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La saloperie de la mode euthanasie Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 19-04-2023 19:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Calcul, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
 
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La saloperie de la mode euthanasie
identique au sadisme du transhumanisme et
de ce culte du ‘moi’, de l’ego ;
un « prolongement de la vie INVERSÉE pour
contrer, abolir la maladie naturelle de la
vieillesse, à « soigner » par le culte du
jeunisme et pour les moins chanceux par l’euthanasie
dans cette CROYANCE AU CORPS-OBJET IDENTIQUE AU
« VOTRE DÉPUTÉ, VOTRE SANTÉ, VOTRE VOYANTE,
VOTRE ANIMAL, VOTRE CUL, VOTRE CHAT QUI A PT,
VOTRE CECI, VOTRE CELA », DE CE
MONDE-OBJET-OBJECTIF QUI EST AVEUGLÉ DANS
SON UTOPIE TECHNO-INFORMATIQUE SANS VIEILLESSE,
LE POUR-VOIR D’UN « PROLONGEMENT DE LA VIE »,
UNE HORRIBLE FACILITÉ OU D’UNE « RÉALITÉ
AUGMENTÉE »
QUI EST L’EXEMPLE PARFAIT
DU POUVOIR ABSOLU ET SADIQUE
TEL : « ”Un jour je m’éteindrai libre de toute
appropriation, le nirvana [ou Libération]
m’adviendra”.
Prendre les choses ainsi, c’est
le comble de l’appropriation », de la Stance 16,9
de Nagarjuna qui dénonce quelques siècles
auparavant le : ”Vous ne posséderez rien et vous
serez heureux”
, du nouveau conformisme de la
énième remise à zéro de la civilisation humaine
de cette voie de l’Agriculture du Néolithique.
 
Le droit de ceci, le droit de cela,
soit LE TORDU DE CETTE VIE ACTUELLE
de ce DROIT TORDU assimilé par convention
à la « liberté ».

Le NOUVEAU NARCISSISME : LE SUICIDE « ASSISTÉ »
C’EST NOUVEAU depuis 1789, EN VENTE DANS
CERTAINES OFFICINES MOYENNANT DU BIG FRIC ET
BIG « DROIT DE L’HOMME », « DROIT D’AUTEUR »,
C’EST LA MÊME LOGIQUE NARCISSIQUE.

« VOTRE CECI VOTRE CELA » TEL LE MONDE ”OBJECTIF”
SONT NOS MÉPRISES QUI NOUS ENCHAÎNENT PIRE QUE
LES ESCLAVES DE L’ANTIQUITÉ, ET S’ÉCLAIRER
SUR CES MÉPRISES S’APPELLE « ÉVEIL » :
PERSONNE N’EST LIÉ (PAS DE SOCIAL-LOI),
PERSONNE N’EST LIBÉRÉ (puisque personne n’est lié,
non lié par le syndrome argent-social ou
commerce et État-salariat), CAR LORSQUE
L’ÉVEIL EST AUTHENTIQUE ET PARFAIT L’OBJET DE
LA COMPRÉHENSION DISPARAÎT MÊME : LA
VACUITÉ DE LA VACUITÉ, LE SAINT SILENCE EST.

Saloperie de la mode euthanasie = cette
nostalgie de éternité ou éternalisme,
CETTE NOUVELLE MALADIE DU TRANSHUMANISME :
SES MALADES SOUFFRANT D’ÉTERNALITE AIGÜE.
Comme a dit un spécialiste de la Matière :
le dernier capitaliste qui fera du « buzz »
sera celui qui nous aura vendu la corde
pour nous y accrocher suivant la logique
de la LOI DE SUCCION OU DE L’ATTRACTION
(pesanteur, chute des corps ou chute
du pendu haut et court).

SI ON CROIT AU CORPS, ALORS LA PEUR,
D’EN MOURIR, S’INSTALLERA ET SON
COMMERCE TRANSHUMANISTE ET DE
BIG PHARMA AVEC.

La mort actuelle doit être caché comme`le pipi-caca selon cette actuelle mode hygiéniste qui est un héritage de l’hygiénisme bourgeois du 19è siècle qui se révélera surtout à partir de 2020 avec l’épisode du covid-19…
Hygiénisme du PÉRIL FÉCAL DU 19È SIÈCLE TRANSFORMÉ EN PÉRIL AIR DU COVID-19 PRENANT LA SUITE DE LA MODE DE LA RAISON DES PERRUQUES POUDRÉES DU 18È SIÈCLE, CES « LUMIÈRES » SI OBSCURES DES RICHES « PHILOSOPHISTES » ET DE LEUR EXPLICATION « RATIONNELLE » À TOUT ET TOUTE MANIFESTATION DE SENSIBILITÉ, ALORS L’IDÉOLOGIE DE CES RICHES PERRUQUES POUDRÉES S’ATTAQUERA À CE QUI PRIVE DE LIBERTÉ : LES RACINES DU DÉGOÛT : de nos jours, c’est le virus, hier c’était l’excrément l’abomination de tout le 19è siècle européen s’industrialisant. Il y a un peu plus de 100 ans, le physiologiste et winner et prix de médecine du dynamiteur : Charles Richet droit de l’hommiste et un temps judéo-maçon du Grand Orient de France, s’efforça de démontrer que le dégoût provenait de la « nocivité et de l’inutilité   [Sic] : excrétions et sécrétions digestives étant ”inutiles”, voir dangereuses, la région génito-anale devient un centre premier de dégoût ! (En 2020 ce sera le covidisme IMPOSÉ PAR CES MÊMES BOURGEOIS HYGIÉNISTES ET MORALISATEURS DU 19È SIÈCLE FRANÇAIS…)

ANUS = PUDEUR : L’ODRE SEXUEL CAPITALISTE BOURGEOIS OU CITOYENISTE DANS SES INTERDITS ET DANS SES RÉPULSIONS CORRESPONDAIT PARFAITEMENT AVEC CETTE NOUVELLE MODE DE LA ”RAISON”, CE RATIONALISME PRODUCTIVISTE QUI DEVAIT NATURELLEMENT FOURBIR ENSUITE LE TRANSHUMANISME :
LES BESOINS ÉLÉMENTAIRES, NATURELS, DEVINRENT UNE ENTRAVE AU PRODUCTIVISME DU CAPITALISME (1), ET AU 19È SIÈCLE AVEC L’APPUI DE L’ÉGLISE DE ROME TOUJOURS PRÊTE À LANCER SA MORALE DÈS QU’IL ÉTAIT QUESTION DE BESOINS ÉLÉMENTAIRES DU CORPS. Le 19è siècle en France se terminera d’ailleurs avec Vatican II. LE TRANSHUMANISME CHERCHE À SUPPRIMER LES BESOINS ÉLÉMENTAIRES EN CRÉANT SON HOMME AUGMENTÉ OU BIO-ROBOT.

Indubitablement c’est la POSSESSION qui détruit ce monde, c’est donc LA LOI DE SUCCION OU ATTRACTION : LE PLOMB, LA CHUTE, L’ATTACHEMENT OU LE BÉTON-URBAIN-ACIER-TÔLE-BOULONS (les choses-objets du monde).
ATTACHEMENT AU MESSIANISME, À CE QUI EST EN AVANT, PROJETÉ OU CACHÉ COMME L’EXCRÉMENT CACHÉ DANS L’ANUS-INTESTIN DU CHIEUR ET CACHÉ PAR LA CUVETTE DES CHIOTTES JUSQU’AUX CHAMPS D’ÉPANDAGE DE TEL OU TEL LIEU DE TRAITEMENT. L’EXCRÉMENT UNE FOIS TOMBÉ DANS LA CUVETTE DEVIENT TOTALEMENT CACHÉ AUX YEUX DES AUTRES, COMME L’ARGENT CACHÉ DANS LES BITES INFORMATIQUES DE L’ORDINATEUR… CACHÉ COMME TOUT CE QUI DEVIENT MAINTENANT VIRTUEL, ARTIFICIEL… BREF, LE WC À CHASSE D’EAU EST DÉFINITIVEMENT DEVENU LE WINNER, EN ATTENDANT ENCORE MIEUX AVEC LES TRANSHUMANISTES….

« Si un homme pense que son bonheur dépend de causes extérieures et de ce qu’il possède, il est raisonnable de conclure que son bonheur augmentera lorsqu’il possédera davantage et diminuera proportionnellement à la diminution de ces possessions. Par conséquent, s’il ne possède rien, son bonheur devra être réduit à zéro. Or, quelle est l’expérience réelle de l’homme ? Correspond-elle à cette optique ? [et à cette ”mise en valeur du temps”].
Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 3 du 15-5-1935).

« Vous renoncez à telle ou telle chose qui fait partie de « vos » possessions. Si, au lieu de cela, vous renoncez au ‘je’ et au « mien », tout est abandonné d’un seul coup. Le germe de la possessivité a disparu. Le mal est alors écrasé avant même d’avoir pu éclore. Pour parvenir à ce résultat, le non attachement (vairâgya) doit être très fort. La volonté de parvenir doit être comparable à celle d’un homme que l’on maintient sous l’eau et qui s’efforce de revenir à la surface pour survivre ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).

« Shrî Bhagavân [vénérable et surnom du Maharshi] et Rangaswâmi, un assistant, se trouvaient sur les rochers derrière l’ashram lorsque Bhagavân remarqua quelqu’un en contrebas se balançant dans un rocking-chair. Il dit à son assistant : « Shiva abandonna toutes Ses possessions à Vishnou et Se mit ensuite à errer dans les jungles, les forêts sauvages et dans les cimetières, ne vivant que de mendicité. Pour Lui, la non-possession était plus élevée, dans l’échelle du bonheur, que la possession ».
- Q. : En quoi consiste ce bonheur supérieur ?
- M. : Être libre de tout souci. Les possessions créent des soucis, telles que ceux de leur sauvegarde, leur utilisation, etc. La non-possession n’entraîne aucun souci dans son sillage. C’est pourquoi Shiva renonça à tout en faveur de Vishnou et S’en alla heureux.
Se dépouiller de toute possession est le plus haut bonheur ». (Ramana Maharshi, entretien 225 notes prises par des assistants).

« Cet attachement [loi de succion] ne se trouve pas dans le sommeil profond. Il est perçu et ressenti à l’état de veille. Il n’est pas votre nature réelle. Sur qui vient-il se greffer ? Si on connaît sa nature, l’attachement n’existe pas. Si vous réalisez le Soi, les possessions ne sont pas perçues. Voilà comment se libérer de la mâyâ [pouvoir de la manifestation par l’illusion, le ”Comme si”]. Puisqu’elle n’a pas d’existence objective, il n’y a pas d’autre manière pour s’en libérer ». (Ramana Maharshi, entretien 280 du 10-11-1936).

LOIS DE SUCCION FAITES PAR L’EGO HUMAIN : ELLES NE SONT PAS FAITES POUR « PROTÉGER », MAIS POUR CONTRAINDRE-PUNIR CEUX QUI NE SONT PAS D’ACCORD AVEC LE CONVENTIONNEL DE LA COUVERTURE DU SOCIAL (le ”tout le monde ceci, tout le monde cela”), LE RELATIF AUX APPARENCES, LE RELATIF AUX ILLUSIONS, LA SURFACE DONC LE SEUL VISIBLE, POUR-VOIR, PAR LES CINQ SENS ET FORCÉMENT À COURT TERME DANS LA CROYANCE AU CORPS ET AU SEUL SPATIO-TEMPOREL !!!
Sans la racine du mal la dualité Dedans-Dehors, aucune loi n’est nécessaire, ni au dedans, ni au dehors, toutes choses étant parfaites, si elles ne sont pas dénaturées par le mental de l’humain (pour référence à Mazu).
S’il y a invention de loi, C’EST QU’IL Y A PEUR, LAQUELLE PROVIENT DE LA NOTION D’EGO, CRÉANT LA DUALITÉ VIE-MORT. L’ABSENCE DE CRAINTE EST UN DES SIGNES D’UN RÉALISÉ OU LIBÉRÉ VIVANT.


« Le miroir reflète des objets. Les reflets sont irréels puisqu’ils ne peuvent pas exister indépendamment du miroir. De même pour le monde : on dit qu’il est un reflet dans le mental et qu’il ne subsiste pas en l’absence du mental. Alors la question se pose : Si l’Univers est un reflet, celui-ci ne devrait-il pas être le reflet d’un objet réel, connu en tant qu’Univers, pour qu’il puisse se refléter dans le mental ? Cela reviendrait à reconnaître l’existence d’un Univers objectif. Mais, en vérité, ce raisonnement est faux.
C’est pourquoi on donne l’exemple du rêve. Le monde du rêve n’a pas d’existence objective.
Comment, alors, est-il créé ? On doit supposer l’existence d’impressions mentales, appelées vâsanâ.
Comment ces vâsanâ se trouvent-elles dans le mental ? Parce qu’elles sont subtiles. De même que l’arbre est contenu, à l’état potentiel, dans la graine, ainsi le monde est contenu dans le mental.
On peut se dire aussi que si une graine est le produit d’un arbre, celui-ci a dû exister avant elle pour lui donner naissance et conclure que le monde a dû, lui aussi, exister à un moment ou un autre.
Mais il n’en est pas ainsi. Il a fallu plusieurs incarnations pour rassembler toutes les impressions qui se manifestent sous la forme actuelle. Par conséquent, j’ai dû exister auparavant, de la même manière
que j’existe maintenant ! Le chemin direct pour trouver une réponse consiste à chercher si le monde existe vraiment. En admettant l’existence du monde, je dois admettre quelqu’un qui le voit et qui n’est
autre que moi-même. Laissez-moi trouver “moi-même” de manière à ce que je connaisse la relation entre le monde et celui qui le voit. Mais quand je cherche le Soi et demeure comme le Soi, il n’y a plus de monde à voir. Quelle est alors la Réalité ? Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde
[le scribe de cette page souligne].
Ceci étant la vérité, l’homme n’en continue pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. Qui donc lui a demandé de plaider la cause du monde ?
Le Yoga-vâsishtha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’Être ». (Ramana Maharshi, entretien 442 du 8-1-1938).

PAS DE DEDANS NI DE DEHORS ET AUCUNE LOI PAR CONSÉQUENCE NI DEDANS NI DEHORS ; LE DEHORS ÉTANT « CE QUI NAÎT » ET NE PEUT DURER.
- M. : La solitude est partout. L’individu est toujours seul. Ce qu’il doit faire, c’est la découvrir en lui-même et non pas la chercher en dehors de lui.
- Q. : La vie quotidienne distrait l’esprit.
- M. : Ne vous laissez pas distraire. Cherchez plutôt pour qui il y a distraction. Avec un peu de pratique, vous n’en serez plus affligé.
- Q. : Même ce simple effort m’est impossible.
- M. : Faites-le et vous verrez que ce n’est pas si difficile.
- Q. : Mais dans la recherche intérieure la réponse ne vient pas.
- M. : Le chercheur est la réponse et nulle autre réponse ne peut venir. Ce qui naît ne peut être vrai. Seul est vrai ce qui est depuis toujours.
(Ramana Maharshi, entretien 44 du 3-4-1935).

Idem à l’entretien 167 du 24-2-1936 : « Un homme s’inquiétait parce qu’il ne réussissait pas à concentrer son mental.
Maharshi : N’est-il pas UN, même maintenant ? Il demeure toujours seulement UN. La diversité [la chaîne sans fin de causes et d’effets] ne réside que dans votre imagination [donc dans le spatio-temporel, le causisme….]. L’unité de l’Être n’a pas besoin d’être acquise ».



Note.
1. Au 19è siècle les ouvriers fondeurs chiaient ou pissaient dans leur culotte DEVANT LEUR MACHINE ou DEVANT LE FOURNEAU : PAS LE TEMPS DE STOPPER LA COULÉE DE MÉTAL EN FUSION et ils ne pouvaient pas demander la permission au chef…. Et dans les mines, sous terre…..
 
 

Dernière mise à jour : 19-04-2023 19:41

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