Ecrit par Sechy,
le 17-01-2023 14:22
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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai |
+++Être né ne veut pas dire mourir+++
Comme si tout ce qui naissait devait être suivi
par la mort.
ÊTRE NÉ SIGNIFIE NOSTRE ÉTAT PERMANENT : LA MORT.
MORT = IM-MORTALITÉ, AMBROISIE : GISANT :
ÊTRE DANS SON JUS, SES POMPES (1), SON LIT.
Lorsque Nous nous arrêtons soumis au speed
espace-temps à la mort, ce qui était appelée ”vie”
dans cette forme de rêve REPREND SON ÉTAT
PERMANENT : NI ÉTERNEL NI TEMPOREL.
Les Anciens Égyptiens l’avaient si bien compris
qu’ils passaient leur ”temps” à soigner
LEUR VRAIE VIE : LA MORT (pour preuve : leurs
Pyramides et nécessairement celles des autres
peuples partout sur cette planète). Les Égyptiens
n’ont pas légué leur ÉTERNEL RETOUR aux Hébreux,
qui eux, ont décidé d’a-méliorer avec leur concept
évolution : la ”mise en valeur du temps” et de l’argent.
Le socialisme républicain et son Inconscient collectif
genre gros disque dur stockant les accidents récoltés
par la conscience-accidents, celle de l’idéation ou
”raison” construit un monde d’ego errant cahin-cahin
les uns aux côtés des autres mais sans aucune harmonie,
car tout est construit sur l’ego amplifié maintenant
par la technologie électro-informatique.
Alors que RIEN NE SE TRANSMET, le socialisme républicain
CROIT faire le contraire.
SOCIAL : on peut, selon les circonstances, accompagner
l’autre dans son jus, dans son fleuve ; mais impossible
de comprendre sans se jeter à l’eau, équivalent d’activer
le SURFEU.
”COMME SI” consistera alors À NE PAS TOMBER
DANS LE FAIRE/FER, soit à ne pas interférer puisque
le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou activé,
donc ne pas provoquer le chaos
puisque le Vrai Faire est le NON-AGIR.
Il y a ainsi un mystère au-delà de l’ego, qui Nous fait
transmuter la Pierre [le Vrai Dehors] et devenir la Pierre,
IL Y A VRAI ÉCHANGE, ou MARIAGE : il y a un gouffre infini
de subtilités non maitrisables par la ”raison” qui peuvent
éventuellement se produire, comme l’écho.
Le Vrai échange dans l’entretien 108 du 29-11-1935 du Maharshi :
- M. : De même qu’un gigantesque banyan sort d’une minuscule graine, de même le vaste monde avec noms et formes jaillit du Coeur.
- Q. : Si l’origine est le sat, pourquoi ne le sentons-nous pas ?
M. : Le sel en bloc est visible ; il est invisible en solution. Néanmoins, on reconnaît son existence par le goût. De même le sat [le réel], bien que non reconnu par l’intellect, peut être réalisé d’une autre manière, c’est-à-dire sur le plan transcendantal.
- Q. : Comment cela ?
- M. : Tout comme un homme, les yeux bandés, que des voleurs ont abandonné dans la jungle,
s’enquiert de son chemin et retrouve sa maison, de même un ignorant (aveuglé par l’ignorance)
s’enquiert, auprès de moins aveuglés, de sa propre source et y retourne. (Entretien 108 du 28-11-1935).
Le Vrai Social ne peut se passer qu’entre ‘Je’, entre TOUT.
Or le consommateur n’est qu’un consommateur naturellement
limité par ce qui le différencie de l’autre consommateur :
LA RACINE DU MAL LE DEDANS-DEHORS ENGENDRANT LA SAISIE.
L’insaisissable ne peut provenir que dans l’absence
de la dualité Dedans-Dehors parce qu’il n’y a rien à saisir.
L’idéogramme chinois ci-dessus, Sun, signifie par exemple
« N’EST PAS X », soit la DIA-BOLIQUE : À TRAVERS LA BOULE,
comme DIA-gonale. Et Boule comme le Point sur le I,
comme BOLOS : amphibolos : ambigu.
Boule ou BL (bel) est le Zéro Indien, l’énergie en force dilatante (spirale, spiration) agissant du centre, qui est nulle part, à la circonférence EN AMPLIFIANT TOUTES CHOSES, COMME DANS UNE ESPÈCE DE ”BOUILLONNEMENT” et de boursouflure en une chose qui se transporte ou se boule-verse SANS ÉVOLUTIONNISME OU AUGMENTATION DE VOLUME ((page 196, dans La langue hébraïque restituée, de Fabre d’Olivet, chapitre : La cosmogonie de Moïse).
Et BL renvoie aussi à לבן qui indique BLANC, examen blanc et donc à rapprocher de VIDE. Le BLANC de l’INSTANT OU l’addition des sept Couleurs de l’Arc-en-Ciel.
Bole, Bolide = tournoyer (Glos. Du Cange), et le Chercheur Ugo Morichini aimait à répéter que « Tout est basé sur la spirale ». Voir les pages Outrage au Seul Ré-EL, et Non État, Non débat-opinion, Non lieu.
Spirale, Tore, Torsion, VRIL-le (tarière, foret, mèche, tirebouchon… et ESCARGOT : LA COCHLÉE EN SPIRALE DE L’OREILLE HUMAINE contenant les terminaisons du nerf auditif [organe de Corti]). ET TOUS ANTI LOI DE SUCCION (la fausse, celle de l’attraction ”universelle”……).
Pour le mot Vril, voir aussi la page ”Le Vril et les mystères du feu vivant” . VRIL, la SHAKTI : pouvoir, énergie, Mère Divine personnifiant le Pouvoir latent de Shiva : « Seul l’âtman (le Soi) doit être réalisé. Sa réalisation embrasse toutes choses, y compris la shakti » (Ramana Maharshi 57b du 24-6-1935).
Ainsi l’idéogramme chinois Xun représente le BL celtique et hébraïque de Fabre d’Olivet, car Xun est SANS Dedans-Dehors telle une sorte de SURFEU, de CRÉPUSCULE, de COULEUR ROSE DE L’OR ROSE DU POMMIER : une ”vapeur noire” qui tue, comme la Putréfaction ou Renoncement.
Xun représente l’Ainsité ou Réalisation au tréfonds de l’Être : XUN = ”N’EST PAS X” EN FORME DE VIERGE NOIRE OU NUIT OBSCURE DE JEAN DE LA CROIX PROPICE À LA TRANSMISSION OU ÉMISSION-RÉCEPTION.
S’il se passe quelque chose entre deux noms-les-formes, comme une vraie Transmission, ce n’est que par la VACUITÉ, L’INSAISISSABLE que ce sera possible ; le FIL D’ARIANE ne peut se dérouler que si l’on est en état de réception, sans Dedans-Dehors….
Évidemment cette ”fréquentation” authentique entre deux ”Non-Êtres” n’a rien à voir avec le socialisme en relation ou commerce duel de winner à loser, ou de vendeur à client, ou d’électeurs et élus, relations enchaînées à la loi de succion et aux identifications, numérisations, projections ou messianisme et autres ”Comme si” qui constituent ce monde actuel de fonctionnement égocentrique, de loi de succion, de ”pouvoir d’achat” en sa croyance au corps-matière.
« En ce qui concerne la question sur les âmes qui ont quitté le monde : tant qu’un homme s’identifie avec son corps, la pensée matérialisée sous forme physique lui apparaît comme réelle.
Parce qu’il s’imagine que son corps vient d’un autre être, l’existence de celui-ci lui paraît aussi réelle que celle de son propre corps. Ayant déjà existé ici-bas, il survivra certainement à la mort puisque son descendant est toujours dans le monde et considère qu’il est né d’un autre, c’est-à-dire de lui. En de telles circonstances l’autre monde est réel ; et les âmes qui ont quitté ce monde bénéficient des prières qui sont offertes à leur intention. Si l’on considère les choses d’un autre point de vue, l’unique Réalité est le Soi d’où l’ego surgit ; et l’ego contient les semences des prédispositions acquises au cours des vies précédentes. Le Soi illumine l’ego, les prédispositions et aussi les sens grossiers ; il s’ensuit que les prédispositions apparaissent aux sens sous la forme de l’Univers et elles deviennent perceptibles à l’ego, qui est une réflexion du Soi. L’ego s’identifie avec le corps et perd de vue le Soi. Le résultat de cette inadvertance est l’obscure ignorance et la souffrance de la vie présente. La naissance consiste dans le fait que l’ego oublie son origine, le Soi.
On peut alors dire que la naissance de l’individu a tué la mère. Le désir de retrouver sa mère est en fait le désir de retrouver le Soi, c’est-à-dire de se réaliser soi-même, ce qui équivaut à la mort de l’ego ; cela signifie l’abandon à la mère, afin qu’elle vive éternellement.
Le Maharshi lut ensuite à haute voix un passage de la version tamoule du Yoga-vāsishtha, l’histoire de Deerga Tapasi et de ses deux fils Punya et Papa : Après la mort des parents, le cadet pleurait cette perte et l’aîné le consola ainsi : « Pourquoi pleures-tu la mort de nos parents ? Je vais te dire où ils se trouvent ; ils sont en nous, ils sont nous-mêmes. Le courant de la vie est passé par d’innombrables incarnations, naissances et morts, plaisirs et souffrances, etc., tout comme le cours d’une rivière passe sur rochers, fossés, sables, reliefs et creux ; mais le cours reste inchangé. De plus, plaisirs et souffrances, naissances et morts sont comme des vagues à la surface de l’eau illusoire dans le mirage de l’ego. Le Soi est l’unique réalité d’où l’ego apparaît et court à travers des pensées qui se manifestent comme l’Univers dans lequel des mères et des pères, des amis et des parents apparaissent et disparaissent. Ils ne sont rien d’autre que des manifestations du Soi, si bien que les parents ne se trouvent pas à l’extérieur du Soi. Il n’y a donc aucune raison de pleurer.
Apprends cela, réalise cela et sois heureux ». (Ramana Maharshi, entretien 16 du 19-1-1935).
« Mais le vrai ‘Je’ n’est pas localisable, car tout est le Soi. Rien d’autre n’existe. Par conséquent, on peut très bien affirmer que le Coeur est l’ensemble de notre corps individuel et de l’Univers entier, le tout étant conçu comme ‘Je’. Mais pour aider le pratiquant ( abhyâsī), nous devons lui indiquer un endroit précis dans l’Univers ou dans son corps. Aussi dit-on que le Coeur est le siège du Soi. Mais en vérité nous sommes partout, nous sommes tout ce qui est et il n’y a rien d’autre ». (Ramana Maharshi, entretien 29 du 4-2-1935).
« Le Coeur n’est pas physique ; il est spirituel. Hridaya (hrit + ayam) veut dire : « Ceci est le centre ». C’est de là que jaillissent les pensées, c’est par cela qu’elles subsistent et c’est là qu’elles se résorbent. Les pensées sont le contenu du mental et elles façonnent l’Univers. Le Coeur est le centre de tout. Les Upanishad disent yato vâ imāni bhûtâni jâyante… [TaiU III.1] (Ce à partir de quoi ces êtres viennent à l’existence…) est le brahman [l’Absolu]. C’est cela le Coeur. Le brahman est le Coeur. […] Le monde apparaît avec le mental [à l’état de veille et de rêve] et disparaît avec lui. Ce qui apparaît et disparaît n’est pas le Soi. Le Soi est différent, il donne naissance au mental, le soutient et le résorbe. Ainsi le Soi est le principe sous-jacent.
Quand on vous demande qui vous êtes, vous placez votre main sur le côté droit de la poitrine et vous dites : « Je suis ». Là, involontairement, vous indiquez le Soi. Le Soi est donc connu. Mais l’individu est malheureux parce qu’il confond le mental et le corps avec le Soi [il est un dividu, un divisé]. Cette confusion est due à une fausse connaissance. Seule l’élimination de cette fausse connaissance est nécessaire. Le résultat de cette élimination est la Réalisation ». (Ramana Maharshi, entretien 97 du 19-11-1935).
« Le mental est né de l’ego. L’ego provient du Soi. Cherchez la source de l’ego et le Soi se révélera. Lui seul demeure. L’Univers n’est que l’expansion du Soi. Il n’est pas différent du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 106 du 29-11-1935).
« Sens de Tvaiyârunâchala sarvam…, une strophe des Cinq Hymnes à Arunâchala.
Le Maharshi l’expliqua en détail en disant que l’Univers est comparable à une peinture sur une toile – la toile étant la colline rouge, Arunâchala. Ce qui s’élève et s’évanouit est fait de la même substance que ce d’où cela s’élève. La finalité de l’Univers est le dieu Arunâchala. En méditant sur Lui ou sur celui qui voit, le Soi, il se produit une vibration mentale, ‘je’, à laquelle tout est réduit.
Lorsqu’on remonte à la source du ‘je’, seul le ‘Je’-‘Je’ primordial subsiste ; et c’est inexprimable. Le siège de la Réalisation est à l’intérieur et le chercheur ne peut pas le trouver comme un objet, extérieur à lui. Ce siège est la Félicité, le centre de tous les êtres. C’est pourquoi on l’appelle le Coeur. Le seul but utile de cette naissance présente est de se tourner vers l’intérieur et de le réaliser.
Il n’y a rien d’autre à faire ». (Entretien 219 du 30-6-1936).
Arunachala : (Cinq strophes à la gloire d’Arunâchala), la 2e strophe : « Ô Arunâchala ! en Toi l’image de l’Univers est formée, est établie et dissoute ; telle est la vérité sublime. Tu es le Soi intérieur, qui danse dans le Coeur en tant que ‘Je’ ! “Coeur” est Ton nom, ô Seigneur ! » ( The Collected Works of Rāmana Maharshi, 1996, p. 111).
« L’Univers n’existe qu’en raison de la pensée ‘je’[l’ego]. Si celle-ci cesse, toute souffrance cessera également. Le faux ‘je’ ne disparaîtra qu’en recherchant sa source ». (Entretien 222 du 2-7-1936).
« Maintenant, le mental se voit diversifié en tant qu’Univers. Si la diversité ne se manifeste pas, le mental demeure dans sa propre essence, c’est-à-dire dans le Coeur. Entrer dans le Coeur veut dire demeurer sans distraction.
Le Coeur est la seule Réalité, le mental n’est qu’une phase passagère. Réaliser le Soi, c’est entrer dans le Coeur.
Parce que l’homme s’identifie à son corps, il voit le monde comme séparé de lui. Cette fausse identification est due au fait qu’il a lâché ses amarres et s’est écarté de son état originel. On lui conseille donc d’abandonner toutes ces fausses idées, de remonter à sa source et de rester le Soi.
Dans cet état, il n’y a pas de différences. Aucune question ne se posera [et donc aucune fameuse ”a-mélioration” qui provoque le chaos humain partout].
Tous les shāstra [Écritures] n’ont pas d’autre but que de faire revenir l’homme sur ses pas jusqu’à la source originelle. Il n’a pas besoin d’obtenir quelque chose de nouveau. Il doit simplement renoncer à ses fausses idées et aux accumulations inutiles. Au lieu de cela, il cherche à attraper quelque chose d’étrange et de mystérieux [le ”Comme si”], parce qu’il croit que son bonheur réside ailleurs [au Dehors]. Voilà l’erreur.
Si l’homme demeure toujours le Soi, il y a Félicité. Peut-être pense-t-il que rester tranquille n’apporte pas l’état de Félicité. Cela est dû à son ignorance. La seule pratique consiste à chercher « À qui se posent ces questions ? ». (Entretien 252 du 30-9-1936).
Les Égyptiens Anciens n’ont pas légué leur ÉTERNEL RETOUR aux Hébreux, qui eux, n’ont pas copié, mais ont décidé d’a-méliorer avec leur concept évolution : la ”mise en valeur du temps” et de l’argent. Si bien que LEUR civilisation occidentale EST CONSTRUITE SUR L’ERREUR-BÉNÉFICE ET LA PERVERSION : A-MÉLIORER : RÉPARER, TIQOUNISER, qui sera tout bénéfice pour leur commerce. C’est cette ERREUR qui met la vie humaine en danger. Car cette civilisation est construite sur la TROMPERIE ET UNE TROMPE ÇA FAIT DU BRUIT, ÇA FAIT VENDRE SOUS L’INFORMATION EN RÉSEAUX SÉDUISANTE ET NÉCESSAIREMENT TROMPEUSE, sinon elle ne serait pas une inform-ation, la même soupe pour tous.
Délivrez-vous en évitant la « vie moderne » et « civilisée » à coups violents de technologies mortifères issues de la thermodynamique du feu vulgaire (Tchernobyl) dont la nature est nécessairement la tromperie, elle est semblable à la MORT, L’AMBROISIE À L’ENVERS : UN POISON, D’OÙ CETTE PEUR PANIQUE DE LA MORT (pour preuve récente, le totalitarisme sanitaire de l’épisode covid-19, la dictature par la peur de mourir, la dictature par le DEHORS).
Seul celui qui a re-trouvé comment se comporter avec un profond respect pour la sensibilité des autres, du Dehors, peut-on dire qu’il a retrouvé comment se comporter de façon civilisée !
Chez les humains, surtout depuis leur révolution industrielle commencée en Occident après 1789 sous la poussée des banques, il est extrêmement rare de rencontrer des humains qui ont l’honnêteté de reconnaître leurs propres erreurs !
Note.
1. Pied en sanskrit : padam, au sens littéral est synonyme du Soi, l’Être véritable : comme la Cendrillon du conte : trouver « chaussure à son pied », être dans son lit, son gisant, son sarcophage, ses bandelettes (le fluide du cosmos et vêtement de Lumière ( vimana…) : LE SURFEU ENTRAINANT LE ZÉRO INDIEN…) ; telle est la gaine de Ptah ci-dessous.
Dernière mise à jour : 17-01-2023 14:56
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