TOUT se transmet par le SILENCE de la Nature,
du bruissement des feuilles d’arbres aux chants
des animaux et maintenant aux bruits des
machines humaines.
« Brahman [l’Absolu : l’identité avec le Brahman met
l’humain en harmonie avec toutes choses] est sans
image mental, sans but et sans cause, hors d’atteinte
de la déduction et de l’analogie, sans commencement :
le connaissant comme tel, le sage parvient à la
Libération.
Pour lui, il n’est plus alors ni destruction, ni
création, ni personne en captivité, ni fervent,
ni aspirant à la libération. C’est là la vérité.
[…]
De même que c’est la jarre qui change de place selon
qu’on la pose à tel endroit, et non l’espace qui
l’emplit, l’individu [jiva], à l’instar de l’espace,
reste le même [pas de dualité et racine du mal en
un Dedans et un Dehors].
Comme la jarre, le corps a des apparences très diverses.
Le corps qui meurt, encore et encore, n’est pas même
conscient de sa propre destruction. Mais l’individu,
lui, en est conscient, toujours et à chaque fois ».
(Amrita Bindu Upanishad 9-10 et 13-14).
« Le brahman est identique au Soi. Pourquoi alors
partir à la recherche d’autres sources de bonheur ?
En réalité, le fait de sortir du Soi est la cause
de toutes les souffrances ».
(Ramana Maharshi 17, du 24-1-1935).
« La félicité parfaite, c’est le brahman.
La paix parfaite, c’est la paix du Soi.
Cet état seul existe et il est consciemment ressenti.
On arrive à la même conclusion par le raisonnement
métaphysique et par les convictions acquises en suivant
le bhakti-mârga (la voie de la dévotion).
Nous prions Dieu de nous donner la félicité et nous
la recevons par Sa grâce. Le dispensateur de la félicité
doit être la Félicité elle-même et aussi l’Infini. […]
Le brahman est Félicité, impersonnelle et absolue.
Dans leur nature spirituelle, les ego limités, prenant
leur source dans le brahman et ensuite en Ishvara
[Seigneur de l’Univers], ne sont que félicité.
Biologiquement, un organisme ne fonctionne que parce
que toutes ses fonctions s’accompagnent de bonheur ».
(Ramana Maharshi 28, du 4-2-1935).
Le
« bâton de feu » de l’
Amrita Bindu Upanishad 19-22, C’EST
LE FLÉAU, LE FOUET qui fait avancer le char dont le cocher est Vishnou (une des trois principale divinités de l’hindouisme incarnant la fonction de conservation), et :
« Qui le conçoit ? ».
Réponse du Maharshi à 308 du 31-12-1936 : « Tout concept dépend de celui qui le conçoit. Découvrez qui vous êtes et tous les autres problèmes se résoudront d’eux-mêmes ».
- Question : Combien de temps devrai-je encore attendre la réalisation du Soi ?
- Maharshi : Apprenez d’abord ce que signifient le Soi et la Réalisation ; alors vous saurez tout.
- Question : Le mental doit se réaliser dans le Coeur.
- Maharshi : Si vous voulez. Mais qu’est-ce que le mental ?
- Question : Le mental, le Coeur sont des avatars de Perumal (terme vishnouīte désignant l’Incarnation de Dieu).
- Maharshi : S’il en est ainsi, nous n’avons pas besoin de nous faire de souci.
- Question : Mais comment pouvons-nous le réaliser ?
- Maharshi : Soumettez le mental à Perumal. Son avatar ne peut être indépendant de Lui. Rendez-Lui ce qui Lui appartient et soyez heureux.
- Question : Mais comment faire ?
- Maharshi : Comment pouvons-nous connaître le mental ? Par ses activités, notamment les pensées.
Chaque fois que les pensées s’élèvent, rappelez-vous qu’elles sont des modes d’expression de Perumal, et qu’il ne peut en être autrement ; cela suffit. C’est la soumission du mental. Est-ce que quoi que ce soit peut exister indépendamment de Perumal ? Tout est uniquement Perumal. Il agit à travers tout. Pourquoi encore nous en préoccuper ?
(Entretien 600 du 24-12-1938).
La lettre A tous les rayonnements (Jets) se résorbant en un seul mouvement : A-su-jet-ir, où A sous Jet-ir (aller ou rayonner).
Mais si dans l’individualisme du consommateur de 2022
ON PREND SUR SOI, c’est-à-dire qu’on se sépare de la manifestation directe en mettant en
« valeur » le temps, en repoussant le Jet, le A devient la formule A-sous-ME (assumer), ce que le régime républicain et commercial appelle
« responsabilité », ce que le scribe de cette page appelle
« spécialiste », puisque en France depuis 1789 tout le monde est devenu le roi, alors surgit le ME-fait du Faire/Fer qui rouille par l’être qui se veut autonome ou A-NI-MÉ (du A privatif et nie ME : se nier ou devenir PRIS-au-Nier (de cet A—nie-MÉ ou de cet oubli du Soi).
Tel est le RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE : l’Â-ME, au vrai sens du mot, non un Moi-Individuel devenu un aliéné consommateur soumis à son social grégaristique, à son mental, à sa raison à la mode du siècle des loupiotes du 18è siècle français des riches perruques poudrées qui se croyaient
« philosophistes ».
Le Réalisé qui SAIT, qui devient un SACHANT et non plus une croyant, RE-gagne la SINGULARITÉ, LA VIERGE NOIRE ou LE UN SANS SECOND (on ne saisit pas, par le regard, le corps de la Vierge Noire) : la SOL-I-tude du Ground ou Masse à la Terre et clé de Sol en musique actuelle, de tout ce qui est Centrum Centri ou Centre qui est nulle part et les circonférences qui sont partout.
La lettre A peut définir : « L’état de
jâgrat (état de veille) caractérisé par le
sattvaguna [qualité de pureté], défini par la lettre A et régenté par la divinité Vishnou ». (Ramana Maharshi, entretien 617 du 23 au 28-1-1939).
Dans les communautés humaines sans écritures et avec uniquement un langage parlé, à défaut d’avoir perdu la Vraie télépathie, la tyrannie de l’opinion ni la saisie n’existent, parce qu’il est plus facile de connaitre le nom d’une personne avec le langage écrit, et quand une personne est parvenu a connaître votre nom, vous tombez au pouvoir de cette personne, tel le GOLEM un tas de boue télécommandé depuis le Dehors.
« C’EST AINSI QUE TOUS, CHACUN À SON TOUR, RÉVÈLENT LE NOM DE SON VOISIN », et vous avez là le civilisation actuelle tyrannisée par l’opinion et la saisie (informatique du tout contrôler, tout saisir, tout posséder), telle que décrite dans le
Pop Wuh, Le Livre des événements de la civilisation amérindienne avant son anéantissement pas la chrétienté et monarchie espagnole et portugaise. Pour la logique ancienne, le NOM c’est la personne en sa totalité, spiritualité comprise ; donc à aucun moment la personne ne doit dire son identité, car, encore une fois, celui qui connaît le nom de la personne est maître de cette personne et la domine magiquement. De nos jours, c’est par la technologie qui mécanise les humains, le fichage par ADNm et autres prothèses du capitalisme transhumaniste QUI POSSÈDE LES HUMAINS COMME DES OBJETS-OBJECTIVITÉ À RENTABILISER. Le
Pop Wuh des Anciens Maya ki-tchè est comparable aux Upanishad et au Livre de Sortir au Jour (Livre de la Réalisation ou Livre des Morts des Anciens Égyptiens).
Connaître le nom d’une personne c’est donc la saisir, la posséder ; c’est pire : faire dans la RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS : ‘moi’ et l’autre.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou
Eucharistie (dans son sens en la
croyance au corps ou attraction
”universelle”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme, jusqu’à la
gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)
Parce que le Vrai sens du mot CON-NAISSANCE (naître avec), c’est le jnâna ou sagesse (ÇA je estre, autre forme du « Je suis ce JE SUIS »), et sens de l’ÉVEIL authentique et parfait : être conscient de
CELA qui est toujours, ainsi disparaissent les pourquoi ou leur chaîne sans fin de causes et d’effets façon évolutionnisme mortifère et mise en valeur du temps qui coule. (En référence à la fin de l’entretien 627 du Maharshi le 9-2-1939).
FLÉAU, FOUET, ÉCLAIR : entre le
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) et le VIDE : L’ILLUSION/FOUET/FOUDRE/BARATTAGE DE LA MER DE LAIT DU BLANC DE L’INSTANT ET FONTAINE DE JOUVENCE/MIRAGE/HALLUCINATION/SAINTE CHIMÈRE.
Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait sans masque, on mourrait ». Pourquoi ? Parce qu’on se verrait laid ? ou plutôt parce qu’on ne trouverait que l’illusion/fouet/foudre/etc. et que l’on ne verrait qu’un CADAVRE ?
LUCIDITÉ OU ÉVEIL ABSOLU = LE FLÉAU, LE SURFEU, L’HORREUR DE CE FOUET CE ZIGZAG, ZINZIN, ZÈLE, ZOO (l’animal humain manifestation du jeu du Soi) dans oublier le ZÉNITH ni le ZODIAQUE (lettre Z = fréquence, feu, va et vient du frottement sexuel qui engendre quelque chose), le jeu du Retournement de la Lumière ramené ou TOUT ou PAN.
Le SURFEU, LA FONTAINE DE JOUVENCE = LA RÉVÉLATION ABSOLUE DU SENS DE LA MORT ELLE-MÊME, LA RÉVÉLATION DE L’ESSENCE.
LE MASQUE, c’est ce que les mortels humains appellent
« Vie », mais aussi RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, par l’intermédiaire du « QUI SUIS-JE ? ». Or avec le Hollywood mondial du covidisme prolongé de celui de l’ukrainisme, CE MASQUE EST UNE INVERSION, UN MASQUE RETOURNÉ, À L’ENVERS COMME UN CUIVRE REPOUSSÉ.
Le « barattage de la mer » du Blanc de l’Instant chez H.-P. Lovecraft, dans Démons et Merveilles.
« Toutes les lignées issues d’êtres appartenant aux dimensions limitées continuèrent les vagues, toutes les phases de croissance de chacun de ces êtres ne sont que des manifestations d’un être archétypique et éternel habitant dans un espace extérieur à toute dimension [le Centre qui est nulle part]. Chaque être localisé fils, père, grand-père et ainsi de suite - et chaque phase de l’existence individuelle : petit enfant, enfant, adolescent, homme - ne sont que les phases infinies de ce même être archétypique et éternel, phases causées par une variation dans la position de l’angle du plan de conscience par rapport à ce être archétypique. Randolph Carter à tous les âges. Randolph Carter et tous ses ancêtres à la fois humains et préhumains, terrestres et préterrestres, ne sont tous que les phases d’un « Carter » ultime et éternel qui vit en dehors de l’espace et du temps - ne sont que de fantomatiques projections uniquement différenciées par les angles selon lesquels le plan de conscience coupe l’éternel archétype.
[…] Leur chef est, en personne, l’Être en train de parler, et cet Être en vérité, est le propre archétype de Carter [son Soi]. Le zèle jamais rassasié de Randolph et de tous ses ancêtres dans la quête des secrets co(s)miques interdits est le résultat naturel de cette filiation avec le Suprême Archétype. Dans chaque monde tous les grands magiciens, tous les grands penseurs et tous les grands artistes en sont les diverses facettes.
Presque anéanti par une craintes mêlée d’une terrible joie, la conscience de Randolph Carter rendit hommage à cette Entité transcendante dont il était issu ».
BARATTER : s’agiter. Préfixe bar- pour barrer, opposer, stopper. Le barde en Gaules est un chanteur, un conteur. En gaulois le
bardos, mime, bouffon, celui qui célèbre la louange ; le ménétrier (
barz en breton) le violoniste du village qui fait danser les invités au mariage.
Dans le même Thème Nous avons l’Alouette,
alauda en gaulois, remonte à une forme al, pouvant appartenir à la racine el-/om-/Hl qui est à l’origine de certains noms d’oiseaux. Alouette huppée bardala pouvant désigner le Barde gaulois. (Réf. Dic. Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac). Le symbolisme de l’Alouette peut représenter l’involution-évolution, l’oiseau étant comme un médiateur, comme un Fléau, comme une Transparence par son vole très haut et sa petite taille. Gaston Bachelard fait de l’Alouette pure le signe d’une sublimation par excellence. L’Alouette est oiseau sacré pour les Gaulois. (Réf. dic. des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant).
BARATTER : FROTTER, comme Aladin frotte la Lampe, comme l’humain accède au feu et eu Surfeu PAR SA NATURE PROPRE OU PAR LA RÉALISATION DE SON SOI. SI BIEN QUE LE VRAI FEU EST LE SOI OU LA CONSCIENCE INFINIE BIEN AVANT LE FEU DU CIEL, LA FOUDRE, QUI, ATTERRISSANT SUR UN GRAND ARBRE SERA LA MANIFESTATION DU FEU VULGAIRE OU CORPOREL. Dans la communauté humaine, avant le citoyenisme industriel du capitalisme urbanisant à l’aliénation, dans les villages avec le Barde, les FEUX DE JOIE ÉTAIENT ALLUMÉS PAR FROTTEMENT (un feu produit exclusivement par le frottement de deux pièces de bois l’une contre l’autre. Dès les premières étincelles apparaissant, on approchait une espèce de champignon qui pousse sur les vieux bouleaux et qui s’enflamme très facilement [Gaston Bachelard,
La psychanalyse du feu, chapitre :
Le complexe de Novalis]).
ALADIN FROTTE LA LAMPE : la loi de succion lui fait pénétrer dans un
« meilleur des mondes » qui n’est pas un monde où l’on obtient ce qu’on désire, mais un monde où on désire QUELQUE CHOSE. C’EST LE MESSIANISME OU LA CAROTTE attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer : c’est le principe des frères Abraham et Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent). Principe du capitalisme : « Régime économique et social dans lequel les capitaux, source de revenu, n'appartiennent pas, en règle générale, aux personnes qui les mettent en œuvre par leur propre travail » ; « Privilège du petit nombre, le capitalisme est impensable sans la complicité active de la société » (Fernand Braudel). (Réf. Dic.
Le Robert).
C’est pourquoi le « meilleur des mondes » ou son TIQOUNISME JUIF ne peut se passer de la vulgaire loi de succion ou ATTRACTION ”UNIVERSELLE” : LA PESANTEUR, SANS LA LOI DE SUCCION INHÉRENT AUX DÉSIRS HUMAINS DE TOUJOURS PLUS, COMME LA CAROTTE QUI NE DOIT JAMAIS ÊTRE MANGÉ, SINON L’ÂNE N’AVANCE PLUS, PUISQUE LES DÉSIRS FONT PRÉCISÉMENT DÉFAUT : CAROTTE À DISTANCE DE LA TÊTE DE L’ÂNE, ET LE MESSIE DU MESSIANISME QUI NE DOIT JAMAIS ARRIVER, SINON LE MOTEUR DU DÉSIRE EST CASSÉ, ET AUSSI PRINCIPE DU CAPITALISME ; LA VALEUR D’ÉCHANGE. Donc le
« meilleur des mondes » n’est pas un monde où l’on obtient ce que l’on désire, mais un monde où on désire QUELQUE CHOSE : ALADIN FROTTE LA LAMPE… FROTTER DEUX BOUTS DE BOIS ET L’ON OBTIENT UN FEU VULGAIRE OU CORPOREL, POUR ABOUTIR À LA THERMODYNAMIQUE DE LA MÉTALLURGIE, DES ARMES DES GUERRES DES HUMAINS, AU NUCLÉAIRE DES MÊMES HUMAINS DESTRUCTEURS ET À LEURS PROBLÈMES D’ÉNERGIE POUR FAIRE TOURNER LEURS MACHINES ET LEUR CORPS.
FEU = MAISON : GARDER LA CHALEUR DANS LA DEMEURE = LA FÉLICITÉ. LA MER DE LAIT = LE BLANC DE L’INSTANT. Dans les textes orphiques le lait et sa blancheur sont à la fois une boisson, une médecine en forme de lieu de l’immortalité. Héraclès suce le LAIT DE L’IMMORTALITÉ au sein d’Héra. Le lait symbole lunaire et féminin, et lié au renouveau printanier : les Yakoutes aspergent de lait en mai leurs vaches pour la fête du renouveau, ce qui signifie porter en quelque sorte au carré la puissance du symbole (réf. dic des symboles, Chevalier et Gheerbrant).
« Ensuite, sans avertissement, éclatèrent un ronflement et un énorme bruit de tambour qui s’enflèrent en un terrifiant coup de tonnerre [le PANique quand la douleur absolue survient DANS L’INSTANT par l’intermédiaire du Point Focal : la douleur n’est plus matérialiste ou du domaine du mental et de son corps, mais est le résultat du Retournement de la Lumière, donc de son TRAITEMENT…]. Une fois de plus, Carter se sentit le point focal d’une intense concentration d’énergie qui le frappait, le martelait et le brûlait insupportablement dans le rythme maintenant familier de l’espace extérieur et qu’il ne pouvait qualifier autrement que d’explosante chaleur d’une étoile incandescente, ou de froid absolument pétrifiant de l’Ultime abîme. Des bandes et des raies de couleurs entièrement étrangère à notre spectre jouaient et s’entrelaçaient devant lui tandis qu’il prenait conscience de la terrifiante rapidité de son déplacement ». (H.-P. Lovecraft, dans
Démons et Merveilles).
Note.
1. Baratte, fléau, fouet, bâton : signe de pouvoir (voir les actuels
« bâtonniers »…). Le bâton est évidemment en rapport avec le sexe et le feu : frotter le sexe contre, et frotter le bâton contre un autre produit un échauffement sous forme de fertilité et de régénération. Comme la lance et le pilon, le bâton est comme un phallus en érection. « Le bâton fait mal », disent certains peuples, au sujet du désir sexuel identique à la chaîne sans fin de causes et d’effets. Par la découvert du feu vulgaire le feu a jailli du bâton…
Ce feu est celui de la foudre et de l’étincelle, Prométhée voulait dérober cette foudre tel FRANKENSTEIN, PROMÉTHÉE moderne, héros de
Mary Godwin Shelley.
Ce feu vulgaire jaillit de la foudre, celui de l’étincelle, est fertilisant car il fait pleuvoir ou remplit un nappe phréatique (puits).
Voir le Sourcier Moïse qui d’un coup de bâton dans un rocher, découvre une source où ses compagnons pourront se désaltérer. Bref, le bâton ou la baratte, le fléau, le fouet symbolise la vitalité de l’humain, la régénération et la re-naissance.