Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Prolétariat = mécanisation des cerveaux
Prolétariat = mécanisation des cerveaux Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-07-2022 03:45

Pages vues : 4416    

Favoris : 148

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
urss_lenine_dialectique.jpg
 
 
Prolétariat = mécanisation des cerveaux
le viol des masses.
Dans l’inconscient collectif de l’espace-temps
(l’histoire, la fiction), la technologie de
la mécanisation sociale a progressé parallèlement
à la montée tout au long du 19è siècle européen
de la mécanisation industrielle, et de la
mécanisation augmentée avec l’arrivée de
l’électricité dans les villages et villes.
 
Cette mécanisation industrielle est montrée
en de nombreuses gravures détaillées dans
l’Encyclopédie des Diderot et compagnie,
édition de Samuel Faulche de 1762.
L’aliénation technologique du prolétariat
commençait et son « pouvoir d’achat » avec.
Pouvoir d’achat = Je suis devenu le roi
(de la consommation) : illusion de ”liberté”.
 

Actuellement les rapports entre le spirituel et le matériel sont rompus, seul compte le matériel, le pouvoir d’achat pour se remplir estomac et mental (et ainsi, à la française : la laïcité) ; seule compte par exemple la loi de succion : ce que les enfants voient, touchent, mettent à la bouche, c'est-à-dire des objets extérieurs dans un espace euclidien tout aussi extérieur. Pourtant, ces rapports matériel-spirituel existent nécessairement. Sinon, il faudrait concevoir deux univers, l'un qui concernerait le spirituel, l’atemporel, le non-sensible ; et l'autre le physique, c'est-à-dire le monde perçu par les sens physiques du mental-corps et comme le domaine propre des sciences physiques et des techniques, et le domaine de la « dialectique matérialiste historique » (« analyser » la dite « réalité » à travers son mental et ses cinq sens et prendre, SAISIR cela comme « objectivité » comme possession de la vérité ; on aboutit comme à cette monstruosité : « la connaissance ”scientifique” de l’histoire » (1). Et pour faire de l’histoire il fait MÉMORISER, SOIT METTRE I (l’Axe) à mort : coaguler ou fixer un autre JET (ego) que le ‘Je’t, un ‘je’ et non un ‘Je’ ; édifier une élaboration ou histoire, une f(r)iction : INSTALLATION DANS L’OBJET PRIS POUR « OBJECTIVITÉ » : le SUJET, en oubliant le ‘Je’ (le Rayonnement ou le Royaume des Cieux). Comme cela se fabrique la lourdeur de l’attraction ”universelle” ou gravitation : LA LOI DE SUCCION, et la division entre temporel et spirituel (devenu une poubelle telle la croyance à gagner des millions à l’Euromillion ou à ce que son club de foot soit le winner samedi prochain ; l’actuelle spiritualité en est réduite à cela : la SAISIE, la BOUFFE) ; la dualité sujet-objet ou le rapport entre le sujet et la chose vue et connue par inconscient collectif par les cinq sens du mental-apprentissage ou PROGRAMMATION depuis le ventre de la mère.

Ainsi ce qui est appelé « raison » ou « connaissance » n’est que la vision et l'enregistrement par la conscience relativiste d'une chose qui lui est extérieure, comme l'appareil-photo ne fait qu'enregistrer l'image sans que sa nature, son TOUT, son en-soi d'appareil-photo (son Soi d’appareil photo : son TOUT) soit responsable de l'en-soi de l'image enregistrée.
Si la connaissance était quelque chose d'aussi simple, si les deux en-soi (les deux « Soi ») en présence étaient vraiment hétérogènes, deux entités ontologiquement indifférentes l'une à l'autre, alors comment le Christ-Jésus, à la Cène, eût pu transformer en autre chose l'en-soi des objets pain et vin qu'il avait devant lui ?

Les existentialistes, et de nos jours par exemple les Marxengelsistes des Francis Cousin (les « positionneurs » en radicalisme), croient pouvoir rendre logique (ou comme : LA Vérité) le fait « eucharistie» (la SAISIE : le « positionnement ») en déclarant que c'est notre conscience relativiste ou raison qui structure les choses. Cela voudrait dire que les choses n'ont pas d'en-soi, pas de EST, pas de Soi, si ce n'est celui que leur confère l'acte de les connaître par dualité sujet-objet. Ce serait l'intellect lié au mental du corps et des cinq sens qui confèrerait une réalité aux choses que nous percevons, DE PLUS, UN INTELLECT AYANT SA SOURCE DANS L’INCONSCIENT COLLECTIF : Francis Cousin dit : « Nous n’avons qu’une seule arme, c’est l’intelligence. Mais l’intelligence, elle est plurielle, elle est collective ; ça ne peut pas être un individu ou un agrégat individuel, et c’est la négation radicale de toute l’économie politique du crétinisme universitaire, de la philosophie, de la sociologie, de l’économie, de la psychanalyse, de toutes les merdes idéologiques du capital ». Avec le isme Cousinesque, le Moi-Collectif sera amplifié en une PERCEPTION de la multitude de Moi-collectif sans leur Moi-individuel, ce sera la QUANTITÉ RÊVÉE, UTILITAIRE COMPOSÉE D’UNE PARTIELLITÉ (citoyenisme) À CÔTÉ D’AUTRES.

« Histoire de fou ! Qu'y a-t-il au fond de cette histoire [de la dialectique matérialiste historique] ? Quand je mange du pain, que je bois du vin, je sais bien que ce n'est pas mon intellect qui les a faits ce qu'ils sont. Il n'a besoin pour lui-même ni de pain ni de vin. Mais je sais que, en la totalité de ma nature d'homme, il y a essentiellement, ontologiquement, absolument tout ce qui constitue l'ensemble de la création. Il y a en moi du minéral, du végétal, de l'animal et de l'homme. Évidemment, il n'y a en moi rien de ce qui fait que du silex est du silex et non pas du schiste ou du calcaire ; rien non plus des caractères accidentels qui font qu'une carotte est une carotte, ou un chien un chien. Mais il y a dans mon corps, mes os, mon sang, mes muscles, ma cervelle, des éléments qui vivent selon les lois du minéral, d'autres selon les lois du végétal, d'autres selon les lois animales, d'autres enfin selon les lois de l'homme. Et si je crois à la révélation, je dirai qu'il peut s'ajouter à toutes ces lois de la création qui régissent mon en-soi d'homme, une forme de vie, des lois de vie en Dieu.

L'homme est un résumé, un condensé de la création, en ses essences [Le Royaume des Cieux est en Vous]. Je ne connais guère le bon emploi du vocabulaire théologique. Cependant, je crois pouvoir remplacer ce terme essence par substance. Alors je puis dire ceci :
Si je crois que le Christ est vraiment Dieu, le Verbe qui a fait toutes choses, en union trinitaire, je dois accorder logiquement qu'il dispose, non seulement des accidents, mais aussi des substances. Et que, en conséquence, rien ne s'oppose à ce qu'il puisse transformer la substance sous des accidents qui restent identiques.

Le dilemme de Marcel Clément n'existe que si la connaissance est un enregistrement de la chose connue, comme des sons par une bande magnétique, un paysage par un appareil-photo. Mais, si l'on considère la co-naissance par co-naturalité, je perçois que je connais intellectuellement les minéraux par leurs accidents physiques, mais que je les aime par ce qu'il y a en moi de minéral ; de même les végétaux par ce qu'il y a en moi de végétal ; les animaux par ce qu'il y a en moi d'animal ; les hommes par ce qu'il y a en moi d'humain.  
Ainsi, la connaissance n'est pas le fait d'un dialogue, mais d'un rapport entre trois termes :

Homme - Essence commune - Chose connue.

En ce sens, la connaissance n'est pas simple enregistrement, elle est Amour, ou haine lorsque le péché a établi une distorsion entre l'essence et les accidents. L'essence étant le côté inviolable. Le mal n'a prise que sur les accidents ».
(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, Lettre 4 [janvier 1969] à Mgr. Combes Professeur à l'Université du Latran)

Il ne peut exister deux univers, un temporel ou laïcité et commerce, et un autre spirituel et d’Amour-Gratuité, deux globalités de connaissable et donc d'existant, car aucun ne pourrait alors être dit universel, parce que ne contenant pas l'autre et étant limité par lui. Cela pour la même raison que, si l'on tient que Dieu est infini, il y en a nécessairement un seul puisque, s'il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l'autre, aucun ne pourrait être dit infini.
Le concept d'univers, d'où découle la notion d'universalité, se présente donc comme identique au concept de synthèse, de vision globale de tout l'existant, de Dieu et de sa création et de la loi qu'il y a inscrite selon ce qu'il est lui-même : la Trinité. Vision du Tout ou Réalisation du Soi.

Il ne peut pas exister une « régression à l’infini » (si tout dépend toujours d’une chose, façon cause-effet, en formant une régression à l’infini, rien ne peut exister), qui tombe dans une Variation du Thème éternalisme, qui peut y intégrer le nihilisme ou la chute dans le néant.
AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des  Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE SUIS ».

PAS DE RÉGRESSION À L’INFINI : le problème de l’analyse est d’ailleurs lié À L’ÉVOLUTIONNISME DANS LA DUALITÉ DE CHAINES SANS FIN DE CAUSES ET EFFETS : dès lors que l’analyse approfondie elle-même est soumise à l’analyse, c’est l’effet LARSEN : une sorte de régression à l’infini. Car quand l’objet a été totalement analysé, l’analyse n’est plus en loi de succion : elle n’a plus rien à bouffer. En l’absence de nourriture, ou de prothèse, de support, IL N’Y A NI NAISSANCE NI CRÉATION. C’est aussi ce qui est appelé PANique, car si la conscience a le pouvoir de prouver son objet, SUR QUOI REPOSE L’EXISTENCE DE CETTE CONSCIENCE ?
Si au contraire, c’est l’objet-histoire dépendant du mental et de ses sens qui prouve la conscience comme le croient les Marxengelsistes et autres paroissiens des Zuckerberg matérialistes, QUEL EST LE SUPPORT DE CET OBJET QUI LEUR TIENT TANT À CŒUR ?
S’ILS DÉPENDENT L’UN DE L’AUTRE POUR EXISTER, COMME UNE PROTHÈSE TRANSHUMANISTE, AUCUN DES DEUX N’EXISTENT, ILS SONT UNE PURE FUMISTERIE, UN CANULAR DE ET POUR CAPITALISTES ET LOI DE SUCCION DE SOCIALO-COMMERÇANTS.
De même s’il n’est pas de père sans fils, d’où vient le fils ? De même qu’il n’existe pas de père sans son fils, ni l’un ni l’autre n’existe réellement. De même l’existence d’un graine est constatée par une conscience différente de la pousse ; mais qui constate l’existence de la conscience à laquelle l’objet est révélé ? (Rejoint le policier en même temps voleur devant procéder à sa propre arrestation (2) CAR TOUT EST DANS TOUT, LE MENTAL EST L’UNIVERS LUI-MÊME.

S’il n’y a plus l’invention de la VALEUR, il n’y a plus ni voleur, ni armée-police-justice ni saisie (plus personne n’est saisi pour être enfermé en prison) et l’enfer du sécuritaire Big Brother technologique et autres QR-codes tombe ! Il n’y a donc plus de Pour-Voir ou Pouvoir qui engendre les cancéreux du pouvoir et leurs armées-police-justice.
Le SACRÉ, AMBIGUÏTÉ MÊME, est depuis près de 5000 ans transmuté en VALEUR : les Anciens Égyptiens devaient le savoir car très tôt leurs tombeaux royaux et donc sacrés furent pillés pour leur OR MÉTAL que contenaient ces tombes royales, l’or sacré étant destiné à accompagner dans l’Après-Vie le Pharaon.

Notes.
1. L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode et opinion du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » (raison) que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
Le mot Hébreux signifie en gros : HISTOIRE (les descendants d’Adam, puis d’Abraham qui était celui « désigné par Dieu ». Nous sommes bien l’Histoire où un « Dieu » intervient sans arrêt dans l’Histoire (à travers batailles, sièges, invasions, etc.). Ainsi les faits « historiques » deviennent des faits OU DES OPINIONS devant « Dieu » et en deviennent une valeur religieuse que rien avant ne pouvait assurer à ces croyants comme les Hébreux. Ce sont les Hébreux qui inventent l’Histoire comme épiphanie de Dieu… De cette façon ils renforcèrent leur ego !

HÉBREU : ”Qui parle avec Dieu”. Nous avons alors H (Homme), E (homme de terre ou d’argile), Br (parole, qui parle, E, de la terre), U (vers l’air ou vers le ciel), etc. « La Parole de Dieu c’est son écriture »… Ou « Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu… Mais en réalité ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » (entretien 264 de R. Maharshi).

« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique (raison) entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » [à parrtir de l'inconscient collectif] car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).

2. Sentiment = le policier du mental : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même », explique Ramana Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.
De la même manière, même entretien : « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ».
Et à l’entretien 615 du 24-1-1939 : « Un voisin avait anticipé la visite d’un voleur dans sa maison. Il avait pris des précautions pour l’attraper en plaçant des policiers en civil pour surveiller les deux bouts de la rue, l’entrée et la sortie de sa maison. Lorsque le voleur s’était présenté comme prévu, les hommes de guet s’était précipités sur lui pour l’attraper. Le voleur, jugeant d’un coup d’oeil la situation, s’était mis à crier : « Au voleur ! Attrapez-le, attrapez-le ! Il court par là ! là ! » Et ce faisant, il était parvenu à s’enfuir.
Il en est ainsi avec l’ego. Partez à sa recherche et vous ne le trouverez pas. C’est la meilleure façon de s’en débarrasser ». (Entretien 615).

Le seul inconscient collectif possible est énoncé dans l’entretien 92 du 7-11-1935 :
« Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient.
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi. Le mahâvâkya « Je suis le brahman » en est l’affirmation qui fait autorité. Bien que l’on ait toujours l’expérience du ‘Je’, l’attention doit y être dirigée [Retournement de la Lumière]. Alors seulement, la Connaissance émerge. C’est pourquoi l’on a besoin de l’enseignement des Upanishad et des Sages » (entretien 92 du 7-11-1935).
« Le mental changeant (c’est-à-dire le mental associé à rajas = activité et à tamas = obscurité) est communément connu comme le mental. Dépourvu de rajas et de tamas, il est pur et brille par lui-même. C’est la réalisation du Soi. C’est pourquoi on dit que le mental est le moyen pour l’atteindre » (entretien 100 du 19-11-1935).

Dans le même entretien 615 : « Saisissez d’abord l’ego et demandez ensuite comment il peut être détruit. Qui pose cette question ? C’est l’ego. L’ego serait-il d’accord pour se détruire lui-même ? Cette question est la meilleure façon d’entretenir l’ego et non pas de le détruire [comme dans l’exemple du policier ci-dessus]. Si vous cherchez l’ego, vous constaterez qu’il n’existe pas. Voilà la façon de le détruire ».
PAS DE MEILLEUR VACCIN QU’AVEC AUCUN VACCIN… COMME PAS DE MEILLEURE LIBERTÉ AVEC AUCUNE INVENTION DE LIBERTÉ, OU PAS DE MEILLEURE VALEUR SANS AUCUNE INVENTION DE LA VALEUR ; ET PAS DE MEILLEURE PAIX QU’AUCUNE INVENTION DE PAIX ; PAS DE MEILLEURE SORTIE DE L’ERRANCE-ERREUR DU LABYRINTHE QUE DE NE PAS S’Y FOUTRE DEDANS, EN INVENTANT L’ERREUR ON INVENTE SON CONTRAIRE : LA JUSTESSE, LA « RÉALITÉ » OU « VÉRITÉ », ET ON TOMBE DANS LA DUALITÉ À L’OCCIDENTALE : BIEN-MAL.

« En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental », dit le Maharshi (sage) cité plus haut : TOUT ÉTANT DANS TOUT, le capitalisme étant le mental qui calcul, il ne peut pas se voir lui-même, comme le mental ou l’ego ne sera pas d’accord pour se détruire lui-même, alors il fabrique le 11 septembre 2001, puis le covidisme et la « guerre en Ukraine » en CROYANT se renforcer, étant né à un moment, il devra mourir à un autre et ce moment est maintenant très proche.
« Retourne ta pensée pour penser au mental qui pense : s’y trouve-t-il autant de choses ? », dit un maître chan. Se trouve-t-il autant de valeur prise pour du ”sacré” dans la pensée capitaliste ? La pensée conditionnée par la personnalité et les opinions gobées au Dehors ?


Le Grec de l’Antiquité se posait angoissé des questions. L’homme moderne de l’après Encyclopédie des Diderot et compagnie se CROIT arrivé et consomme et ainsi fabrique le capital.
L’homme moderne se croit « arrivé » : « Le pauvre ! il se croit arrivé, il croit que c’est arrivé ! » (la fin des temps et le « Circulez ya plus rien à voir »). Ce qui signifie : c’est bien arrivé comme événement (historique de la dialectique…) mais cette dialectique COMME L’OPINION sera balayée et remplacée par d’autres historiques-opinions-événements : RIEN DE CE QUI ARRIVE DANS LA FLÈCHE DU TEMPS ET SA MISE EN VALEUR N’EST VRAIMENT UNE ARRIVÉE : LA MORT SEULE OU LE SURFEU SEUL FAIT L’ICI ET MAINTENANT DE L’ÉVÉNEMENT ET DE L’ÊTRE.


L’homonyme entre arriver (atteindre un but) et arriver (survenir ou avoir lieu désigne par le même mot deux opinions qui, creusées à fond, s’excluent l’une l’autre : tant qu’il arrive quelque chose, on n’est pas arrivé, c’est le messianisme, la projection-projet ou carotte ; quand on est arrivé c’est « Circulez ya… ».
Car tout doit passer par le SURFEU pour être « immortel », C’EST-À-DIRE POUR ÊTRE SOI-MÊME. Mais qui refuse le SURFEU, comme semble s’y préparer le capitalo-transhumanisme, soit désirer l’éternité sans passer par le Surfeu (et tous les messianismes des trois religions abrahamistes, dont le transhumanisme fait la partie car il est un pur messianisme, procèdent de l’avenir, de la carotte pour faire avancer le croyant ou l’âne), procèdent de la loi de succion : désespérer de l’éternité à cause de la mort mortelle !

LES MONSTRES D’HUMAINS CONSOMMATEURS NE SOUHAITENT PAS VOIR D’ÉLÉMENTALS, QUOI QU’ILS PEUVENT EN OPINIONER, IL PRÉFÈRENT VOIR DEHORS, CONSOMMER DU CÔTÉ DE L’ENTERTAINMENT MERCANTILE POLITIQUE HOLLYWOODIEN ! C’EST-À-DIRE QU’ILS PRÉFÈRENT ÊTRE SOUMIS À LA LOI DE SUCCION DE L’INCONSCIENT COLLECTIF DU COMMUN DES MORTELS CONSOMMATEURS AU « POUVOIR D’ACHAT » ! NON, NON, NON, ILS NE VEULENT PAR RE-DEVENIR L’HOMME-SAUVAGE, L’HOMME-FEUILLU  DE LA TRADITION, L’ILLUMINÉ, LE FOU DIVIN, CELUI QUI EST DÉLIVRÉ DE L’INCONSCIENT COLLECTIF.
Sont déclarés « Fous » ceux qui ne sont pas conformes à la norme construite par le conventionnel de l’inconscient collectif prenant le Pour-Voir (se coagulant), tous ceux qui refusent la « réalité » (de ce conventionnel construit par l’inconscient collectif lui-même conventionnel….)
 
 

Dernière mise à jour : 07-07-2022 04:28

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >