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Le FONDAMENTAL est que Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-02-2022 22:26

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge

 
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Le FONDAMENTAL est que
Un être humain NE PEUT PAS DEVENIR
« chef », à cause de l’ego, à l’état
de veille, et qui va FRUSTRER les autres
ego.
Le chef engendre naturellement des
inférieurs : les « animaux » et lui comme
chef de meute. Soit une SINGERIE CHRISTIQUE
identique à celle naïvement reproduite par
les Incas : leur chef-Dieu avait ses
« animaux », son peuple, COMME UN DON
DIVIN OFFERT À LUI, soit la déformation
du sens de la GRÂCE.
Déformation qui reste un mystère tant elle
ne semble pas naturelle chez ce peuple……
 
 
« La grâce divine est essentielle à la Réalisation. Elle conduit à la réalisation de Dieu. Mais une telle grâce n’est accordée qu’au dévot sincère (bhakta) ou au yogi qui a travaillé avec acharnement et sans répit sur la voie de la liberté » (Ramana Maharshi, entretien 29 du 4-2-1935).
« Nous sommes Dieu (Ishvara ou l’aspect du Seigneur de l’Univers). Et îshvara-drishti (se voir en tant que Dieu) est en soi grâce divine (1). Aussi nous avons besoin de la grâce divine pour obtenir la grâce de Dieu. […] Le fait de penser à Dieu est une faveur divine ! Par nature, Dieu est grâce (prasâda ou arul). Et c’est par la grâce de Dieu que vous pensez à Dieu ». (Même entretien 29).

« Ishvaro gurur âtmeti [1]… (Dieu, le guru et le Soi sont identiques…) Une personne commence par être insatisfaite. Mécontente du monde, elle cherche la satisfaction de ses désirs en priant Dieu ; son mental se purifie ; elle aspire davantage à connaître Dieu qu’à satisfaire ses besoins charnels. Alors, la grâce divine commence à se manifester. Dieu revêt la forme d’un guru et apparaît à l’adorateur, lui enseigne la Vérité, lui purifie le mental par son enseignement et son contact ; le mental se renforce, il est capable de se tourner vers l’intérieur ; purifié davantage par la méditation, il reste finalement calme, sans la moindre ride. Cette tranquillité, c’est le Soi. Le guru est à la fois intérieur et extérieur. De l’extérieur il pousse le mental à s’intérioriser ; de l’intérieur, il tire le mental vers le Soi et l’aide à obtenir la quiétude. C’est la grâce.
Il n’y a donc pas de différence entre Dieu, le guru et le Soi ». (Entretien 198 du 10-6-1936).

- Question : Comment obtenir la grâce divine ?
- Maharshi : Par l’abandon de soi [ego].
- Question : Je ne ressens toujours pas la grâce.
- Maharshi : La sincérité fait défaut. L’abandon ne doit être ni verbal ni conditionnel. (Entretien 319 du 7-1-1937).

Dans le Varâha-purâna, il y a inversion : Rudra (Shiva sous l’aspect de destructeur) fait du dégât avec un arme spécial en forme d’arc qui a vingt-quatre mains de large, trois cordes et deux carquois pleins de flèches et il fait du dégât ; si bien que les Dieux sont réduits à la condition de bêtes et viennent s’incliner devant Rudra, reconnaissant qu’ils lui ont fait du tort ; ils lui rendent hommage et le supplient de leur accorder la connaissance des Véda avec ses doctrines secrètes.
Le Grand Dieu Shiva leur dit alors : « Devenez tous des animaux (des pashu), et je serais votre Seigneur (Pati) et alors vous obtiendrez la Libération ». Ils acceptèrent, et ainsi Rudra devint Pashupati.
C’est pourquoi tous les êtres incarnés, même de condition divine (bien qu’« immortels » à l’intérieur d’un cycle cosmique, à la fin de ce cycle ils sont réabsorbés dans le Principe cosmique ou Originel), ces êtres mortels ont donc tendance à oublier qu’ils sont mortels, à dénier ou à cacher la mort comme l’actuel « civilisation » technocraticologique, soit tendance à reléguer dans un Dehors très loin, parce qu’ils ne veulent surtout pas voir la mort en face, alors ils ne cessent de faire des projets : principe du régime capitalo-républicain et de ses « Plus ça change et plus c’est la même chose », en croyant qu’ils sont immortels, comme les transhumanistes : « Je ferai ceci, je ferai cela », COMME SI LE TEMPS N’EXISTAIT PAS POUR EUX. Ils ne tiennent pas compte de l’impermanence, du dérisoire et de la précarité de la vie, et du fait qu’ils peuvent d’Instant en Instant être surpris par la mort.

L’irruption, PANique la raison devient inexistante, du visage terrifiant de Dieu - car la mort et l’impermanence sont une réalité du Seul Réel - a pour effet de les ramener dans l’Instant, et de leur faire prendre conscience qu’ils ne sont que des pashu, des âmes attachés, prisonniers de conditionnements ou packaging à n’en plus finir, limités par le temps qui coule et par l’histoire ; ils sont aussi dépendants que le sont leurs animaux domestiques comme leurs chiens et leurs chats ou leurs poissons rouge par rapport à l’homme.
Alors seulement lorsqu’ils se seront libérés et de l’État, et de son idolâtrie des marchandises inhérent au salariat, peut venir le vrai Désir de Libération, et par le désir de passer au-delà de l’increvable réforme sous forme des « plus ça change et…. » de leur conscience divisée par l’opposition entre le Moi-Individuel et le Moi-Collectif, le ‘Je’ et le ‘je’, entre le sujet et l’objet ou le Dedans et le Dehors, devenir l’Éveil authentique et parfait en conscience non-dualisante, qui est l’état du Seigneur.
Alors seulement peut se révéler à eux, parce qu’ils le demandent, ayant réalisé qu’ils sont des pashu, le visage de Grâce du Seigneur, Shiva, le Guru originel, qui enseigne les voies de Libération, et de transformation de la conscience, le TAO ou retour à l’Unité origine. Seule la Connaissance est le moyen se dépasser la peur de la mort.

À nouveau voici en refrain l’entretien 617 du Ramana Maharshi du 23 au 28-1-1939.
Cinq états sont différenciés chez l’individu : 1, le Jagrat ; 2, le Svapna ; 3, la Sushupti ; 4, le Turya ; 5, le Turyatita.
« Jagrat : état de veille. En cet état, le jiva [être vivant, âme individuel], sous son aspect grossier individuel (vishva), et le Seigneur, sous son aspect grossier universel (Virât), demeurant ensemble dans les 8 pétales du Lotus du Cœur, fonctionnent par l’intermédiaire des yeux, puis au moyen de tous les sens et organes et jouissent des plaisirs procurés par les divers objets. Les cinq éléments grossiers déployés, les dix sens, les cinq énergies vitales, les quatre facultés internes, en tout 24 éléments fondamentaux, constituent ensemble le corps grossier. L’état de Jagrat est caractérisé par le sattva-guna [qualité de pureté], défini par la lettre A et régenté par la divinité Vishnou.
Le Svapna est l’état de rêve durant lequel le jiva, sous son aspect subtil individuel (taijasa), et le Seigneur, sous son aspect subtil universel (Hiranyagarbha), demeurant ensemble dans la corolle du Lotus du Cœur, fonctionnent dans la nuque, en faisant l’expérience des conséquences des impressions recueillies à l’état de veille par l’intermédiaire du mental. Tous les principes, les cinq éléments grossiers, la volonté et l’intellect, en tous 17, forment ensemble le corps subtil du rêve qui est caractérisé par le rajo-guna [qualité d’activité], défini par la lettre U et régenté par la divinité Brahmâ, ainsi que l’affirment les sages.

La Sushupti est l’état de sommeil profond durant lequel le jiva, sous son aspect causal individuel (prajna), et le Seigneur sous son aspect causal universel (Ishvara), demeurant ensemble dans l’étamine du Lotus du Cœur, font l’expérience de la Félicité du suprême par l’intermédiaire de l’ignorance subtile (avidyâ). De même qu’une mère poule, le soir venu, réunit sous ses ailes toute sa couvée pour lui assurer le repos de la nuit, ainsi l’être individuel subtil, après avoir fait l’expérience du Jagrat et du Svapna, de réfugie dans son corps causal avec toutes les impressions recueillies durant ces deux états. Le corps causal, formé par l’ignorance, est caractérisé par le tamo-guna [qualité d’obscurité], défini par la lettre M et régenté par la divinité Rudra.
Le sommeil profond n’est rien d’autre que l’expérience du pur état d’Être. Les trois états reçoivent différentes appellations, notamment celles des trois régions, des trois citadelles, des trois divinités, etc. L’Être demeure toujours dans le Cœur, comme il a été dit précédemment. Si, dans l’état de Jagrat, le Cœur n’est pas abandonné, les activités mentales sont apaisées et seul le brahman est contemplé, c’est l’état de turiya.
Le Turyatita est l’état dans lequel l’être individuel se fond dans le Suprême.

Le royaume végétal est toujours plongé en sushupti ; les animaux ont deux états : sushupti et svapna ; les Dieux (êtres célestes) sont toujours en jagrat : l’homme connaît les trois états ; le yogi à la claire vision ne demeure que dans l’état de turiya, et le yogi au stade le plus élevé demeure uniquement en turyatita.
Les trois premiers états alternent involontairement chez l’homme ordinaire. Le quatrième et cinquième état (turiya et turyatita) sont le résultat d’une pratique spirituelle et constituent une aide efficace à la Libération. Chacun des premiers trois états (jagrat, svapna, sushupti) est exclusif des deux autres et limité dans le temps et l’espace. Ils sont donc irréels.
Notre expérience des états de jagrat et de svapna prouve que la Conscience, le Soi, est sous-jacente aux cinq états, qu’elle reste parfaite en chacun d’eux et qu’elle est le témoin de tous.

Si l’expérience de la Félicité dans le sommeil profond est un fait, comment se fait-il qu’aucun être humain ne s’en souvienne ? Un plongeur qui a trouvé sous l’eau l’objet de sa recherche ne peut faire connaître sa découverte aux personnes qui l’attendent sur le rivage qu’une fois sorti de l’eau. De même le dormeur, privé de moyens d’expression, ne peut faire part de son expérience tant qu’il n’est pas réveillé par ses vasana [tendances, prédispositions du mental]. De toutes ces considérations, il résulte que le Soi est la lumière de sat [Réalité], chit [Conscience], ananda [Félicité]. [La Félicité est fondée sur l’absence de pensées.

Si l’expérience de la félicité dans le sommeil profond est un fait, comment se fait-il qu’aucun être humain ne s’en souvienne ? Un plongeur qui a trouvé sous l’eau l’objet de sa recherche ne peut faire connaître sa découverte aux personnes qui l’attendent sur le rivage qu’une fois sorti de l’eau. De même le dormeur, privé de moyens d’expression, ne peut faire part de son expérience tant qu’il n’est pas réveillé par ses vâsanâ [tendances, genre]. De toutes ces considérations, il résulte que le Soi est la lumière de sat, chit, ânanda.
Vishva, taijasa et prâjna sont des termes désignant l’individu qui se trouve respectivement dans les états de veille, de rêve et de sommeil profond. Et le même individu est sous-jacent à chacun de ces états. Ceux-ci ne représentent donc pas le vrai Soi qui est le pur état de sat-chit-ânanda. Nous avons dit que l’expérience du sommeil profond est la félicité du brahman. Mais en fait, il s’agit seulement de l’aspect négatif de cette félicité, puisqu’elle est fondée sur l’absence de pensées. De plus, elle est transitoire. Une telle félicité n’est que l’âbhâsa (le reflet), une « contrefaçon » de la
félicité suprême. Elle n’est pas différente du sentiment de félicité provoqué par les plaisirs sensuels.
Nous disions qu’en sommeil profond le prâjna [être individuel dans l’état du sommeil profond] est uni au Soi. L’individualité demeure donc à l’état potentiel dans cet état.
Le Soi est sous-jacent à toutes les expériences. Il est leur témoin ainsi que leur support. La Réalité est donc différente des trois états, veille, rêve et sommeil profond ».

Shiva comme toutes choses, dont l’univers, se trouvent EN NOUS (entretien 30 du Maharshi) :
- Question : Mais alors, ce sont simplement des idées [des Dieux] que je peux créer et contrôler ?
- Maharshi : Il en va ainsi de toute chose.
- Question : Mais je peux créer de pures fictions, par exemple des cornes de lièvre ou bien des choses qui ne sont que partiellement vraies, comme des mirages, etc. Par contre, il existe des faits indépendants de mon imagination. Les dieux Ishvara et Vishnou entrent-ils dans cette dernière catégorie ?
- Maharshi : Oui.
- Question : Sont-Ils sujets au pralaya (la dissolution cosmique) ?
- Maharshi : Pourquoi le seraient-ils ? L’homme qui devient conscient du Soi transcende la dissolution cosmique (pralaya) et atteint la Libération (mukti). Pourquoi pas Dieu (Ishvara) qui est infiniment plus sage et plus capable ?
- Question : Les dieux (deva) et les démons (pishâcha) existent-ils de la même manière ?
- Maharshi : Oui. (Entretien 30 du 4-2-1935).
Et à l’entretien 264 du 20-10-1936 : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».

Qui dit « chef » ou « président » dit SOUMISSION AU DEVENIR, (à l’état de veille, ou état d’incarnation, ce qui est pour le moins anormal !)
Le « chef » ou « président » va ainsi exercer une fonction de « délivrance », de « sauveur » ou d’ORGANISATEUR, comme s’il y avait quelque chose à organiser !

Or le seul « chef » ne peut qu’être le CAPITAL : LA TÊTE, LE CHEF, LE MENTAL QUI SERVIRA À NE PAS S’EN SERVIR, PAR LA RÉALISATION DE L’A-TEMPOREL OU SUPPRESSION DE LA LOI DE SUCCION, L’ATTRACTION UNIVERSELLE QUE LES HUMAINS VEULENT ARRANGER EN S’ENVOYANT EN L’AIR (”se défoncer” comme ils disent) POUR ATTEINDRE LE BONHEUR SUPRÊME, ET ÉTERNEL.

Sans l’attraction universelle effectivement il n’y a pas d’ego, la Réalité impersonnel est Ici et Maintenant et est insaisissable, non-identifiable par un quelconque ego, à l’état de veille. Ainsi le Seul Réel ne peut se vivre que par la Voie du N’EST PAS X (qu’on peut aussi appeler « Voie apophatique » : de apo- loin de, et phatique : du grec phatis : parole, au sens d’une fonction de langage vide d’information ou d’opinion, « allo » ou « euh » sont fonction phatique).
N’EST PAS X est LA formule libérée de la tyrannie de l’opinion.

Mais la libération de la tyrannie de l’opinion ne peut se faire que DANS L’INSTANT, vide de tout ego, vide de toute saisie :

« N’est pas X » laisse la porte à tous
les possibles, puisque cela revient à
dire que les choses n’ont pas d’être en
et par soi, elles ne sont que de simples
imputations nominales. C’est-à-dire que la
Chose par la désignation du « N’est pas X »
est saisie dans sa Singularité, une unicité
qui contribue à la faire apparaître comme
extra-ordinaire et comme phénomène
INCONNAISSABLE, INSAISISSABLE, INCOMPRÉHENSIBLE.
Insaisissable comme le Zéro Indien :
« Shûnya (le vide), l’ati-shûnya (l’au-delà de
shûnya), mahâ-shûnya (le vide immense), ont tous
la même signification, à savoir l’Être réel ».
(Ramana Maharshi, entretien 333 du 18-1-1937).

NON-SAISIE = DISPARITION DE LA DUALITÉ SUJET
ET OBJET DE CONNAISSANCE.


« La réforme de soi entraîne automatiquement
la réforme sociale. Limitez-vous à votre
propre réforme. La réforme sociale prendra
soin d’elle-même ». (Ramana Maharshi, entr. 282)


Note.
1. « À Lui qui s’est manifesté sous différentes formes : Ishvara, le guru, le Soi ; à Lui qui est tout-pénétrant tel l’éther : à Shrî Dakshinâmurti cette prosternation ». Vers 30 du commentaire d’après Sureshvara-Achârya sur le Dakshinâmurti-stotra par Shrî Shankara. Note de bas de page de l’entretien 90 du Maharshi.
Ishvara : l’Essence ultime, considérée comme plénitude de toutes les qualités de la Conscience infinie. Cette « Personne » Divine ou Absolu impersonnel, a pour « nom » Ishvara (ou « Dieu », « Seigneur »), parce qu’Il est énergie, moteur, aussi bien en involution qu’en évolution.
Cette « identification » de l’Absolu permet aux êtres humains qui vivent de leur mental et de leurs cinq sens dans leur diversité marchande et consommateurs et pour qui l’expérience de l’UN est hors d’atteint (sauf à travers leur « chef » ou « président » [qui se croient réalisés]), de développer une relation personnelle avec la Divinité : Paradoxe de la Réalisation : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
« Les perceptions participent de l’état dans lequel on se trouve, quel que soit cet état.
L’explication en est que dans l’état de veille (jâgrat), le corps grossier perçoit les noms et les formes eux aussi grossiers [issus du conventionnel ou de la temporalité euclidienne] ; dans le svapna (état de rêve), le corps mental perçoit les créations mentales sous leurs multiples noms et formes ; dans la sushupti (état de sommeil profond), il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman [l’Esprit suprême, le Soi, la Félicité] met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Entretien 2, du 15-5-1935).

« En réalité, le fait de sortir du Soi est la cause de toutes les souffrances ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).
 
 
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Dernière mise à jour : 15-02-2022 23:09

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