L’orgueil de nostre époque qui se croit
« arrivée » et si caractéristique de
cette ère du Kali yuga !
(Le zelinski en est un bon exemple de nostre
époque de certains ”chercheurs” qui se prennent
pour des dieux ou d’athées qui, sans en être
conscient tombent dans le même winnerisme).
L’ANTI-GRATUITÉ : TOUT POUR LA MARCHANDISE.
TOUT POUR LE SEL : la ration de sel
naguère appelée ”SALAIRE”,
QUI A SALÉ LA MER ?
MÊME CATASTROPHE QUE CELLE DE L’OXYGÈNE.
VOILÀ LE GRAND CRIMINEL SUPÉRIEUR À CAÏN,
LE PLUS GRAND PERVERS QUE CAÏEN,
LE SALAIRE LA DÉPENDANCE ABSOLUE À
L’AMERTUME OPPOSÉE À L’EAU COURANTE
FERTILISANTE DE NEPTUNE-SHIVA :
RETOUR À LA SOURCE.
SEL = LA PASTEURISATION SOUS LE NÉOLITHIQUE.
Cette civilisation du Winnerisme ne s’occupe que du SUPERFICIEL : LA SURFACE DES CHOSES, LE POUR-VOIR, L’APPARENCE-APPAREIL. La profondeur n’est jamais sociale ; elle est humaine ou divine, telle Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus. De plus, le cirque social : fortune, diplômes et médailles, réseautage, etc., en fonction de laquelle les SPECTATEURS jugent le plus couramment les autres, est aussi le spectacle qui Nous renseigne le moins sur les Vraies Valeurs humaines.
SEUL UN TOTAL PEUT CONNAÎTRE UN TOTAL.
Or le consommateur ou le citoyenisé, l’usager, N’EST PAS UN TOTAL, comme tente de lui faire croire les
”valeurs de la république”, puis cet usager de ce régime se définit par rapport à un autre usager, à un AUTRE SALARIÉ, IL EST DONC LIMITÉ PAR CE QUI LE DIFFÉRENCIE DE CET AUTRE USAGER. Il ne sert donc à rien d’
« A-méliorer », rendre meilleur, l’esclavage sous le capitalisme de l’État, du salariat et de l’aliénation par la marchandise.
Chaque citoyenisé qui veut
« A-méliorer » son sort en adhérant à un syndicat n’a rien compris, il se situera toujours dans le
« Plus ça change et plus c’est la même chose » de cette civilisation du spectacle et du senti-ment et des projets et des réformes dans la coagulation des
”plus ça change et…”.
La démocratie c’est le capitalisme, les
”Lumières’, la
”Gauche” ou le socialisme du
”Vivre ensemble” dans le superficiel de la
”couverture sociale”.
Seul un TOTAL peut connaître un Total : Celui qui croit n’est pas un total.
CE SERA TOUJOURS LE MONDE, DONC LE DEHORS, QUI POSERA DES PROBLÈMES À N’EN PLUS FINIR. OR LE MONDE DES ESSENCES (1) N’EN POSE PAS, MAIS CE N’EST EN LUI QU’ON CHERCHE LES SOLUTIONS. LA VÉRITÉ A FAIT FAILLITE, ELLE NE FAIT QUE CONDUIRE AU SABLE MOUVANT DES OPINIONS, OÙ RIEN N’EST CERTAIN, SAUF POUR CEUX QUI CROIENT, AU SENS RELIGIEUX ET AFFECTIF DU TERME.
L’INTUITION SAIT, ELLE NE CROIT PAS, et celui qui sait ne dit pas ”Je crois”.
Quelque soient les
”réformes” au sein du système de l’État, du salariat et de la marchandise et de la raison, entre deux ou la diversité chère au capital parce que ça lui rapport, la contradiction, les conflits formeront toujours l’énergie du capital.
Pourquoi ? Parce que le ‘je’ ne se situe pas au milieu du MOTEUR IMMOBILE : LA FIXITÉ CAVALANTE, le ‘je’ ne coïncide pas avec le ‘Je’, le Soi. Autrement dit, l’intellect perd son autonomie, il aliène sa
”personne” au profit de ses perceptions sensibles par le mental. Ce sont les sens, les perceptions dans le temps qui coule, conçu d’une façon linéaire entre un passé et un avenir, qui dictent à l’intellect ce qu’il doit exprimer. Or, ces données sensibles dans le temps et si nombreuses grâce à l’informatique varient d’un Instant à l’autre, en chaque individu, et ne peuvent jamais être identiques chez deux citoyenisés ; cela par la nature même ce la croyance au corps-mental.
Cependant, l’intellect-ego tend par nature, par sa fonction ontologique, à coaguler, ossifier, conférer un semblant d’absolu et de valeur
”éternelle” à une connaissance du sensible, qui pourtant, par nature, ne peut en avoir. Cet ersatz peut s’appeler
« opinion ». L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque. Aussi, l’opinion est naturellement sectaire, intolérante. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion, absolutisée collectivement comme maintenant porte le nom de
« valeur de la république », est l’ennemi.
LE SALAIRE LA DÉPENDANCE ABSOLUE À
L’AMERTUME OPPOSÉE À L’EAU COURANTE
FERTILISANTE DE NEPTUNE-SHIVA :
RETOUR À LA SOURCE.
Mais depuis le Néolithique, QUEL CONSTAT D’ÉCHEC CHEZ LES HUMAINS QUI COPIENT TOUT :
LA MISE EN MATIÈRE (objectif), EN CHOSES-OBJETS MERCANTILES DANS CETTE ALIÉNATION PAR LA MARCHANDISE LIÉE AU SEL-SALAIRE.
Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou possédé, donc en déformation, en re-nouveau dans la logique capitaliste matérialisme des
« Plus ça change et plus c’est la même chose », la mise en objets à vendre, les choses.
Cet humain condamné aux OBJETS-MARCHANDISES ET AU SALAIRE, DONC CONDAMNÉ À L’HISTOIRE AU SENS DE CONDAMNATION AU PROGRÈS, SOIT UNE
CHUTE (du pécheur) IMPLIQUANT L’OUBLIE DU PARADIS DES ESSENCES
(1).
PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT = SILENCE, JEÛNE :
”Lorsqu’un mental est concentré sur Dieu, voilà le véritable jeûne [upavasam].
”Upa” signifie : être près de, et
”vasam” veut dire : vivre. Où ira-t-il pour vivre ? Il vivra dans le Soi. Les désirs sont la nourriture [les objets, les infos] de l’activité mentale. Les abandonner est jeûner [upavasam mais aussi Putréfaction]. En l’absence du moindre désir
(2), le mental ne saurait exister. Ce qui demeure alors est le Soi. Celui qui peut faire jeûner le mental n’a pas besoin de faire jeûner le corps », dit
Bhagavan (Ramana Maharshi).
Il ajoute : ”Ne laissez pas les perceptions sensorielles de ce monde vous malmener, mais établissez-vous plutôt fermement dans la discipline de la pratique spirituelle [tapas] et soyez entièrement libre de la souffrance. Par tous moyens possibles, protéger votre mental de façon que les irrépressibles et nuisibles envies des objets du monde
(2) n’y trouvent pas refuge.
Ne chérissez pas les perceptions des cinq sens car elles sont illusoires. Connaissez plutôt votre propre conscience qui brille et les imprègnes de façon égale”.
Ramana Maharshi a expliqué dans son texte poétique
Ulladu Narpadu, en quoi le ‘Je’ et ‘je’ (l’investigation ”Qui suis-je ?”) est une conséquence du Christ générique ou Soi :
« Se demandant « Qui suis-je ? » au sein de son mental, lorsqu’il atteint le cœur, le ‘je’ individuel [ou mental] s’abîme et perd tout panache [il n’est plus le winner], puis la réalité en tant que ‘Je’-‘je’ se manifeste immédiatement. Bien qu’elle se révèle sous cette forme, il ne s’agit pas de l’ego ‘je’ mais de l’Être parfait, le Soi absolu.
Par conséquent, si, délaissant le corps analogue à un cadavre comme étant un vrai cadavre et sans même murmurer le mot ‘je’, on se demande avec diligence : « Qu’est-ce qui s’élève en tant que ‘je’ ? il émane alors spontanément dans le Cœur un certain ‘Je’-‘je’ silencieux [sphurana]. C’est une présence ou conscience, unique et non divisée, car les nombreuses pensées divisées ont disparu. Si l’on demeure ainsi sans la quitter, même le ‘Je’-‘je’ [
sphurana] - qui a entièrement annihilé le sens de l’individualité, la forme de l’ego, « Je suis le corps » - finira par se résorber de lui-même, à la façon de la flamme qui allume le camphre. Cela seul, les grandes âmes et les Écriture l’appellent Libération » (
Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi recueillis par Muruganar (1890-1973, l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).
FONDA-MENTAL
« La vie de l’humain est ce qu’elle est. Ce qui est EST [sens du
”Le Royaume des Cieux est en Vous”]. Tous les problèmes viennent du fait d’en avoir une certaine conception [
”certaine conception” qui s’appelle OPINION, la chose possédée par le mental : le
”Votre ceci, Votre cela”]. Le mental entre en jeu [en ‘je’]. Il a une certaine conception [l’icarisme, telles les ailes de cire d’Icare ; de nos jours les
”ailes d’Icare” sont L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : LA CAROTTE du TRANSHUMANISME-TECHNOLOGIE-CONCEPT]. Tous les problèmes viennent de là. Si vous êtes tel que vous êtes, sans le mental avec ses concepts [ses opinions donc], tout ira pour le mieux pour vous. Si vous cherchez la source du mental, toutes les questions seront résolues ».
(Ramana Maharshi au jour le jour, 31-12-1946).
Notes.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.
ESSENCE: ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit
Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la raison], c’est faire erreur ».
L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT » (sans quoi on tombe dans l'histoire...).
Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le guide : « Par
« guides spirituels », nous entendons ceux qui sont
« spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont
« matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».
ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ.
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).
ESSENCE-MIROIR : le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur
akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du
jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (
ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne
antamukti (tournée vers l’intérieur). Les
shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)
UN PHÉNOMÈNE NE PEUT EN EXAMINER UN AUTRE ; soit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir en pensant que l’on voit une image. La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il pour la pensée ainsi produite et pour l’objet de recueillement (saisie) appelé
« reflet », ou
« image » : ils nous apparaissent comme des objets différents. Bref, ces images ne sont que des pensées et rien de plus.
COMPARABLE AU TROU : dans un Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas le Trou à voir. Le sujet qui réalise le Soi ne voit pas sa propre forme ou Vraie Nature, laquelle étant sans double, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE ENTREPRISE D’IDENTIFICATION OU DE LOI DE SUCCION : LE POUR-VOIR, LA SAISIE. Mais si le sujet ne peut voir sa propre forme comme le mental ne peut se voir lui-même, est LUI-MÊME MIROIR DIVIN, LA MANIFESTATION DU SOI, et dans cette
« Forme-Miroir-Divin » il re-connaît sa Vraie nature : il ne voit pas Dieu en son Essence : la réponse donnée à Moïse est éternelle : « Tu ne me verras pas » (
Lan tarânî). De même il en est dans le miroir matériel : en contemplant sa forme, le sujet ne voit pas le miroir, idem avec le film déroulant ses images sur l’écran : on regarde le film, on ne regarde pas l’écran : on ne peut regarder à la fois l’écran et les images défilantes du film, comme on ne peut regarder à la fois l’image qui apparaît dans le miroir et le corps du miroir lui-même. Et c’est une définition de l’Essence.
LE TROU : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER (comme l’absence d’espace-temps) CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE.
2. Les Juifs créateurs du DÉSIR OU DU BESOIN : Emprise mentale ou racine du mal : la dualité Dedans-Dehors avec naissance de la SAISIE.
Exemple d’emprise mentale dans le capitalisme juif et leur
”mise en valeur du temps” pour soi-disant
”racheter les péchés” (système du tikkounolamisme rabbinique ou réparation) :
En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent).
Que copia probablement
Jacques Lacan :
”L'amour, c'est offrir à quelqu'un qui n'en veut pas quelque chose que l'on n'a pas“. Donc être sous l’emprise de l’amour.
Saisir = déception….. Et principe de L’IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISE, L’EMPRISE MENTALE : LA DROGUE, LE BESOIN ET LE ”TOUJOURS PLUS” EN ÉVOLUTIONNISME APPELÉ AUSSI ”SALUT”, LA DÉMOCRATIE : FABRIQUER LE CONSENTEMENT-CONSOMMATEUR ET AINSI ÊTRE FORCÉMENT PERPÉTUELLEMENT DÉÇU, BLASÉ, INSATISFAIT, ANGOISSÉ (d’où le principe sans fin et qui a toujours faim des RÉFORMES…
”Agiter le peuple avant de s’en servir”…).
RESSENTIR L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE” OU LOI DE SUCCION EN UN APPÉTIT INSATIABLE, ÊTRE SOUS EMPRISE.
Ce qui rejoint plein pot l’antienne talmudique sous forme
« d’altruisme talmudique » : « RIEN N’EST BON POUR LES JUIFS SI CE N’EST BON AUSSI POUR CEUX QUI LES ENTOURENT » (pages 166, 340, 359, 365 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent). Donc vendre des services : acheter, vendre, acheter, vendre. Un
Menasseh Ben Israël en 1650 écrira dans son Apologie des Juifs, que « les quatre cent familles juives des Pays-Bas rapportent beaucoup d’argent à l’État et que, partout où ils sont admis, les Juifs sont de bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter la prospérité autour d’eux.
‘Ce sont de fidèles vassaux’ », rapporte J. Attali.
En somme, pour ces talmudistes, l’argent c’est comme de l’Eau, ou une Pierre Philosophale : ça sert à rien sauf à FAIRE CIRCULER LA MATIÈRE, COMME LE SANG QUI CIRCULE DANS UNE AUTRE MATIÈRE : LE CORPS.
Le Sang du sacrifice aux Dieux et aux guerres sert à ACHETER LA PAIX !
SANG : symbole solaire, rouge, chaleur, vie. Sang et Terre = vie dans les trois règnes : minéral, végétal, animal. Voir le Sang du Christ et le Graal. le Sang correspond aussi au souffle de l’Esprit : en forme de véhicule des passions ; alors l’argent en deviendra une religion ! Un véhicule de l’âme, ce qui peut exprimer le sens des rites des sacrifices, dans lesquels un grand soin est pris pour ne pas laisser le sang de la victime se répandre sur le sol (ref. dic. des Symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant).
CIRCULATION DU SANG OU DE L’ARGENT = COMMUNION PAR LE SANG, ALLIANCE, SERMENT PAR LE SANG. L’ARGENT DEVIENT ARCHE D’ALLIANCE, SUPRÊME IDOLE. Il n’est point étonnant que le socialisme soit si présent dans les Hébreux-Juifs. SANG = MOTEUR.