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Le CAS DU « PEUPLE ÉLU » ET DE LA GUERRE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-05-2022 04:16

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, MIB, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Le CAS DU « PEUPLE ÉLU » ET DE LA GUERRE

En tous les cas : NOUS SOMMES TOUS IRRÉMÉ ET DIABLEMENT (pour les ceux qui chutent dans le Pour-Voir genre Siddhi ou magie noire, facultés surnaturelles en Inde) LE PEUPLE ÉLU : LES RÉALISÉS, LES BIENHEUREUX. IL N’Y A QU’UN PEUPLE ÉLU : NOUS TOUS.

 
 
CAS DU « PEUPLE ÉLU », CELUI DU DÉSERT, CONTRE LES NON-ÉLUS, GUERRE COMMENCÉE PAR LES PROPHÈTES DES HÉREUX-JUIFS IL Y A QUELQUES MILLÉNAIRES DU NÉOLITHIQUE, lors de leur pénétration en Palestine, quand ils attaquent les influences cananéennes, ce qu’ils appellent la « prostitution », c’est-à-dire une des formes premières de l’HOMO RELIGIOSUS : LA CROYANCE QUE LE DIVIN S’INCARNE OU SE MANIFESTE DANS TOUT, DANS LE MOINDRE OBJET. Ce qui semble naturel puisque il n’y a pas de conscience sans objet, et inversement, ce qui suppose nécessairement un troisième élément : la Conscience infinie…
Or une telle croyance a été dénoncée comme de « l’idolâtrie ». Finalement les prophètes des Hébreux-Juifs réussirent à évacuer de la Nature, des hauts-lieux, des pierres, des sources, des arbres, certaines récoltes, certaines fleurs, tout cela dénoncé comme « MPURS », puisque souillé par le culte des divinités cananéennes de la fertilité. Pour ces prophètes les régions « saines » et « pures » sont évidemment le DÉSERT, CAR C’EST LÀ QUE LE « PEUPLE ÉLU » RESTE FIDÈLE À SON DIEU… Il faudra attendre le judaïsme médiéval pour que le RÈGNE VÉGÉTAL soit redécouvert par ces paroissiens de leur désert.

DÉSERT = RESTER ENTRE SOI, ENTRE MÊME SANG d’où par exemple, interdiction aux Juifs de se marier avec des non-Juifs : CETTE GUERRE ENTRE HÉBREUX ET PAÏENS SE RETROUVE À TOUS LES NIVEAUX DE LEUR VIE : ILS DOIVENT RESTER LES WINNERS, RESTER LE « PEUPLE ÉLU » ; C’EST COPYRIGHT PAR EUX, PUISQU’ILS SE DISENT « ÉLU » OU « CHOISI » PAR LEUR DIEU COMME SI UN DIEU CHOISISSAIT UN OBJET DONC COMME SI CE DIEU FAISAIT COMME LES HUMAINS : AVOIR UNE CONSCIENCE, car sans conscience, comment peut-il y avoir un monde AU DEHORS et ses objets dedans ?

POUR LES HÉBREUX-JUIFS, IL N’Y A QU’UN WINNER COMME IL N’Y A QU’UN SEUL DIEU : LE LEUR, CELUI À DEUX FACES : L’AUTRE FACE ÉTANT L’ARGENT (Jacques Attali : page 693, Les Juifs, le monde et l’argent).

MAIS DE QUOI SE MÊLE CE « PEUPLE ÉLU » ? ET NOTAMMENT EN 2022 CE COMÉDIEN UKRAINIEN CORNAQUÉ PAR UN DE SES PAROISSIENS MILLIARDAIRES ET QUI DONNE DES ORDRES À TOUTE LA CHEFFERIE QUI SE DIT « DÉMOCRATIE » (DU BILLET VERT) ? Qui a demandé à ce « peuple élu » de s’occuper des affaires des autres, non-élus ?

Le DÉSERT si symboliquement il représente LA NON-SAISIE : CANADA : ICI RIEN ! (selon les conquistadors chrétiens espagnoles venant envahir l’Amérique…) Il n’en reste pas moins UN LIEU, UN TEMPS, ET QUI N’A PAS TOUJOURS ÉTÉ DÉSERTIQUE… Rien de plus « fertile » que le Désert dans l’Ancien Testament ! Il fallait faire FRUCTIFIER LES PÉPÈTES, et ensuite inventer la banque…
Comme toujours avec la POSSESSION DU SACRÉ : AMBIGUÏTÉ, AMBIGUÏTÉ, AMBIGUÏTÉ : dans le Désert c’est la solitude : AUCUN OBJET À SAISIR, DONC AUCUNE CONSCIENCE ! ET PROBLÈME DE L’ÊTRE ET DU NON-ÊTRE…

DÉSERT = LE TROU : Canada : Ici Rien : dans un Trou, voir dans un Désert, il n’y a rien d’autre que le Trou ou le Désert, DONC RIEN À VOIR OU À SAISIR ! Le symbolisme du Trou ou du Désert ne permet pas « l’autre face de Dieu » des Attali et Juifs et de leurs marchandises-profits (DU DÉSERT ? DU PÉTROLE ?), mais seulement le Re-tour à la Source, à la Fontaine de Jouvence ; l’itinéraire n’est pas « itérer » ! « Mors ultima linea rerum est » : Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE.
LE VRAI DÉSERT : LE SURFEU DU « SE TAIRE », LE SILENCE.


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MAIS AVEC AMBIGUÏTÉ ON NE SE FIXE PAS, ON NE COAGULE PAS, ON NE DOGMATISE PAS : On ne saisie pas : « Le Tao qu’on tente de saisir n’est pas le Tao lui-même ; le nom qu’on veut lui donner n’est pas son nom adéquat », dit le début du Verset 1 du Tao-tö king, qui se termine par le Saint Chaos : « Obscurcir cette obscurité voilà la porte de toute merveille ».
Ce fond unique appelé OBSCURITÉ par le Tao-tö king, d’où sortent être et non-être, qui ne se différencient que par leurs noms. OBSCURITÉ = SAINT CHAOS.
LES HÉBREUX-JUIFS N’AIMENT PAS ÊTRE DÉRANGÉS, EN TANT QUE RELIGION DU DÉSERT, IL FALLAIT FAIRE LE VIDE POUR NE PAS ÊTRE DÉRANGÉ ; IL LEUR FALLAIT DE LA LUMIÈRE POUR LES ÉBLOUIR : L’INDISTINCTION DANS LE DÉSERT OÙ C’EST « CANADA », LE LIEU DES HÉBREUX-JUIFS…

L’indistinction chère au désert des Hébreux-Juifs producteur du régime capitaliste et républicain singe la grâce et le sans caractéristique de l’Éveillé, du Réalisé, du Bienheureux, le citoyen consommateur est devenu le ROI, par son pouvoir d’achat et d’électeur ou faiseur de « roi supérieur », pour FAIRE CROIRE au projet du « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », augmentation de l’être et du non-être devenant une monstrueuse caricature. Alors que Être et non-Être sont égaux : LE FLÉAU :
« Comment les choses sont-elles ou bien ne sont-elles pas ?
Comment s’accomplit l’égalité ?
Quand le mental ne réalise pas la nature des choses,
C’est le désordre au dedans comme au dehors.
Dès qu’il la réalise, c’est l’égalité :
Le désordre peut alors prendre fin ».

(Lankâvatâra, L’impermanence 14, et aussi une définition de la Vraie Loi de Succion).

Évidemment que l’égalitarisme actuel n’est que CHAOS HUMAIN, car chez le « peuple élu » tout est dans les objets et les « valeurs » (marchandes, pécunières)…
Tout étant dans le mental, tout est donc conscience, y compris les objets que l’on CROIT à l’extérieur. Or il ne peut pas y avoir de conscience sans objet… Si bien qu’il doit y avoir une Conscience infinie au-dessus : le Centre qui est nulle part, sans lequel il n’y aurait pas de Circonférences partout.

L’indistinction est le moteur du capitalisme ET DE L’ÉDUCATION : qui dit éducation dit DRESSAGE, FABRICATION, COULAGE DANS UNE MATRICE. Et cette séparation nette et brutale entre fabricants (quelques-uns et à limite un seul), et les fabriqués (les milliards de Terriens) n’a jamais été aussi nette que depuis l’après 1945. Or les fabricants d’âmes ignorent que sans le CENTRE QUI EST NULLE PART, IL N’Y AURAIT RIEN.

Ne pas posséderez rien, oui, mais ÊTRE INSAISISSABLE, sans bailleur, ENCORE MIEUX. Être INSAISISSABLE, ÊTRE DANS L’INTROUVABLE, dans le sens du « Gate gate pâragate… ».
En considérant que si tout est conscience, y compris les objets au dehors, et qu’il n’existe pas de conscience sans objet, il existe nécessairement un TROISIÈME TERME sous le nom de Conscience infinie. QU’ELLE EST-ELLE ? PARCE QUE POUR VOIR LE TEMPS, OU L’OBJET, IL FAUT UNE CONSCIENCE. SINON, TEMPS ET OBJET N’EXISTENT PAS. Important, important… et libératoire… et ambiguïté ou paradoxe de l’Insaisissable toujours en danger d’une SAISIE OU RÉCUPÉRATION « PÈPÈRE » POSSIBLE.
La QUALITÉ est de l’ordre de la Conscience infinie, et ne peut être engendrée par la quantité inhérente au chiffre de l’informatique et le chiffre ou la quantité par nature INSAISISSABLE, INDÉFINIE, est jamais achevée : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ou devenu insaisissable, donc MÊME PARADOXE que renferme la Réalisation du Soi et du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’ [paradoxe de la Réalisation du Soi] ; mais les réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).

HORS DU VRAI DÉSERT (pas celui du « peuple élu ») :
« Ce qui est né, c’est seulement le corps. Le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps.
C’est la pensée qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément. Pourquoi le sent-il à l’état de veille ? Mais, bien que le corps ne soit pas ressenti durant le sommeil, est-ce que le Soi [le ”Je suis ce JE SUIS”] n’en existait pas moins ? Comment était cet homme en sommeil profond ? Et comment est-il à l’état de veille ? Quelle est la différence ? L’ego émerge, c’est le réveil. En même temps les pensées s’élèvent. Que l’homme trouve à qui appartiennent ces pensées. D’où proviennent-elles ? Elles ne peuvent que provenir du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, aide à l’extinction de l’ego. C’est alors que la réalisation de l’unique Existence infinie devient possible (1). Dans cet état il n’y a pas d’individus en dehors de l’Existence éternelle. Il ne peut donc plus y avoir de pensée de mort ni de lamentations.
Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort ». (Ramana Maharshi, entretien 80 du 3-10-1935).


LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS ET DUALITÉ VEILLE-SOMMEIL.
« L’homme, en sommeil profond, n’en est pas conscient ; quand il est éveillé, il semble en avoir conscience. C’est pourtant toujours la même personne. Il n’y a aucun changement entre celui qui dormait et celui qui est éveillé. En sommeil profond, il n’était pas conscient de son corps. Ce n’est qu’au réveil qu’il en prend conscience. La différence réside donc dans l’émergence de la conscience du corps et non dans quelque changement de la conscience réelle.
Le corps et la conscience du corps apparaissent et disparaissent ensemble.
Tout cela revient à dire qu’il n’y a pas de limitations au cours du sommeil profond, alors qu’il y en a à l’état de veille. Ce sont ces limitations qui constituent la servitude ; la sensation : « Je suis le corps » est l’erreur. Ce faux sens du ‘je’ doit disparaître. Le vrai ‘Je’ est toujours là. Il est présent, ici et maintenant. Il n’apparaît ni ne disparaît jamais. Ce qui est doit perdurer à jamais. Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître. Comparez l’état de veille et le sommeil profond. Le corps apparaît dans un état, mais pas dans l’autre. C’est pourquoi le corps doit périr. La conscience, étant préexistante, survivra au corps. En fait, il n’est personne qui ne puisse dire : « Je suis ». La cause de tous les malheurs est la fausse croyance : « Je suis le corps ». Cette fausse croyance doit disparaître.
C’est cela la Réalisation. La Réalisation n’est pas l’acquisition de quelque chose de nouveau et ce n’est pas non plus une faculté nouvelle. C’est simplement la suppression de tout camouflage ». (Ramana Maharshi, entretien 96 du 13–11-1935).

La Vraie Loi de Succion :
Pas de conscience sans objet au Dehors,
ni d’objet sans conscience au Dedans, et
comme la dualité racine du mal : Dedans-Dehors
n’existe pas, IL N’Y A RIEN À SAISIR,
SAUF À SAVOIR : « QUI SUIS-JE ? » SUR LEQUEL
SOI-DISANT REPOSE LA CONSCIENCE INFINIE.
Seul le Soi est le MOTEUR : « Moi seul, je diffère
des autres hommes parce que je tiens à téter ma Mère »
écrit le Verset 20 du Toa-Tö-King, de Lao-tseu,
dans la traduction de Liou Kia-hway.
« La seule liberté que vous ayez est de
vous identifier ou non avec le corps »
, dit le
Maharshi.
Ou encore : « Trouvez QUI a le libre arbitre ? »
Ce qui conduit au : « Le temps n’existe que s’il
y a une personne pour en prendre conscience et
ainsi le fabriquer [le temps ne vient pas Nous
dire, du Dehors : ”Je suis le Temps”] ».

« En sommeil profond vous étiez dans la Félicité. Maintenant vous n’y êtes plus. Qui s’est interposé entre la Félicité et la non-Félicité ? C’est l’ego. Cherchez sa source et découvrez que vous êtes Félicité.
Il n’y a rien de nouveau à obtenir. Vous devez seulement vous dépouiller de votre ignorance,
laquelle vous fait croire que vous êtes autre que Félicité. Pour qui est cette ignorance ? Pour l’ego.
Recherchez la source de l’ego. Alors l’ego disparaît et seule subsiste la Félicité. Elle est éternelle.
Vous êtes Cela, ici et maintenant… C’est la clef maîtresse pour résoudre tous les doutes. Les doutes s’élèvent dans le mental. Le mental est né de l’ego. L’ego provient du Soi. Cherchez la source de l’ego et le Soi se révélera. Lui seul demeure. L’Univers n’est que l’expansion du Soi. Il n’est pas différent du Soi. […] Tout est dans le Soi. Il est faux d’imaginer qu’il y a le monde, qu’il s’y trouve un corps et que vous habitez dans ce corps. Celui qui réalise la Vérité découvre que l’Univers et ce qui est au-delà sont contenus dans le Soi. L’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne.
La vue émane de l’oeil. Et l’oeil doit se situer quelque part. Si vous voyez avec les yeux de la matière, le monde aura la même nature. Si vous regardez avec les yeux subtils (ceux de l’esprit), le monde apparaîtra subtil. Et si votre oeil devient le Soi, le Soi étant infini, l’oeil sera infini. Il n’y a rien d’autre à voir qui soit différent du Soi ».
(Ramana Maharshi, entretien 106 du 29–11-1935).

« Tout comme les fleuves, en se déversant dans l’océan, perdent leur individualité et qu’ensuite les eaux de l’océan s’évaporent pour retomber en pluie sur les montagnes, puis s’écouler en rivières et retourner à l’océan, ainsi les individus, qui entrent en sommeil, perdent leur individualité et reviennent comme individus, selon leurs vāsanā (tendances) antérieurs, sans en être conscients. Par conséquent, même dans la mort, le sat [le Réel, l’Absolu] n’est pas perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 108 du 29–11-1935).

- Question : En sommeil profond, je ne semble pas exister.
- Maharshi : Vous dites cela quand vous êtes éveillé. C’est votre mental qui parle maintenant. En sommeil profond, vous existez au-delà du mental.
(Entretien 126 du 4-1-1936).

« L’imperfection n’est pas ressentie non plus en sommeil profond. Le ‘Je’ du sommeil profond étant parfait, pourquoi le ‘je’ du réveil se sent-il imparfait ? Parce que celui qui se sent imparfait n’est qu’un « rejet sauvage », une différenciation de l’Infini, une séparation d’avec Dieu ». (Entretien 132 du 6-1-1936)

ÊTRE ET NON-ÊTRE SONT À ÉGALITÉ OU EN FLÉAU DANS L’ÉTAT NATUREL DE SAMÂDHI : absorption totale dans la contemplation : aucune dualité sujet-objet ; expérience directe, mais temporaire du Soi.
« Le samâdhi est notre état naturel. C’est le courant sous-jacent à chacun des trois états. Celui-ci – c’est-à-dire, le ‘Je’ – n’est pas dans les trois états, mais ces trois états sont en Lui. Le samâdhi obtenu à l’état de veille se maintiendra aussi durant le sommeil profond. La distinction entre conscience et inconscience relève du domaine mental, lequel est transcendé par l’état du Soi réel ». (Entretien 136 du 15-1-1936)

 
 

Dernière mise à jour : 10-05-2022 04:49

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