Paires de Couilles de Babylone
 

Ecrit par Sechy, le 27-02-2011 00:16

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Espace, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Morale, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail

 
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Paires de Couilles de Babylone
 
 
 
Les Babyloniens devaient avoir de grosses Couilles pour foutre la merde qui éclabousse jusqu’à nos jours ! Mais attention, ils n’étaient pas seuls, leur chef se nommait : Méphistophélès (1). Et celui-là il se pourrait qu’il ait de très grosses Couilles ! Des grosses bourses en somme, comme celles de Goldman Sachs (l’homme aux grosses Couilles en Or)
 
Non, pas de vulgarité, mais parfois il faut nommer un chat un chat, et c’est une constatation à la palpation des recherches, et ça n’a pas de fin.

Sous Robespierre et son 1789, les terroristes c’étaient ceux qu’on avait dépouillés, ceux qu’on nommait les « zennemis du peuple » ; et les gentils ou les bons, évidemment c’étaient les winners, les acquéreurs des « biens nationaux ». Les Juifs Bolcheviks ont copiés sur Robespierre pour dépouiller le pauvre peuple de Russie, essentiellement les paysans, eux aussi qualifiés de « zennemis du peuple », puisqu’ils possédaient au minimum une habitation et quelques bêtes et un peu de terrain. A vrai dire, posséder un terrain est du même non-sens que la « propriété intellectuelle » ! Car à ce compte là, un membre des Rothschild et Rockefeller devrait pouvoir s’acheter au minimum la planète entière.

1789 et en Russie des bolcheviks ce sont les bourgeois qui ont prit le pouvoir au nom d’un dieu moraliste, conservateur et autoritaire pour ne pas dire « gendarme » : Jéhovah, comme Grasset d’Orcet l’explique dans De l’Androgyne dans l’Art ancien et moderne. Effectivement la Révolution russe de 1917 était religieuse puisque la guerre du judaïsme façon sionisme et marxisme contre l’orthodoxie.

Dans notre époque de la mode du sécuritaire : repousser la mort, à coups de la chimie de Big Pharma et d’assurances payantes diverses, et repousser le diable, à coups de lois et autres dogmes de la laïcité, sont deux aberrations du sens commun occidental. Ce sont deux conventions et opinions. Mais les bourgeois et les francs-maçons devenus souverains entretiennent soigneusement ce sécuritaire pour tenir en bride les déshérités qu’ils ont spoliés.
Grasset d’Orcet explique que le diable et la mort sont nés en Perse, à la suite d’une révolution sociale qui avant dépossédé l’ancienne aristocratie intellectuelle pour lui substituer le despotisme militaire et guerrier, et depuis ce temps le couple du sécuritaire n’a cessé de jouer le rôle de bourreaux auprès de tous pouvoirs absolus et de toutes démocraties autoritaires.


Les voleurs

Un peuple d’usuriers et de marchands revint de Babylone. Ces gens rapportèrent le diable au fond de leur coffre, et depuis le diable est devenu le dieu de toutes les classes marchandes.
Ce qui me fait penser à un passage où Jean Coulonval écrit avec humour dans une situation de vie difficile, dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux : « Je démissionnai, vendit le cheval et la petite récolte de maïs au juif qui m’a volé comme au coin d’un bois et je partis à Constantine avec de quoi subsister 3 semaines ou un mois ».

Si le commerce ce n’est pas du vol, je veux bien manger les Talmud de toute la planète page par page. Voir ci-dessous.
...
Le pauvre arrive à la ville avec sa femme et ses gosses, il loue un appartement et se met à commercer : il va à la foire, vend la vieille robe de sa femme un rouble ; avec cet argent, il en achète une neuve et la revend deux roubles. De cette façon, revendant tout ce qu’il achetait le double de son prix, il s’enrichit très rapidement et se fit négociant. Son frère cadet entendit parler de la chose, le vint voir et questionna :
« Dis-moi comment tu as fait pour de miséreux devenir richard ? »
...
(Court extrait tiré d’un recueil de contes populaires russes, d’Afanassiev - Conte : Les deux chances - Index Afanassiev : 304/172 - Index Aarne-Thompson : 735 + 735 A)

Ne jamais oublier que de tous temps, et par tous pays, le marchand, le commerçant est celui qui sait quelque chose par rapport à son éventuel futur client ! De plus il doit savoir compter et au moins lire et écrire. Aussi en politique, ce sera ce genre d’individu qui voudra un gouvernement fort pour que les affaires tournent ronds ! Et dans le pouvoir spirituel et économique, le marchand voudra de « la bonne qualité »... Tout comme un jeune homme ou une jeune fille sera fils ou fille d’une « bonne famille » (comme s’il existait des « mauvaises familles »)... de bourgeois et, ou de commerçants. Joignez à cela quelques vulgarités ou banalités des plus déprimantes, et vous aurez la République de 1789 jusqu’à nos jours, ces époques où règnent la classe marchande, ou mieux, celle des banquiers, tant nous sommes passé à un échelon supérieur : l’industrie.
Mais fait important : les marchands redoutent la police ! Voyez ci-dessus l’extrait du conte ; de plus au Moyen-Age les marchands qui mettaient de l’eau dans leur lait étaient condamné au pilori. Si le marchand à peur que la police découvre ses trafics, il demande à cette même police de le protéger des voleurs ! UN COMBLE !

Que fait la POLICE !

« Nous savions déjà que l’argent de la drogue représente plus du tiers du flux de devises et des échanges boursiers mondiaux et que, sans elle, le système bancaire international s’effondrerait. En clair, le trafic de la drogue est indispensable à l’équilibre économique mondial. Si l’on ajoute le prix des substances nuisibles à notre santé et le gaspillage des dépenses d’armement, justifié également par l’équilibre de la terreur, on peut considérer que l’économie dominante, dite « libérale », est une entreprise de destruction ».
Philippe Desbrosses, docteur en environnement, expert consultant auprès de la C.E.E. et du Parlement européen.
En résumé :
Autorité = Diable.
Autorité = Forces du désordre (2).
Ordre ou Organisation = Diable.
Balie ce m'est moult lieurre (L'autorité ce n'est pour moi qu'une grande désillusion). Devise des Capétiens.

Un pauvre être diabolisé par les humains fut le serpent.
La tradition chrétienne en a fait l’animal qui a séduit Éve dans le Jardin, et que la Bible de Jérusalem proclame, toujours selon son opinion, qu’il est le plus rusé des animaux. Cela et les soi-disantes « mauvaises herbes », voilà deux opinions et conventions qui provoquèrent plus de catastrophes qu’un pauvre diable.

Moïse, prophète, demanda aux Hébreux d’adorer le serpent Nashtan (Nehustan), le métal bronze, métal androgyne composé de Cuivre et d’Étain, donc deux courants circulant qui se retrouvent dans le Caducée de l’androgyne Mercure, sous la forme naturelle de la Couleuvre et de la Vipère.
Dans la Bible les séraphins (serpents) forment une milice androgyne, alors c’était un séraphin qui donna un conseil pour cueillir le fruit de l’Arbre de Vie, conseil tout naturel de sa part puisqu’il était lui-même le génie de la vie et de la mort.

Astaroth : « À bas les ministres ! À bas le roi ! Vive la liberté ! Vive la République ! Vive Lafayette ! Vive Napoléon II ! » Et il commença à lancer sur les fenêtres les pavés et les tessons de bouteilles qu’il avait dans ses poches, à casser les lampadaires et à tirer avec son pistolet. En un instant une terrible insurrection  éclata à Paris ».
Extraits de Ossip Senkovski (О́сип-Юлиа́н Ива́нович Сенко́вский), d’après son livre : Les travailleurs de l’Enfer, récit : Une Grande Réception chez Satan.

Si Jéhovah est le policier, son geôlier est l’homme aux grosses Couilles en Or : Goldman Sachs de son surnom, Méphistophélès de son vrai nom. Comme geôlier c’est plutôt le gardien du coffre.
Les marchands ont peur des voleurs et de la police en même temps. Ils ont peur de la foule, c’est pour ça qu’il y a toujours un robuste rideau de fer sur la devanture, et autrefois de forts volets de bois avec armatures en fer forgé.
La tyrannie de la foule s’appelle Ochlocratie. Et le règne de la Terreur n’a jamais complètement exterminé le « sang bleu » de France, bien qu’il en ait diminué fortement le courant. Le résultat a été un appauvrissement des chefs militaires et stratèges, avec incompétence de gradés, qui refrains en forme de « trahison ». Tout cela a faciliter la tâche des ennemis de la France au 19è siècle.


ÉGALITÉ = VANITÉ

Oui, avec sa chiasse d’égalité, 1789 a produit la plus belle merde liquide depuis des millénaires. En France républicaine et aux États-Unis républicains, il n’y a pas d’autres pays au monde où la manie et la rage des distinctions personnelles soient plus exacerbée. La légion d’honneur du petit Bonaparte est une bonne source de cette maladie : écharpe de maire, uniforme de préfet (au 19è siècle), titre de colonel ou autre grade chez les militaires, ou échelons de fonctionnaire dans l’administration ; n’importe quelle étiquette, médaille, palmes académiques, chiffon ou ruban attestant que le citoyen John Doe est « reconnu », qu’il plane au-dessus du commun des mortels, mais surtout au-dessus de la Sainte Égalité française ou américaine.

Cette recherche de reconnaissance est bien un symptôme de la maladie Égalité, cette recherche de respect, de reconnaissance qui s’élève à la hauteur d’un fétichisme. Alors comme l’écrit Grasset d’Orcet, il n’y a pas de preuve plus irrésistible que les prétentions à l’égalité n’ont pas d’autre cause que cette incompatible et incorrigible vanité personnelle de la grande masse de la population.

Les aristocrates à la lanterne, criaient le peuple excité par quelques habiles meneurs. On voulait donc abolir tout espèce de titre, de nom à particule, on voulait égaliser totalement, à tel point qu’on institua le supplice de la guillotine comme pour couper les têtes qui dépassaient.
Le problème est celui de maintenant : en supprimant tout nom ou particule, il fallait digitaliser la société : DONNER DES NUMÉROS, puisque un ancien duc peut s’asseoir sur le même banc que le plus pauvre des paysans. Ainsi, et désormais encore plus à notre époque de diarrhée technologique, nous sommes des codes barres, comme des marchandises :
« Lorsque le numéro 313 lutte constamment, d’une part, pour prouver qu’il vaut bien le numéro 31 [c’est l’opinion], et que de l’autre il vaut infiniment plus que le numéro 3130, on voit ce que nous voyons tous les jours en France, c’est-à-dire le « nec plus ultra » du « snobisme » [justement un mot datant de 1855 !]
Snob : personne qui admire et imite sans discernement les manières, les goûts, les modes en usage dans les milieux dits distingués.

Être une personne c’est être quelqu’un, c’est se détacher d’une égalité. République ou pas, nous devons tous nous sentir des personnes. Et non pas vivre comme des codes-barres ambulants : une unité arithmétique dans la masse des humains, de France et du monde, dénombrables comme des patates dans un sac sur lequel figure un code-barre, dénombrables comme un matricule de sécurité sociale, un nom sur une liste électorale, un poste de travail dans une usine ou une grande entreprise, etc. Il faut sortir de se compter pour un et son voisin pour le 2, dans un quartier x, etc. Il faut sortir du lavage de cerveaux qui nous fait croire que la vie se limite au sensible, entre le berceau et la tombe. Bref, cesser de croire que nous ne sommes que des consommateurs.

CONCLUSION :
Déjà écrit, mais nous sommes dans le paradoxe individus, nation ; et nations, monde. Il faut un souffle, un vide qui transcende ce paradoxe devenu conflit depuis des millénaires maintenant. Connais-toi toi-même, car le désordre qui est en toi nourrit celui qui est autour de toi... Halte aux conflits perpétuels de suprématie ou de supériorité, genre peuple américain et peuple élu.
À notre époque, les croyants ne suffisent plus, ils sont dépassés, car il ne suffit plus de dire : ‘je ne comprends pas mais je crois’. Non, il faut des « sachants ».

Rappel : la démocratie et la république c’est le culte de l’opinion, l’ÉGALITÉ DE L’OPINION : « et ce désir, dans ses profondeurs, ne vient pas d’une volonté de suprématie intellectuelle, mais d’un besoin profondément spirituel et religieux de trouver la paix de l’âme et de la société, qui cherche sa satisfaction par des voies fausses », écrit Jean Coulonval. Il s’agit de chercher un centre immuable et cependant évolutif, non prisonnier. L’athéisme est une forme de religion.
Jean Coulonval a aussi écrit que la Renaissance avait libéré la libre pensée, avec le besoin d’étudier la matière, les expéditions en Amérique, tout ça libérés de la théologie et de la métaphysique ; ce qui a conduit à la liberté des opinions personnelles et à la révolution de 1789. Mais ne prenant le pouvoir politique, elle se niait du même coup. Il est impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord...
Malheureusement, le vrai pouvoir politique qui devait s’exercer au grand jour ne s’exerce plus qu’en souterrain avec des Francs-Maçons, qui ne jurent que par la sagesse et veulent « soumettre l’Univers », comme si la perfection était de ce monde.



Notes.
1. Crasseux personnage dont le nom se compose du grec : méphistos (infecte), et ôphélès (utile, pratique). Quand j’ai souvent écrit ici que le Grand organisateur était le diable !... Alors que dire des Francs-maçons de maintenant, et de ceux qui ont construit les États-Unis...
La symbolique de méphistophélès indique qu’il n’aime pas la lumière, aussi il se réfugie dans l’inconscient qu’il monte parfois en lumière pour mieux la bafouer !

2. A propos d’Inquisition française : « Des associations ne représentant qu’elles-mêmes, subventionnées par l’État, disposent de façon illégitime d’un pouvoir moral et judiciaire considérable, et constituent un pouvoir de nuisance quotidien. » Il s’agit bien-sûr des pères-la-morale genre CRIF. « La notion de haine raciale est étendue à l’infini pour englober jusqu’à la critique des religions (des plus protégées en tous cas) et que de plus elle est appliquée dans un deux poids deux mesures total, la haine anti-française se donnant libre cours en toute liberté ». (Extraits de l’article Agoravox).
 
 

Dernière mise à jour : 27-02-2011 15:35

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