Religion de la laïcité française
 

Ecrit par Sechy, le 27-10-2010 15:31

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Tags : Argent, Banques, Chaos, Communisme, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Instant, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Loi, logique, Matérialisme, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Religions, République, Sable, Sang, Santé, Supplices, Synarchie, Terreur, Terrorisme, Tortures, Travail, Yôkai

 
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Religion de la laïcité française

La laïcité démiurge remplace le démiurge Staline :
DÉBUT DU LIBÉRALISME à la John Locke,
DÉBUT DE LA MONDIALISATION
 
 
 
La pire des censures est l'autocensure
 
 
 
Voir aussi la page Wiki sur CONSENSUS

anipucsac1.gifVoir la page sur le marxisme qui rappelle la dictature de la laïcité
 
RAPPEL : L’État laïque français, l’expression a déjà trois sens. Avant 1789, la monarchie française de droit divin était laïque en ce sens que le roi ne gouvernait pas l’Église et que l’Église ne gouvernait pas le royaume [ce n’était pas une Théocratie, la France avant 1789 était un État confessionnel catholique, n’en déplaise à l’actuel Grand Maître du Grand Orient de France]. En 1789, la France des droits de l’homme et du citoyen n’est pas laïque puisqu’elle les proclame « en présence et sous les auspices de l’Être suprême » [Dieu, dans la Déclaration Universelle modèle 1793]. Elle est pourtant laïque au sens de l’article 18 [culte de l’opinion, le pire des articles de cette Déclaration Universelle modèle 1948 avec l’article 19], qui refuse toute discrimination fondée sur une conviction religieuse ou irréligieuse. Peut être dit laïque tout État qui reconnaît, respecte et assure l’absolue liberté de conscience de tout homme et de toute femme sur son territoire, sinon c’est une dictature ou un totalitarisme ; mais d’un autre côté, c’est le piège de la libre de pensée, à ne pas confondre avec la liberté de penser, laquelle est d’ailleurs en train de péricliter avec l’insufflation de la pensée unique. Comme le lavage de cerveaux commence dès l’éducation des enfants, la République a laïcisé ses institutions, à commencer par l’école, et elle a privatisé le service public des cultes, puisqu’on ne laïcise pas les cultes, mettant ainsi fin au régime concordataire par la séparation de l’Église et de l’État. Pour l’école, cela fut fomenté par le franc-maçon Jules Ferry. Sous la vertu de l’égalité, les lois scolaires n’ont pas touché à la liberté d’enseignement, qui légitimait les écoles confessionnelles privées. En revanche, elles ont exclu de l’enseignement primaire public le personnel congréganiste qui y enseignait et l’instruction religieuse qui figurait au programme obligatoire, tout en prévoyant un jour légal pour permettre aux parents qui le désirent de la faire donner aux enfants hors de l’école.
 
L’auteur Émile Poulat résume bien la laïcité : « J’ajouterai que ce que nous appelons notre laïcité à la française n’est finalement qu’un héritage de la catholicité à la française », donc une déformation de déformation, etc. Ne jamais oublier qu’ici en Occident nous subissons l’héritage de la philosophie de l’ancien monde gréco-latin ! laquelle analyse, embrouille et finalement tue ; la laïcité étant une émule du libéralisme à la John Locke et du Siècle des Lumières.
 
La laïcité est une culture, un système dominant français issue de 1789 et de la franc-maçonnerie matérialiste, qui s’impose à l’ensemble de la population. Or tout ce qui impose à l’ensemble n’est qu’une dictature. Mais la laïcité française à ceci de plus sournois, voir de plus monstrueux, c’est qu’elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà. La laïcité publique possède un code non écrit d'une extrême subtilité qu'il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder. Difficile de faire plus vicieux. Les dictateurs qui imposent sont bien-sûr les élites : qui imposent soit au grand jour, soit de façon souterraine comme la franc-maçonnerie matérialiste. L’élite est un nombre restreint de personnes, donc on risque de retomber dans l’oligarchie actuelle et ses privilèges ! Il faut bien savoir que dans le du monde du fric, le sens du mot élite est totalement corrompu.
Si la laïcité est, selon Émile Poulat « La sortie de cette catholicité d’avant 1789 », mais quand on voit le résultat de la perte des repères essentiels naturels et des traditions, la laïcité est tout simplement une IMPASSE, une PRISON. La vraie religion, la vraie universalité ne doit pas exclure les autres croyances. De toutes façons en gros, TOUTES LES CROYANCES ADMETTENT UN CHEF DES DIEUX, alors elles sont toutes monothéistes dans leurs thèmes, et en variations dans leurs détails.

Nous sommes bien dans un effroyable dogme de l’OPINION et donc du JUGEMENT :
« Le principe et le paradoxe du régime laïque, c'est qu'il inclut tout le monde, même ses adversaires, même les catholiques qui excluaient les non-catholiques. Les pacificateurs se montrèrent fidèles à cet esprit. Le combat d'idées continue, mais en se refusant les armes de l'exclusive, laquelle n'est qu'une confessionalisme retourné », explique Émile Poulat ; j’ajoute : un marxisme déguisé (voir le dogme du communisme dénoncé superbement par Jean Coulonval tout au long de ce site).
Le problème de la libre pensée crée un redoutable fardeau pour l’État, affranchi, séparé de l’Église. Désormais, l’État, a la charge de gérer soixante millions de consciences en liberté et bien décidé à en user. Auparavant, l’État pouvait s'appuyer sur l’Église pour gouverner les consciences avec les prédicateurs, les confesseurs et les directeurs de conscience. Maintenant, c'est fini. L’État n'a plus de recours et se trouve face à face avec ces soixante millions de consciences. Certaines de ces consciences se sont appuyées sur lui pour conquérir leur émancipation contre l’Église. Désormais, il arrive qu'on les voie s'appuyer sur l’Église contre l’État. Il n’y a plus de repère. Le seul repère possible est le Soi, l’Instant, le Centrum Centri, se connaître soi-même... ce qui est beaucoup plus difficile que d’avoir une Église, ou un directeur de conscience, ou « coach » ou guru. Le psychanalyste et les drogues de Big Pharma légales ou illégales ont remplacé le confesseur d’antan.

Et c'est bien l'opinion qui est source de tous nos mots/maux comme l'étudiait et dénonçait si bien Jean Coulonval : « Cette problématique doit être abordée de manière globale, avec le souci de prendre en compte l’ensemble des intérêts concernés, et l’objectif de bâtir un internet « civilisé ». Il ne serait pas convenable que l’Internet se développe comme une zone de non-droit, que nos efforts pour mieux réguler l’économie s’arrêtent au monde de l’Internet », écrivait l’élu Sarkozy dans un langage hypocrite puant et laïque pas possible, et à la mode du sécuritaire reflétant bien notre époque si mercantile et si moribonde.

Inquisition et police politique, de n’importe quel État à l’heure actuelle, c’est exactement la même chose.
La police de Sarkozy, du CRIF et autres organes anti-machins, ou des puissants lobbys et groupes financiers y vont de la défense de leur dogme, c’est-à-dire la position intellectuelle qui, pour l’accusation, est censée être implicitement accepté par tout le monde, comme un centre, une universalité dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Mais si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Oui puisque tout est conventionnel et dépend de la mode du moment.
Tout accusé qui se reconnait lié à la foi d’une religion (c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti, tout particulièrement du parti communiste de tous pays) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » s’il se tait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, il se condamne lui-même par auto-critique (d’être alors remodelé). S’il ne le sait pas, c’est qu’il est fou, et pour ce genre de fous, le post-stalinisme mais aussi les États-Unis avec la CIA ont institués des hôpitaux ou services psychiatriques spéciaux. L’Inquisition les brûlait comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques.

Les lignes ci-dessus sont d’après Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux. Il y exprime avec une parfaite transparence la LAÏCITÉ dans tout son dogme très gluant. Jean Coulonval ajoute que la police politique style GPU, ou toutes autres, ne copie pas l’Inquisition. La similitude vient de configurations mentales identiques. C’est une question de géométrie mentale. Et la laïcité est le dogme central d'une certaine franc-maçonnerie travaillant du chapeau.

Cette laïcité, cette Inquisition avec une position intellectuelle qui, pour l’accusation, en l’occurrence la franc-maçonnerie comploteuse comme le Grand Orient de France, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme un centre dont on ne peut pas s’écarter sous peine de raisonnement faux ; le pouvoir actuel lutte contre les sectes qui pour le moins ne sont pas laïques ! La laïcité qui impose à l'ensemble est une véritable dictature.


La laïcité française est un killer en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire ! Bref, c’est l’Ouroboros ou serpent qui se mord la queue, dans le sens de la prison. Cela me rappel Staline et le sophisme policier : « Jamais nous n’arrêtons un homme qui n’est pas coupable. Et même si vous n’étiez pas coupable, nous ne pourrions vous relâcher, parce que les gens raconteraient qu’on rafle des innocents ». (Cité par Anne Applebaum dans son livre : Goulag Une Histoire).
Dans laïcité il y a : la cité, ce qui nous entraîne vers le mot/maux ‘Dévergondé’ : sens de jugement humain de valeur et donc, c’est celui ou celle qui « mène une vie licencieuse, qui a une conduite relâchée, sans honte, ni respect ni crainte religieuse ». La laïcité, la cité nous rappelle cruellement que cette civilisation est systématiquement opposée au retour à la SOURCE des membres qui la compose (civilisation s’entend : « si vile... » et que les villes et villages en sont les symptômes premiers, voir la mode actuelle du sécuritaire, de la prévention, etc.).
Le ou la dévergondée (qui sort de ses gonds ou ses guides, ou de la loi), nous dirions maintenant « le terroriste », ou le « délinquant », qui ne respecte pas les vulgaires lois humaines, vulgaires parce qu’édictées par la dite morale, par la dite religion ou le dit bon-sens (mais dans quel sens ?), c’est-à-dire relatif aux réalités apparentes, aux conventions et illusions, au rationnel et à la logique du monde gréco-latin, c’est-à-dire au seul fait visible terrestre, et à court terme ! C’est ce que ceux qui se bombardent du nom de « scientifiques » nomment : « universel », ou encore « vérité » (la leur, donc leur opinion). Ici encore on confond tragiquement général et Universel, l’un étant de la Terre (quantitatif) et l’autre de l’Esprit (qualitatif).

Hélas pour nous en France, depuis la Révolution française de 1789 des bourgeois, du fric et de la franc-maçonnerie matérialiste, la laïcité est une institution, une arme fourre-tout comme tous les ‘ismes’ et autres philosophies et choses qui imposent, une culture dominante en France comme les hétérosexuels sont dominants dans le monde. La laïcité est une entente générale comme si tout le monde était d’accord sans que cette laïcité ait demandé l’avis à quiconque ; puisque on imagine que cette entente, cet accord existe déjà.

Je m’inspire en partie de l’entretient vidéo de Raphaël Liogier du 22 mai 2006, pour CICNS (voir enfin d'article).

Des élites et des gens de pouvoir ont construit cette laïcité et l’impose bien-sûr, en fonction du pouvoir des lobbys, de ceux qui fabriquent et manipulent l’opinion ; de ceux qui décident ce que doit être une bonne chose, une mauvaise, une bonne religion, une moins bonne, etc. Et bien-sûr une fois l’opinion fabriquée, tout le monde ou presque suit le mouvement, et ça devient comme une évidence : l’hypnose a fonctionné. Tous ont fait correctement leur travail de killer : les fonctionnaires républicains, les laïcs, les trois religions monothéistes, les médias alignés sur les banques.

Dans les années 1970, les sectes étaient vues comme une bande de joyeux drilles auxquelles il fallait faire attention : « ils sont bizarres », etc.
Vers 1980 s’est installée l’idée de maffia, de réseaux, ce fut le naissance de la mode de la pédophilie, bien en place actuellement et de façon mondiale (voir les prêtres du catholicisme). Le secret et les choses les plus obscures s’en sont mêlées : voir le Temple Solaire.
Un comble, l’État français, et en plus par l’intermédiaire de son ministère de l’intérieur, lequel s’occupe de la zone secte, se permet de donner une définition de ce qui est religieux ou pas ; il fabrique des étiquettes, divise pour mieux tuer ; un comble pour une république soi-disant laïque avec pour devise : liberté, égalité, fraternité.

L’État français gère le religieux comme il a pondu HADOPI : du grand n’importe quoi, sans connaître la base des sujets ; comme un ministre le sera de l’agriculture un jour, et le lendemain il le sera de la culture ! Dans les deux cas il y a le mot culture, mais enfin !  Ainsi ça se traduit par de la grande incohérence comme on peut le voir avec HADOPI et ses suites à venir pour mieux contrôler internet. Et au lieu de souder, de réunir : la fraternité, l’État français divise, discrimine, et donc tue. Nous avons bien là le terrorisme d’État français. Ainsi il y a des religions qui sont bonnes et d’autres mauvaises ! un peu comme l’imbécilité des écoles supérieures laissant entrevoir des écoles inférieures, ce qui ne doit pas faire plaisir au killer Jules Ferry ! Mais pour l’État français, toutes les sectes sont mauvais élèves.

Le critères de mauvaise élève, c’est l’original, celui qui ne fait pas comme tout le monde, donc celui qui est minoritaire, qui dérange l’ordre établit arbitrairement. C’est celui qui n’a pas le « diplôme de l’ancienneté », qui n’a pas le diplôme de « professeur émérite » ou de chien savant « reconnu » ; et qui a le malheur bien-sûr de n’être rattaché à aucune institution du genre : Conseil du Culte Musulman, etc.
Plus grave : tout mouvement minoritaire en France, qui a la prétention de s’aventurer sur le terrain de l’éducation de Jules Ferry, se verra automatiquement, systématiquement considéré comme une secte.
Comme Louis Pasteur le killer de petites bêtes et de vaccins empoisonneurs, ici Jules Ferry est l’autre Killer.
Comme pour le tabac, le pinard, l’État français a le monopole de l’éducation. Vous pensez, si quelque chose lui échappait pour le formatage de ses futurs esclaves...
Ainsi, toute éducation émanant de groupement minoritaire sera systématiquement qualifié de secte, et donc au mieux de manipulation des jeunes enfants, et au pire de pédophilie (comme la mode actuelle nous le rappelle avec l’Église catholique).
Si un groupe spirituel fait trop de dons ou a trop d’activité, il va être suspecté de concocter des choses étranges, ou d’avoir des réseaux souterrains.

Tout le monde est libre de croire ce qu’il veut, comme la venue prochaine ou non de soucoupes volantes comme le mouvement raelien. Libre à chacun de choisir son lieu de perdition ! si la vie ne s’en est déjà pas chargée. L’État n’a pas à contrôler la spiritualité de ses « sujets », ni ses rêves ! Et en ce qui concerne le mouvement raelien, c’est triste de prendre ses membres pour des imbéciles (je précise que je n'en fais pas parti et que je ne les cautionne pas !)

Donc pourquoi cet acharnement juridique tueur à propos notamment des raelien ? et d’autres ?

Selon Raphaël Liogier, les politiques sortent toujours leur « arme secrète » de laïcité : « Mais quand même », selon les termes de Liogier. Ce « Mais quand même » est à la fois injurieux face à l’interlocuteur, et vide de sens, ou plutôt on peut y mettre n’importe quoi laissant la place à n’importe quel piège. C’est bien hypocrite et dangereux.

On parle récemment « d’identité nationale » et de burqa, histoire de faire oublier les problèmes essentiels d’énergie : économique, nourriture, eau, pollutions, etc. Mais l’État français a imposé sa propre signification du port du voile musulman, lequel n’a pas la même signification pour les femmes qui ont acceptées de le porter selon leur foi. L’État et l’opinion forcent à faire croire qu’en portant le voile ces femmes sont inférieures aux hommes.

Selon Raphaël Liogier l’État français est obsédé par le religieux ! Et s’il décide que le voile intégral ou pas rabaisse la femme, il n’y a rien a dire : personne n’a le droit de dire le contraire. Pareil pour la pédophilie, et autres sujets hautement tabous. Des femmes voilées se considèrent mieux comme tel, afin de lutter contre la société de consommation du sexe, et l’image dégradante qu’en donne souvent la publicité, qui effectivement en fait une marchandise comme n’importe quel produit. Et plus les femmes voilées apportent des arguments en faveur du port du voile, et plus ont les accusent d’avoir été manipulé.

L’étrangeté, la liberté de ne pas faire comme tout le monde, comme pour les fous qu’on enferme et qu’on drogue de force, fait peur à l’État. Alors les politiques chient des lois, ou mettent en place des « cellules de crise ». Ainsi le bon peuple est rassuré, le territoire est bien gardée.
De temps en temps dans les médias à la solde des banques ont fait venir le psychiatre de service, le monsieur de la Miviludes, comme sur France-Info ce 7 avril 2010, et qui bien-sûr ne connaît rien du spirituel et des sectes ; et on fait monter la sauce de l’opinion, et les gens disent : « c’est horrible », « si c’était votre enfant », etc. Et selon le système sécuritaire action/réaction de Sarkozy, on chie des boudins de mesures pendant quelques mois ou quelques années, puis de temps à autre, on vous sort du chapeau : « Il y a moins de sectes », ou « Il y a moins de téléchargements illégales ».

Selon Raphaël Liogier, le problème des sectes reste toujours en arrière-plan, comme en réserve pour pouvoir toujours le ressortir, comme ce 7 avril 2010 à propos de chamanisme. C’est tout bon pour clamer au bon peuple qu’on défend la veuve et l’orphelin : on défend les valeurs essentielles de la république, de la laïcité, de la personne. Et comme la démocratie, la secte est le fourre-tout dans lequel on met l’ennemi diffus, et qui peut servir à remplace les problèmes graves comme l’économie, l’emploi, etc.

Donc le problème sectaire est POLICIER en France, car géré par le ministère de l’intérieur (on ne peut s’empêcher de penser à une quelconque police politique comme celle des Juifs bolcheviks). Mais il paraît qu’on ne plaisante pas avec la sécurité, donc on fait des rapports qui ne bloquent pas vraiment, mais qui évidemment sont respectés par les fonctionnaires. Enfin, Raphaël Liogier cite le cas d’une justice française à « deux justices » : que vous apparteniez à une religion monothéiste, ou que vous apparteniez à une religion non listé pas l’État !
- Discrimination à l’embauche pour atteinte à la pratique religieuse monothéiste. Là c’est ok pour la « justice ».
- Discrimination à l’embauche pour atteinte à la pratique religieuse non inscrite sur les tablettes de l’État, ou étiqueté comme secte. Là ce n’est pas reconnu par le « tribunal », puisque la secte est inscrite sur la liste des sectes. Rationalisme plus con tu meurs !
On a plus qu’a se traîner devant la Cour européenne.
 
En Union soviétique, en 1960 le nouveau code criminel changea, l’article 142, sur les « Violations de la loi de séparation de l’Église et de l’État », permet au KGB d’arrêter quelqu’un pour sa religion.
 

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Symbolisme du bonnet phrygien (dessin en haut de page)
Couvre-chef des esclaves affranchis chez les Grecs et les Romains de l’antiquité.

« La Place de la Révolution de Blagnac est un de ces monuments qui simplement ne mentent pas. Il célèbre simplement et sans politiquement correct, la nature des travaux des sociétés secrètes. Le « Temple de la Sagesse Suprême » est imprégné de symbolisme et de messages faisant directement allusion à la Franc-Maçonnerie et aux Illuminati et cache en plein air la vraie philosophie de nos dirigeants mondiaux.
La Révolution Française a été principalement dirigé par la Franc-Maçonnerie et résulta en un gros succès politique – la création de la République Française – dont les idéaux furent propagés partout dans le monde ».

Enfin, pour Louis Pasteur, il paraît qu’il y a plus de 2000 rues qui portent son nom en France ! N’importe quoi ! (Voir aussi la page sur le killer Louis Pasteur)

Voir aussi : http://sylvainreboul.free.fr/lai.htm et sa CONCLUSION : « Une religion, comme n’importe fait de culture, n’a d’autre réalité qu’historique et les faits historiques ne sont pas réductibles à une seule cause originelle ». C’est-à-dire que cet auteur ne parle absolument pas des essences... et réduit le mot religion à une opinion.


M. R.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 12-04-2011 04:59

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