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Les COMMODITÉS Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-05-2022 01:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, MIB, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Les COMMODITÉS
« prendre… position » =
l’anti-fléau, le FLÉAU ne SAISISSANT
par position, car une fois les extrêmes
disparus, il n’y a pas de position
à saisir et donc aucun milieu, si
ce n’est qu’un TROU, et dans un trou il
n’y a que le trou et donc rien à saisir.
 
COMMODITÉ : celui qui s’attache, saisi,
CROIT, CONÇOIT, PRODUIT ET CHIE.
Ainsi, le MESSIE, ne peut pas être une
saisie, un être, un étant. Si vous
rencontrez un messie, tuez le messie,
TUEZ LA MARCHANDISE, TUEZ LA COMERCURE !
CHANGEZ LE PLOMB (pesantueur) EN OR !
COMMODITÉ = COMMENT VOULEZ-VOUS
ÊTRE « INDÉPENDANT »
donc ne dépendre de « rien » ?
CE N’EST QU’UNE CROYANCE !
Se nourrir de Lumière c’est dépendre de Lumière.
Vouloir voler comme un oiseau c’est dépendre de l’espace.
La commodité dans son sens de Vraie Loi de Succion
ne peut que faire DÉPENDRE DE….



Le « Bien » ce sont les gens qui sont soumis à lettre qu’ils prennent pour la Réalité : ces gens qui regardent « Les doigts pointés vers la Lune » (qu’ils signalent) au lieu de regarder la Lune, donc les gens qui s’attachent à la lettre comme les Pharisiens, qui s’attachent à la naissance et donc aussi à la peur de leur mort ; la conscience conceptualisante étant la jongleuse, pour son malheur elle fabrique un monde de re-présentations et de spéculations et ainsi construit une scène, ou un écran, une fiction et maintenant des bites informatiques, ces « données » chères aux Google-transhumanistes et aux systèmes économico-politiques.

LE MAL ABSOLU EST PRÉSENT PLUS QUE JAMAIS AUPARAVANT ET DE FAÇON PLANÉTAIRE !
Le crime contre la vie est le « com-prendre quelque chose », le contraire du « SOIS TRANQUILLE ET SACHE QUE JE SUIS DIEU ».
C’est donc le MENTAL de l’humain qui détruit son monde : « Il y a deux méthodes [pour se protéger du mental]. La première consiste à rechercher ce qu’est le mental ; alors il disparaît. La seconde est de fixer l’attention sur quelque chose ; alors le mental reste tranquille » (Ramana Maharshi, entretien 43 du 28-3-1935).
Ce n’est pas d’un virus qu’il faut se protéger, MAIS DE SON MENTAL !


Si Nous regardons le doigt du Maharshi pointé
(sur la Lune), alors Nous réalisons la 3D, Nous
concrétisons le temps et sa réalité
quadridimensionnelle : NOUS METTONS
EN VALEUR LE TEMPS.
Mais le Maharshi n’invite jamais à regarder le
doigt pointé vers la Lune. Il invite constamment
AU DIRECT DE LA LUNE, et non au doigt qui montre
cette lune, le Maharshi invite donc au
« Royaumme des Cieux qui est en Vous ».
Le Maharshi invite à la non-saisie du Dedans-Dehors.
Il est clair que tout admonestateur (par exemple
les actuels ”lanceurs d’alerte”), admonition
et administration CONDUIT, MONTRE, admonester
c’est réprimander donc FAIRE DANS L’ARRANGEMENT,
L’ADMINISTRATION, LA FICTION.
Vous avez signé avec la République, vous allez
en chier, PARCE QUE VOUS REGARDEZ SEULEMENT LE
DOIGT ET QUE CETTE RÉPUBLIQUE N’EST CONSTITUÉE
QUE DU DOIGT ; ELLE SE MOQUE TOTALEMENT DE
L’ENSEMBLE, C’EST-À-DIRE DE LA LUNE : NOUS-MÊMES.
Ces gens QUI S’ATTACHENT À LA LETTRE QU’ILS PRENNENT
POUR LA RÉALITÉ, soit ces gens qui regardent
« Les doigts pointés vers la Lune » (qu’ils signalent)
au lieu de regarder la Lune, donc les gens qui
s’attachent à la lettre comme les Pharisiens,
qui s’attachent à la naissance et donc aussi à la
peur de leur mort ; la conscience conceptualisante
étant la jongleuse, pour son malheur elle fabrique
un monde de re-présentations et de spéculations et
ainsi construit une scène, ou un écran, une fiction
et maintenant des bites informatiques, ces big data
chères aux Google-transhumanistes et aux
systèmes politiques.
L’EGO N’EST QU’UNE DÉSIGNATION : le doigt pointé
vers la Lune.
Celui qui regarde le doigt au lieu de regarder
la Lune que le doigt montre, c’est l’ego.


Pour l’Occident, il lui semble qu’aucun Ici ne peut se trouver sans sa carotte, l’Ailleurs, comme si le monde avait besoin d’un DEHORS pour exister : un monde qui ne peut être combler sans la référence à l’autre, façon Rimbaud (1) : « Je est un autre » : LE DOIGT QUI MONTRE LA LUNE (Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité.
LÀ EST LE PROBLÈME ENTRE L’ORIENT ET L’OCCIDENT, d’ailleurs illustré par tous les phantasmes autour des Extraterrestres et des soucoupes volantes : le DEHORS, CE DÉSIR, CETTE CAROTTE DU DEHORS, CETTE CAROTTE DE L’EXTÉRIEUR ; LE DÉSIR DOIT DONC NÉCESSAIREMENT PASSER PAR LE DEHORS, LE MESSIE. Selon Jacques Lacan, le Langage, le Verbe donc, n’a de sens que s’il est révélé ou vivifié, augmenté, par une parole venue d’ailleurs : les propos de ce monde ne deviennent audibles que sous la garantie D’OPINIONS VENUES DU DEHORS, D’AILLEURS, D’OUTRE-MONDE. D’où la distinction opérée par Lacan entre l’imaginaire, qui n’est jamais qu’un retour au Réel comme l’écrivait Shakespeare : « Les choses sont faites de la même substance que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes ». SANS LE RÊVE, LE MONDE N’EXISTERAIT PAS (voir l’Imagination créatrice d’Ibn’Arabi).

« Lorsque vous adhérez à un seul système philosophique (siddhânta) [et à un seul régime politique étatique], vous êtes obligé de condamner les autres ». (Ramana Maharshi, entretien 40 du 22-3-1935).
« Apprenez d’abord ce que vous êtes. Cela n’exige ni shâstra (Écritures) ni études. C’est une question d’expérience. L’état d’être est depuis toujours ici et maintenant. Vous avez perdu contact avec vous-même et vous demandez aux autres de vous guider. Le but véritable de la philosophie est de vous tourner vers l’intérieur. « Si vous connaissez votre Soi, aucun mal ne vous arrivera ». (Ramana Maharshi, entretien 132 du 6-1-1936).


La fausse spécialisation résulte de l’uniformité, comme elle est fausse, FÉTICHE, elle engendrera des copies à l’infini, car elle ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indistincte, qui n’est pas naturel, qui n’est pas dans son EST.

Depuis 1968 jusqu’à 2018 le capitalisme est mourant par sa dématérialisation monétaire notamment, alors il multiplie les FÉTICHES : comme l’original a disparu, il faut donc multiplier à l’infini LES CONTREFAÇONS, LES DOUBLES : on dirait qu’il a suffi que la chaine de causes et effets soit amputée de sa cause initiale pour se trouver dotée d’un pouvoir inépuisable de reproduction ; comme si on ne pouvait bien copier que ce qui n’existe plus, ce qui n’existe pas, comme la monnaie dématérialisée ; exactement la trame de la série de romans d’Isaac Asimov, FONDATION, où la disparition, ou la perte du sens de ce qu’était la planète nommée « Terre » permettait le pullulement de copies sous la forme d’une infinité de planètes (25 millions de mondes habités par des « intelligences »), des copies, des contrefaçons de la Terre oubliée.

Dans le roman la planète Terre existe probablement toujours, mais INVISIBLE. Les protagonistes du roman essayer à divers reprises de poser leur regard (montrer, monnaie…) sur un objet invisible. Le fétiche Terre est pourtant là, comme le collier de la femme :
« Une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner.
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel [c’est le scribe de cette page qui souligne] ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).

L’original, la Terre, existe, le collier de la femme aussi, mais à condition de ne pas être vu (difficile en plus avec un collier autour de son cou…) : LE CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. Le Centre ou la Terre, le collier n’existe qu’invisible, il cesse d’exister dès qu’il est regardé, MONTRÉ, comme le doigt qui montre la lune, INVISIBLE, puisque les sots suivent l’extrémité du doigt et non la lune que le doigt montre. Comme le modèle a disparu en apparence, la conscience calculante du mental, la raison, telle un scénariste d’Hollywood forge un monde visible et constitue la scène pour les re-présentations.
SEUL SERA VISIBLE LE FAUX ; LE VRAI CESSE D’EXISTER DÈS QU’IL EST VU OU POSSÉDÉ PAR L’EGO ET LES CINQ SENS.
Isaac Asimov a peut-être copié son roman sur la fable de La Fontaine : Le laboureur et ses enfants : le fétiche c’est le travail du laboureur qui CULTIVE pour faire POUSSER.
Et dans Fondation d’Asimov, la Terre « disparaît » suite à sa pollution extrême, SYNONYME DE PUTRÉFACTION, DE RENONCEMENT, DE NUIT OBSCURE : LA RECONNAISSANCE DE L’ORIGINAL, DU PRINCIPE ORIGINEL, PASSE NÉCESSAIREMENT PAS SA DISPARITION MÊME. LE VRAI, L’AUTHENTIQUE PASSE PAR LA NON-POSSESSION (LE SURFEU) : si un concept en vient à être saisi, construit, administré, comme quelque chose de concret, de COAGULÉ, SOLIDIFIÉ, CONSOLIDÉ, l’enseignement qui s’en dégage EN EST INVALIDÉ. Par conséquence le concept qui vient d’être fabriqué doit être immédiatement détruit (CE QUI N’EST NI LE CAS DU CAPITALISME NI LE CAS DU RÉGIME RÉPUBLICAIN !!)
L’ORIGINAL, LE VRAI, NE SE DONNE À RECONNAÎTRE QU’UNE FOIS « DÉFUNT » (SURFEU).

Donc dans le roman Fondation il n’est pas stupide, ni même « science-fiction », qu’il puisse y avoir 25 millions de mondes habités par des consciences conceptualisantes. 25 MILLIONS DE FAUX, DES COPIES.
Le fétiche TERRE est le Réel dont les autres ne sont que des doubles : non pas une image de la Chose, la Terre, mais bien la « Terre » elle-même ; c’est pourquoi elle est identique à l’OR, le trésor, le diamant qui brille en son CENTRE, qui est nulle part.
Le Seul Réel, la TERRE, ne se laisse posséder ni même approcher par personne…..

De là ça rejoint l’OUROBOROS : au départ la Terre, située à un « certain endroit » dans la Galaxie ; mais la Terre devient de plus en plus polluée par la « civilisation » aliénante des humains ; on arrive à retrouver le même fétiche TERRE au même endroit, évidemment un peu moins polluée puisque les humains sont allés se répandre sur des millions de copies. Alors, que s’est-il passé ? RIEN, PRESQUE RIEN. Sinon que le fétiche, comme d’ailleurs le collier de la femme qu’elle finit par re-trouver, a été comme délesté de son poids messianique, de son poids de VALEUR : une fois le collier retrouvée, ou la Terre retrouvée, ils perdent automatiquement leur qualité de MOTEUR, DE MODÈLE, DE MESSIE, LEUR STATUT D’OBJET PREMIER par rapport auquel certains objets peuvent être dits « seconds », comme lorsqu’on passe d’une pensée sur les choses à une pensée sur les re-présentations des choses, donc à une pensée sur la pensée. CELA S’APPELLE LA BANALISATION DU FÉTICHE, SOIT LA PERTE DU SEUL RÉEL.

D’ailleurs, on pourrait appliquer le principe du Fondation d’Asimov à L’ATLANTIDE : ELLE EST TOUJOURS LÀ, MAIS INVISIBLE….. Comme PARISIS, ou YS…

L’ÉCLAT DU VRAI, DES ORIGINAUX ? OU LA BANALISATION PARMI LES COPIES ?
On retrouve aussi l’histoire des originaux qu’un certain NOÉ enferment dans une Arche pour permettre dans le futur la réalisation d’une multitude de copies. Est-ce que « l’inconscient collectif » est LE réservoir des originaux, comme le suppose C.G. Jung ? Et de l’autre côté, dans le conscient conceptuel, À L’ÉTAT DE VEILLE, il n’existe que des copies, état de veille appelé en France LAÏCITÉ !!!???
Seul un Réalisé, un Être en SINGULARITÉ, IDIOTÈS, pourrait répondre : le monde où n’existe que des SINGULARITÉS mais sous forme de COMMUNION DES SAINTS, le Soi exprimé dans le sens CHRIST : « Je suis le cep ‘Je’ et vous êtes les sarments » (‘Moi’-’Toi’ - ‘Nous’-‘Vous’), la Réalisation du Soi.

Le mot FÉTICHE ne peut pas renvoyer l’idée de « fétiche original », puisque fétiche veut dire FAUX : il renvoie à l’image D’AUTRE CHOSE, SORT D’AILLEURS : fétiche, du portugais feitiço (artificiel), du latin facticius (artificiel) ; le fétiche est une FICTION, ficticium, l’artifice à la place du naturel, l’idole à la place du Dieu, le trompe-l’œil, le mirage, LE TRANSHUMANISME ET L'IA…

Donc le capitalisme mourant ne pouvait que fabriquer des fétiches-monnaie à n’en plus finir, de l’argent magique, fictif, du messianisme de la plus value (augmentation de la valeur d'un bien qui n'a subi aucune transformation), par le crédit mondialisé.
Comme en mai 1968 en France, en France en 2018 les « ouvriers » ou prolétaires renaissent sous la forme des GILETS JAUNES, toujours à cause de la monnaie (perte du profit, perte des possédants).
La phase terminale du cancer du capitalisme est le moment où il y a un court-circuit entre la valeur et la non-valeur, le progrès ne peut plus avancer, l’évolutionnisme financier est devenu impossible : «  ’Oiseau Phénix » ne peut plus avoir de nouvelle naissance, comme il le faisait précédemment depuis des millénaires en tant que capitalisme. La restructuration augmentée devient impossible pour le capitalisme : les fétiches sont tellement démultipliés, qu’il n’y a plus de place pour en placer aucun : tous est saturé, le capitalisme est dans la phase terminale de son cancer.

Ce qui est considéré comme ”dépendant de”
ou ”conditionné par” est le va-et-vient du
monde [spectacle], cela même, hors conditions,
hors dépendance, est enseigné comme le nirvana.
(Stance 25, 9 de Nâgârjuna, Madhyamaka-kârikâs).

Quelle SPECTACLE l’humain porte-t-il sur lui-même
par son QUI SUIS-JE ?
Et comment le TEMPS peut-il exister sans une
personne pour en prendre conscience ? Et
l’imbécilité de « gagner du temps » ou pire :
« laisser du temps au temps », comme s’il
était autonome, donc sorti de l’Univers !!!

Comment l’être humain peut-il concevoir
« une vérité de sens ultime » (absolu) ?
qui  nécessairement s’appuie sur une
opinion dans le spatio-temporel ?
puisqu’il est lui-même DEDANS ???

Tant qu’il y aura le concept de valeur, la RACINE DU MAL NE SERA PAS ARRACHÉE.
Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine
du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne.
C’EST LA CHUTE…

Cette SAISIE est illustré de façon fulgurante par le doigt qui montre la lune :
Or les gens de la CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO-CRÉANCE adhèrent à cette croyance de VOIR, POUR-VOIR : LA MONNAIE, étymologie de MONTRER : MONNAIE, MONTRER : POINTER L’UNITÉ DE LA CHOSIFICATION CALCULÉE ; POUR-VOIR, POUVOIR, INDIQUER : LE DOIGT QUI MONTRE LA LUNE, ET DANS LE TROU DU TROUVÈRE, OU DE LA STARGATE, DANS LE TROU DU « UN POINT C’EST TOUT », IL N’Y A RIEN À VOIR AUTRE QUE LE TROU, LE VIDE… ET DANS LE VIDE, IL N’Y A RIEN À SAISIR, AUCUNE LOI DE SUCCION, AUCUNE ATTRACTION OU F(R)ICTION, AUCUNE GRAVITATION, AUCUN CONCEPT MENTAL DE « VALEUR », DE PREMIER ET DE SECOND…

CAPITALISME = RACINE DU MAL : LA SAISIE, LE PRODUIT ET L’EXCRÉMENT (l’Or métal en radiesthésie vibre comme l’excrément), ILS SONT AINSI DES COMMODITÉS, du CONFORT, de L’UTILITARISME ET DE LA CRÉATION DE BESOINS (”faire ses besoins” et les ”commodités” : lieux d’aisance ou lieux pour faire pipi et caca, satisfaire des petits besoins….).
LE CAPITALISME EST BIEN DE L’ORDRE EXCRÉMENTIEL… ET DES ÉCHANGES DE LA VIE QUOTIDIENNE : ÇA ENTRE D’UN CÔTÉ ET ÇA RESSORT PAR LE CUL. LA BOURSE EST UN LIEU D’AISANCE PAR EXCELLENCE. Bourse : sac, outre, peau ou porte-monnaie, l’escarcelle… puis LE MARCHÉ, LA FOIRE.


Note.
1. JANUS : tout ce qui EST ou pourrait être est à la fois lui-même et son contraire (son complément : « Je est un autre » de Rimbaud). Chaque pair de contraires est la cause réciproque de l’autre.
Le tragique de la naissance est d’être né, parce que cela devrait être : « Je suis Non-je, ainsi Je suis ce JE SUIS ». ÊTRE véritablement ne peut exister, excepté en fonction de Non-Être, le Soi en fonction du Non-Soi…. Rejoint l’entretien 264 du Maharshi cité plus haut et le Centre qui est nulle part.
Perte, Chute du paradis ou LA SORTIE de l’Eau Primordiale.
Le ‘Je’ de Rimbaud ne parlera pas dans ce monde, mais seulement à la condition de refléter les mots soufflés par un autre (d’une autre dimension comme la dimension absolue, le Soi). (Voir la page Inconscient collectif = REFLETS).
 
 

Dernière mise à jour : 20-05-2022 02:27

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