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Le causisme : en voilà une opinion ! Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-02-2023 18:31

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
michel_ange_barbu_causisme.jpg
 
 
Le causisme : en voilà une opinion !
et prémices de politisme en forme de
temps : qu’il y aurait un ”commencement”
(big bang) et une fin (des temps) !
Le mental humain se construit ses opinions
à la façon d’un carrelage noir-blanc comme
celui des geôles judéo-maçonniques des
spéculatifs.
Si bien qu’il n’existe pas deux humains qui
puissent vivre le même événement de façon
identique (sauf si on met tout en chiffres
genre big data mécanique en croyant arriver
à la ”fin des temps” ; or : ”Il ne peut
exister un plus petit grain de Matière
(sens Euclidien) Infiniment/non défini/
petit, et Infiniment/non défini/grand =
mêmes problèmes”. (Jean Coulonval).
- L’humain ne réduit pas,
- La machine (de l’humain) réduit en croyant
augmenter (comme l’I.A., de l’humain).
 
Chaque humain est dans sa façon de penser,
de sentir, un résultat de sa vie à lui.
Il est fabriqué, moulée dans un cadre
sensible, social et temporel.
IL EST CONDITIONNÉ DU BERCEAU AU TOMBEAU.
Ce qu’il appelle ”liberté”, ce n’est que
le droit de rechercher les conditionnement
qui l’arrangent le mieux, dont il jouit le
plus, et qu’il va appeler ”démocratie” ou
”libéralisme”, ’capitalisme”, ce qui n’est
pas possible sans opposer ce qui convient
à l’Autre, au Dehors.
Résultat : de perpétuels conflits, entre
individus, classes et nations (voir le
conflits Occident-Russie de 2022-202X).


Dans Genèse 2 il est écrit qu’un ”vent” de
Dieu tournoyait sur les Eaux [primordiales”.
VENT, SOUFFLE = SPIR-I-TU-EL.
C’est ainsi le MONDE DU MENTAL, ou souffle
vital qui s’imprègne : ÊTRE INSPIRÉ,
AVOIR UNE IDÉE OU OPINION. Donc nostre état
est PASSIF, RÉCEPTEUR, VASE-VALLÉE-JARDIN.
Et dans un Jardin, qu’est-ce qui pousse ?

Le langage de tout nom-la-forme semble dire
à tous les noms-les-formes qu’il existe un
SANS COMMENCEMENT NI FIN d’archétypes de
noms-les-formes : LES ESSENCES (1).

De là, Nous pouvons alors Nous transformer
en ÉMETTEUR, afin d’INSPIRER la SYMPATHIE,
ou son contraire le DÉGOÛT : Nous envoyons
des pensées, des opinions dans leurs formes
en racine du mal : la dualité Dedans-Dehors
qui engendre la SAISIE, le VULGAIRE LOI
DE SUCCION : ”Avoir une idée en tête”
Ou pire : ”Concevoir une idée”….
À partir de là, ”perdre la tête” conduira à
l’asile de fous à moins de tenter de se
faire pardonner par auto-inquisition (2) :
”Où avais-je la tête ?”, alors il ne
subira pas de lavage de cerveau.

JARDIN-VASE/CONTENANT-CONTENU : le CREUSET
et ”se creuser les méninges”, et s’il
s’agit d’une imbécilité, c’est qu’on que le
Creuset est un peu fêlé, comme la tête,
comme ”se casser la tête”, il y a donc un
problème par un feu mal contrôlé (thermodynamique)
.

PANSER (de panse, du contenant/contenu)
ou RÉ-FLÉCHIR (fléchir à nouveau) ?

PANSER : « Un ”vent” de Dieu tournoyait
sur les Eaux [primordiales » : INVENTION
DU MONDE (la PANSE, le CONTENANT-CONTENU) :
faire croire/croître, évolutionner ce qui va
se transformer EN POLITIQUE ÉTATIQUE
DÉMIURGIQUE Y COMPRIS SOUS RÉGIME RÉPUBLICAIN
(quoi que ses pouvoirs puissent en prétendre).

MOI, YAHVÉ, Je fais surgir du Saint Chaos
quelque chose qui ne fut jamais !
Le DEVIN-DEVINER et DÉ-COUVRIR :
Mais ”dé-couvrir”, par le dè- du latin dis
indique l’éloignement, la séparation, la
privation, l’action contraire : on
RECOUVRE TOUTES CHOSES DU VOILE DE SON EGO
ET DE SES VASANA
(tendances, prédispositions
latente du mental, impression formée dans le
passé qui détermine nos pensées-actions),
donc d’E-couvrir. De là Nous re-trouvons
LE TROU où il n’y a rien d’autre que le Trou
donc pas de Trou à saisir ou à voir.
TROU = le « Gate gate pâragate pârasamgate
bodhi svâhâ »
du Soûtra du Diamant (Allé,
allé, allé au-delà, allé complètement au-delà,
l’Éveil, ainsi).
Seule l’APPROCHE est permise, aucun retour
à la Source possible : ”Jamais l’Âme et Dieu
ne peuvent coexister”
(Saint Bonaventure).
”Mors ultima linea rerum est”.
Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE.

SE TAIRE sera de nos jours INVERSÉ par la
fameuse ”propriété intellectuelle” ou
DÉ-COUVERTE : trou-ver ou VOIR LE TROU
donc le contraire du sens du Trou.
Au Moyen-Âge on ne signait pas les ”créations”
car ce concept ne pouvait pas être associé aux
humains dans leur monde manifesté.
Ecclésiaste 1,10-11 : ”S'il est une chose dont
on dise : Vois ceci, c'est nouveau ! cette chose
existait déjà dans les siècles qui nous ont
précédés. On ne se souvient pas de ce qui est
ancien ; et ce qui arrivera dans la suite ne
laissera pas de souvenir chez ceux qui
vivront plus tard”.

Le concept de ”droit d’auteur” ou de
”création egotique, personnelle” date de la
Renaissance en Occident, période d’AGITATION
MENTALE, CO-GITATION
(ou OPINION qui donnera
l’extermination des Peuples du Soleil : Incas, Aztèques,
Mayas, etc.), le VENT (des mers) soufflait fort
à cette époque où le commerce faisait rage
grâce au développement de la marine à voile :
IN-VENTÉ.

Le Créateur est-il un FOU, un malade mental ?
GÉNIE ET FOU SE RESSEMBLENT : RÉFÉRENCE À
L’AIR, le mot ”fou” vient du latin follis
(soufflet, outre gonflée d’air).

LES ESSENCES (1) appartiennent à tous, et ne
sauraient aucunement être le fait d’un individu
ou comme maintenant de socialisme : d’un groupe
d’individus ou d’un COURANT DE PANSER (panse
dans le sens du big data et autres machines
”intelligentes” ; et PANSE dans le sens
de PANSER, PANSEMENT DES BLESSURES SUITE
À DES OPINIONS ARRÊTÉES, COMME DES ”CONSTANTES”
du genre ”vitesse de la lumière”, puisqu’elles
ont la réponse avant même que Nous ouvrions
la bouche, et ainsi principe de la laïcité à
la française (2)).

Le ”droit d’auteur”, de ”propriété intellectuelle”
repose sur L’UTILITARISME, ainsi on pourra dire
surtout à nostre époque de tout connecté
inform-atique que les opinions ou idées de tous
sont les idées, les données de quelques-uns.
Si bien que grâce au dicta du capitalisme les
opinions dominantes seront répétées, martelées
à longueur de médias appartenants à ce même
dicta capitaliste jusqu’à devenir des
« idées courantes », L’OPINION PUBLIQUE,
LE COURANT DE PANSE (même soupe)
ET PENSER.
Et la dialectique historique et matérialiste
Nous apprend que les civilisations naissent
et meurent et que les ”ismes” de pensée sont
de la nourriture pour les conflits ou guerres.

Il y a pire : les ”biens pensants” : ils ont
arrêté de penser puisqu’ils CROIENT posséder
la vérité, ils ont tout numérisé, tout sécurisé
par leur inform-atique et leur ”intelligence
artificielle”
et leur ”ville intelligente”

Là où les « idées » prennent forme s’installe
le CHAOS HUMAIN, OU CHAOS ORGANISÉ :
LE BUSINESS DU MENTAL.

”Si contre Sa volonté, Dieu crée,
Il obéit à une puissance extérieure [la racine
du mal, la dualité Dedans-Dehors et le saisie]
S’Il le veut, il est soumis au désir [à la
vulgaire loi de succion]
Et s’Il crée, en quoi est-Il Dieu ?”

(Shântideva, Bodhicaryâvatâra,
La Marche vers l’Éveil
, chapitre IX,125)

L’intelligence artificielle est
invention humaine.
Mais, qui contrôle l’I.A. ?
Si c’est elle-même,
Elle est nécessairement aussi DÉPENDANTE
DE QUELQUE CHOSE DU DEHORS…
Elle aussi est soumise à la vulgaire
loi de succion (ses données, ses calculs).



Notes.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.

ESSENCE: ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la raison], c’est faire erreur ». L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).

Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont « spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever »

ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ.
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).

ESSENCE-MIROIR : le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)

UN PHÉNOMÈNE NE PEUT EN EXAMINER UN AUTRE ; soit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir en pensant que l’on voit une image. La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il pour la pensée ainsi produite et pour l’objet de recueillement (saisie) appelé « reflet », ou « image » : ils nous apparaissent comme des objets différents. Bref, ces images ne sont que des pensées et rien de plus.

COMPARABLE AU TROU : dans un Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas le Trou à voir. Le sujet qui réalise le Soi ne voit pas sa propre forme ou Vraie Nature, laquelle étant sans double, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE ENTREPRISE D’IDENTIFICATION OU DE LOI DE SUCCION : LE POUR-VOIR, LA SAISIE. Mais si le sujet ne peut voir sa propre forme comme le mental ne peut se voir lui-même, est LUI-MÊME MIROIR DIVIN, LA MANIFESTATION DU SOI, et dans cette « Forme-Miroir-Divin » il re-connaît sa Vraie nature : il ne voit pas Dieu en son Essence : la réponse donnée à Moïse est éternelle : « Tu ne me verras pas » (Lan tarânî). De même il en est dans le miroir matériel : en contemplant sa forme, le sujet ne voit pas le miroir, idem avec le film déroulant ses images sur l’écran : on regarde le film, on ne regarde pas l’écran : on ne peut regarder à la fois l’écran et les images défilantes du film, comme on ne peut regarder à la fois l’image qui apparaît dans le miroir et le corps du miroir lui-même. Et c’est une définition de l’Essence.
 
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LE TROU : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER (comme l’absence d’espace-temps) CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE.

2. Principe de la LAÏCITÉ à la française :
La laïcité est une culture, un système dominant français issue de 1789 et de la franc-maçonnerie spéculative matérialiste, qui s’impose à l’ensemble de la population. Or tout ce qui impose à l’ensemble n’est qu’une dictature. Mais la laïcité française à ceci de plus sournois, voir de plus monstrueux, de plus diabolique, c’est qu’elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de Dieu.
La laïcité française est un killer en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire ! Bref, c’est l’Ouroboros ou serpent qui se mord la queue, dans le sens de la prison.

Être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de Dieu (la république étant confondue avec Dieu), faisant de la laïcité à la française une NOUVELLE RELIGION (le ”Vivre ensemble”) :
« Parallèle entre l'Inquisition et la police d'État soviétique [du temps de l’URSS] »

Il n'était nullement besoin que la G.P.U. [police politique] copie l'Inquisition. De part et d'autre il y va de la défense d'un dogme, c'est-à-dire d'une position intellectuelle qui, pour l'accusation: est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme un centre dont on ne doit pas s'écarter sous peine de raisonnement faux. Si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d'une religion (c'était le cas de Galilée et c'est le cas de tout membre d'un parti, tout particulièrement du parti communiste [et de nos jours du patriarcat républicain et de ses ”valeurs”]) est supposé avoir parfaitement conscience d'avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S'il le sait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, il se condamne lui-même par auto-critique. S'il ne le sait pas, c'est qu'il est fou. Pour ce genre de fous, le post-stalinisme a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L'Inquisition les brûlait comme possédés de Satan. C'était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques.
La G.P.U. ne copie pas l'Inquisition. La similitude vient de configurations mentales identiques. C'est une question de géométrie du mental ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 29 de juin 1974 à Arthur Koestler).

Comment pouvons-Nous comprendre qu’il n’y a pas de frontière ou de Dedans-Dehors entre le monde du ”rien dans le Tout et tout dans le Rien“ et le spatio-temporel ?
Pour qui et avec qui pourrons-Nous parler de la Voie ou du TAO de la Vérité et du spatio-temporel ?
Certainement dans la NUIT OBSCURE où il se passe quelque chose entre deux êtres ou entre deux noms-les-formes, quelque chose de l’ordre d’une Vraie Télépathie, car ce n’est qu’à la circonstance de la PUTRÉFACTION, ou de l’INSAISISSABLE, que cet indicible FIL D’ARIANE telle L’ŒUVRE AU ROUGE (braise, charbon-diamant) peut couler comme la FONTAINE DE JOUVENCE : L’EAU COULE SI, ET SEULEMENT SI, ON EST EN ÉTAT DE TRANSPARENCE OU DE PERMÉABILITÉ, TELLE LA POUDRE (cendre, Oiseau Phénix ou force créatrice ou pollen, et absence de temps : PUTRÉFACTION ou RENIEMENT DE TOUT CE QUI REPRÉSENTE CETTE POUSSIÈRE DU DEDANS-DEHORS)……..
 
 
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Dernière mise à jour : 25-02-2023 18:58

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