Accueil arrow Yôkai arrow Dernières news arrow naissance et mort, comme l’opinion
naissance et mort, comme l’opinion Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-12-2022 08:42

Pages vues : 2938    

Favoris : 76

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
covid-sars-cov-2_pouvoirdachat.jpg
 
 
naissance et mort, comme l’opinion
« Il est étrange que les gens ne veuillent
rien savoir du présent dont personne ne
peut mettre en doute l’existence, mais
sont avides de connaître le passé et le
futur dont on ignore tout.
Qu’est-ce que la naissance et
qu’est-ce que la mort ?
Qui naît et qui meurt ? »
 
« Pourquoi vous occupez-vous de la naissance
et de la mort pour comprendre ce que vous
éprouvez quotidiennement dans le sommeil et
en veille ? Quand vous dormez, ce corps et
le monde n’existent pas pour vous et ces
questions ne vous tracassent pas.
Pourtant vous existez, le même ‘vous’ qui
existe à présent à l’état de veille.
C’est seulement en vous réveillant que vous
avez un corps et que vous percevez le monde.
Si vous comprenez correctement la veille et
le sommeil, vous comprendrez la vie et la mort.
Veille et sommeil ont lieu quotidiennement,
si bien que les gens n’observent pas cette
merveille et s’interrogent seulement sur la
naissance et la mort [le causisme à l’égal
du Big Bang] ».
(Day by Day with Bhagavân, 19-6-1946).

Naissance et mort sont comme l’opinion.
C’est-à-dire une errance dans l’espace-temps
lui aussi opinion : ainsi l’humain se fabrique
naissance et mort à la façon d’un carrelage comme
les carreaux noirs-blancs symbolisés dans les
loges judéo-maçonniques des spéculatifs ou
travailleurs du chapeau (du capital, du chef).
Conséquence : toute opinion est comme une
construction géométrique dont les paramètres
sont fonction de la croyance à cette naissance
et mort, et donc à l’expérience AU DEHORS ou
état d’ego ou état de veille.
Or, la loi de succion et l’espace-temps fabriquent
la diversité, il faut en conclure que de toute
évidence il ne peut exister deux opinions identiques.
C’est pourquoi il est complètement illusoire de
rechercher une prétendue ”paix” fabriquée par
une illusoire possibilité de l’unité d’opinion
comme le croit le mirage appelé ”démocratie” ou
”république”.
Il ne peut pas exister d’« opinion vraie », car
ce ne sera jamais plus que ”ma vérité” (la chose
possédée par les sens du corps ou le mental),
alors que la Vérité ne peut être un objet de
possession. La vérité, si elle EST, CELA, doit
nécessairement transcender le conflit du
sujet et de l’objet (la racine du mal, le causisme).


Seule l’opinion, comme le transhumanisme, singe l’infini, le sans limite, car une opinion ou polémique n’a pas de fin mais a toujours faim : l’ar-gourmant ou argument en loi de succion ou ar-gent (raison, preuve…) n’a pas de fin et est comme une dialectique à histoire matérialiste sans fin, parfait fond de commerce ou de social pour nourrir le langage humain et nourrir son mental (même logique dans le couple thèse-antithèse et son soi-disant sel : synthèse-inquisition : ”Circulez ya plus rien à voir” (le messie est arrivé et c’est la ”paix”... du commerce).
« Quelque chose de nouveau peut-il apparaître hors de ce qui est éternel et parfait ? [seuls les tikkounistes pouvaient inventer la CHUTE et ce qui va avec : LA RÉPARATION et en conséquence LE COMMERCE]. Une telle polémique est en elle-même éternelle. Ne vous y engagez pas. Tournez-vous vers l’intérieur et mettez fin à tout cela. Il n’y a pas de finalité dans de telles discussions ». (Ramana Maharshi, entretien 132 du 6-1-1936).

« Il n’y a pas de limite aux polémiques » (Entretien 332 du 18-1-1937).

IL N’Y A PAS DE LIMITE AUX OPINIONS-POLÉMIQUES DU BINAIRE POUR-CONTRE, OFFRE-DEMANDE, etc., comme il n’y a pas de limite à la cause-effet, par exemple dans « l’œuf et la poule » : L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE… Après l’achat de telle chose je puis en acheter une autre, et ainsi de suite, c’est la loi de succion (appelée aussi : ”citoyen”, ”consommateur”, ”opinion publique”) ; c’est le capitalisme qui se croit aussi « éternel » que l’opinion de naissance et de mort.

« S’il y a naissance [cause] il doit y avoir non seulement une, mais toute une succession de naissances. Comment et pourquoi avez-vous eu cette naissance ? Pour la même raison et de la même manière vous devez passer par des naissances successives [réincarnation]. Mais si vous vous demandez qui est né et si la naissance et la mort vous concernent ou concernent quelqu’un d’autre que vous, alors vous réaliserez la vérité et cette vérité brûlera tout karma et vous libérera de toutes les naissances [le cycle infernal couche-culotte, éducation, salariat-retraite-vieillesse et mort qui s’en suit] » (19-6-1946).

PARABOLE DU GRAIN DE SÉNEVÉ OU SURFEU.
Même jour du 19-6-1946 : tout ce cycle infernal de succions de loi de succion et de vie prend fin par le GRAIN DE SÉNEVÉ OU LE SURFEU : « la petite étincelle de l’Éveil ou jnana, Connaissance, tout comme une simple étincelle de feu ferait sauter une montagne de poudre à canon. C’est l’ego qui est la cause du monde entier et des innombrables sciences dont les recherches sont si importantes qu’elle défient toute description. Et si, par l’investigation intérieure [le Retournement de la Lumière], l’ego est dissous, tout cela s’écroule sur-le-champ et seule subsiste la Réalité, le Soi ».
Cela montre l’extrême fragilité de l’espèce humaine et de son « réel » reposant sur l’opinion : on dit qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de football, et après au maximum cinq siècles, de trois pour former un empire accompagné de la finance juive, cela veut dire qu’il suffit de deux êtres humains du même avis pour fabriquer une opinion suffisamment solide pour winneriser ce qu’ils pensent comme « réel ». C’est dire la fragilité de l’espèce humaine QUI REPOSE UNIQUEMENT SUR L’EGO, LE MENTAL.

NAISSANCE-MORT : OPINION = CROYANCE AU CORPS ET DONC À LA NAISSANCE ET FORCÉMENT À LA MORT ET À LA PEUR (d’en mourir), ÉQUIVALENCE DU FAIRE-FER, QUI NÉCESSAIREMENT ROUILLE OU MEURT, COMME LE MÉTAL FER. AINSI LA QUESTION DU FAIRE/FER OU « AGIR » (à nostre époque plutôt du bavardage cacaphonie), SE POSE UNIQUEMENT SI L’ON CROIT AU CORPS OU À LA RAISON).

Consommation ou loi de succion en république : les gens préfèrent ses « valeurs », ils aiment les choses qui sont « coûteuses », au sens de loi de succion et de v(o)aleur, aussi bien en positif qu’en négatif (de nos jours c’est le couteux en négatif : inflation, l’onéreux à l’envers car l’action d’acquérir coûte cher).

« L'opinion prétend toujours se baser sur une logique [une ”valeur”]. L'ennui, c'est que tout système logique, si correct qu'il soit, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables [issus de l’égrégore du moment ou de l’inconscient collectif], adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux fort obscurs [et très utilitaristes et en confort tous sous la loi de succion]. Ces prémisses prennent nécessairement valeur de dogmes, qu'on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d'autant plus intraitable qu'il est plus inconscient [ce qui est appelé « réel »], parce que tout danger de n'y plus croire crée la panique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre.
Le vrai mystique n'a pas à craindre cette panique, parce qu'il ne croit pas le dogme, il le ‘sait’ ; et c'est pourquoi, s'il a des dogmes, il n'est pas dogmatique ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 26 du 25-11-1973).

Il n’y a pas plus mortelle que l’opinion.
« L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question [c’est bien pour ça que les Juifs de France disent une prière pour la république…]. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque [défendre « ses valeurs »]. Aussi, l’opinion est nécessairement sectaire, intolérante [puisqu’il s’agit de « défendre ses valeurs »]. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion absolutisée collectivement sous ne nom de « parti » [ou de « république »], est ennemi ». (Jean Coulonval, lettre 4 du 27-1-1969 à Mrg Combes Professeur à l’Université du Latran).

DESCRIPTION DU SOI.

Bhagavân : Nous appelons ceci un linge blanc [montrant du doigt sa serviette], mais le linge et sa blancheur ne peuvent exister séparément. De même avec l’illumination [Éveil] et le mental. Les deux ensembles forment l’ego. Voici un autre exemple qui est souvent donné dans les livres et qui pourra vous aider : l’éclairage au théâtre est le parabrahman. Il s’éclaire lui-même et il éclaire aussi la scène et les acteurs. Sa lumière nous permet de voir la scène et les acteurs, mais continue encore à briller quand la représentation sur scène est terminée. Dans un autre exemple, le mental est comparé à une barre de fer. En contact avec le feu, elle devient incandescente. Elle peut, comme le feu, brûler des objets, mais, contrairement au feu, elle a une forme précise. Si nous la martelons, c’est elle qui reçoit les coups et non le feu. La barre est le jivatman [le soi individuel ou ‘je’], et le feu, le Soi ou paranâtman » (26-6-1946).

SOI, SURFEU, SPIKE DU C’EST LE « UN POINT C’EST TOUT » : POINTER.

Si l’on utilitarisme de la formule : « N’est pas X », l’ouverture vers le TOUT ou vers l’Éveil est possible, il n’y a plus la tyrannie de l’opinion qui tente de SAISIR, de POSSÉDER par l’ego, alors les choses ne sont plus que des POINTES ou dé-signations : pion de jeu qui pique, sicotise (voir plus bas) ou qui pointe une marque, comme « LES DÉS SONT JETÉS ».
Donc dans la forme analogique (en continu, alors que le spatio-temporel fonctionne en discontinu) du « N’EST PAS X », tous les possibles ne sont pas limités puisque les choses ne sont que de simples POINTAGES (tha-snyad en tibétain pour ”désignation”), alors ces choses désignés ne sont plus des possessions ou opinions car elles sont dépourvues d’être en, et par soi, ce qui s’approche en fait du FLÉAU, et de « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
C’est-à-dire que comme l’indique et le résume le Yoga Vasistha : « L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (YV I, 3).
Le Soûtra du Diamant dit la même chose :
« Comme les étoiles, les mouches volantes ou la
flamme d’une lampe,
Comme une illusion magique, une goutte de
rosée sur une bulle,
Comme un rêve, un éclair ou un nuage :
Ainsi devrait-on voir tous les phénomènes
conditionnés ».

Quand il n’y a rien à expliquer et donc à saisir, à com-prendre, la Vraie Paix existe réellement.
Et ci-dessus, le concept de « phénomène » n’est pas une opinion mais simplement une pique, UN VACCIN (qui est un démarquage du principe de l’Homéopathie), une désignation. De là ça rejoint l’HOMÉOPATHIE, l’ACUPUNCTURE ET LES PETIOTES CHOUSES de Cyprian Piccolpassi Durantoys : Les trois Livres de l’Art du Potier (l’ARGILE ADN comme catalyseur pour les processus de combinaison des acides nucléiques : ADN, ARN… L’ARGILE ADN).
L’Homéopathie utilise les petiotes chouses : les pointes ou HAUTES DILUTIONS, à tel point qu’il n’existe plus de matière de molécule présente dans une préparation, mais SEULEMENT SON « ESPRIT » (voir la MÉMOIRE DE L’EAU du médecin homéopathe Jacques Benveniste), comme le FEU est un ESPRIT ou : « Un vent de Dieu tournoyait sur les eaux » comme l’illustre la Genèse 1, 2.

Genèse 1, 2 : n’est-ce pas plutôt : « Un vent de L’HOMME tournoyait sur les eaux » ? (De l’homme du « futur » enfin re-trouvant ses Eaux Primordiales…..)

UNE PIQUE, SICOTISÉ, UN VACCIN :
tous les vaccins sans exception sont des artifices dans le corps ainsi « sicotisé », piqué, spiké d’un coup de « poignard » (sicaire, du latin sicarius, de sica : poignard. Sicaire ou tueur à gages)(1) et à ARN MESSAGER TRANSHUMANISTE.

Note.
1. RAPPEL : La vaccination moderne, depuis l’invention de la seringue, est une singerie de l’Homéopathie, MAIS EN UN GENRE DE CLYSTÈRE MINIATURISÉ À HAUTE DOSE !!! Or l’Homéopathie consiste à donner au malade, À DOSE INFINITÉSIMALE, la substance qui, prise chez un humain sain à doses fortes, produit des symptômes semblables à ceux observés sur le malade. La thérapeutique est difficile à appliquer puisque accordé à chacun, et comme chacun est UNIQUE… et seul le remède indiqué aura une action, les autres n’ont absolument aucune action. Mais si vous donnez une remède non accordé au malade, ce remède ne fera jamais de mal et n’intoxiquera pas le malade : aucun effet secondaire, alors que dans les remèdes de Big Pharma, à doses pondérales, massives, commerçantes, utilisées en médecine allopathique, ils ont souvent des effets secondaires dont la liste est plus ou moins « longue comme le bras »
 
 

Dernière mise à jour : 06-12-2022 09:22

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >