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Le ‘Je’ ne se connaît pas plus Lui-même Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 19-10-2022 05:35

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Le ‘Je’ ne se connaît pas plus Lui-même
qu’Il ne connaît quoi que ce soi en Dehors
de Lui-même. Alors là-dedans, dans ce Dehors,
allez trou-ver des trous, noirs….
et autres choses, de l’opinion (Co($)mique) !


L’état d’ÊTRE.
 
Ce qui EST pure Conscience, de par sa Nature
même, par définition ne peut pas se connaître
par Lui-même : Il ne peut qu’être Lui-même,
le EST, ou le CELA.


Comme le fait remarquer Ramana Maharshi dans Ulladu Narpadu, le problème de savoir si le Seul Réel, substrat de la conscience individuelle, le ‘je’, peut se connaître elle-même est complètement ridicule :
« La connaissance de soi n'est pas dualité : le Soi étant unique, le connaissance est elle-même à la fois le sujet et l'objet.

Connaître une chose, c'est créer une dualité : le connaissant et le connu. Mais dans la connaissance de soi, il ne peut y avoir de dualité, le connu étant le connaissant lui-même, l'objet et le sujet étant une seule et même identité.
Il est de notoriété publique que le ‘Je’ est inqualifiable et unique : il n'est ni divisible en parties ni entaché de qualités. Qu'ils soient gros ou maigres, vieux ou jeunes, savant ou ignorant, riche ou pauvre, entier ou démembré qu'on soit, on est conscient de soi uniquement en tant que ‘Je’ dépourvu de tout attribut. Le simple ‘Je’, ‘Je’, ‘Je’, est la cognition première de chacun, précédant la cognition « PAN », le corps et toutes ses appartenances, et toutes ses pensées. Cela montre que Le Soi est non duel, homogène et indivisible, et peut demeurer pur par lui-même sans pensées pour le déranger, n'étant pas lui-même une pensée, mais l'intuition reconnaissance de soi comme l'éternel connaisseur, le pivot - plus exactement, le substance - de tout ce qu'on sait. Il est évident que le ‘Je’ étant pur conscience indivisible, est vécue par le jnani [Celui qui a Réalisé le Soi] comme le même en tous ».
(Ulladu Narpadu, Strophe 33).

Le ‘Je’ de PAN contenant et transcendant tout ce qui EST et ce qui pourrait jamais être, Il ne peut rien exister qu’il puisse connaître en dehors de lui-même, si ce n’est pas le cas, on tombe dans la racine du mal, la dualité Dedans-Dehors et ce qui s’en suit : LA SAISIE, LA POSSESSION.

La connaissance appelée « objectivité » c’est la « mise en valeur du temps », le binaire du oui par rapport à non, apparent par rapport à invisible.
« La vraie connaissance n'est ni connaissance ni ignorance. L’objectif de la connaissance n'est pas la vraie connaissance. Parce que le Soi est autonome, n'ayant pas de second [ou de Dehors] pour savoir ou être connu, c'est la Connaissance Suprême - pas le néant ou le vide.
Puisqu’Il brille sans rien connaître d’autre que Lui-même, ou rien d’autre qui Le connaisse, le Soi est [authentique] Connaissance.

La conscience de soi est la vraie connaissance, ÊTRE, parce qu'il est absolu, c'est-à-dire immuable, non duel, toujours pur (sans pensée). Cette pureté n'est pas vacuité à cause du manque d'objectifs perceptibles en elle, mais le plénum, PAN, toujours brillant de la Conscience-Être (chit-Sat) ».
(Ulladu Narpadu, Strophe 12).

Pas de dualité : la Vraie Connaissance est ce en quoi que connaissance et ignorance n’existent pas. Ce qui [se] connaît [ou connaît le monde] n’est pas la connaissance véritable et est seulement comparable au bédarrisme (1).
Puisque le ‘Je’ ou Vraie Connaissance brille sans rien connaître que Soi-Même, ni rien par quoi Il est connu, le Soi est la Vraie Connaissance. Ce n’est évidemment pas du nihilisme, ni le néant (2). Il est essentiel de s’en rappeler.

Se rappeler aussi que le pronom ‘je’ n’est qu’un ensemble du j et du e, de même que pour l’organe langue et le langage parlé ne sont que des mots issus de l’INCONSCIENT COLLECTIF, donc PURE OPINION.
Le mot « langue » ne définit pas la nature de sa fonction ou sa nature. Quand le jnani établi dans le Soi emploi des morts comme ‘je’ et ’tu’, cela n’implique rien quant à la nature de ce Soi, donc qu’il possède une dualité, ou autre chose genre « mise en valeur du temps ».
De même que les mots sorties de l’inconscient collectif à la disposition de la langue sont sans mesure et n’affectent icelle en aucune façon, le jnani n’est pas affecté par aucune des apparences du Dehors de la racine du mal que ce Dehors pourrait observer dans son comportement.

L’état d’AVOIR.
Le politisme en chefferie qui parle d’« unité » n’est qu’un diviseur de plus dans la racine du mal, dans la saisie du ‘tu’, comme le « tu seras » ou « tu deviendras [une chose qui existe] », comme « découvrir », qui a le sens contraire à ce que la signification « officielle » ou conventionnelle Nous fait accroire : on recouvre toutes choses du voile de son samskâra [tendance innée, impression], de ses éléments personnels, d’E-couvrir. C’est pourquoi la vision du TROU ne peut se faire que DANS LE TROU, et comme là, dans l’Instant, il n’y a rien d’autre que le Trou, il n’y a pas de Trou à voir ou à saisir ! (Rejoint Saint Bonaventure cité plus bas ; technologiquement ou matérialistement ça rejoint la Porte, la Stargate à travers l’Eau…).
Ainsi dans le rêve d’unité du politisme d’un régime il restera encore une trace de l’état d’AVOIR, donc une trace de l’ego qui tente faussement de se différencier du Soi ultime, le Seul Réel. ON NE PEUT RIEN OPINIONER DE L’UNITÉ SANS TOMBER AUSSITÔT DANS LA DIVERSITÉ ET LE SOCIALISME, LA QUANTITÉ DE VALEUR MARCHANDE.
La sainte forme du jnani ou Réalisé, Lui qui est parvenu à la totale maîtrise des tours de passe-passe que sont les créations d’apparence d’une réalité qui en fait est totalement illusoire, S’EST DÉGAGÉ DU SOI PERSONNIFIÉ, l’identité au sens du Big Brother capitaliste, et qui ne possède rien en propre - même pas la schwaberi-harari du « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » - c’est là que la Félicité naturelle foisonne tel le Zéro Indien.

L’état d’AVOIR.
Nagarjuna nous met en garde, comme la Bhagavad-Gîtâ, chapitre IV,18 : « Celui qui dans l’action peut voir l’inaction [le non-agir], et qui peut voir l’action continuant encore dans la cessation des œuvres, celui-là est parmi les hommes l’homme de raison vraie et de discernement ; il est en yoga et il est l’ouvrier universel aux capacités nombreuses [pour le bien du monde] ».
L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL (constitue un « travaux d’Hercule ») SUR L’ÉTAT D’AVOIR : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT » (LA PARADE, LA POMPE). Seul le NON-LOCAL peut fonctionner en une sorte « d’interaction virtuelle » mais qui n’a rien à voir avec l’actuelle connexion modèle informatique avec ses « réseaux sociaux », lesquels ne fonctionnent que par le ‘je’ de l’ego… et ainsi fonctionnent en « thermodynamique ». Alors il faudra pour « échanger » résoudre D’ABORD l’antique dilemme du Moi-Individuel/Moi-Collectif, donc CHANGER NOTRE ESPACE-TEMPS. SIMPLEMENT PARCE QUE LE VRAI CESSE D’ÊTRE VRAI DÈS QU’IL EST VU OU POSSÉDÉ, SAISI (cela sera copié dans le quantisme : ”l’observation perturbe le phénomène”, plutôt impossibilité de SAISIR ou d’OPINIONER l’observation).
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.
Tout ce qui se produit et qui est connu à l’état de veille par les cinq sens est la production de l’ego, le ‘je’. Mais si cet état de l’individu en conclu une quelconque « paix » ou une quelconque « libération », alors cette soi-disant « paix » ne mènera qu’à un remplacement par un oubli total, comme dans le sommeil profond, selon l’avertissement traditionnel ci-dessus. L’état d’UNITÉ ne se produira que par la GRÂCE dans laquelle l’illusion (des facultés) et l’oubli (les limitations) ne voit le jour. Donc toute tentative de la part de la conscience, la raison, la logique, de maîtriser l’ego et d’en faire son Vaisseau est vouée à l’échec, car le Vaisseau est toujours happé par l’attachement d’un Instant à un autre Instant ou happé plus avant dans la mise en valeur du temps par le mental et ses cinq sens (par le bédarrisme (1)). Mais, si cette conscience ou raison, la logique, s’abandonne (Putréfaction) à la Grâce Divine et le prend pour Vaisseau, l’ego en prendra un grand coup et l’On vivra la Félicité du Soi.

L’état d’AVOIR. C’est encore la SAISIE dans sa forme de croyance en un comportement comme si l’existence humaine éphémère et dérisoire était « durable » et importante !

Culte du « réel » illusion ou de l’état de
veille utilitaire pris pour LA vraie religion
qui exila les Merveilles de l’enfance et
de l’Innocence.
Et l’Innocence devant l’état de veille devient
une plaie ouverte qui ne s’infecte jamais,
comme une blessure invulnérable, CRU, et ça
en existe hautement certains qui ragent
contre cette Innocence et veulent la détruire.
Si l’Innocence est plus rapprochée de la
Glèbe adamique, du CRU-EL, comme l’Enfant,
il sera sans pitié. Et l’Évangile répond :
« Si vous ne devenez semblables aux petits
enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume
des Cieux »…. Devenir en Vraie Nature.
Le jnani ou Réalisé est ce petit enfant décrit
par l’Évangile : une innocence, une naïveté,
le jnani n’est plus affecté par le monde
alambiqué, et le petit enfant n’est pas
encore abimé par le monde alambiqué.
Par conséquent, le petit enfant de l’Évangile
est, d’un certain point de vue, une bonne
métaphore du sage réalisé, appelé ENFANÇON
(Embryon) dans la Taoïcité.

« Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », dit une devise alchimique, CAR LA CONNAISSANCE NE PEUT PAS ÊTRE CONNUE. LA PURE CONSCIENCE INFINIE DE L’ABSOLU NE SAURAIT ÊTRE CONNUE, OU SAISIE, CAR IL N’Y A PAS D’AUTRE OU PAS DE DEHORS POUR LA CONNAÎTRE. C’EST LA FIN DE LA TYRANNIE DE L’OPINION ET DES DÉBATS ET DE LEURS POLÉMIQUES SANS FIN TELLE LA CHAÎNE DE CAUSES ET D’EFFETS.
Par le Retournement de la Lumière, le « Qui suis-je ? », l’ego signale alors la perte de l’ignorance, en une luminosité de « connaissance absolue ». Tout ce qui reste est le Zéro Indien ou la Source de Connaître, sans personne pour connaître ni rien qui soit connu. C’est alors la Connaissance INSAISISSABLE qui renvoie à la Strophe 33 de Ulladu Narpadu, cité en début de page. Qui renvoie aussi au TROU et à Saint Bonaventure : « JAMAIS L’ÂME NE PEUT CO-EXISTER ».

LE 21è SIÈCLE SERA SPIRITUEL, OU NE SERA PAS (terminée la race humaine, du moins pour des « millénaires »….)

‘Je’ est une Première Fois, comme au Cœur, qui n’aura pas de second, pas de Dehors, c’est Per (3), la Vraie Demeure. Dans la plénitude absolue du Seul Réel (pas de dualité), il n’est rien d’autre que Soi-même, pas de second.
Quant à l’Unité chère au politisme du régime républicain qui ainsi lorgne vers une religion, une harmonisation de sa société : en parler et la désirer comme une marchandise, c’est inventer la liberté et aussitôt son contraire. Celui ou celle du gouvernement du régime politique qui parle d’Unité, invoque, évoque Dieu (et après ça la même personne va parler de « laïcité »….). Parler d’Unité en politique C’EST ITÉRER (1), TEL L’AVERTISSEMENT CITÉ PLUS HAUT : l’itinéraire n’est pas itérer : Savoir, Pouvoir, Oser, se Taire (la quatrième phase étant la principale, résumée par le mot PUTRÉFACTION qui contient l’ensemble). ”MORS ULTIMA LINEA RERUM EST”. Mais avant Putréfaction, sans tenir compte de l’Avertissement, et PARLER d’unité, il restera encore une trace du ‘je’ personnel, une trace de la croyance au corps qui tente faussement de se différencier du Soi, du Seul Réel en tombant dans la dualité sujet-objet.

Le plus grand Péché consiste à se croire soi-même à l’origine de ses propres actions, puisque c’est la source de tous les délits : les FAIRE/FER (qui rouille) ; c’est le péché de la chaîne sans fin de causes et effets du sujet et de l’objet.


Notes.
1. ITÉRER : « Si vous voulez un livre qui soit à la mesure de notre temple, faites-le avec ce qu'il y a de plus sage, de plus pur, de plus saint, de plus héroïque, de plus noble, de plus culturel, de plus beau, dans tous les livres qui servent de guide à la vie de l'Esprit, dans ceux qui ont servi et servent encore de flambeaux aux consciences dans leur marche vers la perfection toujours fuyante ; adressez-vous à tous les pasteurs d'âmes, qu'ils se soient donnés comme représentants de la Divinités ou de la Raison... Des profondeurs des ténèbres primitives la pensée humaine a marché peu à peu vers une lumière toujours plus grande : en des langages divers l'Esprit a tracé les annales de son progrès ... N'ayez pas peur de les rapprocher, de les confronter, de les exalter les unes par les autres ; au contraire, vous avancerez ainsi dans la direction de la « Parole Perdue ». (Armand Bédarride, cité par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux)

Les judéo-maçons spéculatifs du GODF genre Armand Bédarride veulent reconstituer et voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre et que ce serait, selon ces prométhée, la « vraie religion », soit la religion des voyeurs, celle de ceux qui saisissent à des fins et faims utilitaires et de SERVICE dans ce nouveau monde des SPÉCIALISTES, soit à des fins de satisfactions personnelles.
Le feu vulgaire ou le jus symbolise alors le mental réduit à n’être qu’un moyen ou un outil de satisfaction égoïste amplifiées au sens évolutionniste juif. « L’intellect révolté a préféré la terre [le matérialisme] à l’Esprit [le Divin] : il a déchaîné les désirs terrestres [la saisie ou loi de succion] et ce déchaînement n’est qu’un enchaînement à la terre » (réf. Paul Diel, dans Le symbolisme dans la mythologie grecque).
Derrière Prométhée se profil ICARE : la démesure de la raison, produisant la double perversion du jugement (opinion) et du courage (teinté d’héroïsme et encore de possession).
A-voir l’R de Rien ?
C’est encore A-voir : du A privatif et voir : se priver de voir, se faire A-voir… Comme faire dans l’inaction c’est toujours de l’action…
A-voir l’R de Rien ? = LE COMBLE DE LA POSSESSION, comme l’énonce les Bill Gate et Klaus Schwab, et avant eux, mais en tant qu’Éveillé : Nargajuna dans la Stance 16,9 :
« ”Un jour je m’éteindrai libre de toute appropriation, le nirvana m’adviendra”. Prendre les choses ainsi, c’est le comble de l’appropriation ».

Armand Bédarride et ses paroissiens judéo-maçons spéculatifs du Grand Orient de France sont ceux qui veulent VOIR la splendeur des milliards de milliards de soleils et toute le reste de la « valeur » nommée « diversité ». Mais, pouvez-vous déjà supporter l’éclat du seul soleil qui éclaire cette Terre ? Pourquoi vouloir en voir d’autres ? Pourquoi reconstituer et voir simultanément toutes les faces du polyèdre comme mentionné plus haut qui est l’équivalent de vouloir voir des milliards de milliards de soleils ?
De même, QUI A DEMANDÉ AUX TRANSHUMANISTES DE SE POSER EN « AUGMENTEURS » OU « A-MÉLIORATEURS », EN PROTESTANTISME OU RÉFORMATEURS, EN « PLÉIADIENS » ET AUTRES EXTRATERRESTRES A-MÉLIORATEURS EN ”WE HELP BOLD TEAMS MOVE HUMANITY FORWARD”, EN MAJ-ORATEURS DU SEUL RÉEL, SOIT VOULOIR « A-MÉLIORER » LA CONSCIENCE INFINIE ? FAIRE « MIEUX » ?
La judéo-maçonnerie adonhiramite recrute des paroissiens dans toutes les professions, et leur seule religion ou seul lien qu’ils puissent avoir en commun est LA POLITIQUE ET L’UTILITARISME, LA MISE EN VALEUR DU TEMPS, L’A-MÉLIORATION.

2. AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher, atemporel. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des  Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE SUIS ».

3. Per, la maison en égyptien hiéroglyphique, le lieu défini par ce qu’il contient et qu’il doit manifester, rayonner. Le P de Point, Père, Présence, Personne, Poser, Près, Prêt, Paix et Pépère, aussi Pantoufle, Patron (modèle)…

 
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Dernière mise à jour : 19-10-2022 06:17

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