Pour que la graine produise germe, fleurs et fruits le domaine des quatre éléments, plus celui de l’espace-temps (4+1=5) doivent être en TRANSPARENCE, en CIRCULUS. Si un seul de ces éléments vient à manquer, la graine ne produira pas le germe, et ainsi de suite.
IL EN EST DE MÊME DE LA VIE DE L’HUMAIN, et chez lui, à cause de son mental aliénant, ça ne fonctionne pas : AUCUN CIRCULUS. Voilà pourquoi cet humain-là se cramponne à sa thermodynamique
qui est LA SOURCE DE LA CRÉATION DU CAPITALISM : LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE, AU DEHORS, AU DÉTRIMENT DU SURFEU AU DEDANS, EST A CAUSE DIRECTE DU CAPITALISME. Ainsi la GRAINE ne produira pas le germen et ainsi de suite jusqu’aux FLEURS-FRUITS-ÉNERGIE qui sera forcément introuvable. Voilà pourquoi les humains se cramponnent au pétrole et à leur dangereux nucléaire.
MAIS, aucun des cinq éléments n’a vraiment d’existence réelle. La terre en dit pas qu’elle a le pouvoir de stabiliser (la
”masse”, mettre à la
”masse”). L’eau ne dit pas qu’elle a le pouvoir de mouiller ou de bouillir, ou geler. Le feu ne dit pas qu’il a le pouvoir de brûler et de chauffer ou éclairer. Le vent ne dit pas qu’il a le pouvoir de faire bouger (les ailes du moulin). L’espace-temps ne dit pas qu’il a le pouvoir de n’offrir aucune résistance donc de supprimer le temps, lequel ne dit pas qu’il a le pouvoir de porter à l’accomplissement ou au but à atteindre.
De même, la graine ne pense pas qu’elle a le pouvoir de produire un germe. Le germe ne pense pas qu’il est né de toutes ces causes primaires et secondaires. Le germe et ses productions ne se fabriquent pas eux-mêmes et ne sont pas davantage le fait d’autre chose qu’eux-mêmes, et ils en sont pas non plus le fruit de la combinaison d’eux-mêmes et d’autre chose. Ces entités ne sont pas les créations d’un dieu-démiurge, ni des entités réelles qui se produisent en interdépendance
(2), ni des entités provenant d’une cause unique (genre Big bang), ni, enfin, des entités dépourvues de causes.
C’est alors que la terre, l’eau, le feu, le vent, l’espace-temps, de même que la graine, la fleur et le fruit :
TOUTES CES CHOSES NAISSENT LES UNES DES AUTRES ET FORMENT LE CIRCULUS. ELLES NE SONT PAS LES MÊMES (elles gardent leur
”Moi-Individuelle” ou leur ‘je’) et cependant elles ne sont pas séparées,
CAR ELLES SONT INÉPUISABLES ET INDÉFECTIBLES. (FORMULE DE L’ÉNERGIE LIBRE PAR LE INNÉ-IGNÉ DU TOUT EST DANS TOUT : « On ne sort pas de l’Univers… ».
Graine et germe étant NOMINAL (nom-les-formes) sont nécessairement non-éternel puisque dans la CROYANCE au spatio-temporel. Ils ne sont pas nuls parce que le germe est issu de la graine et parce qu’il produira des branches et des feuilles. Ils cessent sans s’épuiser parce que la graine détruite semble avoir cessé de vivre mais, semée, elle produit le germe.
SEULES LES CAUSES PETIOTES ENTRAÎNENT DE GRANDS EFFETS (1) et contraire de la thermodynamique…) PARCE QU’UNE SIMPLE GRAINE PEUT PRODUIRE UNE PROLIFÉRATION DE FRUITS, OU D’EFFETS…
Les éléments de la production interdépendante EN CIRCULUS S’HARMONISENT mutuellement parce que, du fait même de la graine, le germe apparaît, et ainsi de suite jusqu’aux fleurs et aux fruits : EN BOUCLANT LE CYCLE QUI RETOURNE À LA GRAINE, C’EST LE CIRCULUS :
ÊTRE AU COURANT, AU FLUX, ÊTRE DANS SES POMPES (comme dit le vrai bon sens de l’ignorant ou inconscient, mais seulement ignorant QU’IL SAIT
(1), ignorant qu’il est l’Éveil, et c’est cette ignorance qui va faciliter la création de l’État, de sa chefferie, par le Moi-Individuel de son commerce, de son salariat et de SA THERMODYNAMIQUE DE LA MARCHANDISE : LE CONFORT-TECHNOLOGIE EN FORME DE BÉQUILLE OU DE PROTHÈSE SUR LAQUELLE SE CONFORTE L’IGNORANT DE SA VRAIE NATURE).
TOUT EST DANS TOUT, or la thermodynamique fonctionne seulement en GÉOMÉTRIE DE LA LIGNE DROITE façon dualité : AGENT-PATIENT, espace ou géométrie entre A et X, ou encore : pour être passante ou Fluide, une diode/valve doit avoir une tension à l’Anode d’au moins 700 mV……
Idée des Grecs ioniens. Il n’y a plus qu’a y joindre la géométrie de Pythagore.
(D’après
Philolaos, vers 450 avant J-C), la terre est constituée par le cube, le feu par le tétraèdre, l’air par l’octaèdre, l’eau par l’icosaèdre, et un cinquième élément qui comprend tous les autres et qui en est le lien, par la dodécaèdre (sorte de quintessence ou d’Xatemme).
“Artefii Clavis Majoris Sapientiae” ; entre autres notamment concernant les 4 éléments et les 4 qualités :
1) Chez
Artéphius (11ème siècle) : les 4 éléments sont considérés comme abstrait.
2) Chez
Bernard Le Trévisan (14è siècle) :
- Le chaud et le sec = le Feu et l’Air = sperme Masculin.
L’humide et le froid = l’Eau et la Terre = sperme Féminin.
- Les 4 éléments concrets constituent INDIRECTEMENT les 3 règnes, tandis que le Mercure et le Soufre (pas de Sel ou d’Arsenic comme chez
Geber et les Adeptes des 15 et 16ème siècle) constituent DIRECTEMENT les 3 règnes.
Il y a donc un rapport en l’analyse de
Ripley et d’Arthépius (lettres A, B, C, D).
Chez Bernard Le Trévisan, les 4 éléments constituent INDIRECTEMENT le Minéral, le Végétal, et l’Animal. Le Mercure et le Soufre constituent IMMÉDIATEMENT les Métaux.
(En référence à l’Examen Critique de
M.E. Chevreul, présenté le 2 avril 1867 à l’Académie des Sciences).
De nos jours, seule semble fonctionner la conscience relativiste, discriminante, celle de L’OPINION appelée
”raison” et construite sur l’expérience dans l’espace-temps donc sur l’illusion : dans cette croyance, aucune doctrine ne peut être
”éternelle” puisqu’elle a sa source dans l’espace-temps. C’est pourquoi la doctrine de démocratie est perpétuellement fluante, souple, se pliant aux circonstances du temps et de l’espace.
Ainsi, la république et sa démocratie ne fait que conduire à ses dernières conséquences logiques le règne de l’opinion, aboutissant à une religion et une mystique en creux, inversée,
en un RENONCEMENT VOLONTAIRE de l’humain à sa Liberté propre, à sa Vraie Nature.
L’idée de
« création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent
« d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (
Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité (notamment le Dedans-Dehors). C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre
Synthèse et Temps Nouveaux, dans
« L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ».
Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte
« fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je
« progresse », donc je
« construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE…
« Je capitalise » ou je mets en valeur le temps : production de l’illusion, du Pour-Voir crée par les causes qui, elles sont l’effet karmique du FAIRE/FER qui rouille (qui s’use).
Il en est comme d’un visage reflété dans un miroir : le visage apparaît dans le miroir sans y être introduit. Il s’y manifeste consécutivement aux causes qui, elles-mêmes, ne sont que des opinions ou idées trompeuses.
Les éléments qui composent le cycle de la production interdépendante n’ont fondamentalement pas de propriétaire (pas de démiurge créateur d’un monde et d’une poule etc.), pas de soi ou ‘je’, pas de ”
Votre ceci, votre cela prendre ceci, rejeter cela”. Non, c’est du SPECTACLE, de la RE-présentation, du bide et du vide. Mais s’il n’existe rien de Réel, JAMAIS NE SE PERDENT LES EFFETS DE NOS FAIRE/FER BONS OU MAUVAIS.
Pour l’Occidental, et maintenant pour le monde entier, le MANQUE c’est le FLÉAU, donc la MAL-A-DIT c’est le FLÉAU (voir le covidisme et la dictature sanitaire), alors l’humain remplit, il comble en un sans commencement ni fin telle que la polémique ou le débat qui est sans fin mais a toujours faim de sa stérilité.
FLÉAU parce que : vue juste, pensée juste, parole juste, activité juste, profession juste, effort juste, attention juste, recueillement juste, soit le chiffre 9.
La thermodynamique est comparable à la MALADIE, À LA PLAIE, À LA SOUFFRANCE ; la preuve : les guerres qu’engendrent le problème de l’énergie tel le pétrole et son
”prix du baril” et tout ce qui s’en suit notamment l’inflation en système capitaliste, donc la MALADIE, la THERMODYNAMIQUE…….
LA VRAIE ÉNERGIE C’EST QUAND CEUX QUI COMPRENNENT QU’IL N’Y A PAS DE MALADIE, QU’IL N’Y A PAS DE PLAIE NI DE CHUTE, ET DONC PAS DE
TIKKOUNOLAMISTERIES À FAIRE (pas de réparations ou de fautes à corriger, pas de manque ni de drogués en manque ; pas de technologie qui servirait au manque de ceci ou de cela, car qui dit technologie dit nécessairement qu’il y aurait un manque, tel celui flagrant de l’électricité en thermodynamique dont l’effet fait tourner un moteur ou
« éclaire » une ampoule…).
« Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre [y a-t-il un manque ?] ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience. Ce qui est né doit mourir [comme tout faire/fer]. Ce qui est acquis doit être perdu [comme tout faire/fer]. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).
« Abandonnez les pensées. Vous n’avez pas besoin d’abandonner quoi que ce soit d’autre.
Pour voir quelque chose, il faut que vous soyez là. Ce « vous » c’est le Soi. Le Soi est éternellement conscient ». (Ramana Maharshi, entretien 41 du 22-3-1935).
[En référence au
Soûtra du Diamant (Soûtra du Riz en herbe).
Notes.
1.
Matthieu 20,16 : ”Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers”.
“Seuls réussissent à sortir quelque chose de la Matière les humbles”. (D’après Auguste Rodin, Sculpteur).
2. Production en interdépendante : ce qui dépend de causes et de conditions, on le dit ni dépourvu de causes nu dépourvu de conditions. Voilà pourquoi on l’opinionne
« production interdépendante » (selon le N’EST PAS X du
Soûtra du Diamant).