Arrivé d’un chat. Le chat se dirige vers Sepa
(1) allongé sur un tas de pierres, il le renifle.
Imhotep se met à chanter :
- Vidons-nous de notre moi (7)
- Soyons heureux comme des pierres (7)
- Mais fécond comme motte de terre. (7)
Il va vers Sepa et le chat. Il caresse le chat et examine Sepa. Il se penche sur sa poitrine et écoute le coeur. Il frictionne les mains et les bras de Sepa comme pour essayer de faire circuler le sang ; mais aucune réaction.
Dans un coin Ptah se dit : « Là, je n’y suis pour rien ! ».
Imhotep se retourne et voit Ptah avec une lanterne et son bâton faisant une mine désolée et interrogative.
Imhotep en direction de Ptah : « Qu’est ce qui m’arrive ?... son coeur... je ne sais pas s’il bat ou s’il est arrêté... Fais quelque chose toi qui donne l’air à tous les nez ».
Ptah lui répond : « Il a déclenché un système qui n’est pas prêt de s’arrêter... comme son coeur… » (système qui est la monnaie, ici en pièces de cuivre).
Ptah frappe un coup avec son bâton et disparaît.
Aussitôt le vent se lève, des broussailles et des brindilles volent. Imhotep regarde vers le corps de Sepa : il a disparu. A la place il vient une dizaine d’habitants de Mur-Blanc avec leurs lanternes à la main.
Imhotep frissonne un peu, il se ressaisit et s’assit en tailleur. Ses bras sont repliés et ses mains sont levés en signe d’adoration, son regard a retrouvé sa beauté.
Un habitant avec sa lanterne vient vers lui, il pose sa lanterne et le salue les deux mains sur les genoux tout en restant longuement incliné. Un deuxième, suivit d’un troisième habitant avec leurs lanternes s’approchent, le salue, et se mettent en un état contemplatif en face de lui.
Au bout d’un moment, il y a bien une douzaine de lanternes sur le sol, donc une douzaine de personnes concentrées sur les désirs de leurs coeurs.
La treizième ou quatorzième personne a venir n’est autre que Houy (serviteur d’Imhotep), avec la boîte de médecine d’Imhotep à la main. Il se recueille un instant avec cette petite communauté, puis doucement s’approche d’Imhotep et dépose à son côté la boîte. Il va ensuite s’asseoir dans un coin, dans l’attente de la fin de ces états contemplatifs. Un temps après il s’allonge et s’endort.
À l’aube, Imhotep est toujours en état contemplatif. Quatre lanternes restent sur le sol, elles sont éteintes.
Les quatre dernières personnes s’en retournent alors chez elles les unes après les autres, en emportant leurs lanternes.
Houy vient aussi de se réveiller. Il était resté allongé là toute la nuit.
Houy s’approche timidement d’Imhotep qui n’a plus le regard vide.
- Maître Imhotep, Maître, c’est moi Houy. Je peux te servir si tu le désires.
Imhotep aperçoit sa boîte de médecine.
- Quelqu’un me la donné pour toi ! répond Houy.
- Je te connais il me semble, tu es Houy, mon ancien serviteur ?
Et tu n’étais pas en ménage avec la femme Jenemet ?
(2)
- AH ! elle m’a fait cocu ! Lui répond Houy.
- Tu as recouvré ta liberté (il rit). Viens avec moi, pendant cette contemplation j’ai revu l’emplacement de ma maison. (Pendant un temps Imhotep a perdu la mémoire).
Ils se dirigent vers cette maison. Pendant le trajet Imhotep expose ses projets :
- Pour échapper à ce que je sais, il ne me reste que la prière, je vais partir dans l’île de Chemmis. Si tu veux, je te reprends à mon service.
- Au moins je pourrais m’occuper de tes affaires, car vraiment tu n’entends rien aux choses de la vie quotidienne. Lui répond Houy sautant de joie à la manière des serviteurs de l’Égypte d’Imhotep.
Dans la maison d’Imhotep, il change de vêtement pendant que Houy s’active comme un fuyard.
- Je ne reverrai plus cette maison. J’ai tué ces souvenirs ; dit Imhotep.
Dans la cour carrée de cette maison, Houy vient avec une charrette tirée par deux ânes, et il commence à charger les coffres et autres affaires. Arrive Imhotep qui offre son aide. Une fois la charrette hâtivement remplit, Imhotep derrière et Houy devant conduisant les ânes, le convoi se met en route.
Dans la campagne égyptienne, ils évitent de passer du côté du Jardin Sud (celui de Ptah). Le convoi de fuyards longe la branche de Rosette (un bras du Nil) en direction de Bouto (dans la sixième province du pays de Kemet).
Les voici approchant d’un petit port de pécheurs.
Le convoi s’arrête. Imhotep descend et se dirige vers un pécheur. Il lui achète sa barque.
Après avoir chargé les affaires sur la barque, Imhotep et Houy s’éloignent du rivage.
Sur la branche de Rosette (un des bras du Nil). Dans la brume (aspect onirique), Imhotep en état de concentration indique à Houy la direction à prendre.
La brume change de couleurs par moments, puis au bout d’un temps elle s’estompe pour découvrir l’île de Chemmis (île des Bienheureux).
Dans Chemmis, Imhotep et Houy sont accueillis par une multitude d’oiseaux. Houy est émerveillé et témoigne sa joie à la manière des serviteurs.
Ils s’enfoncent dans le paysage paradisiaque.
Le lendemain ils arrivent devant un temple.
Devant un mur couvert de hiéroglyphes avec une petite porte étroite et haute. Éclairage orangé. Imhotep est vêtu d’une longue robe de lin blanc. Sous la robe, il porte une chemise de safran bordée d’une frange. Ses bras sont ornés de bracelets et il porte un collier. Son visage a des cheveux longs, et son menton porte une barbiche naissante. (Par exemple, photos du
British Museum :
Livre des morts des anciens Égyptiens).
Il est debout, ses bras repliés, ses deux mains levées en geste d’adoration devant une table chargée d’offrandes.
Dans l’embrasure de la porte se tient un autre Imhotep 2 avec le même costume mais portant la longue et fine barbe des divinités. Il s’avance vers Imhotep 1.
- L’amour est l’accomplissement de la loi, dit l’Imhotep 1.
- Je suis celui ce Je-suis, et pour cela j’ai vécu, je vis, et je vivrai pour la fraternité universelle dans chaque être humain et dans toutes choses, lui répond l’Imhotep 2.
À cet instant on entend deux coups de bâton sur le sol. Les deux Imhotep se retournent, arrivée de Ptah, avec son bonnet bleu et son sourire un peu ironique, en agitant son bâton-Ouser.
- Peut-être que tu retrouveras en centemplation le troisième oeil perdu ! lance Ptah à l’Imhotep 1. Moi, je retourne dans le Jardin au Sud de mon mur, dit-il à l’Imhotep 2.
Ptah se met à rire, manque de faire tomber son bâton-Ouser, puis frappe deux coups avec le bâton et disparaît.
Fin du récit du Surfeu, extrait d’un projet de film de long métrage :
Le Jardin de Ptah.
SURFEU : L’Instant, Ici et Maintenant. Mais les humains récents veulent
« mettre en valeur le temps », alors ils projettent, ils se préoccupent du futur et du passé, et ne sont jamais conscient de la Vérité du Présent, de l’Instant. Pas contre, ils ne connaissent ni le début ni la fin, mais nécessairement ils connaissent l’Instant, le Milieu, donc le FLÉAU qui porte si bien son nom, tel l’INNOMMABLE, L’INSAISISSABLE ! Ainsi, si Nous trouvons la Vérité de Cela, nous saurons naturellement ce qu’est le début et la fin (comme en étant en ALEPH, en Point Focal ou en
« un Point c’est Tout »). Bhagavad Gîtâ X, 20 : « Je suis le Soi qui siège dans le cœur de tous les êtres ; je suis leur début, leur milieu et leur fin ».
SURFEU comme le Sentiment océanique :
“Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source” (Jean Coulonval,
Synthèse et Temps Nouveaux).
Les fleuves se fondent dans l’Océan.
Ne peut être Réel, que ce qui est non seulement au milieu, mais aussi au début et à la fin (pas de flèche du temps ni de sa mise en valeur qui ne sera que commerce et tromperie en tous genres).
PARISIS LE SURFEU. ISIS = LA FRANCE (3) - OCCIDENT DE ”OCCIR” = MORT, PUTRÉFACTION, RENONCEMENT, LIQUÉFACTION = PARIS NOUVEL ATLANTIDE = YS.
L’ESSENCE DE LA FRANCE, DE L’EUROPE, EST DANS L’ANCIENNE ÉGYPTE.
PARIS C’EST LA VILLE D’YS (Cassiopée) ; DANS LE NOIR, LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par (pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT, le SAINT CHAOS, le NIRVANA… et bien-sûr LA CHAISE D’ISIS, genre celle des montagnards auvergnats du 19è siècle avec son pied unique (en forme de T) qui s’enfonce en terre quand le paysan s’apprête à traire sa vache. Là on est dans le Thème de l’Aiguille, du Point Focal (et de la MASSE au sens
”électronique” ses débuts avec
les tubes, TERRE-CIEL : en Haut comme en Bas et l’inverse. IMPORTANT puisque une forme de l’électronique devait bien exister dans l’Égypte ancienne en un mélange d’électricité statique, de magnétisme, et de minéraux divers….).
On entre ainsi dans
SIRIUS (SOTHIS) : LA POINTUE, LA MAÎTRESSE DU JOUR DE L’AN. C’est l’étoile d’Isis qui symbolise les EAUX PRIMORDIALES : Isis et Nephtys étant ses
”Deux Pleureuses” : l’Eau commence à couler (l’année nouvelle commence à s’é-couler), évidemment en rapport en Égypte avec les crues du NIL.
Le chaudron ou Pario- remonte à un karios, conservé dans le nom des Quariates à l’origine du Queyras dans les Hautes-Alpes, et retrouvé dans le sanskrit
carûh, le vieil irlandais
hverrn l’anglo-saxon
hwer (chaudron), le hittite
kuraya (large vase). Mais le mot Chaudron a une grande valeur symbolique comme le montre le vase d’Amathonte (dont l’anse illustrée ci-dessous). Sur l’anse on peut voir une VACHE (ou un Taureau) :
« LA CAVALE LIÉE », ou
« LA VACHE LIÉE », PYRIM dans le
« PUITS SANS EAU » (
la Fosse qui n’a point d’eau, d’O) POINTAGE, PIQURE du X du
’N’est pas X’, en hébreu cette fosse sera
MIKI, d’où le nom de
l’Archange Michel, triomphant ou domptant l’ego-dragon ; c’est encore la VIERGE NOIRE, LA
VIRGINI PARITURÆ, celle de la
Koridwen gauloise, qui enfantait sens cesser d’être vierge (IMPORTANT). À la Noël elle se transformait en POULE NOIRE et avalait le Dieu Guion (Gauvain), métamorphosé en pépin de grenade. Elle accouchait immédiatement sous la forme d’un œuf d’Or, soit le Nouveau Soleil (Noël) ou Front brillant. Vierges Noires les MADONES DES GROTTES…..
YS = CHAUDRON.
La majorité des chaudrons mythiques et magiques de tradition celtique ou indo-européenne, ont été trouvés au fond d’Océans et de Lacs. La force magique réside dans l’eau et les chaudrons, marmites, calices, lunule des ostensoirs sont des récipients de cette force magique, souvent symbolisée par une liqueur divine ou une ambroisie ou EAU VIVE ; lesquelles confèrent l’immortalité ou la jeunesse éternelle. Dans l’Asie chamanique chez les peuples ouralo-alfaïques le chaudron magique s’apparente à celui du mortier (et son pilon et signification sexuelle et linga) et y joue un grand rôle. Le vase d’Amathonte est dans le Thème des légendes helléniques : la cuisson dans un tel chaudron est une opération destinée à subir à l’épreuve de l’immortalité (c’est-à-dire subir de profondes transformations biologiques. Comme tout symbole est double le chaudron est prélude ou PASSAGE par la Mort pour amener vers des TEMPS NOUVEAUX (comparez avec l’actuel mot magique
”TRANSITION”, et son
”Great Reset” et tout le remue-ménage et le transhumanisme qui se passe actuellement, imitation en plus grand, mondialement, du remue-ménage français de 1789…. Il y a effectivement une transition, mais actuellement c’est vers le mal, vers l’enfer, pour employer des mots du catholicisme). Le monde humain actuel sentant le danger de sa survie tente bien de FAIRE QUELQUE CHOSE ; MAIS DANS QUEL SENS ?
Si chaudron a pour étymologie
« chaud », le liquide qui y est dedans est froid, du moins au départ (le CIRCULUS n’y est pas encore enclenché)…
(Complément sur
Gate gate des hautes dilutions en Homéométallurgie)
Sur l’anse du vase d’Amathonte ci-dessus on peut voir une VACHE (ou un Taureau) : « LA CAVALE LIÉE », ou « LA VACHE LIÉE », PYRIM dans le « PUITS SANS EAU » (la Fosse qui n’a point d’eau, d’O) POINTAGE, PIQURE du X du
’N’est pas X’, en hébreu cette fosse sera MIKI, d’où le nom de l’Archange Michel, triomphant ou domptant l’ego-dragon.
C’EST DONC AUSSI PTAH LE TAUREAU D’APIS, c’est dans la peau d’un Taureau noir, marqué d’une étoile du Blanc de l’Instant au front, que le corps d’Osiris, prototype du prochain Christ-Jésus le crucifié, fut enfermé après sa mort apparente. Comme le laisse entrevoir le TORE :
le Blanc ne va pas sans le NOIR : le Taureau Blanc Min-Kamoutef de sa mère, soit une Variation du Taureau Noir (le Nègre de Pount) à l’origine de la procession de Min (génération, germination) pendant les moissons.
Osiris-Christ enfermé dans la peau du Taureau Noir devient le Zéro Indien ou LA force vitale elle-même : le SURFEU.
MUR-BLANC C’EST YS LA PROCHAINE ATLANTIDE : LE DÉBUT EST IDENTIQUE À LA FIN.
Taureau = airain (bruit du canon et des bombes, conflits) et pied (
Padam en sanskrit indique le Pied, au sens du Soi, l’Être véritable), et image fréquente dans la mythologie grecque qui sert à caractériser l’état d’âme et d’opinions. Mais
”pied d’airain” puisque l’airain indique le conflit et le bruit de la violence et le bruit des bombes) tombe dans la chefferie si présente actuellement. Ce qui signifie que le héros quel qu’il soit doit AVANT TOUT dominer son ego et ainsi réaliser son Soi.
MUR-BLANC INAUGURE LE CULTE DU TAUREAU, DE LA VACHE, DE PTAH L’ARCHANGE MICHEL. Bref, TOUT DE RÉSUME DANS LA TRINITÉ UNIVERSELLE :
AMON-RÉ-PTAH : UN EN TROIS : CIRCUMAMBULATION, symbolisé par l’Ouroboros qui se ferme la bouche (sens du Saint Silence) : aussi au sens du Svastika dans les deux sens (Variation du Thème Yin et Yang, ou du Taureau Noir et du Taureau Blanc et de l’Instant impossible à de représenter avec le mental ou la raison ! (Il faut simplement le vivre, Ici et Maintenant).
Impossible à imaginer puisque aucun phénomène ne peut en examiner un autre, ça fait un COURT-CIRCUIT : LA PENSÉE AINSI PRODUITE PROVOQUE UN
”COMME SI” (c’était possible à saisir, à posséder, à conforter) : une pensée produite et l’objet du recueillement ou saisie, l’image ou reflet : ils apparaissent au sujet comme OBJETS DIFFÉRENTS OU
« PENSÉE ».
Si le Taureau d’airain ne domine pas son airain, ce monde chutera dans LA TROISIÈME RACE HUMAINE : CELLE DU SADISME ET DE LA TYRANNIE DE LA RACE DU BRONZE, CELLE DU TRANSHUMANISME NÉCESSAIREMENT LIÉ AUX INDUSTRIES DU CAPITALISME. RACE DU BRONZE OU RACE DE LA DÉMESURE, comme Nous commençons à l’entrevoir ! L’airain et un métal sacré, ce qui veut dire :
ABSOLUMENT AMBIVALENT : d’une seconde à l’autre, il peut donner la vie, et dans la seconde suivante donner la mort. Pas de plus DOUBLE que la notion de Sacré, ou de Valeur, comme Nous pouvons le vivre en se moment. Le saint est l’ombre du sorcier et le sorcier l’ombre du saint ! R
ejoint le sens de ce qui est caché : Dieu, la saleté ou les excréments, le terroriste, l’insaisissable, tous sont cachés. L’airain sera comme une sorte de BALANCE (de la justice).
AIRAIN = BIPOLARITÉ COMPLÈTE.
La Bonne Voie chez
Ramana Maharshi au jour le jour, le 24-12-1945 soir :
« La Liberté est notre vraie Nature. Nous sommes CELA. Le fait même que nous désirions la libération [la Paix] montre que notre vraie Nature est d’être libre de tout asservissement. Nul besoin de l’acquérir. Il suffit de se débarrasser de la notion erronée que nous sommes asservis [chute,
tiqounisme juif ou réparation, républicanisme et égrégore en balade]. Quand nous y serons parvenus, il n’y aura plus ni désirs ni pensée d’aucune sorte. Tant que l’on désire la libération il est certain que l’on est encore asservi [donc le tiqounisme entretien sans cesse la soumission au relatif, à la dualité sujet-objet…..] ».
DÉSIRER LA « PAIX » C’EST TOMBER DANS LA CHEFFERIE ET LE TIQOUNISME.
Alors : À NOS « QUI SUIS-JE ? » !!! DONC : PLEURER (descendre au plus profond de son être, sincérité exprimée par les Larmes), EAUX PRIM. Les jeunes qui jouent aux
”gros durs” en tabassant à mort un de leur frère humain savent-ils encore pleurer ?
Notes.
1. Un des héros de cette histoire : Sepa, jeune ingénieur de 22 ans et chef des travaux du Jardin de Ptah.
2. Jenemet (couleur en égyptien ancien : femme de Houy et âgée de 35 ans. Houy âgé de 35-45 ans est le serviteur borgne d’Imhotep.
3. Avant 1789 dans de nombreuses régions de France se trouvaient des marques visibles de cette filiation entre Isis et la France. À Paris une grande statue d’Isis fut longtemps conservée dans l’église Saint Germain des Près, jusqu’à ce qu’un prêtre la détruise à coups de pioche au 18è siècle (période plein pot de la naissance de l’actuelle judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717).
Les armoiries de Paris avec la Barque et le devise
”Fluctua Nec Mergitur” rappelle non seulement les Eaux Primordiales, mais aussi l’Atlantide et la navigation des Suivants d’Horus et Anubis l’Embaumeur, soit la coïncidence vie-mort ou SURFEU : OSIRIS ET LA RENAISSANCE ; ce qui se tient en dessous (Anubis se tient dessous dans la Matrice), et en réflexion par rapport à Seth). Ptah sera Maître du Royaume des Morts pendant la nuit (vie cachée), Il annonce l’Aube : on boucle (Ouroboros) avec le Ptah solaire (le ROSE puis le BLANC).
ISIS : VIERGE MARIE, MÈRE, l’Eau de Vie de Thot l’ibis. Elle est la sphère du mental, la source de toute fécondité et transformation, sorte de SHIVA en compagnie de sa compagne NEPHTYS (elle corrompt pour donner vie ; on en a un bon exemple dans le film
”Vivre” de Kurosawa, où le héros est corrompu inconsciemment par son travail imbécile, et corrompu consciemment en
climax ou au sommet par un DEHORS en
”Méphistophélès” comme ce Dehors se qualifie lui-même, ajouté à son cancer principal, son Dedans, cela va déclencher le SURFEU, ICI LA VRAIE VIE).