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Ecrit par Sechy, le 26-05-2023 00:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Calame, Calcul, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Eau, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Scarabée, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Transition, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Une IMAGE-PENSÉE
ou PENSÉE-IMAGE
ce n’est qu’une IMAGE
ce n’est qu’une PENSÉE
 
 
« Qu’est-ce que la peur ? Ce n’est qu’une pensée. S’il y avait quelque chose d’autre que le Soi, il y aurait lieu d’avoir peur. Qui est celui qui voit quelque chose d’autre, extérieur à lui-même ?
C’est l’eqo qui s’élève en premier et qui considère les objets comme extérieurs. Si l’ego ne s’élève pas, le Soi seul existe et reste sans second (sans manifestation extérieure). Toute chose extérieure suppose un spectateur intérieur. En le cherchant à l’intérieur, tout doute, toute peur – non seulement la peur, mais toutes les autres pensées centrées autour de l’ego – disparaîtront en même temps que celui-ci ».
(Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).

- M. : « Je suis le brahman » n’est qu’une pensée [par cette méthode de méditation]. Qui le dit ? Ce n’est pas le brahman. Quel besoin aurait-il de le dire ? Le vrai ‘Je’ non plus ne peut pas le dire, car il demeure toujours en tant que brahman. Dire cette phrase n’est qu’une pensée. De qui est-ce la pensée ? Toutes les pensées proviennent du ‘je’ irréel, c’est-à-dire de la pensée ‘je’. Restez sans penser. Tant qu’il y aura pensée, il y aura peur.
- Q. : Lorsque je continue à y penser, je finis par l’oublier, mon cerveau devient chaud et j’ai peur.
- M. : Oui, le mental est concentré dans le cerveau, voilà pourquoi vous y éprouvez une sensation de chaleur. C’est dû à la pensée ‘je’. Tant qu’il y aura pensée, il y aura oubli. Il y a la pensée « Je suis le brahman » ; l’oubli survient ; puis la pensée ‘je’ surgit et, simultanément, la peur de mourir.
L’oubli et la pensée ne se présentent que pour la pensée ‘je’. Accrochez-vous à cette pensée ‘je’ ; elle disparaîtra tel un fantôme. Ce qui subsiste est le vrai ‘Je’. C’est le Soi. « Je suis le brahman » n’est qu’une aide à la concentration ; toutes les autres pensées seront écartées et seule cette pensée subsiste. Cherchez de qui elle est. Vous trouverez qu’elle provient du ‘je’. Et d’où vient la pensée ‘je’ ? Approfondissez cela. La pensée ‘je’ s’évanouira. Le Soi suprême resplendira de Lui-même.
Nul autre effort n’est nécessaire.
(Entretien 202 du 15-6-1936).

- M. : La mort n’est qu’une pensée et rien de plus. Celui qui pense provoque des difficultés. Que le penseur nous dise ce qui lui arrive quand il meurt. Le ‘Je’ réel est silencieux. On ne devrait pas penser « Je suis ceci », « Je ne suis pas cela ». Dire « ceci » ou « cela » est faux [car on fixe, on coagule]. Ce sont aussi des limitations. Seulement « Je suis » est la vérité. Le silence est ‘je’. Si l’un pense « Je suis ceci », un autre pensera « Je suis cela » et ainsi de suite. Il se produit des conflits de pensées et tant de religions en résultent [et de politiques aussi]. La vérité reste ce qu’elle est, elle n’est affectée par aucune déclaration, conflictuelle ou autre.
- Q. : Qu’est-ce que la mort ? N’est-ce pas la perte de son corps ?
- M. : N’est-ce pas ce que vous cherchez dans le sommeil ? Alors où est le problème ?
- Q. : Mais je sais que je me réveillerai.
- M. : Oui, c’est encore une pensée. La pensée « Je me réveillerai » précède toutes les autres. Les pensées régissent la vie. Être libre de pensées est notre vraie nature – la Félicité.
(Entretien 248 du 15-9-1936).

La PENSÉE ACTUELLE DEVIENT SYSTÈME (comme son « intelligence artificielle » construite sur une PENSÉE).
Le ”Je pense donc je suis” attribué à Descartes est évidemment FAUX, et dans la logique actuelle de la mode de la ”raison” chère à ces riches perruques poudrées de leur siècle des loupiotes ; parce que Descartes ne se demande pas : « QUI PENSE ? », « Qui est ce ‘je’ qui dit qu’il pense ? »

Comme l’exprime si clairement Jean Coulonval tout au long de son unique livre de 340 pages : Synthèse et Temps Nouveaux : « Notre époque réclame la synthèse. Non pas la synthèse conçue comme reconstitution d'un puzzle, qui ne serait que syncrèse, mais comme la perception, en un acte intellectuel unique, de tout l'existant, de la matière à Dieu, sans hiatus ni solution de continuité, le circulus Trinitaire conférant l'unité à toutes choses. En remarquant toutefois que Dieu n'ex-iste pas, mais qu'Il est ».

Qu’appelle-t-on à ce hui ”vérité” ?
On appelle ”vérité” ce qui n’est que simple convenance sentimentale, que ce soit en science (plutôt technologie), en politique, en religions.
« Il ne peut y avoir « ma vérité », « ma foi » ou « notre vérité », « notre foi » [et de nos jours : ”notre démocratie”, ”notre république”], mais la Vérité et la Foi tout court, parce que, quand elles sont vraies, elles transcendent à la fois le personnel et le collectif ».

Si l'on fait de sincérité et foi des synonymes, je n'ai jamais eu la foi. S'il y a aujourd'hui en mon être quelque chose que je puis appeler la foi, c'est cet accord indissoluble entre l'éclairage intellectuel que m'a conféré la Vision et la soif de Paix en moi et dans la société, ce qui est tout un, car la vision m'a fait transcender le dilemme Individualisme - Collectivisme.

Dans ma cellule de la prison du Cherche-Midi, meublée seulement d'un seau hygiénique, j'écrivais sur un morceau de papier d'emballage avec un bout de crayon trouvé dans la paille de ma précédente cellule : « En moi, la sensibilité, l'intellect et la volonté recherchent leur unité perdue ». J'écrivais accroupi. Je fus alors mis debout par une force étrangère à moi-même, qui fit pleurer aussi mes yeux et respirer mes poumons dans de fantastiques dilatations. Cet état dura un temps que je ne puis évaluer dans un temps d'horloge. Il cessa aussi brusquement qu'il était survenu. Je sus alors que la Paix, en moi et dans la société, ne peut être qu'un rétablissement de l'ordre que la Trinité en Dieu a imprimé à toute sa création, faite à son image. Et toute la création se résume en l'homme qui en est le sommet et un condensé. Guérir l'homme, c'est guérir la Création qui gémit sous le poids du péché. Et guérir la Création, c'est guérir l'homme. Parce que je sais cela, il ne m'est pas possible de faire du spirituel et du temporel, de la religion et de la science, du sacré et du profane, deux plans séparés. Il ne peut être question d'imaginer un concordisme entre un « sentiment » religieux et le temporel et la science. Je ne puis plus concevoir la globalité des choses, de la matière à Dieu, en mode de stratification, en remplissant les joints par le ciment d'une rationalité imaginaire. Il n'y a plus des degrés du savoir qu'on grimpe par échelons. Il n'y a plus dans la globalité du savoir des stratifications qui engendrent les clans sociaux, les convoitises et les luttes ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, extrait de la lettre 9, de Noël 1971 à Aimé Michel).

L’ère des Schwab-Harari et de leur « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » n’arrivera jamais, parce que l’ego des gogo (le ”vous serez heureux”) en demandera TOUJOURS PLUS ET NE SERA JAMAIS SATISFAIT DANS CETTE FLÈCHE DU TEMPS À UNE SEULE DIRECTION : L’ÉVOLUTIONNISME DOUBLÉE DE LA TYRANNIE DE L’OPINION : la construction de pensées personnelles et ressenties, vécues, COMME UNE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE PAR L’EGO, ET ELLE ENGENDRE NATURELLEMENT LA DICTATURE, PARCE QUE TOUTE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE, PAR LA RAISON, CHERCHE À GRANDIR, et ceux que « l’homme d’opinion » attire à lui comme un aimant, à ses concepts, sont sa propriété. Ainsi tout « isme » et toutes institutions sont une marque d’esclavage spirituel.
« Il n'y a plus d'esclaves au sens physique et tout le monde s'en réjouit à juste titre. Mais tout le monde cherche sa sécurité dans l'esclavage ou tout au moins le servage spirituel et intellectuel. On veut absolument se coller une étiquette, un « isme », se faire le féal, le dévot de quelqu'un. Depuis 4 ou 5 siècles, nous avons glissé peu à peu dans le règne de l'opinion, de l'esclavage spirituel et intellectuel. Quelques-uns, aujourd'hui, comme vous, s'aperçoivent que nous avons sombré dans la mare, que nous nous enfonçons dans la vase et que, si nous ne voulons pas y crever, y laisser notre nature d'homme, il faut retrouver la surface ». (Jean Coulonval, lettre 16 du 18 novembre 1972 à Eugène Ionesco).

Et dans sa lettre 20 au même Ionesco, à propos de sa pièce : le ”Rhinocéros” : « À notre époque de confusion du spirituel et du psychique, où l'on appelle esprit tout ce qui se présente comme caractéristique dominante d'un psychisme de groupe, qui agglutine les âmes en un paquet visqueux, comme ces paquets d'œufs de crapauds qu'on trouve dans les étangs, il est dangereux d'être têtard qui veut vivre seul en tête à tête avec les lois de sa vie de têtard, sans, la protection de ce paquet dé gélatine. Il y a toujours un goujon ou une truite pour le bouffer ».

- Un Swāmi : J’ai mal aux dents. N’est-ce qu’une pensée ?
- M. : Oui.
- Q. : Pourquoi ne puis-je penser qu’il n’y a pas de mal de dents et me soulager ainsi moi-même ?
- M. : Quand on est complètement absorbé dans d’autres pensées, on ne ressent pas le mal de dents. Et quand on dort, le mal de dents n’est plus ressenti non plus.
- Q. : Mais le mal de dents persiste quand même.
- M. : C’est la ferme conviction de la réalité du monde dont il n’est pas facile de se débarrasser.
Le monde ne devient pas pour autant plus réel que l’individu lui-même [le scribe de la page souligne].
- Q. : En ce moment il y a la guerre sino-japonaise. Si elle est purement imaginaire, Shrî Bhagavân ne pourrait-il pas imaginer le contraire et mettre un terme à cette guerre ?
- M. : Le Bhagavân dont vous parlez est tout autant une pensée que la guerre sino-japonaise.
(Rire)
(Ramana Maharshi, entretien 451 du 4-2-1938).

M. : Qu’est-ce que le temps ? Ce n’est qu’un concept. Chacune de vos questions est provoquée par une pensée.
Votre nature est Paix et Bonheur. Les pensées sont des obstacles à la Réalisation. La méditation ou la concentration a pour but d’écarter les obstacles et non pas d’atteindre le Soi. Y a-t-il quelqu’un qui soit séparé du Soi ? Non ! La véritable nature du Soi, c’est la Paix. Si cette même Paix n’est pas trouvée, cela aussi n’est qu’une pensée qui est étrangère au Soi. On pratique la méditation seulement pour se débarrasser de ces pensées imaginaires et étrangères. Par conséquent, toute pensée doit être domptée dès qu’elle surgit. Dès qu’une pensée s’élève, ne vous laissez pas entraîner par elle. Vous prenez conscience du corps quand vous oubliez le Soi. Mais pouvez-vous oublier le Soi ? Puisque vous êtes le Soi, comment pouvez-vous l’oublier ? Il doit y avoir deux soi, pour que l’un puisse oublier l’autre. C’est absurde. Le Soi n’est donc pas déprimé ; il n’est pas imparfait et il est toujours heureux. Le sentiment contraire n’est qu’une simple pensée qui n’a en réalité aucune force.
Débarrassez-vous des pensées. Pourquoi s’efforcer de méditer ? Etant le Soi, on demeure toujours réalisé. Soyez seulement libre de pensées.
Vous croyez que votre santé ne vous permet pas de méditer. Il faut donc remonter à la source de cette idée de dépression. L’origine en est la fausse identification du corps avec le Soi. La maladie ne provient pas du Soi, elle relève du corps. Mais le corps ne vient pas vous dire qu’il souffre de la maladie. C’est vous qui le dites. Pourquoi ? Parce que vous vous identifiez faussement avec le corps.
Le corps, en soi, est une pensée. Soyez ce que vous êtes réellement. Il n’y a pas de raison d’être déprimée.
(Entretien 462 du 19-2-1938).

Et à propos du mot SOUMISSION qui est un gros COURT-CIRCUIT DANS LA PENSÉE DE CONSOMMATION DE 1789 et de sa POSSESSIVE « démocratie-république ».
LA GRÂCE SE MANIFESTE SEULEMENT LORSQUE L’ON S’EST TOTALEMENT SOUMIS.
(De nos jours de SOCIAL-SOCIALISME et de mondialisme en forme de société fourmilière, la ”grâce”, ce sont les ”valeurs de la république” et de ses marchandises-salariat [pouvoir d’achat]).
- M. : La soumission ne peut avoir d’effet que quand elle s’effectue en toute connaissance. Cette connaissance est le résultat de la recherche. Elle aboutit à la soumission.
- Q. : La connaissance de l’Être suprême se produit après avoir transcendé le soi individuel.
C’est le jnana (connaissance, sagesse]. Quelle est alors la nécessité de soumission ?
- M. : C’est exact. Il n’y a pas de différence entre le jnana et la soumission. (Sourire)
- Q. : Comment le questionneur peut-il alors être satisfait ? La seule alternative qui lui reste est, soit la compagnie des sages (sat-sanga), soit la dévotion à Dieu (îshvara-bhaktī).
Le Maharshi sourit et dit : « Oui. »
(Même entretien 462).
 
« La soumission ne peut avoir d’effet que quand elle s’effectue en toute connaissance »Or, dans le régime de l’État, de la marchandise et du salariat, LA CONNAISSANCE EST TOUJOURS NÉCESSAIREMENT CACHÉ POUR FAIRE MARCHER LES MASSES, POUR LES SOUMETTRE ; CAR SI ELLES SAVAIENT, CE SERAIT LA RÉVOLTE PERMANENTE ET ÉVIDEMMENT LE CONTRAIRE NÉCESSAIRE AU COMMERCE….

SOUMISSION = ”UN POINT C’EST LE TOUT” : LA FOCALE, du IL N’Y A POINT (aucune saisie possible, comme un TROU, au sens de NÉGATIF, NUIT NOIRE OU OBSCURE). A-MOUR = PRIVATION DE MORT : FIDÈLE D’A-MOR, délivré de tout binaire et de toute manifestation spatio-temporelle toujours mortelle.
Le POINT ou la PIQUE (piqure) DE RAPPEL C’EST LA VÉRITABLE SOUMISSION EN COUP DE POING : PANique…. SOL-I-TERRE et « en connaître un rayon », son IET (son Jet et le I du pronom personnel au Moyen-Âge : ”Menez m’i” [Queste Saint-Graal]). Le I Axe à rapprocher de EVE : eau, iave, ieve ; au Moyen-Âge il y avait encore une ptiote conscience du Soi….

ÉTEIGNEZ LE PROJECTEUR DE CINÉMA DU MONDE(IALISME).
« L’abhyâsa [la pratique assidue] consiste à se retirer dans le Soi chaque fois qu’une pensée vient déranger votre tranquillité. Il ne s’agit pas de concentration ou de destruction du mental, mais d’un retrait dans le Soi.
Le dhyâna [méditation, contemplation] la bhakti [dévotion], le japa [répétition d’une formule (1)], etc., sont des aides pour maintenir au-dehors la multiplicité des pensées [chères à la diversité commerciale…]. Une seule pensée prévaut alors, qui finit, elle aussi, par se dissoudre dans le Soi […]
Shrī Bhagavân répondit qu’un mental sans pensée était comparable à deux miroirs clairs, l’un face à l’autre, n’échangeant entre eux aucun reflet ».
Le Vrai Vide : « Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède. On dit du mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. Mais si l’on s’attarde sur le ”vide" de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité », dit Le Secret de la Fleur d’Or, traduction de Thomas Cleary. Donc pas de ”Comme si” avec le Vide, pas de cinéma, pas de fiction (les ”fictions sociales” de Fernando Pessoa, dans Le banquier anarchiste). Les ”Comme si” sont de l’ordre de l’ILLUSION : tout se passe ”Comme si” : Quand une magie parle toutes les magies parlent [quand le capitalisme parle, la thermodynamique du feu vulgaire et du prix du baril ou de la batterie électrique fonctionne] ; quand une magie se tait, toutes se taisent… Ce sera d’ailleurs illustré par la nouvelle d’Arthur C. Clarke : Les neuf milliards de noms de Dieu.

Note.
1. Le japa [en sanskrit la répétition d’un nom divin ou d’une formule) de Michel Kozlov : « Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, prends pitié de moi », répété 3000 fois dans les 24 heures d’une journée.
« Que tu sois debout ou assis, en marchant ou couché, prononce continuellement ces paroles : « Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, prends pitié de moi » - ni à voix haute ni à la hâte. Fais cela exactement trois milles fois par jour, sans de toi-même en ajouter ni en retrancher aucune. De cette façon, Dieu t’aidera à atteindre l’action incessante du Cœur [le Soi] », dit le starets page 29 de l’édition du Cerf, dans la nouvelle traduction du russe de Chantal Crespel-Houlon, le vrai texte du Pèlerin russe.
Répétition, japa, identique au « GATE GATE PÂRAGATE PÂRASAMGATE BODHI SVÂH » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) ; évidemment à ne pas confondre avec l’actuel évolutionnisme qui ne concerne que la matière, le fric/flic….
 
 

Dernière mise à jour : 26-05-2023 01:01

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