LE SEUIL : le Gardien (du Seuil) on ne le franchit
pas n’importe comment. Dans de nombreuses traditions
on se prosterne devant lui, on le baise, et la coutume
est même étendue au seuil de la tente en Asie centrale
et en Sibérie.
Seuil est le passage entre le sacré (Dedans)
et le profane (Dehors). Le Seuil participe de
la transcendance du Centre qui est nulle part et
en conséquence participe au « Gate gate pâragate
pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé
au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
En expliquant la cinquième
(1) et la sixième stance
(2) du Arunâchala-ashtakam, Shrī Bhagavân [Ramana Maharshi, Bhagavân signifie
« divin »] fit remarquer :
« La 5e stance se termine par les paroles suivantes : “Y a-t-il quelqu’un [à part Toi]… ?” Les premiers mots de la 6e stance répondent : “Oui, il y a Toi, l’Être unique…” Puis la stance poursuit :
“Bien que seul et unique, Il se reflète néanmoins, en vertu de Ses pouvoirs merveilleux, sur le minuscule point ‘je’ (l’ego), appelé également ignorance ou ensemble des tendances latentes ; cette lumière réfléchie est la connaissance relative. Selon le
prârabdha (les fruits des actions passés) de chacun, elle permet aux tendances intérieures latentes de se manifester sous la forme du monde matériel et d’intérioriser ce monde matériel encore sous formes de tendances intérieures subtiles. Ce pouvoir est appelé mental sur le plan subtil et cerveau sur le plan physique. Ce mental ou cerveau sert à l’Être éternel comme un verre grossissant, à travers lequel Il apparaît comme l’Univers. En état de veille et de rêve, le mental est tourné vers l’extérieur et dans le sommeil profond il est tourné vers l’intérieur. L’Être suprême prend, par l’intermédiaire du mental, l’apparence de la diversité en état de veille et de rêve, tandis qu’il reste replié sur lui-même dans l’état de sommeil profond, d’évanouissement, etc. Par conséquent, vous êtes toujours Cela et ne pouvez pas être autrement.
Quels que soient les changements, le même Être unique reste toujours vous-même ;
il n’existe rien en dehors de vous-même [c’est le site qui souligne].
La 5e stance dit : Une fois exposée au grand jour, une plaque photographique, sensible à la lumière, ne peut pas capter d’images. De même, le mental (la plaque sensible), une fois exposé à Ta lumière, ne peut plus refléter le monde. De plus, le Soleil n’a d’autre source que Toi-même. Si ses rayons sont si puissants qu’ils empêchent la formation d’images, combien alors plus forte doit être Ta Lumière ? Voilà pourquoi il est dit que rien n’existe à part
l’Être unique, Toi-même.
La 6e stance : le point minuscule (l’ego) est constitué d’obscurité ; c’est l’ego formé de tendances latentes. Lorsque le sujet percevant (l’ego) se manifeste, il se déploie en objet perçu ou en antahkarana (organes intérieurs). La lumière doit être faible pour permettre à l’ego de se manifester.
En pleine lumière du jour, une corde ne peut ressembler à un serpent. Dans l’obscurité profonde, ne pouvant être vue, il n’y a aucune chance de la prendre pour un serpent. Ce n’est que dans la pénombre, au crépuscule, que peut se produire la méprise. Il en va de même pour l’Être pur et radieux qui se manifeste sous forme d’ego : ce n’est possible que lorsque l’éclat de Sa lumière se diffuse au travers de l’obscurité. Cette obscurité est également appelée ignorance originelle (le péché originel [croquer la pomme]). La Lumière qui passe à travers elle se nomme Lumière réfléchie. Cette Lumière réfléchie, par ses qualités, est connue habituellement comme Mental pur ou Ishvara ou Dieu. Il est bien connu qu’Ishvara est uni à la mâyâ ; en d’autres termes,
la lumière réfléchie est Ishvara.
L’autre nom, celui de Mental pur, implique aussi l’existence d’un mental impur. C’est le mental actif, rajasique ou l’ego ; celui-ci ne peut être projeté par le mental sattvique qu’à travers une autre réflexion de lumière. L’ego est donc le produit d’une seconde obscurité (
avidyâ). Vient ensuite le mental lourd, tamasique, qui se manifeste sous la forme dantahkarana (organes internes) et qui permet d’apercevoir le monde.
Quant au corps physique, on peut dire qu’il se projette vers l’extérieur en tant que monde par le moyen du cerveau. Mais le corps physique n’est qu’une conception du mental. Le mental peut être considéré comme constitué de quatre organes internes ou comme un principe composé de pensées ou encore comme le sixième sens ; on peut aussi le considérer comme une combinaison de l’intellect avec l’ego et de chitta avec le mental (c’est-à-dire la faculté de la mémoire avec la faculté de la pensée) et en conclure que le mental consiste en deux parties (l’ego et la pensée). Dans ce cas, le
vijnanatma (le soi intellectuel) ou l’ego ou le spectateur constituent le sujet, tandis que l’enveloppe mentale ou le spectacle constituent l’objet.
Les états de veille, de rêve et de sommeil profond ont leur origine dans l’obscurité originelle (
mûla-avidyâ). Que le mental se dirige vers l’extérieur, tirant ses expériences des activités mentales dans les états de veille et de rêve, ou qu’il soit tourné vers l’intérieur, dans le sommeil profond, tirant ses expériences des modes de la
mâyâ [illusion, pouvoir de la manifestation du monde], toutes les activités des individus et de l’Univers sont réglementées par un unique Pouvoir. Toutes ces activités ne sont que des phénomènes qui passent à travers la lumière réfléchie sur le substrat de l’Être, lumineux en soi.
De même qu’on ne peut confondre en plein jour une corde avec un serpent, et que cette corde ne peut être vue dans l’obscurité, ainsi le monde ne peut apparaître ni dans le samâdhi [contemplation] de l’Être pur, lumineux en soi, ni dans le sommeil ni dans l’évanouissement, etc. Ce n’est que dans la lumière réfléchie (lumière mêlée à l’obscurité ou Connaissance souillée d’ignorance) que le monde, qui n’est pas indépendant de sa source, semble naître, s’épanouir et se dissoudre. Sa diversité ne peut exclure la Réalité, la Source originelle. Il s’agit ici d’un jeu dans lequel le seul et unique Être se multiplie, est objectivé, puis se résorbe. Pour accomplir cela, il doit y avoir une shakti (Pouvoir), et merveilleuse en plus ! Elle ne peut pas non plus être indépendante de son origine. Dans l’Être pur, lumineux en soi, cette shakti ne peut être perçue. Et pourtant, ses activités ne sont que trop bien connues. Que son jeu est sublime !
De Son activité originelle sublime (la vibration primordiale) résulte la lumière réfléchie de
sattva ; de là découle l’ego rajasique ; puis des formes de pensée tamasiques, connues communément sous le nom de connaissance, ou comme la lumière qui traverse une lentille grossissante. De même que la lumière artificielle est projetée sur l’écran à travers une lentille, ainsi la Lumière réfléchie traverse la pensée (la lentille grossissante) avant de se déployer sous la forme du monde ; de plus, la pensée, qui est le monde à l’état de semence, semble être le vaste monde extérieur. Tel est l’extraordinaire Pouvoir ! De cette manière, Ishvara, l’individu et le monde ne proviennent que de la Lumière réfléchie, ayant l’Être unique, lumineux en soi, comme substrat.
Maintenant, qu’est-ce que cette pensée ‘je’ (l’ego) ? Est-elle le sujet ou l’objet dans cette conception des choses ?
Étant donné qu’elle est le témoin de tout pendant les états de veille et de rêve, ou du moins, c’est ce que nous croyons, on peut la considérer comme étant le sujet. Mais lorsque le pur Soi est réalisé,
elle n’apparaît plus que comme un objet [c’est le site qui souligne].
À qui est cette pensée ‘je’, l’ego ? Cette investigation est appelée
vichâra.
Les pensées ‘je’ et ’ceci’ sont toutes deux des émanations de la même lumière. Elles correspondent respectivement aux
rajoguna et
tamoguna. Pour que la Lumière réfléchie (pur sattva) soit dépourvue de
rajas et de t
amas, elle doit resplendir en tant que ‘Je’-‘Je’, non-interrompue par la pensée
“ceci” [de la dualité sujet-objet].
Cet état pur survient, d’une façon temporaire, entre le sommeil et la veille. Si cet état de transition se prolonge, il devient Conscience cosmique ou même Ishvara. C’est l’unique passage vers la réalisation de l’Être suprême, lumineux en soi.
En résumé, on peut dire qu’il y a deux sortes d’expériences durant le sommeil profond dont on se souvient au réveil lorsque l’on dit
“j’ai dormi comme un bienheureux et je n’avais conscience de rien”. C’est l’expérience du bonheur et de l’ignorance. Nous pouvons donc constater que le Pouvoir s’est transformé en 1)
dvarana (obscurité) et 2)
vikshepa (diversité). Le mental est le résultat du
vikshepa [la diversité marchande devenue célèbre depuis que tout le monde est devenu le roi en France en 1789…] ».
(Ramana Maharshi, entretien 323 du 7-1-1937).
Les Anciens se représentaient la Terre sous la forme d’une
TOUPIE portée par un
PIVOT-AXE très aigu. C’est ce Pivot auquel présidait
Isis, et c’est pourquoi elle était appelée
« La Chaise », à un pied (Padam, pied en sanskrit signifiant le Soi), comme on pouvait voir autrefois chez les montagnards Auvergnats qui s’en servaient pour traire leurs vaches, avec cette chaise-pivot, en forme de T, dont le pieux s’enfonçait en la terre. C’est le T portant la double barre horizontale :
samek (escabeau, support). Rejoint
MIR-IAM :
L’AURORE, LA POINTE DU JOUR : LE SEUIL ENTRE LA VEILLE ET LE LENDEMAIN… CONCRÈTEMENT ET AVANT TOUT :
« LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS ».
AURORE : dans toutes les civilisations l’Aurore est le symbole de l’Éveil dans le Lumière retrouvé.
AURORE = LE TOUT EST POSSIBLE D’INSTANT EN INSTANT. L’Aurore Boréale tend à suggérer l’existence de l’Après-Vie ; l’Aurore symbolise un mode d’existence lumineux et mystérieux à la fois.
Gate gate ou Transparence : « avoir le ”chic” », dit une expression populaire, ou
« Chic, Chouette ! » (la chouette, oiseau nocturne en relation avec la lune, et encore à ce hui divinité de la mort, aussi cette expression
”chouette” inconsciemment doit faire référence au
SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules) ; avoir le chic ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref,
chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit :
chiche : 1175, du bas grec
kikkon, au figuré : un rien. Chiche : avare, le fait d’être chiche ; un chiche-face était un homme maigre et avare. Un chicot est une pointe. Son radical est en catalan
xix, qui se prononce
”tchiche”, en auvergnat
”tches” ou
”tchet”, et répond au vieux français
mie ou rien. De là l’espagnole
chiquito (petit) ; l’auvergnat
chétit et le français
chiche ; en grec
kyklos (pépin).
CHOUETTE ou un, une aigle : OISEAU PHÉNIX, COMME PTAH A LA FACULTÉ DE SE FÉCONDER LUI-MÊME, soit la personnification du temps qui coule ou Androgyne, enfantant de lui-même l’œuf d’où sortait Éros. De là la superposition des deux sexes (chez l’Androgyne) qui décorent nombre de poteries troyennes (fouilles de Schliemann, voir ci-dessous). Dogme de l’androgynisme rayonnant sur tout le monde antique, et 20 siècles plus tard, Socrate devait se suicider à boire la ciguë pour l’avoir divulgué (selon Grasset d’Orcet,
Œuvres décryptées, vol.2, page 51). Ceci,
avant que la classe de marchands de ceux qui copyrightaient le monothéisme qui s’étaient approprié les dépouilles d’une caste sacerdotale dépossédée : ils réussirent, dans leur Ancien Testament, à copier scrupuleusement et à compiler ces anciennes légendes MAIS EN EN PERDANT COMPLÈTEMENT LE SENS ! (Deux périodes : de Moïse à Salomon, et de Salomon à l’ère chrétienne). CETTE CASTE SACERDOTALE DE MARCHANDS, DE COMMERÇANTS, ET DE LEUR
ANCIEN TESTAMENT VA FAIRE DE SON
EIN SOF LE
POLITISME LE PLUS DUR AVEC SON CULTE DE L’ÊTRE SUPRÊME LE PLUS FERME MAINTIENT DE L’ORDRE, ENCORE PUISSAMMENT À L’ŒUVRE À CE HUI : SOUS LA FORME D’UNE SINGERIE DE JEHOVAH (
deux Jehovah. Voir aussi la page
Les Juifs mettent en valeur le temps mais).
Dans toutes les langues
« chic » exprime quelque chose de très petit, de presque rien, de très pointu, comme l’extrémité d’une racine, bref, un PIVOT, UNE TOUPIE. C’est ce pivot qui est le symbole d’Isis, surnommée
« La Chaise ». Isis signifie la lettre X (
N’EST PAS X), et est essentiellement celtique et veut dire en égyptien comme en gaulois =
« une chaise » (
sessa en gaulois). Aussi Isis porte toujours une chaise en guise de coiffure.
Toupie
(3), Axe, Pivot sous son nom hébreu de Mir-iam, la
« Pointe du Jour », l’Aurore, Marie de
« Marie Mère de Dieu priez pour nous, maintenant et à l’heure de notre mort ». C’est
la Vierge Noire (voir page précédente :
Sainte Mère Vierge Noire, et Variation du Thème de l’Oiseau Phénix : tous les ans à Noël, la Vierge Noire se transformait en poule noire et avalait le Dieu Gauvain ou Guion, métamorphosé en pépin de grenade (symbole de perfection divine et Surfeu). Elle en accouchait dans l’Instant d’un œuf d’Or, qui n’était autre que Noël, le
« Nouveau Soleil », ou le
« Front brillant ».
LA POINTE DU JOUR : Les
Naharvales furent restés fidèles à leur double divinité
« Alci » (
Ahl, qui en allemand signifie « pointe », et
« kitz » qui se traduit pas
« chatte » : le chas de l’aiguille. Nom qui signifie :
ANDROGYNE (sens de non-dualité), et dans la période du respect des animaux c’est devenu le double chat à une seule tête nommé
« Carabas » (ou
Carvan, le
Géryon ou
Karifou à triples corps des Étrusques), la grande Divinité des Pélasges chypriotes et éoliens, et encore à ce hui le héros des contes de Fée :
Couri en chypriote (matou et bas, comme l’espèce de bottes que les Grecs nommaient
« bassarides ». Carabas est ainsi le
CHAT BOTTÉ : il apparaît dans l’art parmi les fouilles du docteur
Heinrich Schliemann… (En réf. à
Œuvres décryptées, vol.2, de Grasset d’Orcet. Grasset qui écrit page 79 que « tous les hommes de génie sont manifestement androgyne [hermaphrodite : forme humaine à deux sexes en même temps])
Fuseau, Toupie, écheveau (même Thème que la Chaise d’Isis, écheveau, du 15è eschevel, du latin scabellum (tabouret), dérivant vers escabeau, par extension
« dévidoir », puis
« écheveau »). Voir
eschiele et
eschale en français du Moyen-Âge qui signifient : échelle, escalier, escalade, et sorte de
PILORI où l’on exposait les criminels. Pilori ou Bâton, Axe. La croix se lisait
crux en latin, et
stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion,
”Stavros” ou ”
Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois : voir les
Pierres-Lois ou
Édits du roi Asoka].
Shiva linga, comme toutes pierres dressées ou Menhir, soit le Thème des
Divinités en fuseau. Les Dieux du fil et de la corde étaient qualifié de
« funestes », le
fil représentait en effet le dernier degré de l’exténuation du jour et de la vie ou la mort. Ces Divinités ont toutes la tête ceinte d’une fil ou d’une bandelette et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte, qui a même signification. Même symbolique que ce qui a une extrême ténuité : aiguille, épée, épine, voile. De là les noms de
Tanit (l’exténuation) ;
Athena (l’épine ou l’aiguille qu’on donnait pour femme au
Dieu fil.
Grasset d’Orcet dans :
Archéologie mystérieuse, vol.1, chapitre
Paphos, ses monastères et la fête de Vénus : « Le nom de ce Dieu [celui du Thème de l’artisanat du tissage], qui figure plus fréquemment sur les vases grecs, est précisément le radical de
« Covocle » : KO, KV, KVS
(4), en latin
Ceus. Il s’écrit par l’ancienne forme du K et de l’X, qui est une croix. La prononciation de ce signe cruciforme était multiple au possible, mais toujours double, comme
khr, phth, khsi, iks, ist, etc. ; en un mot, c’était un véritable idéogramme, que chacun prononçait à sa façon, comme nos signes numériques actuels. Ainsi la croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion,
”Stavros” ou
”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois] ;
frigus en latin devenait en grec
kyos, et ainsi de suite. Tous ces mots veulent dire
« tressé », « croisé », et par extension
« fil » (6).
Le lingam de shiva étant l’équivalent du E trident des Divinités de l’EAU
(5) : Neptune, Chalchiuhtlicue, de Shiva, voir le Caducée d’Hermès, voir aussi la profondeur sans fin du mot
« DÉVERGONDÉ » : D’E vers gond d’E, depuis le E (matière trinitaire) vers le pivot ou Shiva-chaise du I (CHICOT). Donc Retournement de la Lumière ou Retour à l’Unité depuis et par le déploiement des dimensions physique de l’être, et par le d’E-sir, ou à partir du E, comme l’enseigne la Tapisserie de la Dame à la Licorne.
AURORE ou ÊTRE : L’UNIQUE CHOSE AU MONDE OÙ L’ON NE S’HABITUERA JAMAIS, DONC LE SEUL ANTI-SYSTÈME POSSIBLE ! ET QUI EST LA BELLE AU BOIS DORMANT QUI S’ESTROPIE EN SE PIQUANT À UN
FUSEAU ? ET QUI DEVIENT LA MÈRE DU
« PETIT JOUR » ET DE LA
« BELLE AURORE » ? MAIS LA
BELLE ESTROPIÉ OU VÉNUS DE MILO (la Servante ou EVE complémentaire de Ptah devenue manchote, et esclave fugitive de l’Hadès (Ptah Maître du Royaume des Morts pendant la nuit, dont certains vont faire l’enfer).
EVE, EAU OU TROU : LE RIEN DU TOUT….
LE TROU EST BIEN LA SEULE CHOSE EN CE SPATIO-TEMPOREL À LAQUELLE ON NE S’HABITUE JAMAIS VU QUE DANS UN TROU IL N’Y A PAS DE TROU À VOIR. C’EST POURQUOI LA RÉELLE EXISTENCE EST INSOLITE OU SPONTANÉE PAR NATURE. Celui qui voudrait l’organiser sera le Diable, le Grand Organisateur ou Grand Architecte, Grand Administrateur.
LE SEUL RÉEL = LE TROU : tout ce qui est déjà et dûment recensé, voir prévu dans ses moindres détails, en viendra nécessairement à SUR-PRENDRE PARCE QU’ELLE EST L’INSTANT OU ABSENCE DE TEMPS : LE TROU, LE GATE GATE, LA TRANSPARENCE, LE VITRIN, LE FLUIDE OU LE VOLATIL : L’EAU.
« Les pensées ‘je’ et ’ceci’ sont toutes deux des émanations de la même lumière. Elles correspondent respectivement aux rajoguna et tamoguna. Pour que la Lumière réfléchie (pur sattva) soit dépourvue de rajas et de tamas, elle doit resplendir en tant que ‘Je’-‘Je’, non-interrompue par la pensée “ceci” [de la dualité sujet-objet]. Cet état pur survient, d’une façon temporaire, entre le sommeil et la veille. Si cet état de transition se prolonge, il devient Conscience cosmique ou même Ishvara. C’est l’unique passage vers la réalisation de l’Être suprême, lumineux en soi », dit le Maharshi (Sage) ci-dessus et parfait RÉSUMÉ DE LA NON-DUALITÉ.
RAPPEL EN NOSTRE ÉPOQUE DE SOCIALISME DU CONSOMMATEUR SALARIÉ OU « COLLABORATEUR » QUI RAPPORTE COMME UN CHIEN DE L’ARGENT À SES MAÎTRES (il appelle ça ”pouvoir d’achat”), CE SOCIALISME MALADIF, ALIÉNÉ-ALIÉNANT :
- 1 : « Mais le corps ne vient pas vous dire qu’il souffre de la maladie. C’est vous qui le dites. Pourquoi ? Parce que vous vous identifiez faussement avec le corps » (Ramana Maharshi, entretien 462 du 19-2-1938).
- 2 : « Le samsâra [cycle des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes] n’existe que dans votre mental. Le monde ne vient pas proclamer : « Je suis le monde ». S’il en était ainsi, il devrait être toujours présent – même durant votre sommeil. Comme il ne s’y trouve pas, c’est qu’il est impermanent. Étant impermanent, il manque de force. N’ayant pas de force, il est aisément subjugué par le Soi. Seul le Soi est permanent. Le renoncement, c’est la non-identification du Soi avec le non-Soi. Avec la disparition de l’ignorance, le non-Soi cesse d’exister.
Voilà le vrai renoncement » (entretien 251 du 29-9-1936).
CELA IRA MIEUX QUAND ENFIN NOUS AURONS FAIT LA DIFFÉRENCE ENTRE :
Nouvel Ordre Mondial, Ein sof, 1789 ET LOIS NOACHIQUES droit de l’hommiste du FAUX JEHOVAH :
Commandements ou lois de :
- établir des tribunaux ;
- interdiction de blasphémer ;
- interdiction d'idolâtrie [c’est raté, l’argent est l’idolâtrie suprême) ;
- interdiction d'unions illicites [aussi raté…] ;
- interdiction d'assassiner [aussi raté, voir ce qu’il se passe surtout en Palestine] ;
- interdiction de voler [aussi raté…] ;
- interdiction de manger la chair arrachée à un animal vivant.
Sur 7 lois vous avez 6 interdictions sous le chef des tribunaux eux-mêmes synonyme d’interdictions !!!
Comparez avec les devoirs moraux et du VRAI social chez les Bouddhistes DU VRAI JEHOVAH : « Je suis ce JE SUIS » :
- Ne maudire en aucune circonstance, car la malédiction retombe sur celui qui la profère.
- S’aimer les uns les autres et même vos ennemis.
- Donner notre vie, même pour les animaux.
- Remporter la plus grande victoire en se vainquant soi-même.
- Éviter tous les vices.
- Pratiquer toutes les vertus, spécialement l’humilité et la douceur.
- Obéir à ses supérieurs.
- Chérir et respecter ses parents, les vieillards, le savoir, les hommes vertueux et Saints.
- Donner nourriture, abris, réconfort aux hommes et aux animaux.
- Planter des arbres au bord des routes et creuser des puits pour le bien-être des voyageurs.
(Dans : Isis Dévoilée. Vol 2, part 2. H.P. Blavatsky)