Adolf Hitler un parfait démocrate
 

Ecrit par Sechy, le 16-02-2011 21:19

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Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail

 
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Adolf Hitler un parfait démocrate
Ou : La même soupe pour tout le monde
Avec Jésus, le Grand Niveleur, comme la Guillotine !
 
 
 
 
Il est bien connue que le principe de la démocratie c’est l’égalité : on coupe les têtes avec la guillotine pour cela, quel meilleur outil égalitaire ! Ne dit-on pas : « Branler du chef » (de la tête), « Opiner du bonnet », pour faire valoir son opinion.
Et justement il y a encore mieux, plus terrible, et qui ratisse et égalise plus large et même sur la planète entière : l’OPINION, ou « l’art d’agiter les foules » selon Talleyrand. La sainte Opinion, cette nouvelle religion avec la sainte Laïcité.
 
Depuis la révolution de 1789 l’égalité c’est vous, le citoyen ou habitant de son pays et du monde, c’est moi ; donc il n’y a plus de notion de noblesse, on ne connait plus le sens de ce mot :
NOBLE : du latin nobilis, qui est en dehors du commun, explique le dictionnaire Le Robert, mais le sens profond est : dont les qualités sont grandes ; effectivement on associait souvent noble avec cœur : les nobles sentiments, les actions nobles, le lion Noble. Donc Noble recouvre le beau, l’élévation, le généreux, le distingué ; mais surtout l’autorité naturelle. On parle aussi de noble science, de noble art.
Voilà en gros le sens de ce mot que la révolution de 1789 a guillotiné ! Trouvez quelque chose de noble dans la république ou la démocratie est chercher une aiguille dans une botte de foin ; c’est-à-dire que la république et trop béotienne par nature pour continuer les traditions ancestrales !
Par contre, le mot NOBLESSE possède depuis 1789 une connotation nettement péjorative : un petit groupe de personnes dominantes dont les membres, de générations en générations (le sang bleu), se partagent le pouvoir sous tous ses aspects avec le roi, et détenaient en tant que tels et à ce titre un certain nombre de prérogatives ; en cela ils étaient hautement redevables envers le peuple ! Malheureusement cette caste ne respecta pas ses engagements, d’où les catastrophes que nous subissons. La faute aux rois qui ne surent pas gérer ce que nous appelons maintenant : une oligarchie, car il n’y a plus rien de noble là-dedans mais uniquement le fric !....

Le mot ARISTOCRATIE désigne aussi : le meilleur (du grec aristo) et kratos (force, puissance). Comme pour le mot NOBLESSE, ARISTOCRATIE désigne un petit groupe de personnes de pouvoir prenant par à la gouvernance d’un pays.
Dans Aristocratie il y a d’ailleurs le son Aristote, ce si funeste mentaliste qui influence énormément tout le Moyen-Age mais aussi le siècle des lumières et biens-sûr 1789. Aristote est le maître de la logique et du rationalisme. L’Église bien-sûr ne l’aimait pas. Le Moyen-Age le prenait pour maître à penser, celui qui sait ! Avicenne si lucide déclare qu’Aristote n’est qu’un homme et pas un dieu ! Aristote reflète donc avant tout l’Occident.

Aristote est un grand responsable de la chute de l’humanité dans la dictature et prison de la consommation, car nous avons aboutit à ce que la science soit transformé en technique et l’inverse ; or c’est la technique qui obéit à la science et non la science à la technique, technique qui ne sont que des trucs, des faits et des tours de mains.

Maintenant noblesse est un peu le contraire de bourgeois ! et la papauté à toujours été « démocrate » ; ainsi les jésuites ont toujours été à l’avant garde du prosélytisme, et n’ont jamais cessé de donner à la jeunesse une instruction républicaine. Mais l’Église a abandonné la bourgeoisie lorsque celle-ci l’a renversée en 1789...

Le sens du mot NOBLE s’est perdu.
1789 a rabaissé tout le monde, a coupé les têtes non seulement dans le sens physique mais dans le sens symbolique : citoyens, MÊME SOUPE POUR TOUS ; POPULAIRE, de population... Vulgaire, vulgariser (le commun des êtres humains)... ce qui est courant, usuel... comme l’opinion faisant la pluie et le beau temps, être au courant de l’information.
Ainsi le « Monsieur tout le monde », le John Doe est le parfait représentant de la démocratie façon anciens Grecs et 1789 et du diabolique siècle des lumières.
Adolf Hitler est le parfait John Doe, le parfait citoyen dans lequel tout un chacun pouvait, et même peut encore, se reconnaître et donc se projeter, il était même un modeste artiste peintre : alors ce qu’il y a de plus démocratique dans le nazisme, c’est la personne même de Hitler, nous explique lucidement Fabrice Bouthillon dans son livre : Nazisme et Révolution, histoire théologique du national-socialisme 1789-1989.

Hitler, ce John Doe qui harangue la foule, est un authentique homme du peuple comme devait les aimer les juifs bolcheviks de la troïka Lénine Trosky et Staline. Hitler n’est ni noble, comme l’amiral Alfred von Tirpitz ; il n’est même pas bourgeois.

Alexis de Tocqueville
, un vicomte, un noble ! a donné une parfaite définition de la démocratie moderne :

Elle a pour passion essentielle l’ÉGALITÉ. Donc on y entend bien la guillotine égalisatrice : « Je ne veux voir qu’une seule tête », sens de je ne veux entendre q’une seule voie : un seul accord, une seule opinion. L’opinion était en gestation là-dedans !
La démocratie est le régime communiste : celui de la MASSE NIVELÉE, donc l’opinion, encore une fois la même soupe pour tous. Et qui dit guillotine dit que nul n’a le droit de se différencier, ou alors il sera étiqueté comme secte ou une truc dans le genre, ou déclaré fou comme en URSS. Alors la démocratie est une variation du thème de la dictature, tout simplement, quoi qu’on nous bombarde sur les édifices publiques de Liberté, Égalité, et encore moins de Fraternité... Et masse nivelée = totalitarisme et marchandises et normalisation.
Par contraste entre monarchie et démocratie, l’aristocratie paraîtra avoir pour valeur principal la liberté. On parle souvent de la « noblesse du chat », de celle de l’animal sauvage comme les félins (gros chats sauvages), mais cela reflète leur caractère indomptable. Ainsi le roi est symbolisé par le chat et le clergé symbolisé par le loup :

L’an 1800, roi tuera peuple,
Pouvoir se fera remettre loup.
Tue chat, maître pend, nie foi royale,
Roi chasse promit mesconnu l’a
Retour veut frère des bois...

Donc en 1800 le peuple tuera le roi et se fera remettre le pouvoir par le loup (le clergé romain). Les forestiers ou frères des bois sont les ancêtres des francs-maçons aussi bien de rite solaire que lunaire. Louis XVI a été jugé par les lois qu’il avait acceptés et son procès n’a été qu’un simulacre, nous explique Grasset d’Orcet dans le décodage du Premier Livre de Rabelais.

Oui, dans une démocratie un dictateur peut facilement surgir, parce que la démocratie égalitaire préférera toujours L’ÉGALITÉ DANS LA SERVITUDE à la DIFFÉRENCE DANS L’INDÉPENDANCE (plein de petits moteurs ou une certaine autarcie).
Et c’est ce qui s’est produit dans quelques pays du Moyen-Orient comme la Tunisie, l’Égypte, l’Algérie, etc., tous copieurs de notre modèle occidental et anglo-saxon et capitaliste.
La foule des Tunisiens, des Égyptiens, n’a que le mirage du mot démocratie à la bouche, un véritable attrape-couillons qui fait écrire à Tocqueville : « Pourquoi les peuples démocratiques montrent un amour plus ardent et plus durable pour l’égalité que pour la liberté ». Oui, extrêmement lucide le vicomte de Tocqueville.

Que ce soi dans la monarchie ou la démocratie, l’inégalité est toujours présente ! Rien que le cas des personnages politiques et médiatiques de notre « démocratie » française en dit long sur l’inégalité, comme les mensonges illustrés par la longueur du nez de Pinocchio...

« Si tous les humains pouvaient vivre, ne fût-ce qu’un instant, un tel état [la Communion des Saints], alors le mot « démocratie » ne serait plus un mot vain, un masque sur les oligarchies qui règnent sur les Partis et, à la limite, la dictature et l’infaillibilité d’un Numéro 1, singerie de l’infaillibilité papale. Car un tel état qui, apparemment, est fugitif est en réalité impérissable, parce qu’il se vit dans une forme de temps autre que le temps de l’horloge, le temps de l’histoire. C’est un temps de l’Esprit où l’oubli n’existe pas par ce qu’il est Éternité, et on en perçoit les éclairs.
Ce qui est en jeu, c’est le concept même de « Parti », du général qui prend le masque de l’universel par une singerie qui atteint sa perfection dans le Numéro 1 », écrit superbement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Le parti au pouvoir, la majorité, nie le libre arbitre de l’individu et en même temps exige de lui une une abnégation volontaire (le libre arbitre est à la fois affirmé et nié). Il nie que l’individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu’il choisisse constamment la bonne (possibilité de choix à la fois niée et affirmée), comme dans la laïcité.
La laïcité est exactement pareil : c’est une culture, un système dominant français issue de 1789 et de la franc-maçonnerie matérialiste comploteuse, qui s’impose à l’ensemble de la population. Or tout ce qui impose à l’ensemble n’est qu’une dictature. Mais la laïcité française à ceci de plus sournois, voir de plus monstrueux, c’est qu’elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà. La laïcité publique possède un code non écrit d'une extrême subtilité qu'il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder.

La laïcité est le même dogme que l’inquisition : une position intellectuelle qui, pour l’accusation, en l’occurrence la franc-maçonnerie comploteuse comme le Grand Orient de France, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme un centre dont on ne peut pas s’écarter sous peine de raisonnement faux ; le pouvoir actuel lutte contre les sectes qui pour le moins ne sont pas laïques ! Mais si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Alors tout accusé qui se reconnaît lié tacitement à la foi d’une religion, et après 1789 à la laïcité, mais c’est aussi le cas de tout membre d’un parti (surtout du parti communiste) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental !

La démocratie est par excellence le règne de l’OPINION. Hitler emploi dans son livre Mein Kampf le terme de MASSE : il prétend que le dernier point du programme a atteint « le cœur de la masse », et quelques lignes plus haut il décrivait son implication dans la PROPAGANDE préparatoire à la réunion, il avait écrit que son souci premier était l’action sur la grande masse ». Tout est résumé avec le mot PROPAGANDE.

NON, il n’y a pas de hasard ! le mot PROPAGANDE est daté par le dictionnaire Le Robert de 1792 ! et découlant de 1689 ! encore mieux... propager la foi, j’ajoute : la foi matérialiste parce que ça débouche toujours sur la politique ! Selon le sens de 1790, la propagande est l’action exercée sur l’OPINION pour l’amener à avoir certaines idées politiques et sociales, à soutenir une politique, un gouvernement, un représentant. Il y a bien un lavage de cerveaux là-dedans ! Comme le prosélytisme et son recrutement d’adeptes. On parle aussi d’adeptes en politique.
Alors Adolf Hitler est le parfait exemple et modèle de démocratie et de république ! Il estime que l’opinion publique est le levier le plus puissant pour soulever la masse (les foules). Et c’est un John Doe qui écrit cela !

Nous devons prendre conscience que nous avons tous en nous, de façon plus ou moins caché (inconsciente), de la graine de dictateur à l’état latent... Il suffit de lire des commentaires sur des forums abordants la politique.

Bien-sûr la Gauche a été séduite par le nazisme et par Hitler, même si elle a été contrainte par la violence au début de la montée du pouvoir de Hitler.
En effet :
L’arme de la propagande et de l’opinion doit se manipuler à la mode de Hitler, on l’aide par la force : faire l’unanimité avec des gros bras (les ‘hommes en noirs’) c’est bien pratique et facile quand on paye bien ces gros bras ! Dès que quelqu’un proteste contre l’orateur dans une réunion politique à la brasserie de Munich : Hofbräuhaus, il reçoit des coups ; en cas d’obstination, il se fait vider de la salle. Selon cette tactique les contradicteurs politique sont de moins en moins nombreux, ils sont même menacés de mort. Il s’agit de faire comprendre aux récalcitrants, aux « ennemis du peuple façon 1789 ou de Lénine », qu’ils risquent gros (en URSS c’était le goulag et la mort, et par la suite l’asile psychiatrique). Cette violence politique voulue et entretenue savamment par Hitler contenait dans son discours une provocation directe, façon Nicolas Sarkozy : « Remerciements aux adversaires qui sont si nombreux à être présents (sic), pour leur ‘comportement tranquille’ (sic) ». L’effet de jeter de l’huile sur le feu, comme Sarkozy, fut immédiat, avec les conséquences que l’on connait. Il n’y a donc plus à s’étonner qu’au moment où l’on passa à l’approbation de la résolution finale, l’unanimité ait été acquise ! L’indicateur de service rendit compte à ses supérieurs de la police que, parvenu à ce point de la réunion, personne n’aurait plus osé se prononcer contre...

Copie des articles politiques de Mein Kampf sur les révolutions françaises de 1789 et 1848, et sur le franc-maçon Jules Ferry :
- Point 7 : l’État a le devoir de procurer aux citoyens des moyens d’existence : le droit au travail tel que revendiqué par la révolution de 1848.
- Point 9 : tous les citoyens ont les mêmes droits et les mêmes devoirs, tout citoyen a le devoir de travailler, et le bien collectif doit primer sur l’intérêt individuel (déjà mélange de démocratie et de communisme et de capitalisme) : c’est donc le noyau de tout socialisme. D’ailleurs le vrai socialisme se doit de servir de rempart contre le totalitarisme de la finance, ce qui fait qu’il ne devrait pas dédaigner la monarchie !
- Point 11 : Suppression du revenu des oisifs (amorce du futur racisme et ethnocide de diverses populations considérées comme parasites), et de l’esclavage de l’intérêt (étrangement et prophétiquement Hitler dénonce ce que beaucoup de nous réclamons en ce moment), et F. Bouthillon de citer Olivier Besancenot : nos vie valent plus que leurs profits (s’affranchir de la servitude du capitalisme). Donc le point 11 est du bon socialisme façon URSS !
- Point 12 : confiscation des bénéfices de guerre. Rare point positif !
- Point 14 : hausse des retraites.
- Point 17 : réforme agraire, avec possibilité d’expropriation (sans indemnité) pour l’utilité publique (comme en URSS).
- Point 20 : comme le franc-maçon Jules Ferry : égalité de tous les enfants devant l’école.
Cette petite description, dans la brasserie où la bière coulait à flot, devait convaincre le moins gauchiste de l’assistance ! et le faire applaudir de l’orateur qui le proclamait, une fois surtout que les gros bras du service d’ordre aient fait comprendre du danger qu’il y aurait à ne pas applaudir ! Effectivement on appeler ça ‘la sociabilité politique typiquement démocratie’, car chez Hitler, cette dimension démocratique de l’agir n’est pas seulement instrumental, car les acteurs politiques du style de Mein Kampf étaient tous démocratiques. On ne va jamais parler d’élection ou de l’approbation d’un dictateur... Non, on déguise...

En haut de page le logo de l’UMP avec l’ajout du logo de la République de Weimar, avec surtout sa division en une moitié bleue et une moitié rouge, symbolise parfaitement cette DIVISION Gauche et Droite héritière de la révolution de 1789 (la majorité et l’opposition), et sa tentative de réunir les deux, appuyé par le dicta de l’opinion dans le mot POPULAIRE, comme si c’était universel. Encore une fois c’est 1789 qui a ainsi inventé les divisions comme les partis politique (de gauche, de droite, ou ordre nouveau et ordre ancien), histoire d’entretenir la discorde ou monstrueuse cacophonie, voir la guerre civile comme en Russie en 1917. Le « Deux » c’est la guerre (majorité et opposition), écrivait Jean Coulonval, qui précisait qu’il manquait le spirituel (la connaissance non une fin en Soi) pour équilibrer. Et parce que l’UMP (parti politique dit ‘de centre-droit’, la majorité actuelle), comme le national-socialisme de Hitler, veulent réconcilier la fracture ouverte de Gauche et Droite, ils aboutissent au totalitarisme nettement sensible maintenant en Europe, ne serai-ce que par la « monnaie unique » avec l’Euro.

Il y a en partie une solution pour tous ces drames découlants évidemment du langage oral et maintenant écrit : la Télépathie, futur moyen d’échanges confirmé déjà par quelques personnes. Mais l’apprentissage sera dur et surtout long ! L’autre travail pour s’en sortir c’est celui sur l’OPINION, opinion qui se construit à la façon d’une carrelage selon Antonin-Gilbert Sertillanges, cité par Jean Coulonval. Ainsi renoncer à l’opinion c’est renoncer au « moi », à nos expériences et sensations et émotions du monde spatio-temporel (voir Ramana Maharshi). Car comme l’opinion, comme tout ce qui vient du mental, rien n’est plus trompeur que la manifestation extérieur du sentiment : autrefois dans certains pays chauds on payaient des personnes pour pleurer un mort, d’où l’expression « verser des larmes de crocodiles ». Aussi on ne peut juger de la valeur d’une doctrine dans la manifestation extérieur du sentiment (sa publicité et propagande). L’être humain ne vaut qualitativement que par le cœur, qui n’est nullement le sentiment retombant dans le piège de l’opinion et du point de vue.
 
Pour en rajouter une louche sur le dogme de la laïcité, voir l’article sur la HADOPI jouant sur cette laïcité afin de ne pas répondre à la demande du « justiciable » qui lui demande le justificatif du procès verbal de son « téléchargement illégal », qui selon eux ne contiendrait pas de « données personnelles ». Alors qu’est-ce que c’est un numéro personnel comme celui de la sécurité sociale, d’un poste de travail à l’usine ou dans la grande entreprise, d’un numéro de carte d’identité, de Carte Bleue, et un numéro de téléphone jouxté avec son adresse IP ? Nous sommes tous fichés et mis en numéros comme des marchandises et des codes barres, et cette HADOPI explique que ce n’est pas personnel ? Voilà pour moi un exemple typique de la dictature de la laïcité, ou bien pire : cette ‘autorité’ dite ‘haute’ du haut de son trône nous prennent réellement pour des patates...


M. R.
 
 
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Dernière mise à jour : 18-02-2011 02:01

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