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Ecrit par Sechy, le 05-02-2022 01:12

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge

 
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Les « réparateurs » au nom du « bien »
et de l’évolutionnisme
ENGENDRENT LES PIRES HORREURS AU
NOM DE LEUR « BIEN »
(comprenant en
politisme étatique leur « république »
et leur « démocratie »).
Combien de têtes le régime républicain
français coupa-t-il au nom du « bien »
ou de la « justice » de 1789 à 1981 ?
 
L’INVENTION DU CONCEPT DE « BIEN »
ET IDENTIQUE À L’INVENTION DU CONCEPT
DE « VALEUR » QUI FAIT AUTANT DE RAVAGES,
NOTAMMENT QUE LA VIE HUMAINE AURAIT UNE
« VALEUR » EN ELLE-MÊME (per se) EST LE
SYMPTÔME PRINCIPAL DE LA CROYANCE À L’EGO,
AU « MIEN » ET AUX CHOSES À CONSOMMER OU
CONSUMER (cuire) AVEC LE FEU VULGAIRE OU
THERMODYNAMITE (pas de faute).

Au nom du « bien », croire à l’existence
d’une erreur, d’un « mal », et qu’il est
possible de le corriger ou de l’éliminer,
C’EST L’ERREUR MÊME, et non une libération.
L’erreur ou le « mal » est vide par essence et
le début de la Libération et non son contraire.
Et ce début lui-même sera à éliminer.
Si toute erreur ou tout mal a pour essence
le Vide, aucune erreur ou aucun mal corriger,
disparition de la SAISIE ou LOI DE SUCCION
ou élimination de la Loi de Succion cette
ATTRACTION UNIVERSELLE.

Comme pour les injections-injonctions aux
ARN messianiques, le mal ou la PEINE fait dans
la dualité commerçante vendeur-client :
PEINE = LA CONSOLATION, le ré-confort, et
l’injonction ARN en est un.
Dans le commerce la peine engendre la
consolation-consommation : « RACHETER
LA FAUTE »
écrit Attali page 18 dans son
livre Les Juifs, le monde et l’argent.
PROFITER DE L’ÊTRE EN FAIBLESSE, DU STYLE
MAFIA : « Je te casse ta maison, et si tu ne
veux pas que je recommence, je te protège si
tu me paye tous les mois », du même style
que les rançongiciel ou « ransomware ».
C’EST L’INJECTION : EXTORQUER, PÉNÉTRER,
VIOLER, ENGENDRER LA FAIBLESSE DE L’AUTRE,
fabriquer l’erreur chez l’autre.



Le « ransomware » de l’humain est l’ego (le corps « physique ») : la racine du mal, ce qui saisie.
« Cherchez « Qui suis-je ? ». Le ‘je’, à l’état pur, est la Réalité, l’absolu Être-Conscience-Félicité. Lorsqu’on oublie Cela, toutes les misères surgissent ; lorsqu’on fixe son attention sur Cela, les misères passent ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).
« L’ego est donc le même durant l’état de veille, de rêve et de sommeil profond. Trouvez la Réalité sous-jacente à ces trois états. C’est là la véritable Réalité. Dans cet état [le sahaja : naturel (1)], il n’y a plus que ÊTRE, il n’y a plus « toi », ni « moi », ni « lui » ; plus de présent, ni de passé ni de futur. Cet état est au-delà du temps et de l’espace, au-delà de toute expression.
Il est toujours là ». (Même entretien).

« On devrait être naturellement en état de samâdhi [con-templation : avec le temple, le Soi], en son état originel, au sein de n’importe quel environnement ». (Entretien 54 du 16–6-1935).

Ce monde actuel et depuis des millénaires est dans LA CROYANCE AUX MOTS ET DONC AU MENTAL. Cette foi dans les mots ne peut que MASQUER le Seul Réel, parce que les Terriens ignorent que l’Essence n’a pas de mot ou de CORPS (2). Ils ne comprennent pas que les mots ont pour nature de véhiculer un sens dont ils sont le corps, si bien que le sens du langage est : LA PAROLE NAÎT PUIS CESSE : SAVOIR, POUVOIR, OSER, SE TAIRE, de la Tradition, dont le dernier terme est l’ESSENCE.
Les mots et leur syntaxe sont tous prisonnier du langage alors que leur sens ne l’est point comme dans l’exemple du tour (1), puisque ce sens n’est ni quelque chose ni rien, puisqu’il n’a ni naissance ni corps, il est comme éternel.
JAMAIS LES ENSEIGNEMENTS NE SE LAISSENT GAGNER PAR LES MOTS (maux), LESQUELS ENGENDRENT INÉVITABLEMENT LA DUALITÉ BIEN-MAL.
Ceux qui enseignent avec les mots sont les bavards, des politicards de leur étatisme républicain ou monarchique, des gens stériles, puisque la nature de chaque chose échappe au conventionnel et donc échappe au langage de ce conventionnel.

Des mots/maux allait naître le comput ou le temps physique abstrait : CELUI DU CONVENTIONNEL DES CALENDRIERS ET DES HORLOGES ; ON COMMENCE À CHIFFRER LES DATES ET AUTRES OPINIONS-CONVENTIONS, et avec le chiffre le futur ordinateur n’est plus loin.
Or le Seul Réel c’est l’Être, tandis que les « faits » ou opinions ne sont que des phénomènes de la racine du mal :

- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie, l’attraction universelle].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

Ainsi pour ceux qui sont pris au piège de la dialectique et du causisme dans leur spatio-temporel, les « faits » constituent une « réalité objective ». Lorsque le Christ-Jésus c’est trouvé MATÉRIALISÉ, SAISIS, INCARNÉ, EN LAÏCITÉ FAÇON MONDIALISME AU SENS ACTUEL PAR THÉODOSE 1er, LE SOCIALISME SE MATÉRIALISAIT D’OFFICE (incarnation sociale lié au politisme de l’État), qui engendrera un philosophisme de l’histoire façon mythologie-opinion et surtout « isme » ou système messianique. Le CHRISTOS ou CHRIST générique ne connaît pas de « isme » puisqu’Il est l’équivalent du Soi, et non un Pantokrator ou Patriarche tout puissant quelconque, soit un Dehors de la racine du mal….

En conséquence, le FAIRE/FER est création : « L’activité est création ; l’activité est la destruction du bonheur inhérent à chacun. Si une activité est recommandée, celui qui la recommande n’est pas un maître mais un tueur. C’est comme si le Créateur (Brahmâ) ou la Mort (Yama) se manifestaient sous l’apparence d’un tel maître. Celui-ci, au lieu de libérer l’aspirant, renforce ses chaînes ». (Ramana Maharshi entretien 601 du 27-12-1938).

Ainsi, toutes choses sont libre du langage nécessairement lié au conventionnel, et selon le mental de certains : lié à l’instinct (lui aussi conventionnel puisque noté comme étymologie d’étiquette : attacher, enfoncer, percer piquer, injecter comme sous le covidisme…).

Cependant, si les Réalisés ne disaient ou ne laissaient aucun mot dans des écrits, c’en serait finit du TAO ou du Soi, il n’y aurait plus de Réalisés, aucun Christ ni aucun Christ-Jésus tel Celui fils de la Vierge. Si le Christ-Jésus venait à manquer, il n’existerait pas les Évangiles. Si tous les Réalisés venaient à manquer, qui enseignerait qui ? Voilà pourquoi, pour enseigner quelque chose, un concept et des mots/maux sont nécessaires, mais, si le concept en vient à être saisi, devient un REFUGE-CONFORT-SÉCURITÉ-LOI comme quelque chose en soi, quelque chose de fixé ou de concret, prenant un CORPS, L’ENSEIGNEMENT LUI-MÊME EN EST INVALIDÉ. Par conséquent, le concept-refuge-sécurité-confort qui vient d’être créé doit être DANS L’INSTANT détruit.

L’Essence n’a pas de mot ou de CORPS (2), si bien que la justice humaine n’est qu’opinions construites sur le conventionnel, avec le mythe de l’excuse ou du pardon, qui, sur le plan des apparences en spatio-temporel n’a aucune existence. Sur le plan du Seul Réel, l’invention du pardon n’existe pas, sous la dimension mental, aucun préjudice au plan spatio-temporel ou à l’état de rêve ne peut jamais être effacé, quelles que soient la profondeur et la force de saisie de pardonner, et bien que COMMERCIALEMENT-SOCIALEMENT PARLANT cela puisse être rééquilibré par un service rendu, sur le plan du Seul Réel, l’invention du préjudice n’existe pas !

PAN, fait le révolver et la PANique si détesté en ce monde du sécuritaire et du tout confort. PAN, le bruit du Seul Réel est trop bruyant pour être entendu par le Terrien : le Seul Réel ne peut être entendu ni vu car INSAISISSABLE, PARCE QUE NOUS SOMMES LUI (Le Royaume des Cieux est en vous).

Les Libérés authentiques tableront sur l’Essence (1) et non sur les mots.
Tous les pouvoirs ou POUR-VOIR veulent voir : « éclairer » (contrôler), ainsi ils fabriquent l’évolutionnisme. Mais, quelle progression peut-il encore exister dans L’INAPPARENT, L’INVISIBLE, L’INSAISISSABLE ?

Notes.
1. En sahaja, en revanche, le mental s’est fondu dans le Soi et a disparu. Les différences et les obstacles mentionnés précédemment n’existent plus ici. Les activités d’un tel être (en sahajasamâdhi) sont comparables à celles d’un enfant à moitié endormi que l’on nourrit sans qu’il en ait conscience alors que celui qui l’observe en a conscience. Le conducteur dormant sur son char à boeufs ne se rend pas compte que son véhicule avance, parce que son mental est plongé dans
l’obscurité. De même le sahaja-jnani demeure inconscient des activités de son corps parce que son mental est mort – dissous dans l’extase du chit-ânanda (le Soi) […] La contemplation est un processus mental volontaire, tandis que le samâdhi est au-delà de tout effort ». (Entretien 187)

SAHAJA = LE FLEUVE QUI VA À LA MER NE PEUT SUPPRIMER SA SOURCE (en réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux). Cependant en Sahaja le fleuve se déversant dans la mer perd son identité : son mental est mort, il est fondu dans le Soi (en réf. à l’entretien 187). Tant que le mental est vivant, le seau attaché à la corde ou le fleuve attaché à la source est immergé dans l’eau du puits ou de la mer ; le seau peut ainsi être remonté par la corde et le fleuve peut « penser » à sa source, le mental ou l’ego étant encore présent par « endroit ».

2. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.
ESSENCE (le Soi) : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».

« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ».
Les Essences, ce sont les « Maîtres » intérieurs. Le Maître n’est JAMAIS à l’extérieur. « Si le maître était vraiment un étranger dont vous attendez la venu, il serait voué à disparaître lui aussi. Quel est l’intérêt d’un tel être transitoire ? » pourrait répondre Ramana Maharshi sur l’attente de leur messie par les Juifs !!!
R. Maharshi ajoute cette importance, que tant qu’une personne se considère comme le corps, le ‘je’ ou mental, alors le maître devient nécessaire et il apparaîtra avec un corps ; d’où ce judaïsme totalement matérialiste socialisme attendant un Guru (Messie), et système purement politique de manipulation des foules, comme du temps de Moïse… et crachats et nouvelle crucifixion de Jésus par les Couilles en Or et leur laïcité marchande.

La Vraie Foi c’est la Connaissance : voir le temporel à partir de Dieu ou du Soi, et ensuite seulement on peut parler de « création ». Donc la Vraie Foi ou Soi étant notre état naturel, elle ne se cultive pas, ne s’approfondie pas !

« La terrasse de l’âme est dirigée par quelque chose [correspond à la Lumière de l’Essence qui est au-delà de la conscience conceptualisante qui n’est pas la Lumière de l’Essence]. Mais personne ne connaît ce par quoi elle est dirigée et ne peut donc la diriger [la conscience humaine dépend du Soi ou TAO] ». (Tchouang-tseu, Keng-sang Tch’ou).

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Dernière mise à jour : 05-02-2022 01:41

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