Lois criminelles, Inquisition
« Dans un État libre, il n’appartient ni au Parlement ni à l’autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l’État, même animée des meilleures intentions, n’est pas la politique de l’histoire ».
Il est de lois idiotes, voir criminelles, selon Voltaire (voir plus bas, et c’est de toutes époques. Qu’on pense à la loi Hadopi, à la loi Gayssot, etc.). Voltaire explique aussi dans son Dictionnaire Philosophique que Platon, Homère, etc. qu’il est « contre le bon ordre » qu’un homme pense par lui-même. En un sens c’est logique, car avec le bagage héréditaire, l’apprentissage de sa langue maternelle, les déformations dues aux écoles de Jules Ferry et de la société, font qu’il est pratiquement impossible de penser à partir du VIDE et de se créer sa propre opinion totalement originale. En ce qui concerne la « réalité historique », bien malin celui qui pourra en connaître l’exactitude, surtout dans les conflits sur notre planète Terre dans ces deux derniers siècles. Il est très facile lorsqu’on a un grand pouvoir politique ou financier de déguiser l’histoire : En Russie soviétique des juifs bolcheviks les goulags furent soigneusement déguisés pour qu’on en ignore tout ; et dans la Russie actuelle, de 2009, Staline est de nouveau considéré : on le prend pour un grand manager (notamment à cause de sa stratégie au cours de la seconde guerre mondiale), des articles de souvenirs fleurissent dans des boutiques à Moscou... Infâme ! quand on pense aux dizaines de millions de morts victimes de ces assassins : Lénine, Trosky, Staline, et de beaucoup d’autres assassins, ils étaient si nombreux !
En ce qui concerne la critique et la remise en cause de l’histoire, c’est la grande inquisition aussi bien en Russie actuelle qu’en France : interdit de remettre en cause certains faits, qui « paraissent établit » : événements en Russie au cours de la seconde guerre mondiale, et en France à cette même période interdit de remettre en cause l’existence des chambres à gaz. Dans ces deux faits certainement du à des groupes de pressions... rien n’étant neutre, surtout quand il entre des intérêts financiers et religieux ! allez savoir la vérité, et pas celle qu’on nous apprend dans les écoles de Jules Ferry et reprise dans des centaines de livres « bien pensants ». Allez savoir la vérité, ou ce qui pourrait s’en approcher, dans les fameux « attentats » du 11 septembre 2001 ; il y a tellement d’intérêts en jeu ! Quand on pense à l’indéracinable version officielle du 11 septembre 2001, et quand on voit ce qui arrive aux quelques célébrités qui osent contester cette docte version officielle, il y a de quoi frémir à propos de choses fausses déclenchées au cours de la seconde guerre mondiale... Il y avait de quoi frémir en voyant la foi, car il s’agit de foi, cette foi qui possédait la conscience de « bien faire » chez Ceaucescu en Roumanie lorsqu’il a été renversé de façon curieuse (le communisme étant une religion inversée, en creux).
« En général, il est de droit naturel de se servir de sa plume comme de sa langue, à ses périls, risques et fortune. Je connais beaucoup de livres qui ont ennuyé, je n'en connais point qui aient fait de mal réel. Des théologiens, ou de prétendus politiques, crient : « La religion est détruite, le gouvernement est perdu, si vous imprimez certaines vérités ou certains paradoxes. Ne vous avisez jamais de penser, qu'après en avoir demandé la licence à un moine ou à un commis. Il est contre le bon ordre qu'un homme pense par soi-même. Homère, Platon, Cicéron, Virgile, Pline, Horace, n'ont jamais rien publié qu'avec l'approbation des docteurs de Sorbonne et de la sainte inquisition ».
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« Vous craignez les livres comme certaines bourgades ont craint les violons. Laissez lire, et laissez danser; ces deux amusements ne feront jamais de mal au monde ».
(Voltaire, Dictionnaire Philosophique, article : Liberté d’imprimer)
« Il n'y a point d'année où quelques juges de province ne condamnent à une mort affreuse quelque père de famille innocent, et cela tranquillement, gaiement même, comme on égorge un dindon dans sa basse-cour. On a vu quelquefois la même chose à Paris ».
(Voltaire, Dictionnaire Philosophique, article : Lois criminelles).
Source : Libertés Internets
Extrait :
Orwell dénonçait le totalitarisme et les atteintes aux libertés, notamment à la liberté d’expression. Aujourd’hui, le politiquement correct incarne ce Big Brother, grand surveillant des paroles et grand vigilant. La Gayssot attitude, initiée dès 1986 par des députés socialistes au nom de la défense de la vérité, bloque la marche du savoir, selon l’expression de l’historien François Furet, car elle empêche la confrontation des arguments. Ce que l’on appelle « loi Gayssot », en son article 9, est l’article 24 bis de la loi de juillet 1881 sur la liberté de la presse. En voici le premier alinéa :
“Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale.”
Article 6 (c) de ce statut : ’ Les Crimes contre l’Humanité ’: “c’est-à-dire l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation, et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions, qu’ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du Tribunal, ou en liaison avec ce crime.”
On notera que l’expression « chambres à gaz » ne figure dans aucun de ces textes. Une société de connaissance ouverte peut difficilement accepter une telle disposition qui soumet le débat public aux décisions d’un tribunal militaire. La loi du 26 janvier 1884, article 3, alinéa 1, énonçait un « principe fondamental reconnu par les lois de la République (PFRLR) : “Le service public de l’enseignement supérieur est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions. Il doit garantir à l’enseignement et à la recherche leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique.”
La mécanique du politiquement correct va-t-elle si vite que ces mots ne veuillent plus rien dire aujourd’hui ? Dans la culture occidentale, on doit, pour la qualité de l’instruction publique, pouvoir fournir en permanence les éléments objectifs établissant les faits scientifiques ou historiques, justifiant les diverses théories ou politiques élaborées à partir de ces faits. On ne peut s’en tenir à la position irréfléchie de 34 historiens français qui eurent ce que Paul Thibaud a appelé par la suite “un réflexe de cordon sanitaire” ; ils annoncèrent publiquement leur refus de débattre :
“Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été techniquement possible puisqu’il a eu lieu. [...] Il n’y a pas, il ne peut pas y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz.” (Le Monde, 21 février 1979).
La suite ICI.
Maintenant, je ne peux m’empêcher de remettre ici quelques lignes d’après le livre de Norman G. Finkelstein, dénonçant dans son livre l’un des plus grand « larcin » de tous les temps : l’industrie de l’Holocauste et l’exploitation de la souffrance des Juifs.
Il existe un organisme officiel, la « Claims Conference », qui propose une liste de dizaines d’organisations affiliées : une vaste bureaucratie bien huilée a pris naissance. Les compagnies d’assurances, les musées d’art, l’industrie privée, les locataires, les fermiers de la plupart des pays d’Europe sont ses cibles potentielles. Mais les « victimes de l’Holocauste dans le besoin », au nom desquelles agit l’industrie de l’Holocauste, se plaignent de ce qu’elle « ne fait que perpétuer l’expropriation ». Beaucoup ont engagé des procès contre la Claims Conference. Il se pourrait que ce soit l’Holocauste qui apparaisse comme « le plus grand larcin de l’histoire de l’humanité ». L’industrie des compensations est un sujet tabou aux États-Unis. Le site internet H-Holocaust ( http://www2.h-net.msu.edu) par exemple, censure les messages critiques, même s’ils contiennent une documentation solide.
« Il est généralement admis que la solution finale fut une extermination extraordinairement efficace, à la chaîne industrielle. (Un auteur remarque d’ailleurs, que jamais auparavant dans l’histoire des hommes, des hommes n’avaient été tués comme à la chaîne).
Mais si, comme le suggère l’industrie de l’Holocauste, plusieurs centaines de milliers de Juifs ont survécu, c’est que la Solution Finale n’était pas si efficace, après tout. Elle devait tenir de l’improvisation - exactement ce que soutiennent les négationnistes. Les extrêmes se touchent ».
En dehors de la « vérité historique », « L’anormalité de l’Holocauste nazi ne provient pas de l’événement lui-même mais de l’exploitation industrielle qui s’est développée autour de lui. L’industrie de l’Holocauste a toujours été en faillite morale, et cette faillite doit être maintenant publiquement déclarée. Il n’est que temps de faire cesser cette affaire. L’attitude la plus respectueuse envers ceux qui sont morts est de protéger leur mémoire, de tirer enseignement de leur souffrance et de les laisser enfin reposer en paix ». (Conclusion de N.G. Finkelstein dans son livre).
C’est avec de tels arguments de victimes du « mal absolu » qu’Israël autorisa légalement la torture, sous prétexte aussi que son territoire était menacé.
Dernière mise à jour : 18-10-2009 21:38
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