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Vous ne posséderez rien… Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-10-2022 04:52

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
 
 
Vous ne posséderez rien…
Et vous serez heureux
,
nouvelle devise du capitalisme
par les Schwab-Harari qui ont peut-être
oubliés que le téléphone mobile n’a pu
prendre forme que dans ce monde de l’après 1789
où l’ego du citoyenisé est devenu soudain
prométhéen ou thermodynamique, tout comme par
les « réseaux sociaux » surgit le narcissisme en
un effacement de la vie privée et amplification
du phénomène « tout est politique » (il n’y a que
ça dans les médias capitalistes avec leurs objets
à vendre, leurs calculs et leurs opinions
politiques).
 
La technologie ne peut fonctionner que par le
social et l’inconscient collectif, mais un
utilitarisme lié essentiellement à l’importance
donné à l’ego et au Moi-Individuel doit se présenter,
sinon la technologie demeure une singularité de
laboratoire antique assimilé à de la sorcellerie.
Il y a plus de 2000 ans les Anciens Grecs
connaissaient nécessairement l’énergie produite par
la vapeur et le fait qu’enfermée dans une boule
avec des petits tuyaux orientés en opposition
pouvaient la faire tourner, mais aucune charrette à
la Cugnot ne fut pour autant inventée et multipliée
comme pour l’actuelle aliénation utilitariste
avec le phénomène électromagnétisme, le télégraphe,
puis l’électronique avec les tubes à vide puis
l’ordinateur facilité par le transistor puis
par la « puce » regroupant des milliers de
transistors sur une très petite surface. 

Cet utilitarisme essentiellement du côté anglo-américain
ne pouvait que fourbir le libéralisme économique
NOUVELLE DICTATURE OU NOUVELLE MONARCHIE :
dérégulation afin de rentabiliser selon l’évolutionnisme
inhérent à la LOI DE SUCCION, ce qui fait de l’employeur un
NOUVEAU ROI DANS SON PAYS-ENTREPRISE, ET QUI FAIT DE
SES SERFS, DE SES VILAINS, DES TRAVAILLEURS
précaires et jetables rapidement et rapidement remplaçables,
affaiblissant leur rapport de force par la dualité
winners-losers et réduisant la capacité de refus des
« serfs » ou « collaborateurs » (salariés), et évidemment
cette loi de succion favorise la dualité winners-losers
par l’accumulation de richesse chez les winners,
exacerbant par là plus encore les opportunités de
winnerisme et de soumission et impliquant nécessairement
de plus en plus des autoritarismes dans les entreprises
du capitalisme.
C’est en cet état que le libéralisme est l’INVERSE
DE LA LIBERTÉ,
puisque en évolutionnisme il ne peut que
devenir de plus en plus autoritaire, voir tyrannique,
sous déguisement d’une forme de paternalisme, ou une
forme de PROTECTION, de SÉCURITÉ,
COMME L’ÉTAT-PROVIDENCE.

Paradoxalement le libéralisme ou néolibéralisme sera
« ingouvernable », face à l’État, MAIS CE SERA POUR
MIEUX GOUVERNER SES « SERFS »
OU « COLLABORATEURS ».
L’intensification ou évolution des disciplines du
marché va de pair avec l’amplification du winnerisme
dans l’organisation capitaliste, les libertés
individuelles sont condamnées à court terme pour
former cette société fourmilière, où n’est tolérée
aucune liberté individuelle vers la Réalisation du Soi.
Elle cumule, multiplie les individus, les
« collaborateurs » pour en faire des troupeaux,
mais refuse les personnes, au sens qualitatif.
La liberté n’existe alors que pour les winners qui
décident de ce qui devra être vécu et senti
uniformément par les masses ; c’est évidement la
liberté du Satam qui organise la croyance, celui
qui ne cherche pas à libérer mais à POSSÉDER ;
si bien que la schwaberi des Harari et de
leur « insaisissable » sera IMPOSSIBLE si le
capitalisme est encore la forme de vie égocentrique
de la communauté humaine !!!
Le capitalisme va prendre sa vitesse de croisière
dans une EUROPE prétendument de civilisation
chrétienne, laquelle a détruit les Mayas, Incas, etc.
à la Renaissance, et les Amérindiens au 19è siècle,
TOUJOURS POUR LA RUÉE VERS L’OR ET LE PÉTROLE.

« La recherche de l’uniformité des choses
qu’on donne à sentir, à vivre, ne peut tendre qu’à
l’uniformité des psychismes individuels, impossible
à atteindre, et non pas à la vie spirituelle »

(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux 27)
La vie spirituelle qui est l’état naturel, ce que
chaque être humain ressent même inconsciemment et
en des formes infinies suivant l’ignorance de son
Soi, de son état d’ÊTRE, quand par exemple un
salarié dans son état d’AVOIR se paye le jour de la
messe de fin de semaine une place assise au stade de
football et qu’il beugle de félicité pour encourager
son équipe favorite, ou le salarié qui paye chaque
semaine son impôt à la Française des Jeux dans
l’espoir d’être récompensé, un jour, en mini Rothschild.
Nostalgie du paradis perdu ou du Soi ignoré, et donc
du divin naturel en l’ÊTRE.

« Demandez à l’homme le plus fortuné du monde,
s’il connaît son Soi. Il vous dira « non ».
Que peut-on connaître si l’on ne connaît pas le Soi ?
Le savoir humain est bâti sur une fondation si
fragile ». (Ramana Maharshi 43, du 28-3-1935).

PAS DE PÉCHÉ, PAS DE CHUTE : « L’individu est déjà
réalisé, toujours réalisé et jamais non réalisé ».
(Ramana Maharshi 450 du 3-2-1938).
ÊTRE = NATURELLE RÉALISATION : « S’il y avait un
instant de non-Réalisation, la question de la
Réalisation pourrait se poser » (même entretien 450).

L’urbain de l’acier-tôle-boulons-verre-béton a
toujours été le socle du capitalisme et donc
à la fabrication de besoins artificielles, car
tout obstacle opinioné par l’humain comme naturel
doit être bétonné (recouvert, uniformisé, détruit).
Le capitalisme fabrique des besoins c’est-à-dire
des consommateurs qui doivent être perpétuellement
insatisfaits, agités et angoissés et blasés.
La pub et le politisme étatique fabriqueront le
consommateur en le formant à avoir un appétit
insatiable conformément à la mauvaise loi de succion
jusqu’à son « développement personnel » (son égoïsme).

Le capitalisme fabricant de l’évolutionnisme, juif et
concept de « mise en valeur du temps », soit
« le progrès », qui fabrique toujours plus de
mécontentements, symptôme du monde de l’après 1789
qui stimule le malaise de la civilisation industrielle,
flagrant dans l’épisode du covidisme.
L’aliénation de cette société est devenu elle-même
un objet-marchandise. Elle se tourne vers la
désolation spirituelle du monde informatisé et
propose comme remède « la mise en valeur du temps » :
CONSOMMEZ !

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »,
effectivement Nous vivons de par le « tout connecté »
dans un monde de pseudo-événements et de « quasi
informations » où l’espace-temps est saturé d’opinions
qui ne sont ni vraies ni fausses, mais seulement
« croyables ». Car dans le domaine de la propagande
républicaine et du libéralisme, le problème essentiel
n’est pas de déterminer si une information prononcée
décrit avec « exactitude » une situation « objective »,
mais si elle PARAÎT vraie (”L’info juste”, comme
serine la radio d’État France-Info).
Bref, à ce hui, la propagande se confond avec
« l’information » !


Retour sur l’entretien 450 cité plus haut :
« Soumettez-vous à Lui et à Sa volonté, qu’il apparaisse ou qu’il disparaisse ; attendez Son bon plaisir. Lui demander d’agir selon votre bon plaisir, ce n’est pas se soumettre à Lui, mais Le commander. Vous ne pouvez pas attendre qu’il vous obéisse et en même temps penser que vous Lui êtes soumise. Il sait ce qui convient le mieux et quand et comment y parvenir. Laissez donc toute chose à Ses soins. Le fardeau est pour Lui ; vous n’aurez plus de soucis. Tous vos soucis sont à Lui.
C’est la soumission. C’est la bhakti [dévotion].
Ou bien, cherchez à qui ces questions se posent. Plongez au plus profond du Coeur et demeurez le Soi. L’une ou l’autre de ces deux voies est ouverte à tout aspirant.
Il n’y a pas d’être qui ne soit pas conscient et qui, par conséquent, ne soit pas Shiva. Non seulement il est Shiva, mais encore toute chose dont il est conscient ou pas conscient. Et pourtant, dans son ignorance, il croit voire l’Univers sous des formes diverses. Mais s’il voit son Soi, il n’a plus la conscience d’être séparé de l’Univers. En fait, son individualité et les autres entités disparaissent, bien qu’elles persistent dans toutes leurs formes. Shiva est vu comme étant l’Univers.
Mais l’arrière-plan même, l’homme ne le voit pas. Pensez à la personne qui ne voit que le vêtement et non pas le coton dont il est fait, ou encore celle qui voit les images bougeant sur l’écran d’un cinéma, et non pas l’écran qui leur sert de support ; ou enfin, celle qui voit les lettres qu’elle lit, mais pas le papier sur lequel elles sont écrites. Les objets sont pourtant conscience et formes. Or une personne ordinaire voit les objets dans l’Univers mais pas Shiva présent dans ces formes. Shiva est l’Être qui assume ces formes et la conscience qui les voit. Cela pour dire que Shiva est l’arrière-plan sur lequel reposent à la fois le sujet et l’objet ou encore Shiva en repos et Shiva en action, ou Shiva et Shakti [énergie, pouvoir latent de Shiva], ou le Seigneur et l’Univers. Quoi que l’on dise, ce n’est que la conscience, qu’elle soit au repos ou en action. Qui n’est pas conscient ? Alors, qui n’est pas réalisé ? Comment des doutes peuvent-ils alors s’élever quant à la réalisation ou au désir de l’obtenir ? Si ‘je’ ne suis pas pratyahha [directement visible] à moi-même, je peux alors dire que Shiva n’est pas pratyaksha.
Vous posez ces questions parce que vous avez limité le Soi au corps. C’est alors seulement que les idées sur intérieur et extérieur, sur sujet et objet, émergent. Les visions objectives n’ont aucune valeur intrinsèque. Même si elles perdurent, elles ne peuvent satisfaire personne. Umâ a toujours Shiva près d’elle. Les deux ensemble forment Ardhanarīshvara [le Seigneur moitié femme, comme tout symbole double]. Cependant, elle voulait connaître Shiva dans Sa véritable nature. Elle se livra alors à des tapas [ascèses]. Au cours de sa méditation elle aperçut une lumière intense. Elle pensa : « Cette lumière ne peut pas être Shiva, car elle se trouve à l’intérieur de mon champ visuel ; je suis plus vaste que cette lumière ». Elle reprit alors son ascèse. Les pensées disparurent. La tranquillité s’installa. Et elle réalisa que Être est Shiva dans Sa nature véritable.

« Pour que les ténèbres se dissipent et que la lumière me soit donnée, Ta Grâce doit opérer à travers moi seul ».
Et Shrî Bhagavân se mit à citer une stance de Mânikkavâchakar :
« Nous chantons Ta Gloire (bhajan) et nous nous livrons à diverses pratiques. Mais nous n’avons jamais vu ni entendu parler de ceux qui T’avaient vu ».
On ne peut pas voir Dieu et conserver en même temps l’individualité. Celui qui voit et ce qui est vu s’unissent en un seul Être. Il n’y a plus ni connaisseur, ni connaissance, ni connu. Tous s’absorbent dans le seul suprême Shiva ! ».

Et à l’entretien 451 :
« ”Comment le monde peut-il être une imagination ou une pensée ? La pensée est une fonction du mental. Le mental est localisé dans le cerveau. Le cerveau est à l’intérieur du crâne qui n’est qu’une partie infinitésimale de l’Univers. Comment alors l’Univers peut-il être contenu dans les cellules du cerveau ?”
Shrî Bhagavân répondit : « Tant que le mental sera considéré comme une entité de ce genre, les doutes persisteront. Mais, qu’est-ce que le mental ? Réfléchissons-y. Quand l’homme sort de son sommeil, il perçoit le monde. Cette perception vient après la pensée ‘je’. Puis, la tête se soulève et le mental devient actif. Qu’est-ce que le monde ? C’est l’ensemble des objets répandus dans l’espace.
Qui contient cet ensemble ? Le mental. Mais le mental qui contient l’espace (âkâsha) ne serait-il pas lui-même espace ? L’espace est l’éther physique (bhûtâkâsha). Le mental est l’éther subtil (mano’kasha) qui est, lui, contenu dans l’éther transcendantal (chidâkâsha). Le mental est donc le principe éther (âkâsha-tattva). L’éther étant le principe de la connaissance (jnana-tattva), la métaphysique identifie le mental à l’éther. Le considérant comme tel, il ne devrait plus y avoir de difficulté à réconcilier la contradiction apparente contenue dans la question. Le mental pur (shuddha-manas) est éther. Les aspects dynamiques (rajas) et engourdis (tamas) du mental se manifestent sous forme d’objets du monde grossier. Par conséquent, l’Univers entier n’est que mental.
Prenez encore l’exemple d’une personne qui rêve. Elle s’installe dans une pièce dont les portes sont fermées de façon à ne pas être dérangée durant son sommeil. Elle ferme les yeux pour ne voir aucun objet. Et pourtant, lorsqu’elle rêve, elle voit tout un monde dans lequel des gens se meuvent et elle-même parmi eux. Tout ce monde est-il entré par la porte ? Non, il lui a simplement été présenté par son cerveau. Mais s’agit-il du cerveau du dormeur ou du cerveau du personnage du rêve ? Bien entendu, de celui du dormeur. Comment se peut-il alors qu’un monde aussi vaste puisse être contenu dans des cellules aussi minuscules ? L’explication en est que l’Univers entier n’est qu’une pensée ou une série de pensées ».

« L’Univers entier n’est qu’une pensée ou une série de pensées », ALORS NE PAS SE LAISSER FOUTRE DANS LA CERVELLE DES CANCÉREUX DU POUR-VOIR, CAR C’EST BIEN CE QUI EST EN TRAIN DE SE METTRE EN PLACE.
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux et vous serez possédé-programmé par ceux qui vous manipule ». Car si vous ne possédez rien, qui fabriquera vos vêtements, votre smartphone, votre voiture électrique, etc. ??? Car à la différence des Chasseurs-Cueilleurs qui ne possédaient rien et qui se distinguaient par leur capacité reproductible potentiellement illimitée et leur capacité productive limitée parce qu’ils ne connaissaient pas le concept de développement d’un besoin, alors que la société « moderne » doit non seulement contrôler sa reproduction biologique, donc sa sexualité, et en sens contraire rendre illimité la valeur marchande et la croissance de la consommation et de la création de besoins (donc limiter la sexualité d’un côté et de l’autre augmenter la consommation d’objets ou de marchandises, sinon, il y a perte de profit ou perte de loi de succion pour le capital, d’où d’ailleurs le phénomène de l’évolutionnisme aussi in-supportable dans ce qu’on appelle « inflation » ou amplification, évolutionnisme des prix toujours vers le + comme le concept juif de « mise en valeur du temps » afin de « racheter les péchés » ou racheter le paradis perdu au 'je' et de s’offrir égoïstement une ”place au soleil”).
 
 

Dernière mise à jour : 16-10-2022 05:04

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