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Politisme et étatisme démocratique sont des erreurs permanentes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-07-2022 04:17

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Politisme et étatisme démocratique sont des erreurs permanentes
principe du « Plus ça change et plus c’est la même chose » :
le régime capitalo-républicain-marchandise, dont les
attributs ne changent jamais tant son maître-mot est
« pouvoir d’achat ».
Les choses erronées n’ont pas la caractéristique de
changer : ce qui change, ce sont les f(r)ictions que
cette civilisation produit en un ensemble appelée
« collectivité ». Voilà pourquoi l’erreur est
permanente en tant que telle.
 
Qu’est-ce alors qu’atteindre la Vraie Réalité de
l’erreur ? C’est faire que les libérés de la
racine du ma, le Dedans-Dehors, au sein même de
cette racine comportant l’erreur, qu’ils
perçoivent sans erreur. Car la moindre opinion
sur l’erreur ne sera jamais le fait d’un être
libéré. Car avoir la moindre opinion, c’est tomber
dans le verbiage sans fin de la dialectique
matérialico-historique, et politique…
LIÉE AU MENTAL QUI CALCUL : LA RAISON !

La tyrannie de l’opinion engendre la dualité
WINNERS-LOSERS, mais tout est inversé :
les sots se CROIENT des winners et les êtres
sains, ceux qui sont Maât (direct, authentique)
à cause des Winners se croient des losers.
De là s’engendrent tous les problèmes et augmentant
sans cesse le vouloir réparer les choses erronées
par des f(r)ictions permanentes.
À croire que l’origine des choses erronées
N’A PAS DE NAISSANCE OU PAS DE CAUSE, ce qui
lui donne ce MASQUE de permanence en « Plus
ça change et… »
puisque n’ayant pas de naissance
elle n’a pas de mort, tel l’oiseau Phénix !
Or l’Ancien Testament fabrique une cause ”Big Bang” :
la racine du mal en un Dedans-Dehors par
le faire/fer de croquer la pomme de L’AXE (Arbre
de Vie
ou Arbre de la Connaissance, censé
« libérer » par cette « connaissance »).

S’il y a une erreur, il faut « réparer »,
ce qui ne peut qu’engendrer LA VALEUR !
LE VALOIR QUELQUE CHOSE : SON « PRIX » !
Et VALOIR est issu du latin valere (valens au
participe présent) : être fort ou en bonne santé :
sans T du Tripalium, le mot TRAVAIL renvoie au PIEU :
tripalium aux trois POTEAUX : instrument de torture
servant à « travailler » le corps du supplicié, à
quelque chose qu’on enfonce, qu’on plante ;
mais aussi à la PALISSADE ET PALISSER (fermer avec
des pieux), et empaler, paluche (main), pelle,
pelletée, etc.
Travail devrait renvoyer au FROTTEMENT
(ou à ce qui TOURNE), au SEXE :
découverte du
FEU VULGAIRE PAR FROTTEMENT (tournoienent)
DE DEUX MORCEAUX DE BOIS SEC.
La masturbation est un frottement, produisant
une « chaleur ». Les moralistes, les hygiénistes
tels certainement ceux de 2020-X du covidisme sont
les paroissiens du FROIDS, du PUR en un WINNERISME
LE PLUS ÉCLAIRANT.
Psychanalytiquement, LA PROPRETÉ OU L’HYGIÉNISME
OUTRÉ EST UNE MALPROPRETÉ, ET LES PEUPLES LE SENTENT
EN SE RÉVOLTANT CONTRE CETTE DICTATURE COVIDESQUE
ET PASTEURIENNE, PFIZERIENNE, DES 20XX qui ont intérêt
à ce que les gens « tombent » malade,
sinon ils perdent de l’argent….

  L’AMOUR DU SALARIÉ POUR LE TRAVAIL ET LA
POSSESSION EST UNE LIBIDO INVERSÉE, FROIDE,
HYGIÉNISTE ; ON COMPRENDRA ALORS FACILEMENT
LE POUVOIR DE LIBIDO DES OLIVIER VÉRAN ET
COMPAGNIE EN PASSANT PAR LA « VIEILLE FILLE »
FROIDE EMMANUEL MACRON…

La thermodynamique tout confort : tout ce
qui frotte, tout ce qui brûle, tout ce qui
électrise, est susceptible de PRODUCTION
UTILITARISTE (génération).
Et « régner », puis : VALOIR (DE L’ARGENT), DONC
TOUJOURS LA CARACTÉRISTIQUE DE LA DUALITÉ
WINNER-LOSER (celui qui ne vaut rien, le vaurien,
le dévergondé… l’ambivalent, ou encore : l’invalide,
le convalescent et à ce hui le « cas contact » etc.,
de cette société paradoxale du ”vivre ensemble”…
donc un MOI-COLLECTIF et DEHORS LE MOI-INDIVIDUEL…).

L’erreur : quelque chose en trop, ou en moins :
la balance oscille, c’est le FLÉAU !
L’ERREUR VIENT NÉCESSAIREMENT D’UN CONVENTIONNEL
À PARTIR D’UN INCONSCIENT COLLECTIF INCLUANT
LA TYRANNIE DE L’OPINION.


L’ERREUR renvoie au mot-maux : « positionner » si
utilisé par les Marxengelsistes : SAISIR une position,
définir ou se situer, calculer quelque chose comme
saisir l’erreur, saisir le manque.
Les Marxengelsistes se « positionnent » dans
l’inconscient collectif issu de la conscient
relativiste et croyant posséder la vérité.
Un inconscient collectif maintenant comparable
au « marché mondial » puisque tout se résume
au winnerisme : la VALEUR, le CORRIGÉ DE
L’ERREUR (dont participe activement l’aliénation
technologique ou ”l’intelligence artificielle”)…..
ET LÀ EST L’ERREUR DE LA NON ERREUR :
RIEN DE RÉEL EN SON SEIN.
ET DU FAIT QUE L’ERREUR N’EST PAS ADAMIQUE,
ELLE EST LE RÉEL SANS COMMENCEMENT NI FIN,
puisque l’Univers est DANS le mental, au
sein même de l’erreur du TOUT EST DANS TOUT,
le Seul Réel est vrai !

ÊTRE LIBÉRÉ DE L’ERREUR, MAIS AVOIR ENCORE
DES OPINIONS DE « POSITIONNEMENTS »,
C’EST TOUJOURS UNE ERREUR, UNE TYRANNIE
D’OPINION, UN MASQUE (sanitaire) SUR L’OEIL
QUI N’EST PAS ENCORE ENLEVÉ.
LE « POSITIONNEMENT RADICALE » EST ENCORE
UNE AMPLIFICATION DE L’ERREUR.

Si vous dites « Vive le communisme ! »,
en calculant par le rejet d’un communisme
étatique, que devient le Moi-individuel ?
C’est comme le CHOIX :
- ou ce monde Luciférien de l’État, de la
marchandise et du salariat et du projet
d’un évolutionnisme statique dans les trois
règnes : Minéral, Végétal, Animal et Humain ;
- ou le monde Originel du Saint Chaos.
Dans un cas comme dans l’autre, le dilemme
Moi-individuel/Moi-collectif disparaît,
mais dans le cas du winnerisme du monde Luciférien
c’est l’asservissement total en un Moi-collectif
bien plus collectif que celui de l’URSS…



CORRIGER L’ERREUR : Nostre civilisation est celle du FROTTÉ, FRETÉ, DU SUPER-FLU ou SUPER-FLUX ET AUTRES SUPERMAN : LE WINNERISME, LE MANQUE, LA CRÉATION ARTIFICIELLE DES BESOINS, LE VAIN (qui demande le toujours plus et les Danaïdes du : « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » : la continuelle répétition des mêmes actes et opinions ; mais dans les Danaïdes c’est le DÉSIR inextinguible de l’être humain qui est révélé, son feu constant dévorant tout : LOI DE SUCCION COMME LE FEU VULGAIRE QUI MANGE TOUT ; rien de plus vorace que ce feu vulgaire).

« L’erreur est de notre côté. Lorsque nous corrigerons cette erreur en nous, le système universel sera rétabli ». (Ramana Maharshi, entretien 135 du 15-1-1936).

L’erreur = A-méliorer : du A privatif et rendre meilleur : ne pas rendre meilleur : « Les conférences peuvent plaire aux gens pendant quelques heures sans pour autant les améliorer. Le silence, en revanche, est permanent et rend service à l’humanité entière.
- Question : Mais le silence n’est pas compris.
- Maharshi : Cela ne fait rien. Le silence veut dire éloquence. Les conférences ne sont pas aussi éloquentes que le silence. Le silence est éloquence incessante. Le Maître primordial, Dakshinâmurti, est l’idéal. Il enseignait ses disciples-rishi par le Silence.
- Question : Mais, jadis, les disciples venaient vers Lui. C’était donc une situation parfaite.
Aujourd’hui, c’est différent. On doit aller à leur recherche pour les aider.
- Maharshi : C’est une preuve d’ignorance. Le pouvoir qui vous a créé a aussi créé le monde. Si ce pouvoir peut prendre soin de vous, il peut tout aussi bien prendre soin du monde.
L’ERREUR, comme si on avait perdu quelque chose : « Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience [c’est le site qui souligne, et ça rejoint le problème de l’inconscient collectif]. Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu ». (Entretien 20 du 30-1-1935).

- Question : Que devons-nous faire pour améliorer la condition du monde ?
- Maharshi : Si vous restez libre de toute souffrance, la souffrance n’existera plus nulle part. Votre difficulté est due au fait que vous voyez le monde comme extérieur et que vous pensez qu’il y a de la souffrance dans le monde. Mais les deux, le monde et la souffrance, sont en vous. Si vous regardez en vous-même, il n’y a plus de souffrance.
- Question : Dieu est parfait. Pourquoi a-t-Il créé un monde imparfait ? L’oeuvre tient de la nature de son auteur. Mais ici ce n’est pas le cas.
- Maharshi : Qui soulève cette question ?
- Question : Moi, en tant qu’individu.
- Maharshi : Êtes-vous séparé de Dieu pour poser cette question ?
Tant que vous pensez être le corps, vous voyez le monde extérieur à vous. Les imperfections vous apparaissent. Dieu est Perfection. Son oeuvre aussi est Perfection. Mais vous voyez le monde comme imparfait à cause de votre fausse identification.
- Question : Pourquoi le Soi s’est-il manifesté sous la forme de ce monde misérable ?
- Maharshi : Pour que vous vous mettiez à sa recherche. Vos yeux ne peuvent pas se voir eux-mêmes. Mais placez un miroir devant eux et ils pourront se voir. Il en va de même pour la Création.
« Voyez-vous vous-même d’abord et voyez ensuite que le monde est le Soi ».
- Question : Ainsi tout se résume au fait que je dois toujours regarder en moi.
- Maharshi : Oui.
- Question : Dois-je ne pas voir le monde du tout ?
- Maharshi : On ne vous enseigne pas de fermer vos yeux au monde. Vous devez simplement « vous voir vous-même d’abord, et voir ensuite le monde comme étant le Soi ». Si vous pensez être le corps, le monde vous apparaît comme extérieur. Si vous êtes le Soi, le monde vous apparaît comme le brahman [l’Absolu].
(Entretien 272 du 23-10-1936).

« Tous les êtres vivants ont conscience de leur environnement. On doit donc en conclure qu’ils sont tous pourvus d’un intellect. Cependant, l’intellect de l’homme est différent de celui des animaux, car l’homme, non seulement, perçoit le monde tel qu’il est et agit en conséquence, mais, de plus, n’étant jamais satisfait de l’état actuel des choses, il cherche à l’améliorer suivant ses désirs.
Ce faisant, il étend le champ de ses divers intérêts, mais reste néanmoins insatisfait. Il commence alors à penser et à raisonner.
Son désir d’une paix et d’un bonheur permanents est le signe manifeste de l’existence d’une telle permanence dans sa propre nature. C’est pourquoi il s’efforce de trouver et de regagner sa propre nature – son Soi.
Une fois le Soi trouvé, tout est trouvé.
Cette recherche intérieure est le chemin que doit emprunter l’intellect de l’homme. Après une pratique continue, l’intellect finit par réaliser de lui-même que sa propre activité dépend d’un pouvoir supérieur [la Vraie Loi de Succion]. Mais il ne peut pas par lui-même atteindre ce Pouvoir. Si bien qu’arrivé à un certain stade, il s’arrête d’agir. Quand l’intellect a suspendu ainsi toute activité, seul reste le Pouvoir suprême. C’est la Réalisation ; c’est la finalité ; c’est le but.
Il est donc clair que la finalité de l’intellect est de comprendre qu’il est dépendant d’un pouvoir supérieur et qu’il est incapable de l’atteindre. Il doit alors s’annihiler lui-même avant d’atteindre le but [DÉFINITION DU SURFEU (1)] ». (Ramana Maharshi, entretien 502 du 14-8-1938).

Notes.
1. SURFEU = le « Qui suis-je ? », détruire le feu de nostre vie par un feu sans flamme ni cendre, qui portera le RIEN DU TOUT au CENTRUM CENTRI de l’Être. Quand tel l’Ouroboros se dévorant lui-même, la vie se retourne contre soi apportant la Preuve absolue et la plus transparente de l’existence de l’Être (2).
DESTRUCTION DE L’ÊTRE PAR LE SURFEU DE LA DESTRUCTION DU MENTAL LUI-MÊME LE GRAND ARCHITECTE ET DESTRUCTEUR DE CET UNIVERS.

Nous vivons l’arrivée du temps du SURFEU, ou RENONCEMENT.
L’État républicain devient de plus en plus autoritaire avec mélange de patriarcat-paternalisme comme il a toujours été : les roitelets de l’État, tels les Bonaparte, les Lénine-Trotsky-Staline, Mussolini, Hitler, Mao, De Gaulle, Pol Pot, Saddam Hussein, etc., sont les mêmes marionnettes de leur capitalisme : le « isme » économique m(p)atérialiste qui fabrique ce genre de marionnettes. Paradoxalement les masques commencent à tomber…… GRÂCE AU SURFEU ! (Alors que le pouvoir du covidisme tente de maintenir en place les masques…)

Le SURFEU chez Djalâl-od-Dîn Rûmî.
« Tu as éprouvé bien des souffrances, mais tu es encore sous le voile, parce que mourir à soi-même était le principe fondamental et tu ne t’y es pas conformé.
Ta souffrance ne finit pas avant ta mort : tu ne peux atteindre le toit avant d’avoir terminé l’échelle.
Quand deux échelons manquent sur une centaine, il sera interdit au chercheur de poser le pied sur le toit.
Quand il manque à une corde une aune sur une centaine, comment l’eau ira-t-elle du puits dans le seau ?
Ô émir, tu ne feras pas l’expérience du naufrage du navire (de l’existence individuelle) avant d’y avoir placé le dernier man [mesure de poids].
Sache que le dernier man est essentiel, car il est comme l’étoile qui se lève la nuit : il fait sombrer le navire des mauvaises suggestions et de l’erreur.
Le navire de la conscience de soi, lorsqu’il est entièrement brisé, devient pareil au soleil, dans la voûte bleue du ciel.

Étant donné que tu n’es pas mort, ta souffrance a été prolongée : éteins-toi à l’aurore, ô chandelle de Tarâz !
Sache que le soleil de ce monde est caché jusqu’à ce que nos étoiles soient devenues masquées [suppression de la dualité winners-losers].
Brandis la massue contre toi-même : mets l’égoïsme en pièces, car l’œil corporel est comme du coton dans l’oreille.
Tu brandis en fait la massue contre toi-même, ô homme vil : cet égoïsme est le reflet de toi-même dans le miroir de mes actions.
Tu as vu le reflet de toi-même dans le miroir de ma forme et tu t’es dressé furieux pour lutter contre toi-même.
Comme le lion qui tomba dans le puits, car il imaginait que son propre reflet était son ennemi.
Sans nul doute, la négation (le non-être) est l’opposé de l’Être [réel, le Réalisé] ; et cela, afin qu’un moyen de l’un des opposés, tu puisse acquérir quelque connaissance de l’autre opposé.

[…]
Ô toi qui possèdes la sincérité, si tu désires cette Réalité dévoilée, choisi la mort et déchire le voile (3) :
Non pas une mort telle que tu entreras dans la tombe, mais une mort consistant en une transmutation, pour que tu puisses entrer dans la Lumière.

[…]
C’est pourquoi Mustafa (Mohammad) a dit : « Ô chercheur des mystères, si tu désires voir un mort vivant -
« Marchant sur la terre, comme les hommes vivants ; cependant, il est mort, et son esprit et monté au ciel ;
« Celui dont l’esprit possède une demeure dans les hauteurs en ce moment, de sorte que, s’il meurt, son esprit ne sera pas transféré,
« Parce qu’il a été transféré avant la mort : ce mystère n’est compris qu’en mourant, non en se servant de sa raison :
« C’est un transfert, mais non comme le transfert de l’esprit commun des gens [la raison], qui ressemble au déplacement d’un lieu à un autre [le principe du mental : son idéation et donc aussi la fabrication du temps] -

[…]
C’est pourquoi le Messager des bonnes nouvelles dit de façon symbolique  « Mourrez avant de mourir, ô nobles ».
« De même que je sui mort avant la mort et ai apporté de l’au-delà cette gloire et ce renom ».
Toi aussi, deviens donc la résurrection spirituelle, et par là fais l’expérience de la résurrection ; ce devenir est la condition nécessaire pour connaître quelque chose (dans sa réalité).
Que ce soit la lumière ou l’obscurité, jusqu’à ce que tu la deviennes (4), tu ne la connaîtras pas complètement.

[…]
« J’ai été sourd à Tes avertissements : tout en affirmant être un briseur d’idoles [comme les Hébreux-Juifs], j’étais en fait un fabricant d’idoles [comme les Hébreux-Juifs].

[…]
Mais tu t’es laissé prendre au filet des futilités : ce n’est qu’à présent que tu as compris le mystère de la mort.

[…]
Puisque le don de la Mer est déversé par notre jarre, quoi d’étonnant à ce que la Mer elle-même soit contenu dans un Poisson [le Réalisé vivant ou l’Univers révélé à Lui-même].
L’œil sensuel s’attache à la forme de la route : tu la considères comme une route, mais lui (l’homme parfait ou réalisé) comme une demeure permanente (il réalise d’Instant en Instant le Ici et Maintenant).
Cette dualité est caractéristique de l’œil qui voit double ; mais, en réalité, le premier et le dernier et le dernier est le premier.
Écoute : par quels moyens cela t’est-il connu ? Au moyen de la résurrection (spirituelle). Cherche à faire l’expérience de cette résurrection ; ne discute pas à son sujet.

La condition nécessaire pour faire l’expérience du Jour de la Résurrection, c’est de mourir d’abord ; car le mot ba’th (résurrection) signifie « Faire revenir les morts à la vie ».
C’est pourquoi tout le monde a pris la mauvaise direction car ILS ONT PEUR DE LA NON-EXISTENCE (5), alors que c’est en réalité LE REFUGE.
Comment chercherons-nous à obtenir la véritable Connaissance ?
En renonçant au savoir [donc à la culture et à ses pensées uniques]. Comment chercherons-nous le salut ? En renonçant à notre salut personnel (6).
Comment cherchons-nous l’Existence ? En renonçant à notre existence. Comment chercherons-nous le fruit (spirituel) ? En n’étendant pas la main (matérielle de la possession ou de la loi de succion).
Ô meilleur des secoureurs, Toi seul peux faire que l’œil qui considère la non-existence regarde ce qui est réellement existant.
L’œil qui a été produit à partir de la non-existence considérait l’Essence de l’Existant (le Réel) comme totalement non existante.
(Mathnawî, Livre sixième, 723-36, 739-40, 742-46, 754-57, 771, 776, 817-26).

2. « La mort est un rendez-vous avec soi : il faut être exact au moins une fois » (André Ruellan, Manuel du savoir-mourir, page 37).
Le surfeu consiste donc la suppression du temps car plus aucun distance possible de soi à soi ou plus de dualité sujet-objet possible, seule compte la coïncidence avec soi-même et la SUPPRESSION DE LA CROYANCE À L’EGO.

3. « Déchire le voile » : équivalence du mot PARADIS : lever ou tirer le rideau, démasquer : la recherche de sa propre identité ou Vraie Nature implique la NON-DUALITÉ TOUT EN PARADOXE, car il semble impossible de jamais identifier le Seul Réel, le Soi, « Dieu », Lequel est précisément ce qui, pour être sans double, demeure réfractaire à toute entreprise d’identification dans une dualité d’un sujet face à un objet, comme si le sujet voulait sortir de l’Univers pour l’examiner afin de l’identifier, chose impossible PUISQU’IL EST L’UNIVERS, IL EST « DEDANS ». D’ailleurs à propre du mot A-FIN, il se compose du A privatif : suppression de la fin…

4. Le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

5. Cette peur signifie LE REFUS DU GRATUIT OU REFUS DE L’AMOUR : le Seul Réel est ainsi considéré comme CRUEL : soit un mécanisme de défense qui entre en jeu dès que le Seul Réel est perçu comme cruel, difficile, brut, simple, sans fiction donc sans temps pour « a-viser »… Sans temps pour monnayer….

6. Se faire injecter covidesque pour continuer « comme avant » à jouir de plaisirs matériels est de l’égoïsme, de même que se faire vacciner covidesque pour ne pas contaminer les autres ou les membres de sa famille est LE PIRE ÉGOÏSME : PAR POSSESSION : ON S’IDENTIFIE À L’AUTRE OU À L’EXTÉRIEUR OU « MONDE » QUI N’EXISTE QUE DANS LE MENTAL.
« Quant à la prière pour le bien des autres, elle ne paraît désintéressée qu’en apparence. Si vous analysez le sentiment qui la motive vous y découvrirez, là aussi, de l’égoïsme. Vous désirez le bonheur d’autrui afin d’être vous-même heureux. Ou bien encore, vous voulez bénéficier du mérite d’avoir intercédé en faveur des autres. Dieu n’a pas besoin d’un intermédiaire. Occupez-vous de vos affaires et tout ira bien ». (Ramana Maharshi, entretien 594 du 15-12-1938).
 
 

Dernière mise à jour : 05-07-2022 04:49

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