Monsanto : crimes contre l’humanité

Criminels : Monsanto, et Bilderberg, et beaucoup d’autres !

 

Bien que les « mauvaises herbes » fassent tout autant partie de la vie végétale que les autres plantes qui sont plus en faveur auprès des hommes, on les appelle « mauvaises » soit parce qu'elles poussent sans être cultivées, soit parce qu'elles surgissent au mauvais endroit. Un rosier au milieu d'un champ de maïs est une mauvaise herbe, une graminée dans un parterre de fleurs est une mauvaise herbe, maïs il n'en va pas de même sur un gazon. En d'autres termes, une herbe n'est mauvaise que parce qu'elle contrarie les plans de l'homme. Il n'y a pas de mauvaises herbes en un lieu sauvage ou dans un bois où les desseins et les façons de faire de la nature s'imposent sans être contrariés par l'homme.
La beauté des « mauvaises herbes » ne trouve pas place dans un système commercial ou artificiel.
Dans le règne humain aussi, il y a abondance de « mauvaises herbes ». Les sujets « cultivés » ne sont pas nécessairement plus beaux parce que la culture implique souvent un vernis extérieur qui s'écaille facilement dans l'épreuve. Trop souvent, la culture dissimule le caractère artificiel et la ruse qui conduit à la réussite dans la compétition. Ce sont les sujets qui sont susceptibles de mépriser les « mauvaises herbes », surtout quand celles-ci ont tendance à surgir aux mauvais endroits et à contretemps. Les pauvres surgissent là où l'on ne veut pas d'eux et ont même quelquefois la témérité de faire connaître leurs besoins, ainsi que le montrent les récits frappants de Charles Dickens, Même encore maintenant, la situation n'est pas très différente dans le Tiers Monde et peut-être ailleurs. Les « grands » de ce monde, la plupart du temps, ne reçoivent pas cette épithète à cause de leur vertu ou de la douceur de leur vie, mais à cause de leur réussite et de leur puissance.
Le temps est venu d'examiner la valeur des « mauvaises herbes » de la planète Terre.

 

Et ça continu, non content d’empoisonner le monde, non content de ne s’occuper que des bénéfices qu’elle pourra avoir, Monsanto accule au suicide la population indienne : 40 000 suicides. Regardez la vidéo en fin d'article, c'est monstrueux. Les Biderberg ne sont pas mal non plus, avec leur conception de l'économie...

 

M. R.

 

Par James P. Tucker, Jr. (extrait de l’article en anglais du site American Free Press)

Bilderberg sera de retour sur la scène du crime de 1993 quand il tentera de répondre secrètement à Vouliagmeni en Grèce, les 14-17 mai. Bilderberg reviendra à ses motifs à l'Astir Palace Nafsika hôtels de Vouliagmeni, à 20 miles en dehors d'Athènes, et des rencontres derrière les gardes de l'hôtel Westin Nafsika.

Le grand ordre du jour de Bilderberg sera la façon de manipuler la crise économique mondiale pour leurs intérêts égoïstes. Ils feront pression sur les plans européen et nord-américains. Étant donné que les financiers internationaux et les hauts responsables du gouvernement se considèrent comme des "citoyens du monde" et ont le mépris du « nationalisme », leur seule fidélité est la finance, et non pas leur pays. Ils aiment le libre-échange, essentiellement pour un gouvernement mondial.

Ainsi, ils sont déterminés à ce que les États-Unis et d'autres nations refusent d'imposer des tarifs qui permettrait d'équilibrer la concurrence. Ils veulent continuer d'exploiter en dehors des États-Unis, où les emplois manufacturiers sont les moins chers. Ils veulent continuer à importer des produits fabriqués par des esclaves en Chine et en Afrique, à la place des produits nationaux.

Bilderberg est un groupe secret élitiste qui se réunit chaque printemps dans des endroits chics protégés par des gardes armés, en uniforme de police, des brigades privés, des gardes en civil. Le groupe efforce de tenir ses délibérations secrètes. Mais, avec l'aide des médias européens et avec à l'intérieur des sources discrètes, leurs méfaits est toujours révélés à un journal.

Bilderberg a un fils dévoué : le président Barack Obama, qui dit aller de l'avant avec l'ensemble de l'Amérique du Nord, qui doit être élargi dans l'ensemble de l'hémisphère occidental en une "Union de l'Amérique" semblable à celle de l'Union européenne. En fin de compte, avec la création d'une "Union d'Asie-Pacifique", le monde est divisé en trois grandes régions administratives pour la commodité d'un gouvernement mondial de l'ONU. Avec ces commandes, Obama dispose d'un peloton de Bilderberg éclairé dans son administration.

Mais Bilderberg a eu des problèmes depuis des années en essayant d'imposer sa volonté sur le globe. Lors de sa réunion à la Grèce il ya 19 ans, il fêtait le président Bill Clinton à la promesse de signer le Traité de Rio sur le réchauffement de la planète, ce qui aurait remis la richesse des États-Unis et de la souveraineté de bureaucrates internationaux.

Clinton, qui a assisté à Bilderberg en 2001 et a été élu président en 2002, a signé le Traité de Rio, mais un essai de vote au Sénat a montré que la ratification serait massivement rejeté. Il est encore en suspens et les gars de Bilderberg sont déprimé.

James P. Tucker Jr. de l’AFP, est un journaliste chevronné qui a passé de nombreuses années en tant que membre de l'élite des médias à Washington. Depuis 1975, il a gagné une reconnaissance générale, ici et à l'étranger, pour son exercice sur la scène des histoires de rapports sur les intrigues du pouvoir mondial, tels que le Groupe de Bilderberg.

 

 

 

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