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Seul le JEU est Divin Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-11-2021 23:45

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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Seul le JEU est Divin
parce qu’il concerne en premier les
derniers : les ENFANTS : « Heureux les
simples d’esprit » (Mt.5,3).
« Un jour viendra où il faudra oublier
tout ce qui a été appris », dit le Maharshi
dans Padamalai.
 
ÊTRE COUR : « Demeurer dans l’état de
conscience de la Réalité suprême sans
interruption, même au cours d’activité,
c’est être naturel [sahaja : inné] ».

PARADOXE du ‘je’ qui veux devenir ‘Je’,
l’ego ne le découvre qu’après avoir découvert
qu’il est un JEU divin.
Le contraire du Jeu étant le travail (au sens
ancien de souffrance, au sens de pieu, aiguille,
enfoncer, poteau) entraîne la croyance absurde
que ce monde hautement fragile représente
la réalité ultime !
La souffrance ou le travail ne se produisent
que parce que Nous croyons au temps qui coule.

2021 : jeu mondial de LA DOSE OU DE L’INJECTION…


En rapport avec le « VOYAGE » de Savinien en la COMPOST (”engrais”) de Compostelle.


Un pieux rabbin de Cracovie, le rabbin Eisik, eut un rêve qui lui demandait d’aller à Prague, là, sous le grand pont menant au château royal, il devrait y trouver un trésor caché. Comme le rêve se reproduisit trois fois, le rabbin se décida à partir. Arrivé à Prague, il trouva bien le pont, qui était gardé jour et nuit par des sentinelles. Il n’osa pas fouiller.
En rôdant toujours aux alentours, il attira l’attention du capitaine des gardes. Le capitaine lui demanda s’il avait perdu quelque chose. Avec simplicité le rabbin lui raconta son rêve. Le capitaine éclata de rire : « Vraiment pauvre homme ! », lui dit-il, « Tu as usé tes souliers à accomplir tout ce chemin uniquement à cause d’un rêve ? Quelle personne raisonnable croirait à un rêve ? » Le capitaine, lui aussi, avait entendu une voix en rêve : « Elle me parlait de Cracovie, m’ordonnant d’aller là-bas et de chercher un grand trésor dans la maison d’un rabbin dont le nom était Eisik (le rabbin rêveur), Eisik fils de Jekel. Le trésor devait être découvert dans un coin poussiéreux où il était enterré derrière le poêle ». Mais le capitaine des gardes n’ajoutait aucune foi aux voix entendues en rêve : l’officier était une personne « raisonnable ». Le rabbin s’inclina profondément, le remercia et se hâta de rentrer à Cracovie. Il creusa dans le coin abandonné de sa maison et découvrit le trésor qui mit fin à sa misère.

Ce récit est identique aux nombreux exemples du collier donnés par Ramana Maharshi :
« Une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner.
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel.
Les efforts de l’homme sont donc dirigés vers la disparition de l’ignorance. La Sagesse semble survenir, alors qu’elle est naturelle et toujours présente ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).
Le trésor que tout le monde cherche : LA LIBÉRATION, n’est pas « ailleurs » mais seulement ICI ET MAINTENANT, DANS L’INSTANT : IL EST DERRIÈRE LE POÊLE, SYMBOLISANT L’ATHANOR, LE CŒUR, LE CENTRUM CENTRI : IL SUFFIT SEULEMENT D’UNE PETIOTE ÉNERGIE POUR Y « DESCENDRE » OU RETOURNER LA LUMIÈRE.

RETOURNER LA LUMIÈRE : le COMPOST, le chemin de Compostelle est la signification de cette voix intérieure guidant nostre recherche : seul le COMPOST sera révélateur, CATALYSEUR : Alkaest ou Retournement de la Lumière, comme le Sel sublime de Van Helmont et Paracelse qui parvenu à un tel degré de Pureté et de SIMPLICITÉ reste inaltérable, inchangé par les substances qu’il ramène à leur matière d’origine dont ils sont composés.
Alkaest : dissolution naturelle et douce, sans corrosion, elle conserve la semence des corps, la dispose à la génération ; au lieu que les dissolutions des chimistes vulgaires le font par des eaux fortes, qui participent, dans leurs effets, du feu élémentaire qui détruit et qui tue au lieu de vivifier (en réf. à Dom A.-J. Pernety, dic. Mytho-Hermétique).

CATALYSEUR STYLE HOMÉOPATHIE, LA PETIOTE CHOUSE = LE STRANGE, L’ÉTRANGE ÉTRANGER. La substance infime, comme le rêve impalpable, non saisissable, qui, en quantité infinitésimale, provoque la RÉACTION, l’EFFET.
CATALYSE = EAU PRIMORDIALE (dissolution, du grec katalusis) ; la substance provoquant la catalyse ne subit pas de modification elle-même, elle est comme le Soi.
Comme dans l’exemple du Maharshi pour le collier de la femme, la CONSTANTE STRANGE EST, QUE CELUI QUI PROVOQUE LA CATALYSE OU LA RÉVÉLATION DANS NOSTRE VOYAGE INTÉRIEUR DOIT ÊTRE UN STRANGE, UN ÉTRANGER COMME L’AMI DE LA FEMME LUI MONTRANT SON COLLIER BIEN PRÉSENT AUTOUR DE SON COU. (Strange ou étranger = sans parti et sans parti pris).
CECI DEVRAIT CONSTITUER LE VRAI GREAT RESET.
Merci au courant hassidique pour son histoire du rabbin Eisik, même si là encore il est question d’argent, mais considérons plutôt que le « trésor » en question est bien la Réalisation du Soi et pas autre chose dépendante de la Loi de succion et donc de la consommation et du désir !…


Grande réinitialisation, la Vraie : Большой сброс = « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Une devise alchimique dit la même chose : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». La NUIT OBSCURE de Jean de la Croix (connaissance de soi, du Soi = connaissance de Dieu, dit Jean de la Croix).
DANS LES TÉNÈBRES ET EN SURETÉ, répète Jean de la Croix pour la « Douce et Savoureuse Union avec Dieu, dans les ténèbres et en sûreté », soit le contraire des « lumières » (la raison, le mental) de l’actuel sécuritaire de Big Brother depuis son 11 septembre 2001 et son covid-19…

« Tu as usé tes souliers à accomplir tout ce chemin uniquement à cause d’un rêve ? Quelle personne raisonnable croirait à un rêve ? »
, dit plus haut une sentinelle.

LE JEU ou l’I-Réel est le Seul Réel puisque radiation de l’Énergie à partir du Divin, ou autrement lu : manifestation à partir de l’état de veille. Shakespeare écrivait : « Les choses sont faites de la même substance que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes ». SANS LE RÊVE, LE MONDE N’EXISTERAIT PAS (voir l’Imagination créatrice d’Ibn’Arabi).

LE JEU : « Un Travail de Femme », dit l’Alchimie du TISSAGE : UN JEU D’ENFANT. Une Broderie avec des POINTS. Certain brodent dans le mauvais sens en augmentant l’Histoire-Opinions-Temps qui Coule, et tirent leur épingle du JEU. Cela produit des INTERFÉRENCES (inter-faire-E) : le DÉSIR, notamment le Lien (L et I ensemble), l’Entrave (en travers) en tissante, brodant la Matière des choses Réelles (Re-EL ou AL le Divin).

Toute crise, et désormais elle est MONDIALE et concerne tous les NOMS-LES-FORMES OU PHÉNOMÈNES, remet en question la réalité de ce monde et des humains qui y sont dedans, puisque au niveau originel l’Être se confond avec le Divin. Pour toute l’humanité originel c’est l’expérience spirituelle qui fonde le monde, c’est-à-dire qui le maintient dans un état de COMPASSION : prendre conscience des maux d’autrui, et ça existe même chez certains animaux (éléphants, chimpanzés) ; LA COMPASSION EXISTE MÊME CHEZ LES PLANTES. C’est pourquoi la limite entre inconscient et conscient est extrêmement mince et par là même l’écart qui sépare l’univers de l’inconscient et l’univers de la spiritualité. SEUL CE QUI EST UNIVERSEL PEUT ÊTRE DIVIN. LA LIBÉRATION N’EST PAS INDIVIDUELLE et n’est évidemment pas dans un régime étatique dans lequel une république serait « universelle » et « une et indivisible », ce qui en fait une monstrueuse prétention à une énième religion se voulant « mondiale ». Ce régime républicain est un orgueil démentiel de ceux qui sont atteint du cancer du pouvoir depuis le 1789 français. Ne pas oublier que dans l’après 1789 surtout au 19è siècle en Occident on divisait les noms-les-formes en : ceux qui dépendent de l’instinct, ceux qui dépendent de l’apprentissage (du dressage comme les enfants humains dans les écoles de la république). En son temps H.P. Blavatsky s’élevait déjà contre cette division.

Le jeu en vaut-il la chandelle ? Si le jeu est du domaine du Divin, il est aussi celui du Diable : faire prendre des vessies pour les lanternes comme la manœuvre assez répandue dans la vie courante, surtout politique, qui consiste a pratiquer le déni : faire perdurer des agissements que l’on vous reproche en prétendant qu’ils n’existent pas (d’où d’ailleurs le terme de « complotiste »). L’intelligence amoindrie cherche à réfuter tout ce qu’elle entend.

Dieu et Diable sont le même pouvoir : par eux le monde ne souffre pas de devoir finir un jour, mais souffre de ne pas avoir commencé : ne pas encore avoir « eu lieu ».
Le Diable est un organisateur né : LE VIRTUEL DES SOCIÉTÉS ANONYMES. Les actionnaires ne sont pas propriétaires de la société, mais c’est tout bénéfice pour eux. L’invention de la société par actions a virtualisé la propriété privée traditionnelle. Quelle aubaine pour la morale ! Antérieurement, chaque membre était coresponsable des dettes de l’affaire commune. Ce n’est plus la cas dans une société par actions. La société a des dettes, ce ne sont pas SES dettes : on ne va pas venir puiser dans la fortune personnelle des actionnaires pour rembourser les créditeurs. Mais si l’entreprise fait des profits, c’est tout bon pour les actionnaires. Une asymétrie du risque très source de désir : on peut empocher sans limite sans jamais perdre plus que sa mise. C’est ce genre de virtualité du droit de propriété qui explique l’engouement pour la forme actionnariale et son extraordinaire développement à partir du milieu du 19è siècle, qui verra la naissance des sociétés géantes, concentrant des capitaux à une échelle jusque-là inconnue, ce qui était à peu près impossible au sein des formes de propriétés antérieures.

Organiser, Administrer est le JEU DU DIABLE qui ne pouvait que faire dans le VIRTUEL et les SPÉCIALISTES sont du virtuel comme les sociétés anonymes : les entrepreneurs du « VOTRE DÉPUTÉ, VOTRE ASSURANCE, VOTRE SANTÉ, ETC. » PENSENT À NOTRE PLACE, de sorte que mêmes nos illusions et nos erreurs ne nous appartiennent plus et nous sont communes avec des millards de nos semblables (avec la numérisation de tout la ressemblance ira bientôt jusqu’à l’identité) qui se ravitaillent chez les mêmes fournisseurs de mensonges. C’est la démocratie représentative… par les spécialistes ! C’est la spécialité du Diable : la Matière violée et asservie par l’humain, surtout ses spécialistes, se venge en communiquant à son winner son inertie et sa passivité tout confort !

Un qui aimait à n’en pas douter jouer, fut Alexandre dit « le Grand ». Or, à l’époque de l’ordinateur et des gens qui s’envoient en l’air dans des satellites en tôles et boulons dans l’espace se situent à un degré de vulgarité nettement inférieur à Alexandre ; car dans la démesure du pouvoir d’Alexandre, il reste naturellement une part de mystère ; sa folie du faire/fer est comme un renversement de la prière, tandis que les conquêtes du « scientifique », froidement calculées par sa raison, ses ordinateurs et son ego, restent misérablement humaines dans leurs excès de péter plus haut que leur cul : Monsieur Pesquet, c’est la démesure mesurée et donc tout confort cajolée par les SPACIALISTES : les ordinateurs fabriqués par les humains ! L’être humain s’est éclairé pendant des millénaires à la chandelle, il s’éclaire à l’ampoule électrique depuis près d’un siècle, cela ne l’a surement pas amélioré quand à sa Connaissance de lui-même, car il préfère JOUER à l’extérieur ! Cet extérieur qui se refermera sur lui bientôt inévitablement.

Le jeu est donc aussi bien du Divin que du Diable :
« Mot d’une petite fille qui n’a, pour tout jouet, qu’une vieille poupée sale et mutilée. Quelqu’un lui dit : « Comme ta poupée est laide ! » Elle prend la poupée sur sa poitrine, la couvre de caresses et répond en la tendant à son interlocuteur : « Maintenant elle est jolie ! ».
« Une amie me raconte un étrange rêve dont le symbolisme m’éblouit. Elle avait depuis longtemps l’habitude de dire devant les êtres contrefaits de corps et de cervelle : « c’est pourtant une créature du Seigneur ! [ou une manifestation du Soi] » Or, voici son rêve. Un paysage de mort, une route à travers des rochers désertiques illuminés par une phosphorescence épaisse qui étouffe le regard - et brusquement, le démon qui se trouve devant elle sur la route, entouré d’êtres monstrueux, moitié robots et moitié cadavres, avec des trous à la place des yeux et taches sur le corps qui tiennent à la fois de la rouille et de la lèpre, et dont l’aspect la fait se crisper d’horreur. Elle essaie de fuir, mais le démon lui ricane à l’oreille avec une espèce d’ironie provocante : « Ce sont pourtant des créatures du Seigneur ! » Alors elle surmonte son épouvante et, s’avançant péniblement comme si son corps était devenu de plomb, elle prend un de ces monstres dans ses bras et s’incline vers lui. Et, juste à ce moment, l’être infernal fait de mécanique et de pourriture prend un visage humain et lui sourit »
(Gustave Thibon, L’ignorance étoilée, chapitre Réalité de l’impossible).

La Diable organise parce qu’il POSSÈDE, alors il va aider, se dévouer, ce qui sera la forme suprême de l’égoïsme.

Il semble insignifiant que la « prospérité matérielle », parfois nommée : « niveau de vie élevée », ait une quelconque existence dans le Seul Réel. Pour cette raison, elle ne peut avoir d’importance spirituelle en tant que moteur de la vie.

LA RÈGLE DU JEU : Vous avez le droit de travailler, mais seulement par égard pour le travail, soit être Maât (directe). Vous n’avez pas droits aux fruits du travail. Le désir des fruits du travail ne doit jamais être notre raison de travailler. Ceux qui travaillent pour des résultats, donc qui calculent, sont misérables.

TRAVAIL = FONCTION. la personne n’entre pas là-dedans : elle remplit une fonction.

Jeu du Diable : ce qui est appelée « civilisation » est construit sur une sorte d’équilibre des égoïsmes. Lorsque la balance est dans un courant d’air, tout est bouleversé sans possibilité de retour, la civilisation s’écroule.

Jeu du Diable en organisant : donner quelque chose à quelqu’un, aider n’importe qui à obtenir ou à faire ce qu’il veut, revient à satisfaire l’ego fictif de cette personne et à affirmer son pouvoir sur elle. Alors faire ainsi c’est comme le Diable : feindre de rendre service, soit pratiquer son contraire. Si vous faites un sacrifice pour quelqu’un, vous servez vos propres intérêts et vous infligez une blessure à votre victime. Si vous acceptez un sacrifice, vous êtes en train de subir une blessure et d’accorder un privilège. Dans le Seul Réel le mot « sacrifice » n’a aucun sens, il n’y a pas la dualité Amour-Sacrifice.

Là où l’Amour est parfait, les lois sont inutiles et vilaines, mais là où il n’y a plus l’Amour ou la Gratuité, que du commerce, tout devient lois et chaos, parce que manifestation de l’œuvre du Diable qui organise : ne pas l’oublier il est aussi avec le Soi.
 
 

Dernière mise à jour : 10-11-2021 00:04

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