Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Schwarzy, les nouilles, la bière
Schwarzy, les nouilles, la bière Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-08-2009 15:27

Pages vues : 39790    

Favoris : 168

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Business, Arnold Schwarzenegger, Politique, Propagande, Publicité


arnold-schwarzenegger.jpg
 
Schwarzy, les nouilles, la bière
Winner et pragmatisme
Рекламный Шварценеггер
 
 
Pour le pragmatisme chez nous en France, voir notre Schwarkozy et son symbolique Karcher !

C’est fou ! on vit une époque folle, là où les saltimbanques à la Phineas Barnum peuvent devenir politiciens et arrondir leur fin de mois en faisant les clowns pour faire vendre. Tout se vend et s’achète, même bientôt l’air... du temps. Réclame et propagande ou prosélytisme par tous moyens doivent-être les deux mamelles des États-Unis.
 
Arnold Schwarzenegger (j’ai fais un copier-coller de son nom, dont l’orthographe est difficile a retenir !), n’a pas été aux États-Unis pour rien. Dans ce pays tout est bon pour faire du business. Le plus, c’est son image, le magnétisme du look bodybuilding qu’il dégage, et ça c’est bon pour cette société American way of life baignant dans une diarrhée de jouissances matérielles. C’est bon pour le côté winner, le côté pragmatique englobant la compétition et la rentabilité.

Schwarzenegger illustre parfaitement l’américanisme, lequel unifie le pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et l’identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire ; et il abandonne les choses de l’esprit au dévergondage religieux des sectes. Bref, tout cela sent à fond la propagande du « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », dangereusement comme une nouvelle religion, et jusqu’en Asie comme on peut le voir sur la vidéo (ici incomplète, car il y a encore plus de vingt spots avec Schwarzy pour les mêmes produits). Difficile de savoir les dates des publicités tournées par Schwarzy, peut-être ont-elles été réalisées avant son manda de politicien en Californie.

Qui dit winner dit loser : il ne faut jamais oublier les deux côtés d’un symbole, c’est comme quand on dit une école supérieure ; ainsi il y aurait des écoles inférieures ! Merci pour TOUTES les écoles !
Si la richesse appelle la richesse et la pauvreté appelle la pauvreté, Schwarzy s’y entend à enfoncer les losers, un peu comme Obama avec la santé des vieux et des malades pour faire des économies. Il est bien connu qu’il n’y a aucune morale dans le business et l’argent et donc aucune bonté.
 
 
Un parfait exemple de l’horreur destructrice : compétition-rentabilité :
« Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe de s’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales ».
Percy Barnevik, PDG d’ABB, 1995
 
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 18-08-2009 20:03

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >