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La va(o)leur du régime républicain Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 23-10-2022 05:28

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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La va(o)leur du régime républicain.
Celle des : Voltaire, Rousseau, Robespierre,
jusqu’aux récents Schwab-Harari, Bill Gates,
Macron, les paroissiens de Zelensky et ceux
des deux W : Washingtonisme, Westminsterisme,
etc., tous prédicateurs de la vertu en eux
comme un Surfeu avant de trépasser, telle la
flamme de la Bougie avant de rejoindre son éternité.
Mais, avant, que de ravages ici-bas, par ces
”sauveurs de l’humanité”, ces vendeurs de ”paix”,
qui pensent avant tout par leur ego et qui ont
cessé depuis leur première culotte de
vouloir du bien à quiconque.
 
Cette va(o)leur républicaine dont ils ne
portent en eux que la vulgaire loi de succion
ou attraction ”universelle” complètement liée à l’ego,
comme leur régime politique républicain et marchandises
ou « pouvoir du peuple », ils en réclament la matière
au monde du Dehors. Ils lui demandent d’incarner
leur ++++ idéal ; ils chargent le Dehors, le social,
de fournir un alibi à leur non-réalisation
de leur Soi ; ils ont besoin de Pour-Voir
sans cesse au Dehors ce qu’ils sont incapables
de réaliser en leur Dedans.
Et quand le Dehors faillit à cette mission,
ce sont les actuels cris indignés pour
« défendre les valeurs de la république »
qui sont menacées, ce qui est étonnant pour
un ”isme” qui se veut ”universel”,
”indivisible”, comme d’ailleurs sa démocratie,
un concept d’esclaves consentants, alors que
la Vérité n’a pas besoin de défense en quoi que
ce soit ni de se défendre : elle EST.
« Demandez à l’homme le plus fortuné du monde,
s’il connaît son Soi. Il vous dira « non ».
Que peut-on connaître si l’on ne connaît pas
le Soi ? Le savoir humain est bâti sur une
fondation si fragile ».

(Ramana Maharshi 43, du 28-3-1935).

Il ne peut exister deux Globalité (ou deux
universalité) de connaissable et donc d’existant
ou de Réalité, car aucune ne pourrait alors être
dite « universelle », parce que ne contenant pas
l’autre et étant limité par lui.
Cela pour la même raison que, si l’on tient que
Dieu ou le Soi est infini, il y en a nécessairement
un seul, une SINGULARITÉ, car s’il en était deux,
chacun étant limité par ce qui le distingue de
l’autre, aucun ne pourrait être dit
« indivisible » ou « infini ».
« Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi
est non-Soi. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi.
Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de
ces deux fonctions, tout seul, en tant que pure
conscience ». Ramana Maharshi 245 du 8-9-1936).
Le concept d’Univers d’où découle la notion
d’université, se présente donc comme identique
au concept de Réalisation, du Tout, PAN.


RAISON OU DUALITÉ.
« Les pensées « Je sais » et « Je ne sais pas » sous-entendent un sujet et un objet. Le Soi est pur et absolu, seul et unique. Il n’y a pas deux Soi, dont l’un peut connaître l’autre. Qu’est-ce que la dualité alors ? Elle ne peut être le Soi, qui est seul et unique. Elle doit être le non-Soi. La dualité est la caractéristique de l’ego. Quand les pensées s’élèvent, il y a dualité.
Sachez qu’elle est l’ego et recherchez sa source.
Le degré d’absence de pensées est la mesure de votre progrès vers la réalisation du Soi. Mais la réalisation elle-même n’admet pas de progrès ; elle est toujours la même. Le Soi reste toujours en état de réalisation. Les obstacles sont les pensées. Le progrès se mesure d’après le degré de déblaiement des obstacles qui empêchent de comprendre que le Soi est toujours réalisé. Les pensées doivent donc être contrôlées en cherchant à qui elles apparaissent [le scribe de cette page souligne]. De cette manière, vous allez à leur source, d’où elles ne s’élèvent plus ».

Il n’est pas naturel que deux araignées se battent pour un territoire, alors que dire de l’Empire des deux W (Washingtonisme, Westminsterisme) qui veut s’emparer de la Russie, laquelle l’a très bien compris avec son « opération spéciale en Ukraine ».

Et s’il y a un doute ? Les doute c’est comme les opinions ou polémiques,     ÇA N’A PAS DE FIN, COMME L’ÉVOLUTIONNISME.
Ramana Maharshi 618, du 1-2-1939 :
« Un doute s’élève et il est éclairci. Un autre suit, il est éclairci et laisse la place à un autre, et ainsi de suite. On ne réussit jamais à éclaircir tous les doutes. Voyez en qui les doutes s’élèvent.
Allez à leur source et demeurez en elle. Alors, les doutes cesseront. Voilà comment il faut s’y prendre pour éclaircir les doutes. tmasamstham manah krtvâ na kincid api cintayet [Fixant l’esprit sur le Soi, qu’on ne pense à rien (BhG VI.25)].
Q. : Seule la grâce m’aidera à y arriver.
M. : La grâce n’est pas extérieure. En fait, votre simple désir de grâce vient de la grâce qui est déjà en vous. (Même entretien et TOUT EST DIT DANS CETTE DERNIÈRE PHRASE : PAS DE CHUTE ET PREUVE QUE LA LAÏCITÉ EST UNE ESCROQUERIE ÉTATIQUE AU MÊME TITRE QUE LE « POUVOIR DU PEUPLE », CETTE COURSE À LA PAIX OU AU BONHEUR QUI EST DÉJÀ ICI ET MAINTENANT, DANS L’INSTANT, DE TOUTE ÉTERNITÉ, PAS DE LAÏCITÉ ET DONC DE DIVISION ENTRE SPIRITUEL ET TEMPOREL.

La décadence des mœurs telle qu’observé à ce hui produit, dans son premier stade, un moralisme rigide et exalté (style « valeur de la république »), et à son second stade, un immoralisme érigé en dogme, tel le « mariage pour tous » (et pourquoi pas avec son chien ou avec son moulin à café connecté, à y ajouter les metoo et autres phénomènes de mode : wokisme, LGBT, Black Lives Matter, ”cancel culture” reflets du déclin du capitalisme) ; elle enfante toujours tôt ou tard l’inverse de la morale : le mal.

Tout ce qui est récupéré par le système, le ”isme”, quel qu’il soit : politique ou issu de l’inconscient collectif pour aboutir au grégarisme où tout le monde « fait » la même chose, aboutit à la société fourmilière en un magma d’une citoyenité à côté d’autres, ou en la perception d’une collectivité, une multitude façon URSS ou Chine en un grégarisme d’un ensemble de « multiples séparatifs », d’unités qui vont cahin-caha dans leur dualité.
Les Gaulois, les Français du Moyen-Âge tout comme les Amérindiens avaient une base commune, tout comme avant eux les constructeurs parasismiques d’un bout à l’autre de la planète ET SANS LE TOUT CONNECTÉ DE TECHNOLOGIE INFORMATIQUE….


ISME = POUR-VOIR.
« Pour qui est l’illusion [le pour-voir] ? Il faut bien qu’il existe quelqu’un qui subisse cette illusion [comme le temps, il faut une personne pour le voir].
L’illusion, c’est l’ignorance. Selon vous, c’est le soi ignorant qui voit les objets. Quand les objets eux-mêmes ne sont pas présents, comment la maya peut-elle exister ? Maya est ya ma (la maya est ce qui n’est pas). Ce qui demeure est le Soi véritable. Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 144 du 23-1-1936).

- Maharshi : La Réalisation est déjà là. L’état libre de toute pensée est le seul état réel. Il n’y a aucune action correspondant à une réalisation. Y a t-il quelqu’un qui ne réalise pas le Soi ? Y a-t-il quelqu’un qui nie sa propre existence ?
Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé. On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous dmettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
- Question : À cause de nos pensées, de notre mental.
- Maharshi : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
- Question : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
- Maharshi : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.
(Entretien 146 du 26-1-1936).


Je ne veux pas être mangé par la république et son régime capitaliste en son idolâtrie de la valeur de la république marchandises et de son salariat en démocratie.
Je ne veux pas être dans la cervelle de l’oligarchie mondialiste et républicaine-fourmilière cancérisée par le Pour-Voir.


Si la Conscience a le pouvoir de prouver son objet, sur quoi repose l’existence de ma Conscience ?
Si au contraire, c’est l’objet qui prouve la Conscience, comme le CROIENT les Marxengelsistes, quel est le point d’appui de cet objet ? S’ils dépendent l’un de l’autre pour exister, genre « social », aucun des deux n’existe réellement. L’existence d’une graine est constatée par une conscience différente de la pousse. Mais qui constate l’existence de la conscience à laquelle l’objet est révélé. (En réf. au Bodhicaryâvatpara, Shantideva, La Marche vers l’Éveil).
Comme pour le temps qui coule, il faut une personne pour le voir et ainsi lui donner naissance. Sans cela, le temps ne vient pas Nous dire : « J’existe ! ».
« Si les objets [ou le temps] avaient une existence indépendante, s’ils existaient quelque part en dehors de vous, il vous serait alors possible de les quitter. Mais ils n’existent pas indépendamment de vous. Ils doivent leur existence à vous, à vos pensées. Où donc pourriez-vous aller pour leur échapper ? » (Day by Day with Bhagavan [Bhagavan : bienheureux, vénérable, divin ; Maharshi : grand sage], 16-3-1945 matin).

Et en ce qui concerne cette idolâtrie de la marchandise :
« C’est pareil avec les objets ou les pensées qui s’y rattachent. Ils seront avec vous jusqu’à ce que vous ayez réalisé le Soi ». (DbD 16-3-1945 après-midi).

Le Soi : le Blanc de l’Instant : « Aucun objet ne peut y être perçu. Il n’y a ni sujet percevant ni objet perçu. Ensuite, il y a l’obscurité totale, ou avidya [ignorance, non-connaissance, ”ce qui n’est pas” (1)], et là encore aucun objet n’y est perçu. Du Soi, cependant, émane une lumière réfléchie, la lumière de l’esprit pur. C’est cette lumière qui rend possible l’existence de tout le film du monde ; icelui ne peut être perçu ni dans la lumière totale ni dans l’obscurité totale, mais seulement dans la lumière tamisée réfléchie ». (DbD 17-3-1945 après-midi).

« La Conscience est la nature de la Réalité ».
Sans conscience de la Réalité, la Réalité peut-elle exister ? Car cette Conscience-Réalité, est elle-même libre de toute pensée, elle existe comme source de toutes les pensées, cela s'appelle le Cœur. Comment le savoir ? Être tel qu'il est (sans pensée) dans le Cœur, c'est le savoir [le Saint Silence].
« Puisque Nous percevons le monde, Nous devons admettre une Source unique, possédant le pouvoir de se manifester comme multiple [amplificatrice ; ”Croissez et Multipliez”]. L’image constituée de Noms-les-Formes, du spectateur, de l’écran et de la lumière qui les illumine, tout cela est le Soi ».
(Introduction-Invocation et Strophe 1 de Ulladu Narpadu composé par le Maharshi).



Note.
1. Avidya : « Demandez plutôt : « De qui est-ce l’avidyā ? » L’avidya c’est l’ignorance et elle implique un sujet et un objet [comme pour le temps cité plus haut]. Devenez le sujet et il n’y aura plus d’objet [et plus de temps] ». (Ramana Maharshi 263 du 20-10-1936).
« Qui est ignorant du Soi ? Le soi serait alors ignorant du Soi. Y aurait-il deux soi ? » (même entretien).
« Comprendre que l’ignorance n’a jamais eu d’existence est le but de tous les enseignements spirituels. L’ignorance ne peut être perçue que par quelqu’un qui en est conscient. La conscience est jnana [Connaissance, connaissance, sagesse]. Le jnana est éternel et naturel. L’ajnana [l’ignorant] est artificiel et irréel ». (Entretien 289 du 30-11-1936).
 
 

Dernière mise à jour : 23-10-2022 06:12

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