En effet, qui à « grondé » ou grogner contre les pauvres Adam et Eve ? c’est Dieu, et par jalousie. Normalement un dieu quel qu’il soit ou Soi... a zéro défaut, comme dans l’industrie... c’est bien connu, c’est d’ailleurs pour ça qu’il y a une date de péremption sur tout les biens de consommations... y compris et surtout sur les pots de yaourt. Mais il n’y a pas que Dieu jaloux qui gronde, la mer gronde, le chien aussi, et bien-sûr la révolte, sans compter le tonnerre, le canon, l’autorité... Que d’élèves des écoles du franc-maçon Jules Ferry se font gronder... Mais plus maintenant, ce sont plutôt les élèves qui « grondent » leurs profs.
Tout de même, il est marqué dans la Bible de Jérusalem (modèle Sainte Bible) :
Après que Dieu eut dit un tas de choses, force au verbum... espérant qu’il ne se soit pas trompé... à cause justement de son déclenchement du matérialisme... première erreur divine ! Dieu fabrique le mâle et la femelle tel une vulgaire prise mâle et femelle électrique. On parle bien dans la Bible d’éclairer la Terre, mais on ne précise pas en quel voltage ni si c’est des ampoules à incandescence. Oui, Dieu fit même deux luminaires (Soleil et Lune).
Comme il est connu que tout part de l’Eau, Dieu qui était un « malin » commença par l’eau pour en sortir quelque chose. Puis il termina par son mâle et sa femelle électrique. Bien-sûr il les bénit, ça va sans dire. Ce que j’aime le plus chez ce dieu c’est qu’il est végétarien. En effet, il fait son mâle et sa femelle se nourrissant exclusivement de choses vertes, comme les vaches.
Précision, nous en sommes à ce stade au sixième jour du verbum. Pourquoi Il s’arrête au septième jour, ce n’est pas un mystère quand on sait que la Nature comporte des intermittences, des trous...
La où Dieu crée le Jardin d’Eden, je ne suis pas d’accord, c’est Imhotep, l’architecte du Roi Djeser, qui est l’inventeur du jardin, que d’autre appellerons Paradis.
Et c’est là que Dieu va piquer une crise de jalousie.
Car il avait sa petite idée de derrière la tête, et il est plus diabolique et satanique qu’il n’y paraît puisque il fait porte la faute sur un pauvre serpent ; depuis la chrétienté n’encaisse pas les serpents
(1).
Dieu étant le créateur de toutes choses est forcément au courant des intentions du serpent. Nous avons à faire à un pur SOPHISME puisque quelqu’un prête une intention à Dieu. Exemple : « Un serment ne lie pas s’il n’est accepté par Dieu ». Dans ce cas, il faudrait connaître la pensée intime de Dieu !
Étant donné que nous respirons tous le même air, et sommes tous dans la même Matière, mentir à un serment c’est mentir l’autre. (Ignorer l’autre).
En effet, Dieu est un pervers quand il fait dire par le serpent à la femelle (dans un texte peu clair dans cette Bible de Jérusalem) :
« Alors, Dieu a dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du Jardin ? »
La femme répondit à Dieu, pardon, au serpent :
« Nous pouvons manger du fruit des arbres du Jardin. Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu du Jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas, sous peine de mort ».
La vache le salaud ! un Dieu si cruel, si inquisiteur, si censeur, faut le fabriquer pour faire peur aux pauvres gens. Quel est le crétin qui l’a fabriqué ?
Bien-sûr Dieu caché dans le serpent répliqua à la femelle :
« Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal ».
La vache le salaud ! Quel tentateur ce Dieu ! Un vrai Satan !
Oui, un vrai Satan car Dieu vient d’inventer le mental, la DIVISION dévastatrice.
Alors la pauvre femelle vit que l’arbre était bon à manger et aussi séduisant à voir, car elle était encore végétarienne et devrait découvrir la beauté. La encore Dieu vient d’inventer une autre division : Sujet-Objet, et donc une chronologie tueuse.
La pauvre femelle, mais le mâle, que fait-il pendant ce temps ? Donc la femelle arracha un fruit et le mangea égoïstement ; puis devant « prendre conscience du mal » ou du mâle, elle donna un fruit au mâle.
Alors vous imaginez qu’ils étaient « éveillé », ils découvraient la « civilisation » et ses bienfaits. Ils devaient même courir dans la grande surface du coin pour s’acheter des vêtements, parce que se promener tout nus, c’est passible d’une grosse amande par l’autorité du coin au pouvoir (Dieu ?).
C’est désormais connu que « Dieu voit tout », comme
Big Brother et l’œil des
Illuminati de Bavière ou de l’Oncle Sam.
Aussi il est très jaloux et pique une grosse colère contre son mâle et sa femelle ; alors que c’est lui qui les a tenté... Ainsi les punitions tombent : la pire torture pour le pauvre serpent condamné à ramper sur le sol, que Dieu injurie et traite de « maudite entre toutes les bêtes ».
Dieu venait d’inventer le concept de « mauvaise herbes », ou un truc qui le dérange. Ainsi Dieu devint le premier raciste, normal, il est le Créateur ; et en même temps il se traite de raciste lui-même. Nous avons bien la boucle de l'Ouroboros, le serpent qui se mord la queue.
Pour son mâle et sa femelle, Dieu les torture en forme de grossesses difficiles et douloureuses pour la femelle ; et pour le mâle il le
condamne à l’agriculture « à la sueur de son front ».
Cet Arbre interdit du Paradis n’est autre que
l’Arbre de Vie de beaucoup de traditions. C’est universel et ne dépend donc pas uniquement de la tradition juive et chrétienne.
En plus dans cette Bible, « Dieu » fait placer des gardiens pour interdire son Paradis : les chérubins et une arme style sabre laser des Star Wars.
Donc passer de l’ignorance à la connaissance est la libération, mais c’est à double tranchant, comme tout ce qui est double de par ce monde de dualité.
Ainsi dans le conte africain :
Le Lièvre et le Grand Génie de la Brousse, il est écrit à la fin :
« Le Grand Génie regarda tout cela, regarda le lièvre, lui toucha le front et lui dit :
- En vérité, si j’augmentais la puissance de ton esprit, je ferais une grande sottise.
- Et pourquoi ?
- Tu es assez rusé comme cela ! si tu l’étais davantage, tu deviendrais mon maître ».
On voit et retrouve là la jalousie du Dieu de la Bible du monde judéo-chrétien. Dans ce conte de l’Afrique, dès le début, le lièvre veut avoir un cerveau qui marche à 100%, pour avoir le
QI le plus élevé des animaux, et c’est pourquoi il s’adresse à Dieu, pardon, au Grand Génie.
Bien-sûr le killer et obsédé sexuel Sigmund Freud, qui était de confession juive, mais nul n’est parfait, et sa théorie de « l’inconscient sexuel », explique que la peur des serpents est toujours en rapport avec la sexualité. A ce propos Anton Parks dans son troisième volume des
Chroniques du Girku, cite Jacques Van Rillaer (
Les illusions de la psychanalyse) : « Pourquoi faut-il accepter cette clé interprétative ? [convention] Pourquoi ne pas plutôt tirer argument du fait que la peur du serpent est plus universelle et plus précoce que la peur du pénis [en tout bons-sens à cause simplement de l’eau dite primordiale], pour affirmer que la peur du pénis découle de la peur du serpent et non l’inverse ? Il est en tous cas bien établi qu’à partir de deux ou trois ans, les enfants et les singes ont spontanément peur d’un serpent et non d’un pénis... »
C’est encore la mythologie juive qui fait du serpent un principe d’impureté et de totale négativité, en faisant l’ennemi de l’humanité...
Dans la Bible de Jérusalem, Dieu en forme de serpent devient un instructeur, un gourou ! tentant de corrompre Eve.
Voici un résumé de la Création, la Genèse, non pas par les Juifs et autres rabbins, mais par les KAPPAS DU JAPON (les méchants Kappas), ou les lézards (Gina’abul) étudiés en de nombreux volumes présent et à venir par Anton Parks.
Les Gina’abul (qu’on appelle dieux) ont fait des humains des esclaves. Ces dieux Gina’abul sentent très mauvais. Il ont sélectionné des humains en secret pour se reproduire avec eux et perpétrer ainsi leur race sur Terre. Alors l’humanité a connu la CHUTE. Là aussi, il faudrait peut-être avoir une seule universalité, et non pas plusieurs ! Ce sont, peut-être, ces accouplements ou des manipulations génétiques avant l’heure qui ont transformés les humains en esclave. De ces croisements sont nés des enfants, des futurs Grands Administrateurs, en d’autres mots/maux : de futurs petits Princes de ce Monde, des créatures qui avaient pour mission ce qui plaît aux pouvoirs actuels : être « droit » (sens du bien), faire des petits, et bien-sûr « réussir » (être des winners). Tout le contraire du non-agir du Taoïsme !
Ces entités colonisatrices Gina’abul, dont on retrouve la trace chez les sionistes actuels avec la colonisation de la Palestine, dont la faction guerrière est baptisée ‘Annunaki’, se projettent en une autre chronologie telle que les simples humains la vivent. Les Annunaki sont presque immortels, et leurs progénitures seraient capable de pouvoir passer d’une dimension à une autre, chose que démontre David Icke dans ses livres. (Libre à chacun de se faire son opinion sur David Icke ! Mais son travail est respectable). Pour Icke, c’est « l’élite » actuel des intellectuels et de la noblesse (le sang bleu) qui seraient les descendants des Annunaki (sens de ‘progéniture’ princière). L’être ainsi issu de l’élite deviendra élite lui-même, naturellement et sans effort ! puisqu’il possède le gène royal des dieux lui permettant d’accéder au pouvoir politique et de la famille des intellectuels. Le sens du mot élite indique : la crème, le gratin, la fleur : nous avons toujours à faire avec l’individu ou un groupe d’individus et le collectif (l’élite par rapport à la masse). Élite vient tout de même de ‘élire’, ce qui n’est pas le cas de ces Annunaki.
En fait la notion de ‘Roi’ se tient parfaitement selon le modèle animal naturel ! Malheureusement, effectivement il s’agit ici de la CHUTE... dans le mental... et donc dans la Matière, d’où par exemple le labeur des Alchimistes pour rattraper le carnage.
La découverte des fruits de l’Arbre de Vie dans la Genèse modèle tradition juive, annonce ni plus ni moins le mental, je ne le répéterai jamais assez : notamment la découverte de l’écriture, et quelques chronologies après de l’agriculture. C’est surement cela que l’on nomme aussi : intellect.
La partie de la Genèse racontée dans la Bible de Jérusalem, pour faire « peur aux petits humains », est bien différente dans les textes apocryphes de Nag Hammadi :
Traité sur l’origine du monde « L’Écrit sans titre » (Commandement des archontes et la réponse du serpent), [NH II, 5)]. Traduit du copte par Louis Painchaud, Bibliothèque copte de Nag Hammadi, sous la direction de Louis Painchaud, Wolf-Peter Funk et Paul-Hubert Poirier, à l’université de Laval, Québec, Canada :
Alors survint le sage entre tous, 26 celui qui a été appelé la « Bête » 27 et lorsqu’il vit le sosie de leur mère 28 Ève, il lui dit : « Que vous a dit Dieu ? 29 de ne pas manger de l’arbre 30 de la connaissance ? » Elle répondit : « Il a dit « Non 31 seulement n’en mange pas, mais 32 n’y touche pas afin de ne point mourir. » » Il 33 leur dit : « Ne craignez point, de mort vous ne 34 m[ourrez pas. Il sait] en effet que si vous en mangez, 119 1 votre intellect se dégrisera et 2 vous deviendrez comme des dieux, puisque vous connaîtrez 3 la différence qui existe entre les 4 hommes mauvais et les bons. En effet, 5 c’est parce qu’il est jaloux qu’il vous a dit cela, afin que vous 6 n’en mangiez pas. »
(Transgression d’Adam et Ève)
(Adam et Ève passent de l’ignorance à la connaissance)
Or Ève eut confiance 7 dans les paroles de l’Instructeur. Elle regarda vers 8 l’arbre, vit qu’il était beau 9 et appétissant, et le désira. Elle prit de 10 son fruit, en mangea, en donna également 11 à son époux. Il en mangea. Alors leur intellect 12 s’ouvrit. Quand ils eurent mangé, en effet, la lumière 13 de la connaissance les illumina. Ils comprirent alors 14 que c’est lorsqu’ils se couvraient de honte qu’ils étaient nus 15 de la connaissance. Quand ils furent dégrisés, ils virent 16 qu’ils étaient nus et s’aimèrent d’un amour mutuel. 17 Et voyant que leurs créateurs avaient forme 18 animale, ils les prirent en dégoût et 19 comprirent beaucoup de choses. »
Comme l’écrit lucidement
Anton Parks dans son troisième volume des
Chroniques du Girku : Le Réveil du Phénix, je suis d’accord avec lui que la vie venant de l’eau, comme décrit dans la Création biblique, nos ancêtres sont probablement des amphibiens, ce que décrit fort bien
Howard Phillips Lovecraft, même si ce sont des romans, car on y sent une forte documentation préparatoire.
Donc d’après cette partie du texte de Nag Hammadi on voit que l’humanité prend conscience de la nature « non humaine » de ses créateurs et les voit tout à fait autrement.
Nag Hammadi, Hypostase des Archontes :
« Les archontes firent des projets et dirent : « Allons, faisons un homme qui soit de la poussière de la terre. » Ils modelèrent leur créature comme si elle était entièrement de terre.
Or, le corps dont sont faits les archontes est femelle, c’est un avorton d’apparence animale.
Voilà qui est dit, et nous qui nous prenons pour des humains intelligents, nous ne sommes que de vulgaires animaux, qui en plus se mangent les uns les autres : « Aimez-vous les uns les autres » est-il écrit dans le
Nouveaux Testament...
OUI, mais pas au point de se bouffer les uns les autres.
Quand la biche pourra brouter aux côtés du lion herbivore.
Quand le liseron ne bouffera plus le géranium.
Quand la forêt ne connaîtra plus la hache de l’homme.
Quand on ne fera plus attention au temps et au profit matériel.
Quand l’Or ne servira plus de monnaie.
Donc les « anges de Dieu » responsables d’une recréation de l’humanité sont des animaux, tout du moins sous une forme animale. On les nomme aussi « Archonte » (chef, dirigeant, magistrat, autorité, administrateur). Bref des Grands Satan, et tous de souche noble !
A propos de
Chérubins gardant l’entrée du Paradis ou plutôt interdisant d’approcher de l’Arbre de Vie.
Anton Parks nous dit dans son troisième volume des Chroniques, note 22 page 396, que le mot Dara signifie « bouquetin » ou « chèvre des montagnes » en sumérien. Un bouc est très combatif et pourra défendre un large territoire. Alors dans la littérature biblique et rabbinique, le bouc est devenu un
‘Keroubîm’, lui-même tiré du Karibu akkadien, « celui qui communique (avec les dieux) ». En Assyrie, les
Kerub à l’apparence de taureaux ailés encadraient le seuil des temples et palais. Ce terme de « Chérubin » désigne donc un ange chargé de défendre et garder la vie.
Voir la
page Ange du Wikipédia.
Rappel : les anges de la chrétienté sont les
Yôkai au Japon. Ils sont les ministres des éléments...
L’alphabêtise ou l’alphabête. Oui, nous sommes bien des animaux, c’est pour ça qu’il ne faut pas que nous nous mangions les uns les autres.
Le Modèle ou la Même Soupe pour tout le monde
Exemple avec la Bible de Jérusalem : « Une fois qu’un écrit a été assimilé, qu’il représente un modèle [la Bible], il est extrêmement difficile de s’en « distancier » et d’imaginer comment celui qui ne le partage pas peut percevoir le langage. Ceux qui pratiquent un alphabet trouve étonnant que quelqu’un d’autre ne réussisse pas à entendre les constituants « alphabétiques » de leur discours ; pour eux, ces constituants sont évidents [opinion] », écrit David R. Olson dans L’univers de l’écrit. Ainsi l’être humain de notre temps pense avoir trouvé le code essentiel, « l’alphabet » qui donne « l’information génétique » : l’ADN, ce qui est encore une convention avec des mots/maux encore emprunté à ces ergoteurs de Grecs ! Il n’y a juste qu’à lire la partie historique de l’ADN sur le Wikipédia, où l’on pourra voir que c’est issu du 19è siècle et de sa chimie et de son industrialisation naissante ; donc le fric n’est pas loin... Et si c’était si bénéfique pour l’humanité, nous ne serions pas dans la merde actuelle, surtout les gens qui souffrent de maladies, et que la médecine officielle empoisone avec l’aide de, ou plutôt sous les ordres de Big Pharma.
De plus, voilà-t-y pas que la récente découverte d’une bactérie bouffeuse d’Arsenic remettrait en cause « le dogme de la composition de l'ADN établi à partir de ce qui était connu chez toutes espèces vivantes sur terre en 2010 », est-il écrit dans le Wiki.
J’ai toujours eu pour « ami » l’Arsenic...... Et ça rejoins ce que je ne me lasserai jamais d’écrire, tant c’est lumineux et provient d’un grand connaisseur en Alchimie : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu ». Note du troisième livre des Trois Livres de l’Art du Potier, du Cavalier Cyprian Piccolpassi Durantoys.
(En haut de page, un franc-maçon dans toute sa « pureté », enfin, trop pur pour être honnête)
M. R.
Note.
1. Le serpent est symbole de la Sagesse Divine, considéré par
THOT/HERMÈS « comme le plus spirituel de tous les reptiles ».
Le Serpent représente le Guérisseur Divin et la Sagesse. On le retrouve même dans l’emblème des Pharmaciens où il crache son venin dans un récipient pour la préparation d’un remède. Le Serpent médecine et la science des poisons.
Le Serpent représente ce qui est rare, le souterrain, l’ondulation (Fréquence - Eau).
La Terre comme la peau du Serpent se renouvelle.
Ce sont les deux Serpents des deux courants cosmiques du Caducée d’Hermès (Mercure). L’ambivalence (les sens contraires) le Fixe et le Volatil qui se poursuivent et qui doivent
“ s’instanter ” (ou s’actualiser).
Il y a d’autre part :
Ce sont : VIOLENT, INCONTRÔLÉ.
PYTHON est un Serpent monstrueux né de la boue de la Terre GAÏA, laissée par le déluge de l’un des 4 âges, l’âge de Bronze, et de Tartare. Python fut tué par APOLLON dieu Grec de la Lumière.
Python semble représenter dans la notion de dieu solaire, ce qui est bon et ce qui peut être néfaste : le Soleil apporte des vitamines pour le corps humain, mais il brûle aussi la peau et les yeux si l’on n’y prend pas garde.
TYPHON est un monstre de la légende Grecque. Il engendre CERBÈRE, L’HYDRE DE LERNE, la CHIMÈRE etc... Il a faillit vaincre ZEUS ! C’est donc l’ennemi de l’Esprit. Voilà qui est très très très intéressant.
Typhon dans l’un de ses symboles est représenté par un âne. Enfin Typhon représente aussi un gaz dangereux. (Volcans).
Le DRAGON : il est aussi symbole de Sagesse, de renaissance d’immortalité ; en Chine les Immortels chevauchent les Dragons volants.
[Extrait d’un projet de Glossaire, par M. R.]