque, comme « LES DÉS SONT JETÉS » ou avec le Yi King : les Runes, comme le Yi-king servent à consulter le sort.
Sicotise : POINTAGES (tha-snyad en tibétain pour ”désignation”), alors ces choses désignés ne sont plus des possessions ou opinions car elles sont dépourvues d’être en, et par soi, ce qui s’approche en fait du FLÉAU, et de « Gate gate pâragate… ». Les humains, surtout actuels, détestent la simplicité, détestent l’insignifiant à l’heure du winnerisme et de la compétition, détestent donc le Seul Réel (2) ; il leur faut des MASQUES, DES COUVERTURES, DES SURFACES, DU SUPERFICIEL : les physiciens avec leurs instruments en « plongeant » dans les « petiotes chouses » ne trouveront jamais rien d’autre que des SURFACES, parce qu’ils sont en état de veille, leurs cinq sens ne peuvent voir que des surfaces, donc du spatio-temporel.
Les POINTES ou AIGUILLE rejoignent l’HOMÉOPATHIE, l’ACUPUNCTURE ET LES PETIOTES CHOUSES de Cyprian Piccolpassi Durantoys : Les trois Livres de l’Art du Potier (l’ARGILE ADN comme catalyseur pour les processus de combinaison des acides nucléiques : ADN, ARN… L’ARGILE ADN) : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu ».

La « fraternité » des « Lumières » ou le socialisme du « vivre ensemble », le CAUSISME SUPRÊME PATRIARCAL-MATRIARCAL.

« Les Lumières » et son Encyclopédie des Diderot et Cie, et ses perruques poudrées, et l’arrivée de ses judéo-maçons spéculatifs à partir de 1717 à Londres sont un symptôme de la thermodynamique : après 1789, en premier en France, ce sera la singerie du Soi : tout le monde est à égalité puisque tout le monde est devenu le roi, c’est-à-dire tout le monde est devenu Dieu ! Le citoyen est né « parfait » puisqu’il est l’égale de Dieu, sans faute, et qu’il ne doit rien qu’à lui-même, il n’a de compte à tenir ni de l’ensemble dans lequel il baigne pourtant, ni de l’autre, ni des Anciens. La communauté humaine dans son sens originel n’existe plus, puisque chacun est un « usager », un « consommateur » qui rapporte uniquement de l’argent à l’État et à certains et qui rapporte des bulletins de vote, son seul « lien » devient l’abstraction, le virtuel, la « réalité augmentée » : l'État, c’est-à-dire un POUVOIR ABSOLU, EXERCÉ AU NOM DE LA SOUVERAINETÉ DES CITOYENS-ROI, EXERCÉ PAR QUELQUES-UNS SUR LES MASSES DES VOTANTS DIVISÉS. C’est le régime républicain de l’individualisme, et par là même CELUI DE LA QUANTITÉ, DU NOMBRE, COMME CEUX DE SON ORDINATEUR : il engendre le pouvoir économique du capitalisme et dans le pouvoir politique l’absolutisme, comme Nous pouvons le constater pendant l’épisode COVID-19 suivie du réchauffisme. Dans cet absolutisme de la république devenue religion car « indivisible », ON CALCUL, ON COMPTE SES SOUS, ICI LES VOIX, et les deux comptes finissent par n’en faire qu’un en mélangeant pouvoir économique et pouvoir politique (et dehors le pouvoir de la Conscience infinie et de l’élévation de sa condition d’Être). L’égalitarisme civile et politique de toutes les classes des citoyenisés tend à ne laisser subsister d’autres inégalités sociales que celles du chiffre des richesses, et cette inégalité est dès lors sans contrepoids ; ça s’appelle le LIBÉRALISME, ça séduit toutes les classes ; ça a engendré le socialisme et la voie des déséquilibres sans fin, tant sa démocratie fonctionnant par conflits d’intérêts est condamnée à la frustration par ses propres limitations, car seul un TOTAL, UN TOUT, peut connaitre un TOUT. Or le citoyen, le corps, le dividu ou l’ego ne peut être un total, une globalité, un in-fini, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, et qu’il est donc limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’, d’où d’ailleurs le nécessité de devoir construire les fameux « droits de l’homme » sur le modèle des « commandements » façon Moïse. CES COMMANDEMENTS OU SES « DROITS » SONT DONC UN ARTIFICE, UNE « RÉALITÉ AUGMENTÉE » AVANT L’HEURE DE METAVERS (ou Meta Platforms) DE ZUCKERBERG. Un artifice parce que construit sur l’espace-temps, sur l’opinion, et comme il ne peut y avoir deux humains qui puissent vivre la même série d’expériences, ou de vivre le même événement de façon identique, même dans la « réalité » de Zuckerberg, chaque être humain ayant sa façon de penser, de sentir, de vivre sa vie à lui, il est fabriqué, moulé dans un cadre sensible, social et temporel ; il est CONDITIONNÉ ; IL N’EST PAS LIBRE. Ce qu’il appelle « liberté », ce n’est que le droit de rechercher les conditionnements qui l’arrangent le mieux, ce qui convient à l’autre, au Dehors. RÉSULTAT : de perpétuels conflits entre individus, classes et nations (voir l’actuel conflits entre Royaume-Unis et France à propos de droit de pêche en mer).
Pour sortir de ce régime politique infernal, une seule solution : l’être humain doit devenir l’ÊTRE ABSOLU : dominer le temps, l’espace qui lui sont objets, et que le sujet dont le mental se sent l’objet est lui aussi au-delà de tout existant, donc un sujet qui EST mais n’est pas existant, parce qu’étant au-delà de l’espace-temps-mouvement, donc AU-DELÀ DU CORPS MORTEL.

La « NORMAL » en physique, là où l’opinion croit au corps, c’est le sens ou le conventionnel de la majorité ou de l’inconscient collectif, ce « gros disque dur ». La « NORMALE » en Métaphysique (sens de ce qui est avant le physique euclidien et l’engendre, comme une Pré-Matière, une ”petiote chouse”, ce qui n’est pas encore du monde de la manifestation), devrait être le « N’EST PAS X » qui DEVRAIT ÊTRE LA MAJORITÉ QUALITATIVE (et non quantitative comme dans toutes élections en régime républicain…).
« N’EST PAS X » veut dire le « Gate gate… » : toutes choses est incompréhensibles parce que TOUT EST SIMPLEMENT D’ÊTRE (le « Je suis ce JE SUIS »).

Fraternité = échange (commercial) et échange de chaleur (social ou « vivre ensemble ») par Frottement, le COMBLE DE L’INDIVIDUALISME (3) DANS CETTE SOCIÉTÉ QUI SE VEUT « SOLIDAIRE » PAR SINGERIE DU SOLIDAIRE DU CHRISTIANISME, LEQUEL A JAILLI D’UNE SOURCE PAÏENNE. L’Empereur Julien comprenait déjà le solidaire des Premiers Chrétiens : « sa philanthropie envers les étrangers, sa prévoyance pour l’enterrement des morts, sa sévérité dans la vie » ; donc les Premiers Chrétiens étaient « membres les uns des autres », ce que tente de singer LA FRATERNITÉ OU AMABILITÉ COMMERCIALE, COMME S’IL Y AVAIT UNE CHALEUR HUMAINE, UN FROTTEMENT THERMODYNAMIQUE DANS LE RÉGIME CAPITALISTE ET RÉPUBLICAIN !!! Cette FROIDE ET ABSTRAITE, VIRTUELLE RÉPUBLIQUE qui tente de vendre sa « fraternité » de chaleur par frottement du social inscrite sur ses institutions. Thermodynamique du feu vulgaire qui va singer la POINTE, l’AIGUILLE : un petit trou sur une branche d’arbre bien sèche, puis avec le tranchant d’une pierre faire une POINTE à une autre branche sèche ; ensuite poser la pointe dans le petit trou, et rouler rapidement la pointe-branche….
RAPPEL, pour les covidistes piqués et les faiseurs de morale et de « bon sens » : LA PROPRETÉ EST UNE MALPROPRETÉ (la froideur intérieur de ces conventionnels qui suivent le troupeau, ceux qui « astiquent » ou qui frottent pour produire un feu froid…. ou une libido castrée…).



Thermopression chez Louis Kervran sur une Pyrope. (Pression : de près, sans espace-temps, direct ou MAÂT comme la Déesse égyptienne ; l’effet piézoélectrique [piézo : presser (1)] sur un cristal ; près : non-dualité, pas de cause ni d’effet).

Un cristal d’environ, en moyenne, 7x5x6 mm, pesant 730 mg. « Il fut transmis au laboratoire de la microsonde du BRGM. L’analyse par cet appareil avait été retenue parce qu’elle est non destructive. C’est le même cristal qui est analysé avant et après son passage à la haute pression sous température élevée. Il est donc possible d’objecter qu’on n’a pas fait l’analyse sur le même échantillon, ce qui n’est pas le cas s’il faut détruire un échantillon pour l’analyser, par les méthodes chimiques ou physico-chimiques (spectrophotométrie d’absorption atomique par exemple, où il y a une mise en solution par l’acide avant de passer à la flamme). Le problème de l’identité des parties aliquotes ne se pose donc pas ici.

Pour rendre plus exacte l’analyse quantitative, le cristal fut scié en deux. La microsonde pouvait ainsi explorer le cristal à cœur. Cela était indispensables du fait que les cristaux de grenat ne sont pas absolument homogène quand il s’agit de produits naturels, même si l’on a bin choisi l’échantillon en apparence très régulier. Le demi-cristal pesé accusait 367 mg. L’autre moitié, non passée à la presse, était conservé comme témoin éventuel », écrit Kervran page 87.
Après retour du laboratoire : « À la binoculaire, sous fort éclairage il était évident que le cristal avait changé. Il y avait bien eu un métamorphisme et l’analyser à nouveau était justifié. Je fis parvenir aussitôt au BRGM ce cristal passé à la presse et le 19 mars 1973 nous avions la nouvelle analyse », écrit Kervran.

Restait le problème de la température, pas indispensable d’atteindre les 1200° et encore moins de tenir pendant des heures une telle température. « Il me semblait même préférable d’éviter une fusion avec recristallisation : je craignais certaines réactions chimiques nuisibles, car à cette température, soutenue, FeO achève sa réduction et il était à craindre des changements trop profonds, faisant quitter le grenat pour donner du pyroxène, probablement et du quartz séparés ? Les nombreux travaux que j’ai cités montraient que des métamorphismes étaient observés en phase solide : tout au plus peut-on aller jusqu’au ramollissement mais pas à la liquéfaction qui risque parfois de donner un verre, un genre de scorie vitreuse, où nageraient des micro-cristaux et même parfois les cristaux ne se forment qu’à la suite d’un recuit. Il ne m’apparaissait donc nullement évident que la réaction cherchée puisse se faire à la fusion ; elle me paraissait même à éviter puisque, dans la Nature le métamorphisme semblait bien se produire en phase solide.

À priori il me semblait utile de disposer d’environ 1000°, sous forte pression, pour obtenir, par voie sèche, une transformation des alumino-silicates […]. L’expérience était nouvelle à plus d’un titre : les auteurs d’expériences antérieures sur les métamorphismes ont procédé à partir de produits purs, dont ils faisaient la synthèse. J’ai préféré partir d’un produit naturel. Même un cristal dit de Pyrope, n’est jamais du Pyrope pur ; c’est un mélange où le Pyrope domine, mais où l’on trouve de l’Almandin, de la Grossulaire, d’autres variétés de Grenat encore parfois, ces trois variétés étant les plus courantes. Je partais du principe que si nous voulons étudier la modification des roches métamorphiques il faut d’abord partir de ce que l’on trouve naturellement réunis : l’un des composants n’a-t-il pas pour origine les autres composants ? »


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Coupe du four et de la presse à 50 kb.
« Demi-cristal placé dans une capsule de nitrure de bore, ajustée pour entrer à frottement serré dans un mince cylindre de nickel qui constituait le secondaire du four à induction ; la chaleur était transmise au Pyrope par cette « spire » de nickel et de nitrure de bore. De la poudre de bore fut tassée autour du Pyrope pour assure un bon contact, une bonne transmission de chaleur. Matériau utilisé parce qu’il est chimiquement inerte. La chemise de nickel est entrée à frottement dur dans un épais cylindre de pyrophyllite qui prend place dans le cylindre de la presse de carbure de tungstène fritté avec 3% de cobalt comme liant. En haut et en bas une coiffe de pyrophyllite ferme la cavité du « four ». À leurs surfaces (faiblement noyés) sont fixés les conducteurs des thermocouples. Par action hydraulique les pistons se rapprochent et leur distance, en fin de course, est calculée par donner 50 kilobars. La pyrophyllite transmet bien la pression, résiste à la chaleur et sert à l’évacuation de celle-ci vers le corps de la presse qui diffuse la chaleur dans l’air, aucun refroidissement spécial n’étant prévu. La température est d’abord montée lentement à 500°C afin de sécher tout l’intérieur du four (Pyrope, capsule, pyrophyllite). Etc. ».
Ci-dessous des oxydes métalliques qui ont fortement changé. « On voit que ces variations sont importantes et hautement significatives », écrit L. Kervran.
 
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Notes.
1. Le Vrai Feu est intérieur, comme l’exprime aussi le Cristal de quartz dans son « effet piezo-électrique » : en frappant le Cristal avec un maillet de bois il se produit un éclair de lumière très visible (et en même temps un impulsion ”électrique”), parce que la trame du Cristal subit une compression, un CLIMAT. (Voir la page Pourquoi ils sont partis vers le Nord ? à propos des Cristaux et de l’Atlantide).

2. - Major Chadwick : Mais les gens ne se contentent pas de la simplicité. Ils veulent la complexité.
- Maharshi : C’est exact. C’est parce qu’ils veulent des choses savamment élaborées, attrayantes et difficiles à comprendre que tant de religions sont apparues dont chacune est si compliquée ; et chaque secte, à l’intérieur de chaque religion, a encore ses partisans et ses adversaires.
Par exemple, un chrétien ordinaire ne sera pas satisfait tant qu’on ne lui dira pas que Dieu se trouve quelque part, dans quelques cieux lointains que nous ne pouvons atteindre sans aide. Il pense que seul le Christ connaissait Dieu et seul le Christ peut nous guider. Il suffit d’adorer le Christ pour être sauvé. Si on lui expose la simple vérité : « Le Royaume des Cieux est en vous », il n’est pas satisfait et donnera des interprétations compliquées et alambiquées à de telles déclarations. Seuls des esprits matures peuvent saisir la simple Vérité dans toute sa nudité. (Ramana Maharshi, entretien 96 du 13-11-1935).

3. INDIVIDUALISME : de nos jours c’est la dualité ÊTRE-AVOIR. Ce ‘moi’ qui n’a qu’une existence d’opinions et d’histoire et donc de temps. Coupé du ‘mien’, est-il encore quelque chose ? Le ‘moi’ est foncièrement propriétaires. Détaché de toute possession, est-il un fantôme ?
« Soit, considérer-vous, il n’y a pas de ‘moi’ sans appropriation, mais il se pourrait que le ‘moi’ ne soit rien d’autre que l’appropriation. Je vous réplique que votre ‘moi’ est derechef inexistant.
En effet, le ‘moi’ n’est pas identique à l’appropriation. Icelle va et vient. Comment l’appropriateur pourrait-il ne faire qu’un avec ce qu’il s’approprie ?
À l’inverse, un ‘moi’ différent de ce qu’il s’approprie est contraire à l’expérience. En effet, s’il était autre que ce qu’il s’approprie, on l’appréhenderait à part. Or, il n’en est rien », dit Nagarjuna dans les Stances 27,5-7.
Stance 27,8 : « Ainsi, le ‘moi’ n’est pas autre que l’appropriation, il ne lui est pas non plus identique. Il n’existe pas sans appropriation. Il n’est pas certain non plus qu’il n’existe pas ».
Par exemple le fils d’une femme stérile n’est pas concevable (dans le cas naturel, car de nos jours de PMA, etc…) ”sur un substrat de groupes d’appropriation”. En ce sens, ce fils n’existera pas. Le ‘moi’ au contraire, est un mot de passe ou une opinion, un concept d’après ce substrat. Comment lui attribuer la nature de non-être ? Exprime le commentateur de cette Stance.

Et dans la Stance 27,9 à propos d’éternel : « Dire ”Je n’existais pas dans le passé” présente aussi une faille logique. Car l’être actuel n’est pas un autre que celui des vies précédentes ». L’Occidental moderne ne se croit que dans son époque, « pour qui la conception et la naissance représentent une innovation radicale. Il n’y avait aucun ‘je’ ou ego auparavant ».
Stance 27,10 : « En effet, si l’être actuel était un autre, il existerait indépendamment de l’être passé. Icelui, de son côté, se maintiendrait tel quel sur place. Ainsi, on naîtrait sans être mort auparavant ».
Bref, si le Soi était créé, ou si l’univers avait un Big Bang, il serait impermament (une naissance comporte une mort) ; la transmigration aurait alors un commencement ! Et pour finir : comment une chose peut-elle n’avoir aucune cause, genre surgissement spontané ? (ce qui est pourtant le cas du concept Big Bang et celui de la Genèse).
Ainsi les opinions concernant le passé (j’ai existé, je n’ai pas existé, les deux à la fois, ni l’un ni l’autre) ne sont qu’opinions (Stance 27,13).
RAPPEL : ce qu’on possède vous possède, on en devient dépendant ! Rien ne se perd, rien ne se crée ??? Vitesse de la lumière ou ”âge du capitaine” ???
 
 

Dernière mise à jour : 02-11-2021 21:53

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