Pas besoin de lire le Lankâvatâra
chapitre L’impermanence 15 pour savoir
que tout ne peut qu’être conscience,
y compris les objets extérieurs et en
conséquence le temps, et qu’il n’y a pas
de conscience sans ce temps ou cet objet,
ce qui implique un troisième élément formant
la TRINITÉ AVEC LE BLANC DE L’INSTANT
UNISSANT LES COULEURS DE L’ARC-EN-CIEL.
LE DEUX, C’EST LA GUERRE OPINION-PÉNIS-POLÉMOS :
LE TIC-TAC DU TEMPS TUEUR.
Intégral de l’entretien 476 du 21-3-1938 très instructif, et en provocation opinionesque par un missionnaire chrétien Anglais assez
« radical » (
« bruyant »), dans le sens tête-raide à la Juif et évidemment dans le sens de
« réparateur » ou
« Grand Mécanicien » et UTILITARISTES POLITICARDS façon peuple-prêtres ; missionnaire par très réalisé quoi qu’il s’en prétende au vu de cet entretien.
Le
Dr. Stanley Jones, un missionnaire (propagateur) chrétien, vint rendre visite au Maharshi en compagnie de trois personnes. Il dirigeait deux ashrams dans le nord de l’Inde, avait écrit plusieurs livres et donnait des conférences. Il avait un nouveau livre en cours dont le titre était
On the Indian Road et voulait se documenter en rencontrant les grands représentants de la spiritualité indienne. Il désirait savoir comment les sages indiens procédaient et ce qu’ils avaient trouvé lors de leur expérience du divin.
Voici quelques questions parmi celles qu’il posa au
Maharshi :
- Question : Quelle est votre quête ? Quel en est le but ? Jusqu’où avez-vous progressé ?
- Maharshi : Le but est le même pour tous. Mais dites-moi, pourquoi devriez-vous être en recherche d’un but ? Pourquoi n’êtes-vous pas satisfait de votre condition présente ?
- Question : N’y a-t-il donc pas de but ?
- Maharshi : Ce n’est pas ce que je veux dire. Qu’est-ce qui vous pousse à chercher un but ? C’est une contre-question qui nécessite une réponse de votre part.
- Question : J’ai mes propres idées à ce sujet. Je désire savoir ce que le Maharshi a à dire.
- Maharshi : Le Maharshi n’a pas de doutes à dissiper.
- Question : Eh bien, je considère que le but est la réalisation du mental supérieur par le mental inférieur, de sorte que le Royaume des Cieux puisse s’étendre ici sur terre. Le mental inférieur est incomplet et il doit devenir parfait grâce à la réalisation du mental supérieur.
- Maharshi : Ainsi vous admettez l’idée d’un mental inférieur qui est incomplet et qui cherche à réaliser le mental supérieur pour qu’il devienne parfait. Ce mental inférieur est-il distinct du mental supérieur ? Est-il indépendant de ce dernier ?
- Question : Le Royaume des Cieux a été amené sur terre par Jésus-Christ. Je Le considère comme le Royaume personnifié. J’aimerais que tout le monde réalise la même chose. Il a dit : « J’ai faim avec ceux qui ont faim » et ainsi de suite. La participation mutuelle aux plaisirs et aux peines est le Royaume des Cieux. Si ce Royaume est universalisé, chacun se sentira un avec le reste du monde.
- Maharshi : Vous parlez de différences entre le mental supérieur et le mental inférieur, entre le plaisir et la douleur. Qu’advient-il de ces différences dans votre sommeil ?
- Question : Mais je désire rester pleinement éveillé.
- Maharshi : Est-ce là votre état de plein éveil ? Il n’en est rien. Ce n’est qu’un rêve au cours de votre long sommeil. Tout le monde dort, rêvant du monde, des choses et de toutes sortes d’activités.
- Question : Tout cela, c’est du Vedānta dont je n’ai que faire. Les différences existantes ne sont pas imaginaires. Elles sont positives. Mais quel est cet éveil véritable dont vous parlez ? Le Maharshi peut-il nous dire ce qu’il trouve en cet état ?
- Maharshi : L’éveil véritable est au-delà des trois états de veille, rêve et sommeil profond.
- Question : Je suis réellement éveillé, je sais que je ne dors pas.
- Maharshi : Le véritable éveil est au-delà de toutes différences.
- Question : Alors quel est l’état du monde ?
- Maharshi : Le monde vient-il vers vous pour vous dire « j’existe » ?
- Question : Non, mais les gens dans le monde me disent que le monde a besoin d’une régénération spirituelle, sociale et morale.
- Maharshi : Vous voyez le monde et les gens qui s’y trouvent. Ce sont vos propres pensées. Le monde peut-il être séparé de vous ? [Comme le temps n’existe que s’il y a une personne pour l’observer].
- Question : J’entre dans ce monde avec amour.
- Maharshi : Mais avant d’y entrer, étiez-vous loin du monde ?
- Question : Je suis identifié à lui et cependant j’en reste séparé. Maintenant je suis venu ici pour poser des questions au Maharshi et pour l’écouter. Pourquoi est-ce lui qui me pose des questions ?
- Maharshi : Le Maharshi a répondu. Sa réponse se résume ainsi : L’éveil véritable ne comporte aucune différence.
- Question : Une telle réalisation peut-elle être universelle ?
- Maharshi : Où sont les différences dans la Réalisation ? Il n’y a pas d’individus en elle.
- Question : Avez-vous atteint le but ?
- Maharshi : Le but ne peut être quelque chose de séparé du Soi, ni quelque chose de nouveau qui peut être obtenu. S’il en était ainsi, un tel but ne pourrait être durable et permanent. Ce qui apparaît nouvellement disparaîtra aussi. Le but doit être éternel et intérieur. Trouvez-le à l’intérieur de vous-même.
- Question : Je voudrais connaître votre expérience.
- Maharshi : Le Maharshi ne cherche pas l’illumination. La question n’est d’aucune utilité pour celui qui la pose. Que j’aie réalisé ou non, en quoi cela peut-il l’intéresser ?
- Question : Et pourtant, l’expérience de chacun contient une valeur humaine qui peut être partagée avec les autres
[ici un « argument » ressemblant fort à l’empirisme à la John Locke, David Hume et au socialisme républicain… Empirisme inhérent à la dualité Dedans-Dehors car construit uniquement sur le mental et ses cinq sens, et à l’état de veille seulement en une SAISICO-LOGIQUE parfaite. Ce missionnaire semble vouloir récolter un peu partout des vérités pour en posséder une grosse et que ce serait selon lui « la vérité », la religion, démarche identique à un judéo-maçon spéculatif qui veut reconstituer et voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre].
- Maharshi : Le problème doit être résolu par le questionneur lui-même. Il vaut mieux diriger la question vers soi-même.
- Question : Je connais la réponse à la question.
- Maharshi : Voyons un peu.
- Question : Le royaume de Dieu m’a été montré il y a vingt ans, par la seule grâce de Dieu. Je n’ai fait aucun effort. J’étais heureux. Je veux maintenant communiquer cette expérience sur le plan moral et social. Mais en même temps, j’aimerais connaître l’expérience du divin du Maharshi.
Une autre personne intervint alors à voix basse : « Nous sommes tous d’accord que le Maharshi a amené le Royaume des Cieux sur Terre. Pourquoi insistez-vous pour qu’il réponde à vos questions sur sa Réalisation ? C’est à vous de la chercher et de l’obtenir ».
Le missionnaire l’écouta, discuta un peu et puis poursuivit avec d’autres questions. Le Major Chadwick intervint alors d’un ton sévère : « Le Royaume des Cieux est en vous », dit la Bible.
- Question : Comment puis-je me rendre compte de cela ?
Major Chadwick : Pourquoi demandez-vous au Maharshi de le faire pour vous ?
- Question : Je ne le demande pas.
Major Chadwick : Le Royaume est en vous. Vous devriez en prendre conscience.
- Question : Le royaume est en nous uniquement pour ceux qui peuvent l’entendre.
Major Chadwick :
La Bible dit en vous sans ajouter de conditions.
Le missionnaire, se rendant compte que la conversation avait assez duré, se retira après avoir remercié le Maharshi et les personnes présentes.
Comme écrit dans la précédente page :
INSAISISSABLE toujours, et comme le montre la
dernière vidéo de Francis Cousin, il se place dans l’HOTV (Histoire-Opinions-Temps qui Coule) création du monde, du Dehors. Or comme pour le temps il faut au minimum une personne pour le voir et donc le créer, comme un Démiurge. MAIS QUAND ? ET PAR CONSÉQUENCE DANS UN CAUSISME GENRE BIG-BANG ?! L’HOTC des Francis Cousin A BESOIN DE L’HISTOIRE, DE L’HOTC, POUR CAUSALITÉ, bref, il a besoin des drames provoqués par la pression de l’histoire-temps pour se proposer, comme les Juifs
« réparateurs » avec leur
Tiqoun, d’un mal nécessaire ou de l’invention d’une liberté et de son contraire qui a besoin d’être réparé ou soigné pour retrouver sa liberté, et devenir le précurseur qui mettra fin à jamais à l’abominable HOTC.
Qui dit réparation ou libération dit nécessairement souffrance, soumission, conditionnement (contraire de liberté et être limité), C’EST-À-DIRE UN ÉCART PAR RAPPORT À CE QUI EST CONSIDÉRÉ COMME NORMAL (d'équerre). UN ÉCART PAR RAPPORT À LA NORME, À L’ÉGRÉGORE, À L’INCONSCIENT COLLECTIF. Et cette norme, cet inconscient collectif sera DIFFÉRENT d’un peuple à l’autre et d’une civilisation à l’autre, d’une époque à l’autre, ce que le mondialisme de l’oligarchie technologique actuelle tente de posséder au sens d’unifier en une singerie de suppression du temps !
Les marxengelsistes sont une forme de religions du Salut qu’ils condamnent ! Ils posent donc les bonnes questions. Mais comme par leur raison, leur logos, ils fabriquent le temps, ils le place
« à la fin des temps » tout en parlant du temps des origines qui n’était ni un temps ni une histoire nécessitant une raison sous forme d’idéation et donc de temps qui coule !
Les marxengelsistes sont typiquement dans la recherche de l’atteinte d’un but, comme d’ailleurs tout ce qui se regroupe sous le nom de
« politique », ou de
« Salut », de
« Rédemption ».
Un sommeil éveillé en état de « veille », sens de : « Soi tranquille et sache que Je suis Dieu » [Être], du Psaume 46,11. Dans L’Ecclésiaste 1, 9-11 : « Ce qui fut, cela sera, ce qui s’est fait se refera [terminée l’imbécilité des « plus jamais ça »], et il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! [mais ne contredit pas : « La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties »]. Qu’il y ait quelque chose dont on dise : « Tiens, voilà du nouveau ! », cela fut dans les siècles qui nous ont précédés. Il n’y a pas de souvenir d’autrefois, et même pour ceux des temps futurs : il n’y aura d’eux aucun souvenir auprès de ceux qui les suivront ».
« Je suis ce JE-SUIS » = « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu. (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938). Francis Cousin malgré son verbiage pontifiant et sa fixation unique sur les Anciens Grecques et les MarxEngel finalement dit la même chose ; Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux dit aussi la même chose et très simplement, très compréhensible.
Le monde sous la poussé occidentale issue de l’hellénisme post-Alexandre
et nécessairement suite au pensisme pré-socratique ne jure que par le
MOI-INDIVIDUEL qui va fourbir bien plus tard le régime républicain et
socialiste (démocratie) de l’après 1789, ses droits de l’homme et le
triomphe de ce Moi-Individuel appelé de nos jours « consommateur » ou
« citoyen » en regard de la cité des Grecques.
Avec l’hellénisme, tous commencent à devenir « le roi », au sens où tous
deviennent des « initiés » : ils sont « au courant » : ils ont
désormais « accès à la lumière » comme si le sens CHRIST commençait à se
développer, comme si le sens de la Réalisation du Soi et de « l’accès à
la vie éternelle » commençait à se manifester au Dehors. Évidemment ce
n’était qu’une illusion de plus à voir l’état de nostre monde à ce hui !
Avec l’hellénisme post-Alexandre c’était la NAISSANCE -
et donc il faut s’attendre à une mort - Nous passions des mystères
orientaux originels [Mère Divine, Déesses-Mères ou Vierges Noires, TAO,
etc., symbolisant le Saint Chaos ou les Eaux Primordiales] aux mystères
helléniques et à l’hellénisme qui fait passer du Moi-Collectif (tribal)
au Moi-Individuel, de nos jours le citoyenisme, le consommateur, qui fait passer d’une
soi-disant non-victoire individuelle sur la mort à un Moi-Individuel
différencié du groupe et capable d’assurer son autonomie face à lui ; ce
que jusque là, disent certains, seuls les chefs, les chamans pouvaient
réaliser, comme si le Moi-Individuel avait besoin d’être soumis à un
Dehors quelconque, comme si le Moi-Individuel avait besoin de subir LA
RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS ET PAR CONSÉQUENCE CHUTER DANS
LA LOI DE SUCCION, LE DÉSIR OU LA VALEUR D’ÉCHANGE : L’ÉCHANGE ENTRE LE
CHEF DE LA TRIBU ET L’INDIVIDU ; L’ÉCHANGE ENTRE LE CHAMAN DE LA TRIBU
ET L’INDIVIDU.
En Europe l’hellénisme s’installe à partir de la Renaissance.
Avec l’hellénisme post-Alexandre, la victoire du Dieu (l’apollonisme)
sur la Déesse se traduit dans l’organisation sociale par le passage du
matriarcat au patriarcat (passage de la Mère-Culture au Père-Culture) ;
patriarcat favorable à la prolifération des guerres POLÉMOS : la guerre,
mais le mot est du masculin, guerre souci numéro un des Grecs du temps
d’Héraclite.
C’est ainsi qu’avec la naissance du Moi-Individuel avec l’hellénisme et
l’oubli de l’ANDROGYNIE DE LA MÈRE UNIVERSELLE va s’engendrer de
nombreuses religions : l’affrontement entre le nouveau Dieu masculin (le
vieillard productiviste ou causiste à barbe blanche peint par un
Michel-Ange) et le Serpent ou le Dragon, attribut de l’ancienne
Déesse-Mère vue depuis l’hellénisme comme uniquement féminine, la
dualité mâle-femelle et l’AUGMENTATION DU CORPS-MENTAL étant désormais à
l’œuvre. Chez les Grecs, Zeus combat Typhon, fils de Gaïa la Terre, et
Hercule lutte contre le serpent Ladon, gardien de l’Arbre sacré d’Héra
(Lado lié aux POMMES DU JARDIN des Hespérides dont il avait la garde.
RAPPEL : GRÈCE ANTIQUE = ESCLAVES : en ville comme en campagne le plus
gros du travail manuel est exécuté par des esclaves (seul un gueux [ou, à
partir du 4è siècle un philosophe cynique] ne possède aucun esclave.
Bref, comme le disait Aristote : l’esclave n’est qu’un outil animé
n’ayant droit à aucun Moi-Individuel (un robot avant maintenant…), ce
qui résume le problème actuel de cette civilisation sous l’État, la
marchandise-fétiche et le salariat…. Le citoyenisme vient aussi de
l’hellénisme : la cité et le droit du sang…
Indra Dieu védique combat la Déesse Danu et le Dragon Vritra.
Bref, SERPENT = SAINT CHAOS, SERPENT COSMIQUE, OUROBOROS, EAUX
PRIMORDIALES, COMME À L’ORIGINE ASCLÉPIOS ÉTAIT ONTOLOGIQUEMENT
SERPENT-MÉDECIN (voir l’actuelle enseigne des pharmaciens avec son
serpent penché sur une coupelle et curieusement peu à peu remplacée par
une croix chrétienne, comme la croix sur les ambulances dans les pays à
dominance chrétienne). Avec les religions abrahamistes le Serpent sera
le « terroriste » qu’il faut abattre pour « atteindre le sacré », donc
favoriser l’ambivalence…. Cela ne pouvait qu’engendrer les « nouveaux
héros » à l’anglo-saxon-démocratie style Superman, etc. SERPENT =
SIMPLICITÉ, et cette SIMPLICITÉ sera scandaleuse pour un humain au gros
cerveau et sur deux jambes, deux bras et avec son smartphone….
Avec les religions abrahamistes suite à l’hellénisme, le Serpent-Dragon doit être terrassé par le super-héros façon Empire-démocratie anglo-saxon : SUPERMAN, soit LA DÉCADENCE PAR LAQUELLE UNE CIVILISATION DITE CHRÉTIENNE, ET L’EMPIRE USIONISTAN EST CHRÉTIEN, RETOMBE DANS SA LUTTE CONTRE LE « TERRORISME » ET LE VIRUS COVID ASSIMILÉ AU MÉCHANT DRAGON ; CETTE DÉMOCRATIE ISSUE DE L’HELLÉNISME RETOMBE DANS LA GUERRE HÉBREUX ET CHRÉTIENS CONTRE PAÏENS OU SPIRITUALITÉ ORIGINELLE. LES CONSÉQUENCES SERONT LA POUSSÉE DE LA RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS IDENTIQUE À LA DUALITÉ BIEN-MAL OU PUR-IMPUR MAINTENANT OUTRAGEUSEMENT SIMPLIFICATRICE ET KILLER D’ÉVEILLE, PARCE QU’ELLE BRISE L’UNITÉ DE LA PERSONNE, EN EXACERBANT LA DUALITÉ DEDANT-DEHORS EN REFOULANT DANS LE DEDANS OU INCONSCIENT LES ASPIRATIONS PROFONDES DE L’ÊTRE, BREF, EN REFOULANT LA RÉALISATION DU « QUI SUIS-JE ? » ET DU « JE SUIS CE JE SUIS ».
LA DUALITÉ PUR-IMPUR EST PARTICULIÈREMENT À L’ŒUVRE DANS L’INGÉNIERIE POLITICO-ÉCONOMIQUE MONDIALE DU COVID-19 AVEC LES INJECTIONS RÉPÉTITIVES ARNm CHERCHANT À « RETROUVER LE ”PUR D’AVANT” ».
PAR CETTE AUGMENTATION DE LA RACINE DU MAL, L’ÊTRE HUMAIN DANS SON ÉTAT ORIGINEL EST BRISÉ POUR ÊTRE TRANSFORMÉ EN ROBOT, DANS LA NOUVELLE TRIBU DU MOI-COLLECTIF ARTIFICIEL ET TECHNOLOGISÉ, ET CAPITALISTE RÉPUBLICAIN, D’OÙ CETTE HUMANITÉ PROFONDÉMENT ALIÉNÉE : PARCE QUE LA VIE ORIGINELLE NE PEUT QU’ÊTRE SANS DUALITÉ : LE PUR ET L’IMPUR N’EXISTENT PAS COMME OMBRE ET LUMIÈRE N’EXISTENT PAS OU JOUR ET NUIT N’EXISTENT PAS. MAIS L’ASSURANCE OUTRANCIÈRE ET SI ORGUEILLEUSE DU SIÈCLE À PRÉTEXTE DE « LUMIÈRE » AU 18è SIÈCLE FRANÇAIS A TRAGIQUEMENT ABOUTIT À CETTE ACTUELLE CIVILISATION DE L’OBSCURANTISME LE PLUS CRADO ET EN MÊME TEMPS LE PLUS VIOLENT (car la guerre est devenue celle de la tyrannie de l’opinion, la tyrannie du mental ou de la raison chère aux « lumières » [de cet actuel obscurantisme] : on ne tue plus au canon mais par l’opinion et la soi-disant « liberté de pensée », qui mène en prison pour de longs mois sinon des années des gens comme Vincent Reynouard ; les opinions détentrices de leur « opinion-vérité » qui ne sont que la racine du mal par ceux qui sont atteint du pour-voir et qui veulent imposer à tous leur racine du mal).
- DÉESSE-MÈRE = EAUX, VÉGÉTATION, MINÉRAL.
- SERPENT = RÉGÉNÉRATION PÉRIODIQUE (métamorphose du Serpent).
- LUNE = CYCLE ET DESTIN.
- POINT PAR MOUVEMENT FORMANT TRAIT = MARIAGE DES CONTRAIRES ET CEPENDANT
COMPLÉMENTAIRES (Microcosme/Macrocosme ou « Tout ce qui est en Haut est
comme Tout ce qui est en Bas, et l’inverse »).