VOLER, COMME L’OISEAU PHÉNIX (non pas celui que rêvent les marchands du marché boursier).
Le PLOMB la PESANTEUR OU ATTRACTION sera l’anti-rêve, l’anti-Félicité par essence.
Et NIRVANA devrait signifier : EN RÊVE VOLER = ÊTRE EN ÉTAT DE FÉLICITÉ OU DE NIRVANA C’EST LA MÊME CHOSE
FÉLICITÉ = le rêveur vole dans les airs. Si quelqu’un l’accompagne, c’est le TAPIS VOLANT sur lequel il se trouve. Bizarrement le monde japonais de Hayao Miyazaki n’a pas encore abordé le Thème du Tapis volant, qui est le même que celui du Jardin d’Eden, et de la Vallée.
On a pourtant dans le film Le château dans le ciel, la fameuse isle flottante, ou volante :
LAPUTA = aie la Paix où tu es A, c’est-à-dire là où tu es dans l’Instant, le
Ah !
Autre orthographe : LAPUTED, aidé (ED).
Selon Swift, LAP = haut, et scintillement des rayons du soleil sur la mer. UTED peut se traduire par
« aile » (EL ou AL le Divin). Le VENT SOLAIRE ou énergie lumineuse de l’AOR
(1).
LAPUTA = SANS LOI DE SUCCION VULGAIRE, SANS ESPACE-TEMPS, NON-LOCAL, INSAISISSABLE.
LAPUTA =
A est A, la Super Tautologie ‘Je suis ce JE-SUIS’. (Là,
put : mettre, en anglais, donc A est A, Ici et Maintenant). Hayao Miyazaki dans son film en a fait un
”Séquoia” dans le ciel.
Le Plomb engendre LA PEUR DE TOMBER et LA PEUR DU NOIR (probablement depuis cette adoration du soleil et du feu vulgaire qui engendrera la thermodynamique et la métallurgie).
Il est indéniablement que par l’actuelle hystérie autour de l’IMAGE (sous toutes ses formes et surtout médiatique, socialiste, spectre-spectaculaire), est le SYMPTÔME D’UNE VOLONTÉ CROISANTE, et pour ce que nous en vivons,
volonté de PLOMB, de LOURDEUR-PESANTEUR, d’où la volonté augmentée de s’envoyer en l’R, qui fera les marchés boursiers de l’industrie capitaliste de Big Pharma, légal ou illégal c’est la même chose !!!
La volonté croissante va avec l’utilitarisme croissant, et le transhumanisme n’y est jamais loin ! En ce temps de pragmatisme mondialisé hystérique, on n’hésite plus à tout expliquer par l’utilité, preuve ultime que le REFUS DU GRATUIT-AMOUR au profit d’un ordre humain imposé, est l’aspect du refus du Réel, considéré comme trop cru, pas cuit, indigeste, manquant de fictions.
L’utilitarisme de nos jours s’est réfugié dans le BIO (dans l’I.A.), dans le TRANSHUMANISME.
TOUTES ORIGINES SONT LA RÊVERIE PURE.
Le Soleil est HONORÉ avant d’être Adoré et rendu en utilitaire pour cuire, la viande, puis le métal. L’Imagination Créatrice dans le sens d’Ibn’Arabi est bien la forme originelle de toute spiritualité.
TOUTES ORIGINES SONT LA TRANSPARENCE DU TORE AVEC LE NOIR/BLANC DE L’INSTANT : L’ÉVEIL AUTHENTIQUE ET PARFAIT DES IMAGES PREMIÈRES, SANS SECONDE, SANS PRODUCTIVISME (conduisant à la fiction et aux frictions).
UTILITARISME ANGLO-SAXON = LA COPIE, DONC LE DEHORS, LE SPECTRE-SPECTACLE, LES DOUBLES (dans une réalité factice, augmentée, informatisée par l’industrie du capital), AUCUNE ORIGINALITÉ PUISQUE TOUT EST RÉDUIT AU CONVENTIONNEL, AU SOCIAL UTILITAIRE : QUI « SERT » (serf, esclave, merci ou soumission : être à la merci).
VOLER = VRAIE LOI DE SUCCION.
Le Foi, Vraie Loi de Succion, n’est pas possible sans le sens du mot SCIENCE :
- SCIENCE : dans le sens alchimique :
"Prends ceci et fais un monde". Ou bien :
"Prends n'importe quoi et fais-en une pilule ou un clystère" (Thomas Vaughan :
Traité du Ciel terrestre). C’est donc essentiellement le
”QUI SUIS-JE ?” qui englobe le sens du mot
”Science”.
- SCIENCE : dans le sens officiel, et conventionnel :
"Expérience reproductible en tout temps et en tous lieux et contrôlable par d'autres". Ainsi, il s'agit ici d'une technique et non d'une science !
Dans ce sens conventionnel, la ”science” devient un SENTIMENT, UNE POSSESSION.
Après la Renaissance, en Occident, arrive la
« foi aveugle » qui donnera le délire aliénatoire de la technologie inhérente aux industries du capitalisme, dont l’
”intelligence artificielle” totalement dépendante de ces industries du capital : TOUT POSSÉDER, SAVOIR CE QU’EST LA MATIÈRE, DONC TOUT DANS LE DEHORS, TOUT DANS LA RACINE DU MAL LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS, le Dehors étant comme de
”sortir” de l’Univers pour le Pour-Voir (le pouvoir).
C’est pourquoi, qu’on le veuille ou non, avec technologie démentielle ou non, l’I.A., Nous entrons dans l'ère de la synthèse, où la globalité de l'Être qui est en soi (le Soi,
”Je suis ce JE-SUIS”) et de l'ex-istant, sera perçue dans une vision unique, sans hiatus ni solutions logiques de continuité (et ce ne sera évidemment pas la globalité du mondialisme du capitalisme, du Luciférianisme des
Rothschild et autres paroissiens du CAC40 et autres marchés des messes noires boursières.
Ce sens de la foi dans le monde Luciférien est purement de l’ordre du CORPS, donc du mental et des cinq sens ; une foi purement sensible,
« Mais n'y a-t-il pas nombre de catholiques dont la foi est purement sensible, toute faite d'opinions morales « a priori », entièrement tributaire du pathos social et éducatif, ou même simplement une esthétique culturelle ? Ce type de catholiques est hanté par la peur de perdre la foi, et effectivement il peut la perdre. Ils s'entourent d'un rempart fait d'un système d'éducation close, de défenses et d'obligations « a priori », d'une morale d'utilité qui voudrait atteindre les béatitudes sans passer par la Vérité qui la conditionne et les font être ce qu'elles sont. Morale coupée de ses références ontologiques, c'est-à-dire morale-mollusque, qui n'informe pas l'âme mais lui est une simple protection contre les chocs extérieurs, qui évite soigneusement les voisinages impurs, craint de pénétrer par l'intérieur et amoureusement, pour les comprendre, dans l'âme des « méchants ». Morale manichéenne qui ne connaît que le bien et le mal, les bons et les méchants, sans aucune nuance. Au fond, l'existence des « méchants » est nécessaire à ces catholiques qui ne se sentent bons que par référence aux méchants, qu'ils combattent sans désirer leur disparition, car alors la qualité de « bon » n'existe que comme étant le contraire de « méchant ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, Lettre 1 : LA CATHOLICITÉ FACE AU CAPITALISME ET AU COMMUNISME (écrit en 1960) ; et de nos jours ce serait la Catholicité face au monothéisme unilatéral républicain !)
Celui qui SAIT ne dit pas « Je crois ». Le problème, est qu’avec ce monde du Luciférianisme, du tout connecté, tout le monde prétend maintenant à dire : « Je sais ». D’où ce chaos actuel… des infos....
Or la Foi tout court ou l’absence de loi de succion vulgaire N’EST PAS UNE POSSESSION : Il ne peut y avoir « ma vérité », « ma foi » ou « notre vérité », « notre foi » (« notre démocratie », « nos valeurs républicaines »), mais la Vérité et la Foi tout court, parce que, quand elles sont vraies, elles transcendent à la fois le Moi-Individuel et le Moi-Collectif.
Le tout connecté du Luciférianisme et de son monothéisme unilatéral républicain est une machine de destruction humaine, par la vallée du silicium : RÉDUIRE LA POPULATION HUMAINE…. Le célèbre ”Commandant Cousteau” a dit : « C’est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350.000 hommes [et femmes] par jour. C’est si horrible à dire, qu’il ne fait mêle pas le dire. Mais c’est l’ensemble de la situation dans laquelle nous sommes engagés qui est lamentable » (texte d’un article paru dans le Courrier de l’Unesco, en novembre 1991). Cette situation est évidemment celle de LA RACINE DU MAL(2).
Dans ce monde Luciférien, du tout confort ou tout sécuritaire, on ne vole plus simplement le produit de votre conduite de vie, on vole votre façon de conduire votre vie, vos réflexes humains face à l’imprévu, vos cadences à la consommation, votre savoir-faire dans la circulation complexe du tous connectés et de votre gestion des ”
infos”. Pour vous éliminer à court terme. Et on vous les vole gratuitement, puisque ce sont les VALEURS du monothéisme unilatéral républicain, et son égalitarisme mortifère.
La DESTRUCTION DE L’HUMANITÉ, au sens de Cousteau, c’est maintenant LES « RÉSEAUX SOCIAUX », ces PARFAITS ENGRENAGES DU CAPITAL ET NOUVEL ESCLAVAGE SOCIALISTE : LA CHOSIFICATION PROGRAMMÉE DANS LES ENGRENAGES DE LA MÉCANIQUE, L’ALIÉNATION ABSOLUE DE L’ÊTRE HUMAIN. L’humain et son I.A. sont dans L’EGO ABSOLU, LE CULTE DU NARCO-NARCISSISME : LE CULTE DE L’ÉCONOMIE NARCISSIQUE DE L’ÉCHANGISME : LA DUALITÉ VENDEUR-CLIENT (particulièrement évidente dans les milieux gay ! Si on n’a rien à proposer, c’est ”casse-toi !”, ou ”T’es moche !”), le BEST SELLER ou du WINNER-LOSER. Engrenage du consommateur et électeur aux côtés des autres consommateurs-électeurs = échangisme du ”Vivre ensemble” républicain et démocratie dans la logique de récolter un peu partout plein de petites vérités pour en former une grosse, et que ce serait ça la « religion républicaine », DONC LA RELIGION DES VOYEURS, des LUCIFER-PROMÉTHÉE, des AUTEURS, la religion des PROPRIÉTAIRES !!
Les réseaux sociaux ne connectent aucun humain. Les réseaux sociaux assemblent les humains à la manière des engrenages d’une mécanique, FAUSSE, car par son process(eur) mécanique des industries du capital, la mécanique, l’ARTIFICE fait que les humains ne soient jamais dans une HARMONIE d’ensemble : ce ne sont que des échanges de possessions, les infos, des ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” (tous sous location), et rien de plus ; en résumé, le troc originel qui donnera naissance à Wall Street, dont le principe reste le même : échanges d’infos (maintenant dans l’ordinateur et les réseaux….).
La mécanisation de l’humain commence en Europe de l’après 1789 français, car historiquement la mécanisation des âmes, le viol des foules, la mécanisation sociale n’a pas commencé avec les réseaux sociaux de l’informatique, mais a progressé parallèlement à la mécanisation industrielle commencée tout au long du 19è siècle avec la naissance et la montée en puissance de nombreuses banques. L’humain est réduit À UN OBJET D’ÉCHANGE, UN OBJET DE ISME, OU DE MÉCANISME, TEL UN ENGRENAGE. L’HUMAIN EST RÉDUIT À UN ENGRENAGE : LE CITOYENISME, LE CONSOMMATEUR, L’USAGER, L’ANTI-TRANSPARENCE : LE BROUILLARD.
C’est la guerre entre le « pot de fer » (l’urbain, les Hébreux-Juifs) CONTRE les PAÏENS ou Paysans-Ouvriers-Artisans, le « pot de terre ». Guerre commencée il y a plusieurs millénaires contre les Païens accusés d’”idolâtrie”, les Hébreux-Juifs et leur désert se considérant le COPYRIGHT de la Vérité, le « camp du bien ».
La plus belle des
TRANSPARENCES est résumée dans le
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). La Transparence se situe dans l’Instant en
”forme” de Blanc et de Noir de l’Instant ; ou
le SOLVE et COAGULE.
TRANSPARENCE = LA FOI n’est pas quelque chose qui peut se perdre, comme un porte-monnaie. Elle est CON-NAISSANCE : de con, avec, et naissance.
VOLER, ABSENCE DE PLOMB-PESANTEUR OU LA TRANSMUTATION = LA FOI (et non la croyance, mais MAÂT, le direct : ON NE REGARDE PLUS LE DOIGT QUI MONTRE LA LUNE, ON REGARDE DIRECTEMENT LA LUNE). Car regarder seulement le doigt qui montre la lune c’est tomber dans le spatio-temporel, tomber dans la mise du temps chère aux Hébreux-Juifs et à leurs commerces et banques.
« Vous ne devez pas emballer toutes choses avec une chose (opinioner, coaguler ou fixer) et ne pas finir une chose avec toutes choses (
attacher un Instant qui passe à un autre Instant) », dit un maître zen.
INSTANT = TOUT EST DANS TOUT, autre devise alchimique avec celle du
« Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». La Source du TOUT, du TAO, et toujours reliée aux créations, comme les images projetées sur l’écran ou sur tout autre support sont liées à ce support ; même si, de nos jours, de laïcité ou d’opinion à la française, la manifestation ou les images CROIENT s’en détacher. Aussi LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE EST POSSIBLE À N’IMPORTE QUEL INSTANT, La Matière n’étant jamais autre chose, vivante ou morte, solve ou coagule, qu’une CHRIST-allisation de l’Énergie Christ éternelle. TOUT EST BIEN DANS TOUT, et RIEN N’EST DANS RIEN :
« Rien dans le TOUT et tout dans le Rien », tel l’Ouroboros qui se FERME la bouche, le
GATE GATE….
Notes.
1. La Lumière Astrale peut se partager en Lumière Céleste ou Souffle Divin, et en Lumière Astrale ou Âme Astrale.
Dans la Lumière Astrale, il y a :
1- Polarité + ou mâle OD car vivifié par un Adepte pur qui sait diriger les forces aveugles, et pour produire des bonnes causes !
2- Polarité – OB ou Python
(a), partie femelle, état passif, livré à son propre mouvement, entraîné involontairement. Danger/Mort !
3- Les propriétés cachées de la Lumière Astrale sont appelées AOR ou AOÛR symbolisé par le Caducée des 2 Courants ou Serpents cosmiques cosmiques.
*Serpent*. AOR est une combinaison de 1 et 2. AOR est une combinaison de 1 et 2. Ainsi Nous avons
l’EAU des deux Pleureuses :
Isis l’Eau de Vie et Nephtys l’Eau de Mort-Colle.
La Lumière Astrale est symbolisée par un Serpent, mais on pourrait aussi la rapprocher avec le symbole du Chat et ses côtés doux, animal électrique et imprévisible, mystérieux, et sa démarche ondulante de félin.
La Lumière Astrale est une sorte de Creuset qui cuisine ce qu’on a mis dans ce Creuset ; c’est dans elle que réside la latence de Vie, et elle sert donc bien à l’Alchimie (partie physique).
Enfin, il est bien difficile de démêler tout ce qui se balade au-dessus de nos têtes, auquel nous pourrons donner le nom que l’on souhaite !
Il faudrait des
“appareils” pour filtrer tout ça ! Et aussi, c’est là qu’intervient le
“Tout est possible, mais Tout n’est pas permis”, de Roger Bacon. Car si quelqu’un décide de
“commercialiser” de l’Archée en conserve, après avoir réussit à le capter, le danger pourra être grandiose ! phénoménal ! (Actuellement les humains du capitalisme n’ont pas idée du danger de POLLUTION que représente la construction de leurs batteries pour voitures électriques……)
Mais pas de danger, cosmique, parce que : QUELLE ARCHÉE ? ? ?
Pour conclure, il est évident que l’Archée EST DANS la manifestation, ce n’est donc pas le TAO…….
a. PYTHON est un Serpent monstrueux né de la boue de la Terre GAÏA, laissée par le déluge de l’un des 4 âges, l’âge de Bronze, et de Tartare. Python fut tué par APOLLON dieu Grec de la Lumière.
Python semble représenter dans la notion de dieu solaire, ce qui est bon et ce qui peut être néfaste (dualité du sacré) : le Soleil apporte des vitamines pour le corps humain, mais il brûle aussi la peau et les yeux si l’on n’y prend pas garde.
TYPHON est un monstre de la légende Grecque. Il engendre CERBÈRE, L’HYDRE DE LERNE, la CHIMÈRE etc... Il a faillit vaincre ZEUS ! C’est donc l’ennemi de l’Esprit.
Selon H. P. Blavatsky, Typhon vient de l’Égypte ou l’inondation du Nil était appelé Typhon, en Basse Égypte les tertres élevés le long de la rivière pour empêcher les inondations fréquentes, portaient le nom de Typhoniens ou Taphos.
Typhon dans l’un de ses symboles est représenté par un âne.
Enfin Typhon représente aussi un gaz dangereux. (Volcans).
Le DRAGON : il est aussi symbole de Sagesse, de renaissance d’immortalité ; en Chine les Immortels chevauchent les Dragons volants.
2. - Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME
« FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(
Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)