Halte aux inquisiteurs du racisme

 

 

Antisémitisme ne veut plus rien dire actuellement, car ce mot est servi à tort et à travers. D’après le dictionnaire le Robert, Sémite vient de Sem, un des « fils de Noé ». Noé et son Arche ou arché-type : principe ou modèle, ou original. Ainsi l’Arche de Noé contient un modèle de tout ce qui doit peupler la Terre. Encore une invention humaine bien-sûr ! et d’un coin isolé de la Terre occidentale, et qui est usurpé de l’inconscient collectif de l’ensemble des terriens. Car le mot Arche découle du mot alchimique Archée : principe de vie, sorte d’énergie, le Souffle Vital ou Prâna en Sanskrit qui remplit et détermine la Longueur Largeur Hauteur.
L’Archée, Âme-Esprit générale, met en mouvement, pénètre toute la Nature. C’est un principe indéterminé, une sorte de chaleur céleste, présente partout et à chaque Instant. (Point)

 

C’est “ l’Éther-Père ”, base et source manifestée des phénomènes innombrables de la Vie.
Donc les sémites sont différents peuples provenant d’un groupe ethnique originaire d’Asie occidentale et parlant des langues apparentées :
1 – Septentrional :
Assyro-Babylonien
Hébreu (Samaritain et Moabite)
Phénicien (Punique)
Araméen (Chaldéen, Syriaque, Sabéen)
2 – Méridional :
Arabe
Himyarite
Éthiopien

Au lieu d’appeler ces langues : langues sémitiques, on aurait pu les appeler : langues archétypes ; mais c’est faire injure aux autres langues, notamment les langues indo-européennes. Conclusion : on est coincé !

L’origine du mot racisme est très récente : fin du 19è siècle ; peut-être à cause de l’Amérique et du monstrueux esclavage des Africains. Mais les Espagnols ont rendus les peuples du Soleil (Mayas etc.) aussi esclaves, et pire, en les forçant à se convertir à leur religion. Il y a déjà là une forme de racisme : une domination d’une race sur une autre. D’ailleurs le mot race ne peut plus être employé actuellement, il a un sens de racisme ; alors qu’avant 1900 il était souvent employé dans la littérature, notamment les écrits de H.P. Blavatsky. A mon avis, encore la faute aux Américains et à leur esclavage (annonce prémonitoire de l’impérialisme américano-juif). Pour un chien, un cheval ou un autre animal on continu de parler de race ! alors que nous sommes aussi des animaux...

Racisme sur le Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nationalisme_racial (article peu clair ! et donc à manier avec des pincettes ! surtout lorsqu’il s’aventure dans le social et le scientifique, en voulant faire sérieux donc « trop polie pour être honnête ». Bon courage si vous arrivez au bout de l’article, et surtout si vous vérifiez les références)

Race possède le sens de « famille » ; de « paroisse », si on y ajoute une pratique religieuse ; à ce moment là on parle d’infidèles... (Encore une fois, voir les Espagnoles et le massacre des Peuples du Soleil, mais aussi les Croisades des chrétiens du Moyen-Âge).

Tout comme la souffrance, on ne peut pas avoir le monopole du mot race à cause des Juifs ! Ne jamais oublier les cinquante millions de morts russes victimes des Juifs bolcheviks.
Le racisme ou ségrégation (séparer du troupeau ou de la paroisse) des femmes, à cause de certaines pratiques religieuses, est un fait dans la trinité : cuisine-ménage, pondeuse, prières ; pendant que le mâle va au casse-pipe ou ramène du fric à la maison.
Le racisme dans sa forme la plus simple : le délit de sale gueule... parce qu’on ne ressemble pas à un modèle ou une mode, parce qu’on ne fait pas comme tout le monde, parce qu’on a un physique dit ingrat.
Il y a aussi un racisme anti-vieux, anti-jeunes, anti-gros, anti-gays, etc.
Le racisme dans son sens moderne et dans le travail : si vous portez un nom à consonance de l’Algérie par exemple, on vous refusera l’embauche dans certaines entreprises où on utilise de la technologie délicate. Pareil si vous habitez certains quartiers ayant mauvaise réputation.
Enfin, si on peut être traité de « sale juif », on peut être aussi traité de « sale communiste », voir de « sale russe », et pourquoi pas de « sale umpétiste ». Bizarrement, ou à l’instigation d’un groupe de pression, seulement dans un de ces quatre cas on peut se retrouver devant un tribunal, tout au moins à notre époque.

Court extrait de l’excellent article d’un Avocat Général à Paris, à propos de certains dont les chevilles gonflent et qui se prennent pour des philosophes, comme si c’était un métier et une fonction et une qualité, comme celle du garagiste du coin ; alors que le garagiste est simplement un homme avant tout, avec une fonction rémunératrice.

Ça existe un philosophe milliardaire ? Ou alors c’est un philosophe juif !

Ainsi, pour BHL, on est raciste ou antisémite parce qu'on affirme qu'on ne l'est pas. En effet, "le silence est une infraction". Qui ne voit l'impressionnant rouleau compresseur de la liberté qui risque de se mettre en branle ? Lorsque BHL répond à un journaliste, qui lui demande "comment faire alors pour démontrer qu'on n'est pas raciste ou antisémite", que lui sait "qui est raciste ou antisémite" et que les médias sont responsables de la vulgarité et de l'effervescence qui accompagnent ses interventions, il demeure avec complaisance dans le registre du totalitarisme personnel. Il impose, par décret, son autorité intellectuelle et espère qu'elle tiendra lieu de tout. Plus personne n'est à l'abri sur le plan du racisme et de l'antisémitisme puisque nous sommes tous coupables  de nous taire ou de nous exprimer. Faire silence sur le pire, c'est l'admettre. Dire, c'est forcément du racisme ou de l'antisémitisme. C'est Garcia l'accusé  ou Siné le polémiste honni. Notre juge, notre Grand Témoin, c'est BHL. Le monde ainsi est bien ordonné qui l'a offert à ceux qui errent dans le noir et qui n'ont plus qu'à s'en remettre à lui.

 

Voir également une page bien gratinée et lucide !

Et une autre sur l’art de faire du fric.

 

M.R.