« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée » (
Matthieu 10, 34).
Alors que l’oligarchie est venue, surtout depuis l’après 1789 français, apporter « la paix » (et le bon-heure). Cherchez l’erreur ! Elle est simplement dans le TEMPS QUI COULE.
Le
E Trident des Divinités de l’Eau dont Isis la pleureuse en compagnie de sa compagne Nephtys, en compagnie de Poséidon-Neptune, de Satan, de Shiva (destruction-transformation ou Solve-Coagule), et de Chalchiutlicue et du Caducée d’Hermès. Le
I, Axe du les 3 dents du E (physique, affectif, mental) sur le pivot du I sur la Terre (3 trinité). Ce I sera le Point c’est Tout, le Point Source : LES EAUX PRIMORDIALES (de PARYSIS et son
”Fluctua Nec Mergitur” rappelle non seulement les Eaux Primordiales, mais aussi
l’Atlantide et la navigation des Suivants d’Horus et Anubis l’Embaumeur, soit la coïncidence vie-mort ou
SURFEU : OSIRIS ET LA RENAISSANCE ; ce qui se tient en dessous (Anubis se tient dessous dans la Matrice), et en réflexion par rapport à Seth). Ptah sera Maître du Royaume des Morts pendant la nuit (vie cachée), Il annonce
l’Aube : on boucle (Ouroboros) avec le Ptah solaire (le ROSE puis le BLANC).
PARIS LA VILLE D’YS (Cassiopée le W de la vibration de l’Eau et de Valeur, Vérité, Unité, UVW.
PARIS = EAU-ÈVE (Les Nautes et la devise
”Fluctuat nec mergitur”)
Avec Isis ou ParYsis on est en PER-CE-VOIR, on Pointe tel le
’N’EST PAS X’, ce qui n’a rien à voir avec Pour-Voir ou le pouvoir du voyeur et propriétaire : la
”propriété intellectuelle”, laquelle est la CHUTE dans sa mise en valeur du temps par ré-itérer comme ajouter un instant qui passe à côté d’un autre instant, comme l’ombre de l’aiguille sur le cadran solaire s’ajoutent à une autre ombre et que ça forme
« le temps », grâce à l’éclairage solaire, qui est le seul a bouger.
TRIDENT-FOUDRE = IL FRAPPE : Les Divinités de l’EAU calment ou agitent les Eaux ; évidemment Trident = le
FILET du pécheur, le FILET DU CHRIST PÉCHEUR D’HUMAINS ! Les Chrétiens de l’Église de Rome ont fait de Satan et de son trident : celui qui cuisine les méchants à la morsure du feu.
Bien-sûr le Trident est l’emblème de Shiva.
Satan de nos jours c’est plutôt celui et ceux qui veulent s’égaler à Dieu : les VOYEURS, le POUR-VOIR ou pouvoir tel que le rêve les transhumanistes et c’est très clair dans la bouche d’un Laurent Alexandre, très clair dans une certaine judéo-maçonnerie spéculative à grosse obédience et en réseaux utilitaires, et leur vouloir « retrouver l’authentique méthode de prononciation (de Jéhovah ou J.H.V.H), l’homme pourra rejoindre ainsi Dieu dont il est issu, et pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander aux forces latente dans sa propre divinité », écrit le 33è degré judéo-maçon spéculatif C.W. Leadbeater dans :
Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie. C’est une définition du VOYEURISME :
”reconstituer et voir simultanément toutes les faces du polyèdre” (comme écrit Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 38, 15-10-1976).
Avec le Christ-Jésus s’est, révélée-abattue, sur la planète Terre, LA FOUDRE ; et la république de 1789 fait le contraire comme un genre de
PARATONNERRE, et il n’est pas étonnant que cet outil se rapporte à un judéo-maçon spéculatif : Benjamin Franklin, conventionnellement classé comme un des ”
pères fondateurs” de l’Empire ; la république fait donc le contraire du Christ-Jésus, la république est une MATRONE QUI ÉTOUFFE SES ENFANTS COMME UN ANTÉCHRIST, UN CHRIST À L’ENVERS, un Christ qui apporte le confort, qui apporte le confort des béquilles transhumanistes donc un ANTÉCHRIST.
Tout le contraire des matrones Schwab-Hariri ces faux Christ du Monothéisme unilatéral républicain et leur = « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère : on aura pour ennemis les gens de sa famille ». (Matthieu 10, 34-36).
Le monothéisme unilatéral républicain c’est donc LE DEHORS, LE MONDE PHÉNOMÉNAL assimilé à la
« douceur de la vie » en forme de COUVERTURE SOCIALE, EN FORME DE PASTEURISATION-HYPNOTIQUE, CES
« VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE » QUI SONT VÉRITABLEMENT L’ENNEMI : SI TON ŒIL VOIT TOUTES CHOSES (identifie, saisi toutes choses en leur corps), TON OREILLE ENTEND TOUTES CHOSES, ET TON MENTAL SE RAPPELLE TOUTES CHOSES (socialisme en
”devoir de mémoire”), EN VÉRITÉ, DANS TOUTES CES CHOSES DU DEHORS, TON ÂME EST DÉTRUITE, TU APPARTIENDRA
À LA MATRICE « RÉPUBLIQUE », TU AURAS PERDU TA LIBERTÉ MORALE PRIS QUE TU ES DANS LES RÉSEAUX DU DEHORS TEL UNE MOUCHE PRISE DANS LA TOILE D’ARAIGNÉE, OU TEL LE CONSOMMATEUR PRIS DANS LA TOILE DES RÉSEAUX COMMERCE-SOCIAUX DE L’INDUSTRIE.
L’Être libéré ne compte que sur la DONNÉE, la VALEUR, de sa Vraie Nature dans le sans Dedans ni Dehors quel qu’il soit. Seul un crétin s’intéresse AU DEHORS, à la culpabilité des autres, à laquelle il ne peut rien changer !
La matrice république et ses E-preuves dans ses jeux olympfric/flic en INVERSION DU TRIDENT.
LES SCHAB-HARARI JOUENT AU FAUX CHRIST ; le Christ-Jésus ne dit pas comme les Schwab-Harari et les transhumanistes de Laurent Alexandre aux pauvres losers
: « Soyez sans crainte, je vous apporte le bonheur, vous serez tous heureux ». Ce qu’annonce le Vrai Christ-Jésus, C’EST LE MALHEUR, LE SURFEU, L’INVERSE DU TIQOUNISME, L’INVERSE DU
”MIEUX”, L’INVERSE DU
”BIEN”, DONC L’ANNONCE DU CONTRAIRE DU DORG de l’establishment actuel et son DORG (Demain-On-Rase-Gratis) et de son winnerisme.
LE CHRIST-JÉSUS APPORTE L’ÉPÉE (OU LE TRIDENT TEL SHIVA, OU LA LANCE DE MIKA-EL).
L’épée fiché en terre ou dans une roche : (I, Axe) fichée en terre ou MISE À LA MASSE….., ou dans une roche, dont la lame était le
”bren”, le
brennos : le chef militaire en gaulois du temps de l’expansion celtique des 4è au 2è siècles avant nostre ère, et dont la garde en croix représentait Vishnou en Shiva (conservation/destruction/transformation). Cette épée fichée en terre ou dans la roche donnera par la suite l’épée
”Durandal” dans la littérature médiévale.
ÉPÉE = symbole militaire (le soldat, celui qui touche une solde ou un salaire, le sel). Comme Shiva l’épée et double : destruction-protection ; elle est associé à la justice en séparant le bien du mal, et elle frappe le coupable.
ÉPÉE = FOUDRE, ÉCLAIRS : la lame BRILLE. C’est la foudre d’Indra.
Les Anges qui éjectèrent du Jardin Adam-Ève portaient des épées de Feu.
Vrai Feu = Creuset-Croisel (symbole ci-dessous).
L’épée c’est aussi le DRAGON qui garde, qui protège la Connaissance contre les profanes ignorants. La flamme du Dragon ou l’éclair de l’épée ne peuvent être supportes que par ceux qui Connaissent. De nos jours :
RIEN N’EST GARDÉ : DRAGON ET ÉPÉE ONT DISPARU, ET C’EST LOGIQUE CHEZ LA MATRONE-MATRICE DU PEUPLE ET RÉPUBLIQUE QUI SE VAUTRE DANS « LA PAIX ».
Bien-sût depuis la découverte du feu vulgaire nécessaire pour forger une épée, l’EAU, avec le Feu entre dans la danse : la
”trempe” de l’épée ; l’éclair dans le ciel est aussi lié à la production de la Pluie, L’EAU QUI TOMBE (à différencier de L’EAU QUI MONTE : la Rosée).
Dans la thermodynamique l’épée symbolise les guerres et invasions par l’ennemi, avec conséquence de famines et de peste.
Depuis la découverte du feu vulgaire l’épée ne pouvait QUE faire référence à une luminosité.
Concernant le VERBUM-OPINION :
”Tel qui parle étourdiment blesse comme une épée. La langue des Sages guérit”. (Bible, Proverbes).
Matthieu 15,11 :
”Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme; mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui souille l'homme”.
IL N’Y A PAS DE
« PROMESSE DE VIVRE HEUREUX » des Schwab et Harari, COMME AUSSI L’ONT FABRIQUÉES LES 3 RELIGIONS ABRAHAMIQUES : promettre aux losers de ce monde une compensation certaine dans une autre vie (une forme de SURFEU, voir plus bas). Mais avec Schwab-Harari ce n’est pas dans une autre vie, mais ici-bas, modèle Tout tout de suite et par la grâce du transhumanisme et de ses prothèses des industries du capitalisme.
Or le Christ a dit :
« Qui perd sa vie la gagne », c’est dur, mais le bonheur est dans le :
« Sois tranquille et sache que JE SUIS DIEU ». « Ainsi, la tranquillité est le but du chercheur. Même un seul effort pour apaiser une seule pensée, ne serait-ce qu’un seul instant, pénètre profondément jusqu’à atteindre l’état de tranquillité. L’effort est nécessaire et il n’est possible qu’à l’état de veille. S’il y a effort, il y a aussi conscience ; les pensées sont calmées ; la paix du sommeil est obtenue. C’est l’état du
jnani [celui qui a réalisé le Soi, le sage]. Ce n’est ni le sommeil ni la veille mais un état intermédiaire entre les deux. Il y a la conscience de l’état de veille et la tranquillité du sommeil.
C’est l’état de jâgrat-sushupti [sommeil éveillé]. On peut l’appeler sommeil éveillé ou veille endormie ou veille sans sommeil ou sommeil sans veille. Il diffère du sommeil ou de la veille pris séparément. Il est l’atijâgrat (au-delà de la veille) et l’atisushupti (au-delà du sommeil). Il est l’état combiné de conscience parfaite et de tranquillité parfaite. Il est l’intervalle entre le sommeil et la veille et également l’intervalle entre deux pensées successives. Il est la source d’où s’élancent les pensées ; nous pouvons l’observer lorsque nous sortons du sommeil. En d’autres termes, les pensées ont leur origine dans la tranquillité du sommeil. Ce sont elles qui font toute la différence entre la paix du sommeil et l’agitation de l’état de veille. Allez à la racine des pensées et vous atteindrez la tranquillité du sommeil. Mais vous ne pouvez l’atteindre qu’avec toute la vigueur de la recherche, c’est-à-dire avec une conscience parfaite.
C’est encore l’état de jâgrat-sushupti dont nous avons parlé auparavant. Il n’est pas ennui, mais il est Félicité ; il n’est pas transitoire, mais il est éternel. C’est de lui que procèdent les pensées. Que sont toutes nos expériences sinon des pensées ? [le scribe de la page souligne] Plaisir et souffrance ne sont que de simples pensées.
Elles sont en nous. Si vous êtes libre de pensées tout en demeurant éveillée, vous êtes cet Être parfait ». (
Ramana Maharshi, entretien 609 du 18-1-1939).
Ainsi le LOSER de ce hui sera le WINNER d’avant hier (hors temps conventionnel…… donc dans le Soi).
En complément des 3 religions abrahamistes, QUE FAIT L’ESTABLISHMENT DE CETTE ÉPOQUE ACTUELLE EN RÉGIME RÉPUBLICAIN ?
IL REMPLIT !
IL REMPLIT, tant les gens sont aliénés, privés d’eux-mêmes. Il fait donc REMPLIR LE TROUPEAU HUMAIN POUR LUI DONNER UNE RAISON DE VIVRE MAIS SURTOUT ET ÉVIDEMMENT : D’ACHETER ! Les jeux olympfric/flic de l’été 2024 en sont une preuve dans la logique de l’Empire romain : du pain, du vin, des jeux. IL FAUT DONC UNE CAROTTE, UNE RENTABILITÉ, UN DIEU POUR CES HUMAINS : la carotte attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer et si par accident l’âne arrive à bouffer la carotte, ou si la laïcité et l’athéisme s’installent, comme avec un moteur à essence ou électrique, il faudra remettre de l’essence ou RE-charger la batterie, dans la logique du
”Plus ça change et plus c’est la même chose” !!
LES HUMAINS CHERCHENT DONC UN LIBÉRATEUR, et en été 2024 en France ce seront les jeux olympfric/flic.
La race humaine ne peut vivre son ICI sans un AILLEURS-CAROTTE OU ABSOLU. André Malraux l’athée intégral, a pu faire partie du Comité de soutien de l'œuvre de Teilhard de Chardin, donc Malraux dans La Condition humaine, écrivait :
« Il faut que quelque chose soit sûr. Il faut ».
Ainsi la race humaine comme l’âne a besoin de sa
« peluche », de sa CAROTTE-AMOUR, BESOIN DE SUCCER SON POUCE ET DE NOS JOURS CE SERA
« TÉTER SON SMARTPHONE , héritage de la tétée du sein maternel dont dépend le nourrisson.
Comme l’exprime André Malraux, la race humaine actuelle A PEUR DU VIDE (il lui faut de la coagulation, du concret, de la matière-objet donc du Pour-Voir POUR SE REMPLIR LE BIDE, LE MENTAL).
POURQUOI ?
Parce que la race humaine périt sous la tyrannie de l’opinion sous la poussée du mental. L’opinion qui prétend se baser sur la
”raison” ou sur une
”logique”. L’ennui, c’est tout système logique, si correct qu’il soit, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables, adoptés pour le seul motif de la satisfaction de l’ego possessif. Ces prémisses prennent valeur du
”il faut” à la Malraux. Et ce dogmatisme sera d’autant plus intraitable qu’il sera inconscient, COMME UNE MAGIE, COMME UNE POSSESSION AU SENS DÉMONIAQUE, PARCE QUE TOUT DANGER D’ABSENCE DU
« IL FAUT », OU D’ABSENCE DU
”COMME SI”, OU
D’ABSENCE DE MAGIE, DONC TOUT DANGER DE N’Y PLUS CROIRE VA CRÉER
LA PANique devant le VIDE, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre ! C’est pourquoi toutes les industries du capitalismes, avec leurs médias, leurs jeux olympfric/fric, leur entertainment, Hollywood, la politique, la f(r)iction, les élections, les émotions, la république, les banques, tous ont encore de nombreux beaux jours devant eux !
Mais le Mystique authentique n’a pas à craindre cette PANique, parce qu’il ne croit pas au dogme, il le SAIT ; et c’est pourquoi le Mystique n’est pas dogmatique. (En réf. à la lettre 26, le 25-11-1973, par Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux).
L’AMOUR de nos jours : votre ADHÉSION (contrat, con-tact, accord, loi de succion) A EXPIRÉ……
ÈVE (Eaux) a croqué la POMME, LA VIE EST DONC LE PÉCHÉ ORIGINEL, Ève commet le CRIME DU FAIRE/FER EN CUEILLANT LA POMME DE L’ARBRE DE VIE, ET CE CRIME LA CONDAMNE : ÉJECTION DU JARDIN ET TRAVAIL AUX MINES DU TEMPS QUI COULE (et du
”Point sur le I” du ”
Un Point c’est Tout”) ET DE L’HISTOIRE ET DE L’OPINION QUI VA AVEC.
Votre ADHÉSION (contrat, con-tact, accord, loi de succion) A EXPIRÉ ?
L’AMOUR, la FÉLICITÉ naturelle ne peuvent pas ”expirer” !
Dans l’Évangile de Marc, il n’existe pas d’allusion à un péché originel à
« laver par le sang », ou à laver par le
”Mieux”. Et pourquoi Dieux fait-Il souffrir son Fils le Christ-Jésus ? Marc 1,11 : « Et une voix fit entendre des cieux ces paroles : Tu es mon Fils bien-aimé, en toi j'ai mis toute mon affection ».
LÀ, ont pénètre dans le GATE GATE
(1) : Dieu est
« bon », Il fait souffrir ses Enfants : l
a république fait l’inverse : elle borde les petits lits de ses paroissiens consommateurs, ou elle procède à la mise en valeur du
”temps c’est de l’argent” !
DANS LES DEUX CAS IL S’AGIT D’UNE RELIGION : dans l’une il est dit naturellement que
« QUI PERD SA VIE LA GAGNE ». Et dans le monothéisme unilatéral républicain il est dit transhumanistement :
« ENRICHISSEZ-VOUS, GAGNEZ VOTRE VIE » (
”Votre ceci, votre cela“, la propriété),
« GAGNEZ VOTRE VIE » (phénomène du salariat, du Dehors et du
Eyes Candy et du DORG).
LA PEUR DU VIDE fait que la race humaine a besoin d’ÊTRE AIMÉ (par un Dieu, par le concept du mot A-Mur (du A privatif et mort : privé de mort ; mais depuis Éve et sa Pomme c’est INVERSÉ :
LA VIE DEVIENT LA MORT, voir le phénomène jeux olympfric/flic d’été 2024).
La race humaine CROIT que sans cesse un Autre, un DEHORS, un truc
« pur » est sans cesse à côté d’eux pour les câliner, les border dans leur petit lit…
RIEN NE PROUVE QUE CE « DIEU », CET AUTRE, CE DEHORS, SOIT
« BON » ET
« TENDRE » AVEC LES HUMAINS, comme l’exprime d’une certaine façon l’entretien 30 du 4-2-1935 de Ramana Maharshi :
- Mr. Natesa Iyer, brahmane orthodoxe et avocat dans une ville du sud de l’Inde, demanda : « Les dieux Ishvara ou Vishnou et leurs demeures sacrées, le mont Kailâsa et Vaikuntha, sont-ils réels ? »
- M. : Aussi réels que vous êtes dans ce corps.
- Q. : Possèdent-ils un vyavahâra-satya, c’est-à-dire une existence phénoménale comme mon corps ? Ou bien sont-ils une fiction comme les cornes du lièvre ?
- M. : Ils existent vraiment.
- Q. : S’il en est ainsi, ils doivent se trouver quelque part. Où donc ?
- M. : Des gens qui les ont vus disent qu’ils existent quelque part. Nous devons donc les croire.
- Q. : Où existent-ils ?
- M. : En vous.
- Q. : Mais alors, ce sont simplement des idées que je peux créer et contrôler ?
- M. : Il en va ainsi de toute chose.
- Q. : Mais je peux créer de pures fictions, par exemple des cornes de lièvre ou bien des choses qui ne sont que partiellement vraies, comme des mirages, etc. Par contre, il existe des faits indépendants de mon imagination. Les dieux Ishvara et Vishnou entrent-ils dans cette dernière catégorie ?
- M. : Oui.
- Q. : Sont-Ils sujets au pralaya (la dissolution cosmique) ?
- M. : Pourquoi le seraient-ils ? L’homme qui devient conscient du Soi transcende la dissolution cosmique (pralaya) et atteint la Libération (
mukti). Pourquoi pas Dieu (Ishvara) qui est infiniment plus sage et plus capable ?
- Q. : Les dieux (deva) et les démons (pishâcha) existent-ils de la même manière ?
(2)
- M. : Oui.
- Q. : Comment devons-nous concevoir la Conscience suprême (chaitanya-brahman) ?
- M. : Comme ce qui est.
Se sentir « aimé », ou savoir qu’on est « aimé », c’est du commerce, de l'intérêt, de la dualité sujet-objet !!!
Se sentir « aimé » = la PROMESSE de ceci ou de cela. La promesse = la mise en valeur du temps.
L’E-Preuve ou le SURFEU, L’ABSOLU.
« QUI PERD SA VIE LA GAGNE », a dit le Christ-Jésus (« Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera », Matthieu 10, 39).
Idem :
« Et que sert-il à un homme de gagner le monde entier, s'il ruine sa propre vie ? » (Marc 8, 36). Idem avec Ramana Mahashi : à l’âge de 17 ans en juillet 1896, à l’image plus tard de Jean Coulonval le 25-10-1941 un après-midi en Algérie, eut lieu leur grande transformation, par la souffrance pour le Maharshi (il se sentait mourir), et par une
« vision » pour Coulonval qui passa le reste de sa vie à la mettre en mots. L’illumination du mental joue un rôle essentiel ; cependant, le cas de Coulonval est UNIQUE, original, telle une Création ex nihilo, alors que sa vie auparavant s’était déroulée dans la souffrance, le malheur, la pauvreté et avec une pensée scolaire, apprise, sans aucun contact avec une once de spiritualité, alors qu’en ce 1941 LA Spiritualité avec un Grand S lui fut insufflée (PANique) en quelque minutes, sans qu’il ne demande rien ! Après cela, Coulonval NE SAVAIT RIEN DE PLUS, IL N’AVAIT RIEN
”GAGNÉ”, mais sa PER-sonne SAVAIT qu’il SAVAIT ; on appelle ça aussi :
« ÉVEIL », ou
« Ainsité », la Grâce. Ce sera le cas de Ramana Maharshi, le même Thème en une autre Variation.
Voilà une partie de réponse au Pourquoi le Père-Mère-Dieu fait souffrir son Fils.
DIEU EST BON, IL FAIT SOUFFRIR : ON PEU APPELER ÇA :
LE SURFEU, OU ENCORE :
LA PUTRÉFACTION, LE RENONCEMENT : Puisque Ici-bas Nous sommes, depuis ÈVE ET LA POMME, condamnés à vivre-disparaître, puisque l’INSTINCT de la mort s’impose un jour à la vie la plus winneriste, alors le SURFEU, LA CROIX, PANique, le SURFEU la PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT INTERVIENT : détruire le FEU de nostre Vie par un CONTRE-FEU OU VRAI FEU, évidemment sans flamme ni cendre, qui portera le ”…….” au Centrum Centri de l’Être ; c’est l’Ouroboros qui se FERME LA BOUCHE (et non qui avale sa queue), parce que l’énergie se REtourne contre lui comme le RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE OU L’INVERSE DE
« CROQUER LA POMME » (on en
”bouche un coin”), alors l’être devient enfin l’Être, le TOUT, DONC IL DEVIENT LA PREUVE LA PLUS CLAIRE DE SON EXISTENCE. C’est ce qu’il se passa pour le Maharshi et Coulonval. LE, Paradoxe Suprême : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
Ainsi : « Être, c’est ce SERAIT
”se faire être” » (et non
”se faire avoir”), soit devenir comme Ptah, le NÉ DE LUI-MÊME….
PARADOXE DE LA RÉALISATION :
« COMME SI » le Libéré, qui l’est par Nature, avait besoin d’un
« Ailleurs » pour devenir un Éveillé authentique et parfait ! Avec des
”comme si” on invente l’évolutionnisme…
LA GRÂCE, L’ÉVEIL, échappe à tous contrôles humains, à toute raison et ainsi à toute laïcité ou opinion et possession.
De là j’en viens à cet Outil merveilleux qui est le PARADOXE QUI FAIT LA PARTIE DU THÈME DE L’ENTRÉE (dans la dimension absolue).
Tertullien écrivait :
« Et mortuus est Dei filibus, prorsus credibile est, quia ineptum est. Et sepultus resurrexit ; certum est, quia impossibile est » (Et le fi(s)l de Dieu est mort, chose parfaitement croyable parce qu’elle est absurde. Et, ayant été enseveli, il ressuscité ; chose certaine parce qu’elle est impossible). Le Paradoxe est un de Nos bien humains spirituels suprêmes, alors que l’uniformité du mondialisme matérialisme égrégorien et informatisé par les industries du capitalisme est signe de faiblesse. C’est pourquoi une religion est mourante quand ses paradoxes diminuent et se perdent, alors que leur multiplication l’enrichit, car seul le Paradoxe est capable d’embrasser, même approximativement, la plénitude de la vie et de la Réalisation du Soi totalement Paradoxe suprême. Ce qui est, comme de nos jours de ‘laïcité’ et de tyrannie de l’opinion où chacun veut posséder sa vérité, sans ambiguïté et surtout sans contradiction, sinon on est traité de
« complotiste », ne saisit qu’un seul côté des choses et fait la dualité cause-effet la plus grande, et, par conséquent, est incapable d’exprimer l’insaisissable et l’indicible, la Singularité, la Vierge Noire…
Voilà pour l’explication de Dieu le Père-Mère qui fait souffrir son Fils sur la Croix, le Point Focal, le
”Un Point c’est TOUT”, l’AMOUR, ou c’est la TAO :
CON-SPIRATION = TÉTER MA MÈRE : se libérer
de la pensée unique juivo-évolutionniste déjà
évoquée par Lao-tseu à la fin du Verset 20 du
Tao-tö king : « Moi seul, je diffère des autres
hommes parce que je tiens à téter ma Mère ».
CON-SPIRATION se traduit : de con, avec, et
souffle, CHAMP ou VRAIE LOI DE SUCCION
(persan : ham-damî) : UNE SYM-PATHIE
(-pathie, éprouver, E-preuve), UN AMOUR :
« TÉTER MA MÈRE ».
« TÉTER MA MÈRE » comme Lao-tseu.
Telle ‘je’ pris au sens de la PERSONNE, donc la QUALITÉ (et non la quantité comme en régime du monothéisme unilatéral républicain et son
”Vivre ensemble”), la Père sonne mal depuis la Pomme d’Ève, alors il sera perpétuellement en transmutation en queste de son SURFEU.
À SUIVRE……