Comment par exemple peut-on espérer rencontrer une intelligence extraterrestre, quand on voit ce qu’on a déjà fait avec la découverte du nucléaire et en si peu de temps, quand on voit le peu de respect que nous avons avec nous même, c’est-à-dire la Nature. Cette intelligence extérieur existe bel et bien, sous une forme ou une autre, elle est partout, aussi bien sur la planète Terre qu’à des milliards d’années lumière d’ici. Le Cosmos est vivant...
En fait, pour respecter la Nature, il faut posséder encore son âme d’enfant.
- L’amoureux de la Nature est celui dont les perceptions externes et internes sont parfaitement ajustées les unes dans les autres. Dans les forêts on trouve un refuge extraordinaire. C’est là où se trouve plein de graines, l’état sauvage, on peut y prier, chercher, s’échapper. En s’y prenant correctement on peut s’y nourrir, s’y construire une habitation. Les forêts sont les meilleures écoles possibles, aussi bien pour le physique que pour le spirituel.
Encore une fois : nous sommes la Nature, donc nous avons a faire avec l’intelligence de Gaïa, la Terre.
Manger un morceau de pain assis sur un banc dans une maison romaine de
Pompéi est une impression que je n’oublierai jamais, comme si quelqu’un m’y avait invité. Cela vaut tous les repas dans les plus luxueux restaurants du monde.
Le mot Nature est féminin, hors depuis plusieurs siècle on vit dans une société matriarcale, ou domine le mâle (les femmes dans leur travail au quotidien doivent en savoir quelque chose !). D’après
Rupert Sheldrake, c’est le 16è siècle et la suprématie du « Père », et la suppression du culte de la Vierge qui est le départ de la désacralisation de la Nature, et celui du matérialisme (en plus de la synchronisation du temps partout le même en France par exemple, comme déjà exposé sur mon site, ce qui va d’ailleurs avec un calendrier et une chronologie unique pour toute notre planète). Donc à partir du 16è siècle la matière est considérée comme inanimée et obéit à des lois immuables, que les humains se targuent d’avoir trouvés ! Aussi c’est est finit de l’identification de la Nature à une mère et la conception d’une nature vivante. Elle est devenue « le Monde Machine, et Dieu, le Mécanicien tout puissant », comme l’écrit Rupert Sheldrake dans son livre :
L’âme de la Nature.
Les scientifiques des États-Unis prévoient, avec une grande certitude, que :
1) L’explosion dans les zones urbaines de moins d'un demi pour cent de la puissance explosive contenue dans les arsenaux nucléaires des États-Unis et de la Russie pourrait entraîner des perturbations majeures du climat global conduisant à la famine des centaines de millions des personnes déjà en malnutrition.
2) Une guerre, même avec les quelques milliers d’armes nucléaires stratégiques maintenues actuellement en alerte par les États-Unis et la Russie, causerait des changements du climat et de l'environnement si cataclysmiques que des périodes de végétation complètes seraient éliminées pendant de nombreuses années, entraînant ainsi la majeure partie de l’humanité à périr de famine.
Il est irréaliste de penser que la dissuasion nucléaire puisse fonctionner parfaitement pour toujours. Un jour ou l’autre, en raison de la folie, de la méchanceté, de l'erreur de calcul, ou du défaut de fonctionnement, l’utilisation d’armes nucléaires deviendra inévitable. Ainsi, il est impératif que comme première étape vers la réduction et l’élimination de l'immense danger que des armes font peser à toutes les nations et à tous les peuples, les États-Unis et la Russie acceptent de retirer l’état d’alerte de leurs armes nucléaires.
Nous exhortons les gouvernements des Etats-Unis et de la Russie, les présidents Obama et Medvedev, Secrétaire d'Etat Clinton et ministre des Affaires étrangères Ivanov, à se saisir de la négociation du renouvellement du Traité de réduction des armes stratégiques (START) pour négocier la réduction immédiate de la capacité opérationnelle de leurs systèmes d'armement nucléaires.
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